Stargate Le Berceau de la Vie

Stargate : Le Berceau de la Vie

Part. I : Pilote
« La boite de Pandore »


(Résumé des événements précédant)
« Apres une longue période de guerre acharnée contre les Wraith dans Pégase d’une part et contre les Oris dans la Voie Lactée d’autre part, la Terre a enfin réussi à restaurer la paix dans les deux galaxies.
Après avoir été endoctriné par les Oris en tant que prêcheur (10-13), Daniel accéda au savoir des Anciens combiné à celui des Oris, ce qui lui permis de se libérer de l’emprise de ces derniers, et permis ainsi à la Terre de gagner les deux batailles de façon définitives. »


 Année 2012, SGC, Bureau du Docteur Jackson.

Daniel était entrain de lire le journal de bord d’un vaisseau Ancien trouvé quelques semaines plus tôt sur P2X895, Vagonbrei, planète reconnue de l’empire Alterans.
Quand d’un coup il bondit de sa chaise, couru vers le bureau du Général Mitchell et enfonça la porte de son bureau.

 SGC, Bureau du Général Mitchell.

Daniel : Mitchell, j’ai fait la découverte du siècle.
Mitchell : Jackson, vous nous l’avez déjà faite celle-là.
Daniel : non, non, vous ne m’avez pas compris, il s’agit là de LA découverte.
Mitchell : quoi, mieux que la découverte du fonctionnement de la porte et que la découverte de la cité d’Atlantis, sans oublier tout les petits à côtés, bien sûr.
Daniel : mieux que tout ça.
Mitchell : allez-y, je vous écoute, c’est quoi CETTE découverte ?
Daniel : vous vous rappelez du Deucalion ?
Mitchell : quoi, l’épave que SG13 a découverte il y a quelques semaines ?
Daniel : oui exactement, ceci dit, l’épave, comme vous dites reste un vaisseau Ancien et une mine d’informations.
Mitchell : bon d’accord, rien de nouveau jusque là, et quant au vaisseau, on en à découvert de bien plus beau et plus perfectionnés dans Pégase. Ce qui me fait rappeler qu’ils vont tous atterrir sur la base Alfa avec Atlantis et les autres cités dans quelques heures.
Daniel : oui mais, je ne parle pas du vaisseau en lui-même mais des informations qu’il contient, car saviez-vous que ce vaisseau fut autrefois utilisé par les Anciens pour fuir la galaxie Oris …

Au moment où Daniel allait révéler sa découverte au Général, Carter, Vala et Teal’c entrèrent dans le bureau.

Carter : Mon Général.
Mitchell (d’un air rébarbatif) : Repos Carter.
Teal’c (en s’inclinant légèrement) : Salut à vous Mitchell.
Mitchell : Ah, salut Teal’c, ça faisait longtemps !
Teal’c : en effet, j’étais pris un peu partout dans la galaxie, notre Président Bra’tac ma confier la mission de créer des alliances avec les grandes puissances de notre galaxie.
Mitchell : et maintenant, vous êtes en vacances ?
Teal’c : non, pas exactement, à vrai dire je suis en visite diplomatique. Je viens remettre une invitation au Président Hammond.
Daniel : une invitation ?
Teal’c : effectivement Daniel Jackson, Maître Bra’tac souhaiterai organiser dans 2 mois une conférence sur Dakara réunissant les puissances de cette galaxie. Toutefois, nous espérons y accueillir également les Asgards ainsi que les Furlings.
Mitchell : il va vous en falloir de la nourriture pour nourrir tout ce beau monde ?
Teal’c : en effet, mais ne vous inquiétez pas, nous avons prévu suffisamment de kassa.
Mitchell : non, vous n’allez pas les rendre dépendant de ce maïs de l’espace ?
Vala : mais c’est juste un blague idiote de Jaffa, Mitchell.
Teal’c : en effet Vala. A propos, comment va le Général O'Neill ?
Carter : très bien, il vient d être promu à la Direction de l’US Army.
Teal’c : la Direction de US Army ?
Carter : oui, c’est en quelque sorte lui qui va diriger toutes les armées de notre pays.
Teal’c : ah oui, je comprends mieux, il est devenu le Prima de Hammond !
Carter : oui, c’est une façon de voir les choses, ou tout du moins l’un de ses Primas.
Au fait (en se tournant vers Daniel & Mitchell) vous étiez entrain de parler de quoi tout les deux ?

Mitchell : Jackson vient de refaire la découverte du siècle …
Carter : quoi, encore ? Vous n’en avez pas marre Daniel ?
Daniel : euh, non, bon qu’est ce que je disais, heu, oui, j’ai découvert que …
Mitchell (interrompant Daniel, encore une fois) : allons en salle de briefing, on commence à être à l’étroit ici et je commence à avoir chaud.

 SGC, Salle de Briefing.

Daniel : bon, vous êtes tous bien installés, parce que je ne m’arrête plus maintenant.
Bien, en lisant le journal de bord du Deucalion, vaisseau utilisé par les Anciens pour fuir la Galaxie Ori, pour ceux qui n’étaient pas là, j’ai découvert qu’ils étaient passés par plusieurs galaxies avant de s’arrêter et de s’installer dans la Voie Lactée. Parmi toutes ces galaxies, l’une d’elle a attiré mon attention car, selon le Journal, les Anciens y auraient passé plus de temps : 20 siècles pour être exact.

Mitchell : d’accord, mais je ne vois toujours pas ce que votre découverte a de si extraordinaire à part une connaissance plus grande de leur histoire.
Daniel : attendez, j’ai pas fini, d’après ce que j’ai pu tirer du journal, les Anciens s’y seraient installés pour y étudier les technologies de la race la plus vieille de l’univers. Il se pourrait même que ce sois LA race qui créa tout les êtres vivants et qui détiendraient la clé de la vie et du savoir universel.
Vala (en s’adressant à Daniel) : euh, attendez là, j’ai une question (idiote) pour vous : alors que vous avez eu accès au savoir des anciens et des Oris, comment cela se fait-il que vous n’ayez pas eu connaissance de cette information plus tôt ?
Daniel : je n’en suis pas sûr, mais je crois que les anciens ont délibérément caché des informations à tout ceux qui ont fait l’ascension après eux ainsi qu’aux Oris qui, je présume, n’étaient pas au courant de son existence.
Mitchell : bien, maintenant que vous nous avez fait votre petit exposé, vous voulez quoi exactement ?
Daniel : ce n’est pas difficile à comprendre, il faut monter une nouvelle expédition ?
Mitchell (d’un air ébahi et plutôt surpris) : quoi, vous vous rendez-compte de ce que vous demandez là ? et savez-vous ou elle se trouve cette galaxie ?
Daniel : oui, tout est dans la base de données du vaisseau.
Carter : je peux m’en occupe, si vous êtes d’accord, Mon Général.
Mitchell : oui, pourquoi pas, allez-y Carter, quant à moi je vais appeler le Président et les membres du CSI pour leur en parler.
Carter, dites à Walter de faire préparer un avion pour Teal’c.
Daniel : Mitchell pendant que vous y êtes, vous pouvez appeler O'Neill et lui demander son soutien auprès du CSI.

 3 jours plus tard, 8 heures du matin, couloirs du SGC

Mitchell venait tout juste de sortir de l’ascenseur et se dirigeait vers son bureau.
Il était entrain de réfléchir à ce qu’il pourrait bien commander pour le déjeuner ainsi qu’au film qu’il allait voir ce soir quand tout a coup Vala le fit sursauter.

Vala : bonjour Mitchell, vous allez bien ?
Mitchell : Vala, vous voulez bien arrêter de faire ça ?
Vala : faire quoi ?
Mitchell : arriver quand on ne vous attend pas ?
Vala : moi, ça va, merci. Au fait, comment s’est déroulée la réunion avec le CSI ?
Mitchell : ils acceptent.
Vala : vraiment !!
Mitchell : oui, moi aussi j’ai été étonné, mais il y a 2 conditions ?
Vala : lesquelles ?
Mitchell : d’abord, ils exigent que ce soit le docteur Weir et son équipe qui mènent cette expédition.
Vala : et est ce qu’on pourra les accompagner ?
Mitchell : oui, et c’est la 2ème condition, ils ont aussi exigé que SG1 soit aussi de la partie.
Vala : et vous allez où là ?
Mitchell : je me dirigeais vers mon bureau, pourquoi ?
Vala : rien, c’est juste que j’ai croisé Carter qui vous cherchait et elle avait une chose très important à vous dire.
Mitchell : vous savez où elle est allé ?
Vala : je pense qu’elle est dans son bureau.
Mitchell : bien, allons-y.

 SGC, Bureau du Colonel Samantha Carter

Mitchell : bonjour Sam, vous vouliez me voir ?
Carter : oui, on a un problème. En analysant les données du vaisseau, j’ai découvert que la galaxie en question se trouve à l’opposé de la notre dans l’univers, et même avec nos EPPZ seconde génération, qui sont tout de même 5 fois plus puissant que les premiers, le voyage nous prendra un siècle, résumé, on sera mort avant d’y arriver.

Au même moment, Mc Kay entra dans le bureau.

Mc Kay : pas forcément Sam.
Carter : de quoi parlez-vous Rodney ?
Mc Kay : le voyage, bien sûr, je veux dire que l’on peut y aller, il suffira de nous mettre en stase.
Carter : auriez-vous oublié que seuls les vaisseaux anciens possèdent des caissons de stase, les cités et même les tout nouveau DSC309 n’en sont pas équipés.

Les DSC309 sont les tout derniers vaisseaux de guerres et d’exploration de la Terre.
Comme leurs prédécesseurs ils sont fabriqués en série et il y en a 5 en circulation pour le moment. De la taille d’un vaisseau ruche, ils ont la même forme que les DSC304 plus la tour de control du Prométhée.
Niveau armement le 309 possède deux énormes canons qui font deux fois la taille de celui de l’Orion et sont placés sur les deux hangars latéraux du vaisseau, à cela s’ajoute des canons à ions et plasma pour intercepter les petits vaisseaux. Se rajoute bien évidemment des jumpers et des drones seconde génération, plus petits mais tout aussi destructeur.

Mc Kay : mais vous oubliez que nous maîtrisons cette technologie et les installer sur les vaisseaux et les cités n’est pas du domaine de l’impossible.
Mitchell : très bien, Mc Kay, vous vous occupez de ce problème, quand à moi, je vais aller prendre mon petit déjeuner.

 Dakara, 2 mois plus tard

La conférence organisée par Bra’tac et qui avait pour but une rencontre de toutes les grandes puissances connues de la Galaxie ainsi que la création d’accords commerciaux et de partage de savoir et de technologies, venait tout juste de prendre fin. Le Président Hammond, accompagné de son escorte se dirigeait vers la porte pour rejoindre la Terre quand un jaffa l’interpella.

Jaffa : Président Hammond, le Président Bra’tac désire s’entretenir avec vous et vous demande de bien vouloir le rejoindre dans son office.

=> Dakara, Office de Bra’tac

Hammond : bonjour Bra’tac, vous vouliez me voir ?
Bra’tac : Hammond, nous n’avons pas eu le temps de nous voir durant toute la conférence et j’aurai souhaité aborder un point avec vous. J’ai entendu dire que vous montiez une nouvelle expédition.
Hammond (avec un petit sourire) : je vois que vous êtes bien renseigné. Voyez-vous, durant cette conférence, j’ai eu un nombre très important de demandes de participation à cette expédition par tous les représentants des peuples présents. Il faut savoir que nous envisagions déjà de faire participer plusieurs races mais sachez que le choix sera très serré et que tout le monde ne pourra venir. Et n’oublions pas que, même si l’expédition revient un jour, plusieurs siècles se seront déroulés dans notre galaxie.
Vous voulez vous y joindre ?
Bra’tac : oh non mon vieil ami, je suis un guerrier qui arrive à sa fin, en revanche je voulais vous demander une faveur pour Teal'c et Rya'c. Depuis la fin de la guerre contre les Oris …. Enfin, ce sont des guerriers pas des diplomates et maintenant que la Galaxie est réorganisée, plus grand-chose ne les retiens ici.
Hammond : bien entendu, vous savez qu’ils seront toujours les bienvenus.

=> 5 jours plus tard, SGC, Salle de Contrôle

Mitchell : Walter, contactez les Asgards, les Furlings ainsi que les Nox et informez leur que leur requête a été accepté. L’Alliance des 4 races est de retour ! The show must go on !
Walter : oui Mon Général.

=> 6 mois plus tard, Heure H-10, Base Alpha, Cité d’Atlantis

Le Docteur Elizabeth Weir venait tout juste d’arriver sur la base Alfa pour les dernières vérifications avant le départ qui était prévu en fin d après-midi.

Weir (à Mc Kay & Carter) : je suppose que tout est prêt ?
Carter : oui Madame, tous est opérationnel, les caissons de stase et les EPPZ ont été installés sur les cités ainsi que sur chaque vaisseau et le programme de pilotage automatique vient tout juste d’être installé et fonctionne à 100%.
Weir : et nos invités, sont ils arrivés ?
Carter : les Nox et les Furlings sont là depuis un bon moment, mais nous attendons encore les Asgards, nous avons reçu un message de Thor, ils devraient arriver d’ici une demi heure.

=> 17 Heures, Base Alpha, Cité d’Atlantis, quelques minutes avant le départ

Plus aucun vaisseau, aucun bruit de Jumpers ne passait au dessus des forêts, aucun signe de quelque colonisation humaine n’était perceptible. La planète était comme retournée à son état sauvage. On pouvait entendre les bruits des animaux et de quelques cascades qui se trouvaient non loin de la base.
Si ce n’est que, autour de la planète, se tenaient quatre cités comme celle d’Atlantis, dix vaisseaux de classe Aurore, cinq DSC309 et enfin deux vaisseaux Asgards.
A l’intérieur des vaisseaux l’atmosphère était lourde, personne ne parlait. Tous étaient inquiets et bien entendu personne ne savait ce qui les attendrait à la fin de ce voyage. Tous étaient au courant et avaient accepté qu’ils ne reviennent peut-être jamais.
Pour les anciens d’Atlantis, ils s’y étaient déjà préparés. Pour eux, Pégase aurait déjà dû être un voyage sans retour. Quand aux autres, ils commençaient vraiment à s’en rendre compte …
Dans l’un des vaisseaux, le colonel Sheppard se tenait devant son caisson de stase n’attendant plus que la rentrée en hyperespace pour s’y installer. Il était comme tous les autres, il se posait des questions sur ce qu’il pourrait bien trouver dans cette galaxie tout en se remémorant le départ pour Pégase. Il pensa à la Terre, oui la Terre, cette belle planète bleue qu’il ne reverra peut-être plus. Un siècle se dit-il, beaucoup de chose auront changé en un siècle.
Quand, tout à coup, il entendit la voie d’Elisabeth sur le haut parleur juste au dessus de sa tête.
C’était l’annonce, celle qui allait précéder leur départ.

« Bonjour, c’est le Docteur Elisabeth Weir.
Pour ceux qui n’ont pas la chance de me connaître, j’ai dirigé la dernière expédition pour Atlantis et maintenant je dirige celle-ci.
Vous avez tous été choisis pour être les dignes représentants de cette galaxie.
Chacun dans vos domaines respectifs, toutes races confondues.
Je suis fière de vous avoir au sein de cette expédition
et sachez que je ferais tout pour que notre galaxie soit au mieux représentée tout au long de ce voyage.
Vous le savez, ce voyage sera certainement sans retour.
Je vous souhaite à tous Bonne Chance et un Bon Voyage.
On se retrouve dans un siècle.
Que Dieu vous garde. »

Les cités entrèrent en hyperespace suivie des vaisseaux anciens, des DSC309 et enfin des deux vaisseaux Asgards. Le voyage pouvait maintenant commencer.

=> 1 Siècle plus tard, Année Terrienne 2112

Un siècle s’est écoulé depuis le départ de l’expédition et cela faisait maintenant quelques heures que les membres de l’expédition commençaient à se réveiller et à sortir de leurs caissons de stases.
Dans la tour de contrôle d’Atlantis, tout les principaux membres de expédition étaient la : le Docteur Elizabeth Weir, le Colonel Sheppard, a qui on confia le commandement militaire après son excellent travail sur Atlantis, le Colonel Samantha Carter et le Docteur Rodney Mc Kay, en tant que responsables scientifiques, bien évidemment celui sans qui cette expédition n’aurait jamais eu lieu, le Docteur Daniel Jackson et sans oublier, Teal’c.

=> Tour de contrôle d’Atlantis, quelques minutes avant la sortie de l’hyperespace

Walter (s’adressant au Docteur Weir) : Madame nous allons sortir de l’hyperespace dans quelque instant.
Weir : merci Walter.
Daniel : eh bien voila nous y sommes !
Walter : sortie de l’hyperespace, nous passons en espace conventionnel.
Docteur Weir, les scanners n’ont repairé aucune planète viable à des milliers de kilomètres. Il n’y a qu’une étoile et une géante gazeuse dans ce système.
Weir : avez-vous scanné la géante gazeuse ?
Walter : oui Madame, il n y rien.
Weir : serait-il possible que … les coordonnes du vaisseau ancien soit fausses, que nous nous soyons trompés dans nos calculs ou encore que le pilote automatique se soit trompé ??
Carter : non, je viens de vérifier les calculs et nous sommes au bon endroit.
Weir : alors pourquoi n’y a-t-il rien ?
Carter : Daniel ? Avez-vous une explication ?
Daniel : attendez, je réfléchis …
Mc Kay : attendez, je crois que j’ai quelque chose !
Sheppard : annoncez-nous une bonne nouvelle Rodney, pour l’amour de ciel ! Dites nous que l’on ne s’est pas trompé.
Mc Kay : je détecte une fluctuation d’énergie extrêmement faible en recalibrant nos scanners, fluctuation qui se trouve à 2 485,48 miles de notre position droit devant nous.
Weir : une explication, Rodney ?
Mc Kay : pas encore, on a qu’à aller voir !
Weir : Walter dites à l’un des 309 d’envoyer une sonde de reconnaissance.
Walter : bien Madame.

La sonde sortit de l’un des hangars d’un 309, c’était une sphère de 4 mètres de diamètre de couleur grise avec deux grandes antennes et une parabole entre les deux. Elle se dirigea a grande vitesse vers son objective.
Mais arrivée à 310,69 miles de l’objectif, elle heurta un obstacle inconnu et explosa en milliers de fragments.

Weir : Rodney ? Une explication ? Pourquoi la sonde a-t-elle disparue de nos écrans ?
Carter : elle a rencontré un obstacle et à exploser, certainement un champ de force.
Weir : pourquoi n’avons-nous rien détecté ?
Carter : il y a certainement aussi un bouclier occulteur.
Weir : attendez, je croyais qu’il était impossible de les faire fonctionner simultanément ?
Carter : ni nous ni les anciens n’y sommes arrivés. Cela ne veut pas dire que c’est impossible.
Weir : vous pouvez le désactiver ? On ne va pas rester la éternellement.
Carter & Mc Kay (ensemble) : on est déjà dessus …
Walter : Madame nous recevons un message de la position où le docteur Mc Kay a détecté la fluctuation d’énergie.
Weir : audio ou vidéo ?
Walter : vidéo, Madame.
Weir : passez-le sur l’écran central.
Walter : bien Madame. Ce sont des symboles.
Daniel : je connais cette écriture.
Sheppard : traduction ?
Daniel : Attendez, je traduis … « La vie est la clé ».
Sheppard : pardon ?
Daniel : oui, la signification : « La vie est la clef ».
Sheppard : la clé de quoi ?
Carter : peut-être pour désactiver le bouclier.
Mc Kay : éééééééééééééééééh mais oui, pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt, rappelez-vous, nous cherchons la planète de la civilisation qui est censé avoir créée toutes les races de l’univers, non …
Sheppard : ou voulez vous en venir Rodney ?
Mc Kay : eh bien, avant de partir, Beckett m’avait fait par de l’une de ces découvertes. En analysant l’ADN des différentes races, il a découvert que chaque ADN avait en commun un code identique, et il se pourrai, puisque l’on parle d’UNE race qui créa tout les êtres vivants, que nous possédions tous ce même code. LA clef doit certainement être là.
Weir : et vous avez ce code ?
Carter : oui, on est dessus.
Sheppard : comme on dit, qui ne tente rien n’a rien.
Weir : Walter, transmettez l’information …
Carter : regardez, le bouclier est entrain de disparaître.
Le spectacle, dont étaient témoins les membres de l’expédition, était unique en son genre : voir apparaître une planète toute entière dans l’obscurité de l’espace. Mais ce qui était encore plus fascinant, pour le Docteur Jackson du moins, c’est la façon dans elle apparaissait : le bouclier occultant commença par se désactiver au pôle nord de la planète et descendît progressivement jusqu’à atteindre le pôle sud, cela faisait penser à un lever de soleil Terrien.
Il commença à contempler cette magnifique planète qui ressemblait, à première vue, à la Terre à quelques détails près mais ceci comme les milliers de mondes qu’il avait déjà visité. Un détail de son importance néanmoins : cette planète était trois fois plus imposante que la Terre.
Quand tout à coup une petite secousse le sortit de ses songes et le fit tomber par terre. Les moteurs subliminiques qui venaient de démarrer, signe qu’Atlantis et son convoi se dirigeait vers la planète.

Arrivée en orbite, le convoi se prépara à rentrer dans l’atmosphère, quand un nouveau message leur parvint en provenance de la surface.

Walter : Madame, on reçoit un autre message mais celui-ci est en audio.
Weir : bien, passez-le sur haut-parleur.
Message : « Marlache kerk aimalouk fusairmour »
Daniel : c’est un message de bienvenue, ça dit : « Bienvenue au berceau de la vie, vous, fils des créateurs ».
Weir : la planète est peut-être habitée ?
Walter : un autre message.
Weir (faisant signe à Walter de le passer sur haut-parleur).
Message : « Marlache kerk aimalouk fusairmour »
Daniel : il est en boucle, c’est un message de bienvenue préenregistré.

Les cités et les vaisseaux entrèrent dans l’atmosphère de la planète, tout le monde se précipita au balcon de la tour pour voir à quoi ressemblait la planète.
Le paysage qui était devant eux était indescriptible tellement c’était magnifique. Personne n’avait jamais rien contemplé de semblable, même les cités des anciens n’étaient rien en comparaison de ce qu’il avait sous les yeux : des milliers d’arcs-en-ciel qui se croisaient et se perdaient dans l’horizon.
Se dressaient ensuite d’imposantes plateformes d’atterrissage comme suspendues dans le ciel. De forme rectangulaire, elles avaient chacune la taille d’une petite ville de province terrienne.
De chaque côté des plateformes se dressaient de gigantesques et apparemment puissants canons, probablement pour la défense des vaisseaux à quai ou peut-être une des lignes de défense de la planète.
On pouvait également apercevoir des sortes de tunnels reliant les différentes plateformes entre elle agissant comme un réseau routiers.
Sous les plateformes, légèrement au-dessus de la terre ferme, se dressaient de majestueuses pyramides faisant environ 50 fois la taille de celle de Gizeh. Elles étaient construites dans le cristal le plus pur et le plus transparent qu’ils n’aient jamais vu a ce jour. A l’intérieure de ces pyramides se dressaient des dizaines de

gratte-ciel plus impressionnants les uns que les autres, ce qui pouvait laisser supposer que ces pyramides étaient certainement des cités volantes un peu comme celle où ils étaient actuellement.
Entre chacune des trois pyramides, on pouvait distinguer de grands jardins suspendus remplis d’une composition de toutes sortes de plantes, de fleurs et d’arbres : de véritables paradis volants ou peut-être tout simplement de sacrées réserves naturelles.
A la surface de la planète le spectacle fût tout aussi grandiose.
On pouvait voir une métropole qui s’étendait à perte de vue et, d’après les capteurs d’Atlantis elle recouvrait tout le continent. D’après les premiers rapports des 309 qui était parti survoler la planète, plus ceux d’Atlantis, la planète se composait de deux continent de taille quasi équivalente. Le second, ressemblant au premier, comprenait également une métropole sur toute sa surface. Le reste de la planète n’était qu’eau à perte de vue, soit plus de 80% de la planète.
Sur Atlantis, qui venait tout juste de se poser sur l’une des plateformes, le Docteur Jackson contemplait toujours la métropole. Il était fasciné par l’architecture et les couleurs utilisées. Il se disait que le peuple qui créa ce paysage devait être extrêmement avancée.
Puis son regard fût attiré par une structure différente des autres, de part sa taille d’une part, mais également de part sa forme. Elle se composait de six formes géométriques bien distinctes : la base de l’édifice était de trois énormes sphères sur lesquelles étaient posées une sorte de trapèze isocèle. Sur le dessus un très long cylindre et enfin tout au sommet de cette édifice était accroché un objet représentant une soucoupe.
A première vue Daniel sembla pensé à une sorte de symbole pour cette civilisation, comme la Statue de la Liberté aux Etats-Unis ou la Tour Eiffel en France.
A force d’observation, son envie de découvrir et de connaître cette civilisation, ainsi que sa curiosité devenaient de plus en plus forte.
Il sorti du balcon et commença instinctivement à se diriger vers les hangars à jumpers lorsque, tout en le sortant de sa frénétique avancée, le sergent chef Walter Harriman l’appela pour rejoindre les autre en salle de briefing.

 Cité d’Atlantis, Salle de Briefing

Lorsque la porte s’ouvrit, tout le monde était déjà installé autour de la table.
Etaient présents, bien entendu, tout les responsables de l’expédition mais également tout les commandants de vaisseaux ainsi qu’un représentant de chaque race.
Daniel s’excusa de son retard, prit une chaise et s’assit près de Carter qui était entrain de faire son « exposé ».

Carter : bien, comme je vous le disais, on à deux continents qui font tout deux la taille du continent Africain sur Terre.
Il nous faudra déjà essayer de prendre contact avec le ou les différentes civilisations présentes afin de nous présenter et nous familiariser un peu plus avec ce monde. Etant donné ce que nous apercevons d’ici, cette planète n’a pas l’air d’être abandonnée. Il semblerai que nous soyons sur un monde où différents peuples se retrouvent. Avoir accès à une base de données, quel qu’elle soit, serait le summum. Inutile de nous aventurer en dehors de la planète alors que nous avons énormément à apprendre et à découvrir déjà ici. Docteur Weir.
Weir : merci Colonel. Bien, je crois que beaucoup a déjà été dit. Donc, nous allons former des équipes de maximum trois personnes en tout cas en ce qui concerne les responsables de l’expédition.
Chaque commandant aura une partie de la planète à explorer et se chargera de former ces propres équipes de reconnaissances. Je vous demande juste que les équipes soient mixtes et représentatifs de l’expédition.
Toute découverte importante devra nous être reportée dans les plus brefs délais. Un briefing sera organisé toutes les 24 heures afin de faire le point sur les priorités.
Bien, en ce qui nous concerne, première équipe : Colonel Carter, Colonel Sheppard et Vala. Docteur Jackson, Rodney et Teal’c formerez la seconde équipe, et quand à moi, je superviserai les opérations depuis Atlantis.
Bon courage à tous.

La porte s’ouvrit et les deux équipes se dirigèrent vert les jumpers pendant que le docteur Weir se retira vers son bureau. Quand ils arrivèrent au hangar, il ne restait plus que deux jumpers, les autres étaient déjà partis en exploration.
La porte du hangar s’ouvrit et les deux jumpers prirent leur envole.
Daniel, qui pilotait le premier jumper voulait d’abord voir la structure qui l’avait tant fascinée à leur arrivée. Il prit donc la direction du monument alors que l’équipe de Carter s’en alla dans la direction opposée.
Arrivée devant le monument, il posa le jumper en douceur, comme à son habitude, puis ouvrit la porte. Teal’c sortit le premier, suivi de Daniel et enfin de Rodney qui commença d’abord par effectuer un scanner à la recherche d’une source d’énergie. Pendant que Mc Kay « jouait » avec son scanner, Daniel avait déjà commencé a étudié le monument. Il découvrit des inscriptions sur l’une des sphères.
Teal’c, qui était déjà à quelque centaine de mètres, explorait passivement les environs.
Quand Daniel eu fini sa traduction il se dirigea vers Rodney qui était toujours entrain de calibrer son scanner.

Daniel : j’ai fini de traduire le texte.
Mc Kay : eh bé, vous avez fait vite. De quoi est-ce que ça parle ?
Daniel : comme je le pensais, c’est un monument historique en l’honneur des soldats qu’ils ont perdu pendant une guerre, il faudrait que nous en sachions un peu plus, cela pourrai nous apprendre beaucoup sur leur civilisation. Et de votre côté, vous avez découvert quelque chose ?
Mc Kay : non, pas encore.
Daniel : au fait, où est Teal’c ?
Mc Kay : je ne sais pas, la dernier fois que je l’ai vu il était à une centaine de mètre de nous, éééééééééééééééh je crois que j’ai quelque chose. La fluctuation que j’ai détectée à notre sortie de l’hyperespace, je la détecte à nouveau ici et à dire les données du scan, on n’en est pas loin.

Rodney pianota encore quelque secondes son scanner et se tourna à droite pour indiquer à Daniel un gigantesque Dôme qui se trouvait à quelques kilomètres de leur position. A ce moment, Teal’c sortit d’une ruelle et fit un regard signifiant « rien à signaler ». Ils prirent le jumper en direction du Dôme.

Pendant ce temps l’équipe de Carter venait tout juste d’atterrir. Ils avaient repairé depuis le ciel une structure qui leur était familière. En effet, elle ressemblait trait pour trait au Pentagone sur Terre.
Ils avaient déjà fait trois fois le tour du complexe sans trouver le moindre accès et allaient se résigner à quitter le secteur lorsque Vala découvrit une console.
Elle appela Carter qui compris de suite qu’il s’agissait certainement d’une console de téléportation, elle commença à étudier l’appareil lorsqu’elle disparut devant les yeux ébahis de Vala.

Deuxième chapitre

Sam se retrouve dans un endroit sombre et inspecte les alentours à l’aide de sa lampe. Elle se trouve dans une salle apparemment vide où seul est placée, en son centre, la console de téléportation.
De cette pièce, une seule et unique issue lui est donnée, issue débouchant sur une autre salle, apparemment plus importante, mais aussi sombre. Malgré sa lampe, elle reste plongée dans un noir quelque peu stressant, ce qui lui fait penser que la salle doit être imposante. Carter tente de se diriger malgré l’obscurité et vient de parcourir une cinquantaine de mètres quand elle aperçoit une série de consoles, elle peut en distinguer environ une vingtaine. Elle commence par examiner la plus proche afin d’essayer de l’activer et d’en comprendre son utilité.
Elle procède ainsi sur une dizaine d’entre elles et se résigne à retourner vers la console de téléportation lorsqu’elle jette un dernier coup d’œil dans la salle et aperçoit dans un coin une console différente des autres. Une console qui ne semble pas à sa place dans ce décor si futuriste. Carter s’approche de l’appareil et comprend que cette console n’est pas le fruit des Créateurs mais celui des Anciens. En effet, l’appareil est semblable à ce qu’elle avait pu rencontrer auparavant dans la Voie Lactée comme sur Dakara ou Camelot.
Elle entame alors de connecter son ordinateur à la console, essayant de traduire ce qui lui apparaît à l’écran malgré des connaissances en Ancien en somme toute limitées. Mis en défaut, elle comprend alors qu’il doit s’agir d’un dérivé de la langue des Anciens et que seule une personne pourrait l’aider.
Elle entreprend donc de retourner à la surface afin de faire son rapport et surtout de rassurer ses équipiers. Elle tente quand même une communication avec sa radio de l’intérieur mais personne ne répond, ce qui ne la surprend pas car ces endroits sont souvent protégés contre toutes les ondes y compris radios.
Sam regagne alors la console de teleportation pour rejoindre Sheppard et Vala. Elle se met en position et effectue les mêmes gestes qu’elle avait fait à la surface et réapparaît devant une Vala en pleine réflexion devant la console, Sheppard et quelques scientifiques appelés en renforts suite à sa « disparition ».

Sheppard (d’un air surpris et inquiet) : Colonel, où étiez vous passé ? On s’est inquiété ici, cela fait une heure que vous avez disparue.
Carter : excusez-moi, Colonel Sheppard, je ne pouvais malheureusement pas communiquer avec vous et je voulais effectuer une reconnaissance avant de remonter.
Sheppard : vous êtes tout de même l’une des responsables scientifiques de cette expédition. Alors, qu’avez-vous découvert ?
Carter : j’ai été teleporté dans une salle de contrôle d’où j’ai pu distinguer une vingtaine de consoles dont une de fabrication Ancienne. Nous allons donc avoir besoin de l’aide de Daniel pour les traductions. Malgré mon ordinateur, je n’y suis pas parvenue.
Sheppard : bien, je m’occupe de le contacter. Pendant ce temps, pouvez-vous conduire les autres scientifiques présents dans cette salle, je vais demander au Docteur Weir de nous envoyer des équipes supplémentaires.

Carter explique aux scientifiques et à Vala le fonctionnement du téléporteur. Ils rejoignent alors la salle par groupe de trois, pendant que Sheppard prend contact d’abord avec Elizabeth afin de lui faire un premier rapport et lui demander d’envoyer des scientifiques supplémentaires, puis appelle Daniel et lui explique la situation en lui demandant de les rejoindre.
Une quinzaine de minutes plus tard le jumper de Daniel atterrit près du bâtiment en question où une dizaine de jumpers sont au sol. Les équipes étaient déjà entrain d’étudier la récente découverte de Carter.

Daniel (à un militaire) : le colonel Sheppard nous a demandé de le rejoindre, savez vous où il se trouve ?
Militaire : oui Docteur Jackson, il a rejoint les autres à l’intérieur du bâtiment. Venez, je vais vous y conduire.

Ils arrivent à leur tour dans la petite salle qui était toujours aussi sombre, contournent la console et se dirigent droit devant pour accéder à l’autre pièce où les différentes équipes présentes s’affairent déjà au travail.
Il est accueilli par Sam et Sheppard qui le dirigent directement vers la console des Anciens.
Il commence donc à explorer la base de données alors que McKay avait déjà rejoint les autres scientifiques présents.
Quand à Vala et Teal’c, ils se mettent à la recherche d’autres pièces à explorer car il savent que faire fonctionner ces consoles peut prendre des heures et n’ayant à priori pas d’autres pièces à explorer pour le moment, ils n’ont plus qu’à attendre tout en observant l’agitation de curiosité qui défilait devant leur yeux.

Cela fait maintenant une heure que les scientifiques travaillent sur les consoles sans rien en tirer lorsque :

Daniel (en pleine réflexion) : c’est très intéressant.
Carter : vous avez trouvé quelque chose Daniel ?
Daniel : oui, cette technologie et très surprenante. D’après ce que j’ai pu traduire jusque là, en fait, il faut un genre de code pour faire fonctionner ces consoles. C’est un peu comme le gène ATA sauf qu’ici, c’est un critère d’évolution qui est pris en compte, en l’occurrence celui du développement du cerveau au niveau de la concentration qui doit être à plus de 50%.
Néanmoins, le fait d’avoir fait l’ascension m’a donnée des capacités enfouies au fond de mon subconscient qui pourraient me servir de code d’accès à la base.

Daniel ferme alors les yeux et se concentre sur la réactivation des consoles.
La salle commence à s’illuminer d’une lumière surgie de nul par comme par magie et dévoile une immense salle hexagonal de la taille d’un terrain de football.
Intriguée, Carter examine rapidement des yeux la pièce afin de trouver la provenance de toute cette lumière mais aucune ampoule ou assimilée n’était visible.
A la suite, les consoles commencent à s’activer une à une sous les yeux émerveillés des scientifiques qui, en voyant toutes ces machines se réactiver, ne savent plus par où commencer.
On peut entendre des cris de joie comme « j’ai réussi, j’ai réactivé la console », cris de courtes durée lorsqu’ils comprennent qu’ils n’y sont pour rien.
La lumière et les consoles rétablies, toutes les équipes sont ébahies de la taille et de la beauté de la pièce. En effet, apparaissent sur les murs et plafonds des motifs, symboles et autres hiéroglyphes qui leurs faudra résoudre plus tard.
Toujours à la recherche de la provenance de la lumière, plusieurs scientifiques continuent à explorer la pièce. C’est Rodney qui, en examinant l’un des murs, découvre qu’il se compose de milliards de nanites produisant une source de luminosité.
Après tout ses évènements, les différentes équipes reprennent le travail sur les consoles. Elles sont faite de cristal et maintenant réactivées, défilent sur leurs écrans holographiques verts des inscriptions dans une langue inconnu de tous.
Au centre de la salle, aucune console, juste un projecteur holographique qui affiche la carte de la galaxie en trois dimensions.
Les scientifiques essayent sans relâche de comprendre le fonctionnement de ces appareils alors opérationnels mais les résultats ne sont guères encourageants.
Quand à Daniel, il est toujours sur la base de donnée. Après trois heures de lecture passionnante il se dirige vers le centre de la pièce et demande alors l’attention de tous.

Daniel : bon, bien entendu, je n’ai pas tout fini, mais d’après ce que j’ai pu comprendre, il est pour le moment inutile de vous acharner à faire fonctionner ces consoles car malgré toutes vos compétences (et il y avait dans la salle des scientifiques de toutes races), les critères d’accès sont bien trop élevés pour que qui que ce soit puisse les faire fonctionner. Sachez que je n’ai simplement réussi qu’à les faire redémarrées.
Cependant, le Colonel Carter ainsi que le Docteur McKay sont actuellement à la recherche d’une passerelle d’accès que nous pourrions tous utiliser pour continuer notre travail.
Bien, maintenant, un peu d’histoire : tout d’abord cette planète à comme dénomination « Le Berceau de la Vie ». Le peuple qui y habitait se faisait appelé « Les Créateurs ». Comme nous le soupçonnions, ils seraient à l’origine de la vie dans tout l’univers. Etrangement, leurs origines, qui me restent encore inconnues, remonteraient avant même la création connue de notre univers. Je pense que beaucoup de théories risquent de tomber par terre (des rires s’entendaient dans toute la salle. En effet, depuis la découverte de la porte des étoiles, tous les scientifiques qui avaient participer de près ou de loin au programme avaient, pour beaucoup, vus leur théories s’effondrer, ce qui détendis pour un instant l’atmosphère).
Ensuite, sachez que « Le Berceau de la Vie », n’a en fait que la forme d’une planète. Il s’agirait en fait d’un vaisseau spatial équipé de propulseur subliminaux et de l’hyperespace. Il dispose d’un bouclier occultant, comme nous avons pu le constater à notre arrivée, et son armement peut être d’une force dévastatrice : il pourrai détruire plusieurs planètes d’un seul tire (des yeux ébahis et plein d’attention ne quittaient pas Daniel du regard).
Une dernière chose, ce vaisseau serait aussi le départ d’un réseau de porte des étoiles. Sachant que ce ne serait pas les Anciens qui l’aurait installée puisque selon les premières données, ils ne connaissaient pas encore cette technologie à leur arrivée ici.
Sheppard : vous voulez dire que les Anciens ne sont pas à l’origine du système des portes.
Daniel : exactement.
Carter : cela signifierai que les premières portes que les Anciens ont crée sont celles de la Voie Lactée et que la toute première porte est celle que nous avons trouvé en antarctique.
Daniel : tout à fait, Sam.
Un scientifique : alors comment expliquer que les oris possède cette technologie ?
Daniel : ils ne la possédait pas jusque là, les Oris n’on eu accès a cette technologie que par l’ascension.
Carter : donc nous pourrions supposer que les portes des Créateurs sont bien plus avancées ?
Daniel : en fait, je n’ai pas encore beaucoup de détails dessus, mais j’ai quand même découvert qu’elles avaient la capacité de rétrécir les éléments avant la dématérialisation et bien entendu de les rematérialisés à taille réelle à l’arrivée. Hypothétiquement, il serait donc possible de faire passer un 309 par la porte.
Sheppard : génial, on pourrai donc imaginer envoyer toute une flotte à l’autre bout de la galaxie en un fraction de seconde.
Daniel : exactement, et autre chose, j’ai oublié de vous dire que la console des Anciens nous donnera accès a certaines fonctions de la planète tel que le bouclier, les scanners long porté, la propulsion subliminal ainsi que le système de communications, au cas où vous voudriez contacter le Docteur Weir, Sheppard
Nous allons aussi modifier le traducteur pour l’adapter à ce dérivé de la langue des Anciens.

Daniel quitte le centre de la salle et se faufile avec le colonel Sheppard entre tous les scientifiques encore bouches bé devant ces découvertes.
Tous savent que, malgré ce qu’ils viennent d’entendre, ils sont certainement encore à des années lumières d’imaginer ce qu’ils peuvent encore trouver. Après une planète vaisseau spatial et des portes des étoiles plus évoluées que ce qu’ils connaissaient, ils se disent que s’ils arrivent à ramener cette planète dans la voie lactée et à comprendre cette technologie, la Terre et ses alliers deviendraient alors réellement plus puissant. Rien que d’ y penser, ils avaient tous des frissons de montée d’adrénaline mais également de peur et d’incertitude.
Lorsqu’ils arrivent devant la console des Anciens, Daniel prend l’ordinateur de Carter et entreprend d’établir une communication radio avec Atlantis.

Daniel : voila la communication est établie, vous pouvez parler Sheppard.
Sheppard : Atlantis, ici Sheppard, vous me recevez
Weir : oui, John, qu’y a-t-il, tous va bien j’espère ?
Sheppard : plus que bien Elizabeth, nous venons de découvrir ce qui parait être un centre de contrôle. Même les scientifiques n’arrivent pas à en croire leurs yeux.
Weir : j’arrive de suite, pouvez-vous m’envoyer un jumper.
Sheppard : je m’en occupe, il sera là dans 5 minutes.
Weir : à tout de suite, alors.

Quelques minutes plus tard Weir arrive dans la petite salle de téléportation accueillie par un Sheppard enthousiaste de leurs premières découvertes.

Sheppard : bienvenue au Pentagone, Elizabeth.
Weir : le Pentagone ?
Sheppard : original, non, je me suis inspiré de la forme du bâtiment. Je n’en ai jamais vu de pareil ailleurs (dit-il avec un sourire discret).
Weir : vous vous êtes surpassé, John.

Il emmène alors Weir visiter le complexe tout en lui racontant ce que le Docteur Jackson avait pu tiré de la base de données des anciens, sachant qu’ils n’ont pas encore eu accès aux données des Créateurs de part la complexité du système d’accès mais qu’un programme était en cours de création.
A son tour, elle resta surprise et scotché sur place quelques minutes.


Weir : donc, cette planète serait en fait un vaisseau. Mais savons nous quelle énergie il utilise, car cela doit en nécessité une quantité phénoménale.
Sheppard : non. Allons voir Daniel et Sam, pour leur poser la question.

Ils se dirigent donc vers les 2 chercheurs qui était toujours sur l’ordinateur de Sam entrain de mettre au point le programme de traduction.

Weir : alors Jackson vous êtes encore notre héros du jour ?
Daniel : que voulez-vous, attendez, on a presque fini le programme.
Weir : John m’a raconté vos découvertes impressionnantes, mais il y une chose que vous n’avez pas mentionné ?
Daniel : il y a encore tellement de chose à dire, Elizabeth, mais que voulez-vous savoir ?
Weir : la source d’énergie qu’utilise ce vaisseau, pour des fonctions comme l’hyperespace, par exemple ?
Carter : oui c’est vrai, nous n’avons pas encore aborder le sujet, peut-être y a-t-il un rapport avec le projet « Arturus » des Anciens ou quelque chose de plus puissant.
Daniel : en fait, je n’en ai pas parler car je n’ai découvert que peu de choses à ce sujet. Ce que je peux vous dire pour l’instant, c’est que tout ce que contrôle la console des Anciens, comme le bouclier, est alimenté par cinq EPPZ, en l’occurrence, presque vide. Quand à la source d’énergie principale, je n’ai, pour le moment, aucune information.

Weir et Sheppard quittent Daniel et Sam afin de finir la visite des lieux.
Après quatre heures de travail, le programme est enfin terminé et distribué à tous les scientifiques qui ne perdent pas un instant pour se remettre au travail.
Daniel et McKay décident de reprendre l’exploration de la ville, ils sortent du Pentagone et reprennent leur jumper en direction du dôme qu’ils voulaient explorer avant qu’ils soient appelés par Sheppard.

Un silence fait office de bruit de fonds dans le jumper lorsqu’ils arrivent près du dôme. Ils font le tour de ce dernier en cherchant un accès à l’édifice.
D’une structure de verre, ils peuvent distinguer de l’extérieur que le dôme se compose à l’intérieur de deux salles séparées par un couloir.
Ils posent le jumper à côté de ce qui peut être une console de téléportation car identique à celle trouvée devant le pentagone.
Daniel pose sa main sur la console, sous les yeux intrigués de McKay qui comprit que l’archéologue essayait de faire ce qu’il avait réussi à faire dans la salle de contrôle, c'est-à-dire, s’interconnecter avec la console. Ce qu’il réussit, puisqu’un fragment de seconde plus tard, ils se retrouvent tout les deux à l’intérieur du dôme. Pour changer, la salle où ils ont atterri est quasiment vide puisqu’elle ne comprend que la console de téléportation ainsi qu’une autre console près d’un des murs vitrés.
Daniel la réactive et commence à traduire la base de donnée pendant que McKay sort son scanner et commence à rechercher la provenance de la fluctuation d énergie qui les ont menés vers ce dôme.
Le scanner lui indique une porte qui débouche sur un petit couloir puis sur une autre salle qui est toute aussi vide que la précédente. Le signal se fait de plus en plus puissant à mesure que McKay se rapproche du centre de la salle où se trouve une table en bois sur laquelle est posé une boite en or massif ornée de diamants et de saphirs, sur le couvercle, des symboles gravés retiennent alors son attention.
McKay sentit alors comme un frisson lui traverser le corps et se sentit comme envoûté. D’un coup et sans se soucier de quoi que ce soit, il ouvre la boite et découvre à l’intérieure un cristal rouge de la forme d’un triangle isocèle. Il prend alors le cristal et retourne vers Daniel qui à, quant à lui, bien progressé dans la base de données.

(McKay arrivant vers Daniel)
Daniel (d’un air soucieux) : où avez-vous trouvez ça ?
McKay : …
Daniel : oh non ! Qu’est ce que vous avez fait ! Rodney ?
Mais Rodney ne réagit pas !
Daniel : vous venez d’ouvrir la boîte de pandore McKay.

D’un coup, McKay lâche alors le cristal qui se brise en mille morceaux qui s’éparpillent dans toute la pièce.
Il se réveille d’un sursaut sans comprendre ce qui vient de se passer.
En quelques secondes, des milliers de petites boules lumineuses commencent à sortir des morceaux de cristal et à se rassembler au dessus des deux hommes formant une gigantesque boule de feu. Cette dernière fonce vers le plafond du dôme et disparaît dans le ciel.
Les milliers de morceaux de verre du dôme retombent sur les deux hommes en leur infligeant de multiples blessures aux bras et au visage.

Le troisième chapitre

La boule de feu sort alors de l’atmosphère de la planète, franchie la stratosphère et continue sa progression dans l’espace en accélérant.
Déjà guéri de ces blessures, Daniel va s’occuper de Rodney. Il pose sa main sur son torse, se concentre et guéri ses blessures, même les plus graves. Le scientifique reprend alors connaissance sans réellement comprendre ce qui venait de se passer.
Daniel explique alors à Rodney la situation passée et ce qu’il venait de découvrir dans la base de donnée située dans l’autre pièce. Mais étant encore dans les « nuages », il ne comprenait pas tout ce qu’il disait.
Comme dans un élan commun, ils décident de prévenir Weir au plus vite de ces nouvelles données et du danger auquel ils pourraient être confrontés dans un futur très proche.
Ils rejoignent la pièce où se situe la console de téléportation et regagnent le Pentagone afin d’y retrouver le reste des équipes, entre autre Sheppard, Vala et Teal’c.

Daniel (dans son écouteur) : Docteur Weir ?
Weir (depuis la tour d’Atlantis) : Jackson, où est-ce que vous étiez, nous venons de détecter un objet volant non identifié provenant de votre situation.
McKay (avec une voie tremblante) : on est dans la merde Elizabeth !
Weir : comment ça ? L’un d’entre vous pourrait peut-être nous expliquer ce qui se passe ?
Daniel (soupirant avant de commencer à parler) McKay a ouvert la boite pandore …
McKay : c’était pas ma faute, j’étais envoûté par le cristal !
Sheppard (rattrapant la discussion en cours) : alors Rodney, on a encore fait des siennes, de quoi s’agit-il ? Après une destruction de planète, vous nous avez inventé quoi cette fois-ci ?
McKay : lâchez-moi avec ça Sheppard, et vous connaissez ma prudence, je vous assure que je ne pouvais rien y faire !
Daniel : c’est vrai que …
McKay (sans laisser le temps à Daniel de finir) : et pour quoi personne n’a blâmé Daniel quand il a fait venir les oris dans notre galaxie ?
Daniel (discrètement à Rodney) : je suis de votre côté Rodney, alors SVP, évitez de me poignarder dans le dos. De plus, je vous rappelle qu’à l’origine, si Vala n était pas venue avec sa tablette et ses bracelets, j’aurai été dans Pégase avec vous.
McKay : oups (« j’ai encore gaffé »)
Vala : oui, oui c’est plus facile de rejeter la faute sur une extraterrestre.
Weir : vous voulez bien arrêter vos enfantillages et nous expliquer ce qui ce passe.
Daniel : McKay a réussi à situer la provenance de la fluctuation d’énergie qu’il avait repéré à notre sortie d’hyperespace. On est allé voir, persuadé d’y trouver une source d’énergie qui pourrait nous être utile.
Nous nous sommes retrouvé sous un des dômes que vous pouvez observés des vaisseaux.
Dans la pièce où nous avons été téléportée, se trouvait une des bases de données des créateurs que j’ai commencé à traduire …
McKay (enchaînant sans laisser à Daniel la possibilité de continuer) : quant à moi, mon scanner m’a dirigé dans une seconde salle, toute aussi vide que la précédente. Au centre de la pièce étaient disposées une table avec dessus une boîte toute en or ornée de diamants. C’est à partir de ce moment que je n’ai plus aucun souvenir jusqu’à ce que Daniel me soigne et que je me réveille. D’après ce qu’il m’a dit, je suis resté sourd à ces consignes et j’ai ouvert la boîte et fait exploser le cristal qu’elle contenait.
A mon réveil, nous étions entourés de morceaux de cristal brisés, puis soudain de petites boules de lumière qui s’échappaient des fragments à terre, un peu comme des lucioles. Elle se sont alors regroupées au dessus de nos têtes tout en formant une gigantesque boule de feu, magnifique mais effrayant, croyez-moi. Un peu comme un feu d’artifice que l’on regarde de la fin au début.
Ce que je craignais le plus, c’est qu’elle nous tombe dessus, voire qu’elle explose en milles flammes de tout côtés ; toute ma vie a défilé devant mes yeux, Elizabeth.
Quand soudain elle fit exploser le toit du dôme et disparue dans les nuages. Nous avons alors littéralement pris une douche de verre provenant du dôme nous blessant aux bras et aux visage. Daniel s’est guérie (dans sa tête : « va falloir qu’il nous explique comment, d’ailleurs !) et s’est ensuite occupé de moi.
(à Daniel car commençant à s’essouffler) je crois que vous devriez continuer Daniel, car je n’ai pas bien suivi ce que vous m’avez raconté à mon réveil.
Daniel (enfin) : bon vous connaisez tous le mythe de la boite de pandore ?
Weir : quoi, celle que Zeus offrit à pandore et qui contenait tout les maux de l'humanité.
Daniel : celle là même.
Vala : non, moi je ne connais pas !
Teal’c : j’ai déjà vu un film sur Terre. Tomb Raider (le berceau de la vie), je crois, très bon film.
Daniel : bien, petit résumé pour mettre tout le monde à la même version.
Pandore fut créée sur l'ordre de Zeus avec l’aide de tous les Dieux qui voulait se venger pour le vol du feu par Prométhée pour le donner aux hommes. Elle fut façonnée dans de l'argile par Héphaïstos. Athéna lui donna la vie et lui appris l’habileté manuelle. Aphrodite lui donna la grâce et le désir (pour attirer les hommes), et enfin, Hermès y mis le mensonge et la fourberie.
Zeus offrit Pandore à Épiméthée, frère de Prométhée. Elle accoucha d'une fille, Pyrrha, qui épousa Deucalion.
Avant son départ, Zeus lui remît dans ses bagages une boîte, contenant tous les maux de l'humanité : Souffrance et Maladie, Vieillesse et Mort, Mensonge, Vols et Crimes ainsi que l'Espérance, en lui conseillant bien de ne jamais l'ouvrir. Malgré la promesse faite à Prométhée de refuser les présents venant de Zeus, Pandore accepta. Cédant à la curiosité, elle ouvrit la boîte : elle libéra ainsi les fléaux, maladies et malheurs qu'elle contenait. Elle referma la boîte trop tard pour les retenir, et seule l'Espérance, plus lente à réagir, y resta enfermée.
Vala : certain de ces noms ont été repris par les Goa'ulds, non ?
Daniel : effectivement Vala. Mais cela reste un mythe. Cependant la boîte a bel et bien existé. Quand à l’intégralité du mythe, beaucoup de choses ont été ajoutés au fil des siècles à force d’être raconté. Ce que je crois, c’est que ce sont les Anciens qui ont raconté cette histoire sur Terre à leur retour de Pégase en même temps que le mythe d’Atlantis et qui sait, peut-être de bien d’autres.
Weir : mais vous ne nous avez pas encore dit ce que renfermait cette boîte ?
Daniel : la boîte contenait un cristal, celui-là même que McKay a brisé. Façonné dans de la matière la plus pure, les Créateurs l’avaient fabriqué pour y enfermer la première race de leur création.
Ils leurs avaient tout enseigné sur leurs technologies. Mais l’élève se retourna contre le maître. En fait, cette première race voulait mettre un terme au règne de leur créateur et recréer la vie dans l’univers à leur image et y régner comme Dieux Suprême.
Ayant le pouvoir et la force de les détruire, les Créateurs ne s’en sont pas pour autant servi. Après tout, il s’agissait de leurs « enfants ». Ils ont donc fini par décider de les punir en les enfermant dans une dimension parallèle coupée du temps.
En fait, ce que Rodney prenait pour une fluctuation d’énergie était en fait des radiations envoyées par le cristal dans le subéspace pour empêcher ces créatures de s’échapper. Quand à la boule de feu, quand elle aura atteint un endroit précis dans l’espace, elle explosera et ouvrira un pont entre nos deux dimensions. Ce qui permettra à cette race de s’échapper.

Pendant ce temps la boule de feu poursuit toujours son chemin en détruisant les astéroïdes présents sur son passage. Bien entendu personne ne sait quand, ni où, elle va exploser.

30 minutes plus tard

Non loin du Pentagone, se trouve un édifice en forme de soucoupe soutenue par de multiples piliers sur lesquelles sont gravés des symboles encore non traduit par le Docteur Jackson.
A l’intérieur du bâtiment, un grand amphithéâtre avait été transformé en salle de réunion afin que les représentants des différentes races puissent participer aux comptes rendus et également présenter leurs dernières découvertes. Sont présent une cinquantaine de personnes toutes races et responsabilités confondues. La majorité était bien entendue Terrienne : scientifiques, soldats, archéologues et Capitaines de vaisseaux. Quand aux autres races, elles sont représentées, pour les Asgards par Vaseer, Heimdal et Thor, dont l’objectif principal est de trouver une solution a leur problème de clonage, pour les Nox par Lay, Nfraya et Akayou, qui espère trouver la réponse à l’ascension et quand aux Furlings, ils sont représentés par Alask, Karlam et Amarach, tous les trois faisant parti de l’élite scientifique de leur race, présent « simplement » pour approfondir leurs connaissances de l’Univers.
Dans le bas de l’amphithéâtre, derrière un bureau, est assis le docteur Weir. A côté d’elle se trouve Daniel entrain de faire son exposé sur ses dernières découvertes du danger auquel ils seront confrontés.
L’assistance n’arrive pas à y croire. A peine arrivé, et déjà un ennemi à combattre.
Etait-ce le moment de s’engager dans un nouveau combat après celui contre les Oris.
Enfin, le Docteur Weir prend la parole pour donner les instructions afin de créer la meilleure défense possible. Ce qui signifie, trouver les armes de défense de la planète et surtout se concentrer sur leur fonctionnement, de renouveler les E2PZ qui alimentent le bouclier de la planète et enfin envoyer deux vaisseaux de reconnaissance pour essayer d’intercepter la boule de feu et la détruire avant qu’elle n’atteigne sa destination.

Une fois la réunion clôturée, tout le monde part accomplir le travail qui venait de lui être confié.
Sur l’une des plateformes deux vaisseaux se tiennent près à décoller : un 309, « l’Exploreur Galactique 3 » et un autre vaisseau Ancien, « l’Aurora 6 ».
Non loin d’eux, des scientifiques essayent de faire fonctionner l’un des canons géants qui se trouvent sur les côtés de la plateforme d’envol. Sans succès. Cette arme est beaucoup trop sophistiquée et demande une quantité phénoménale d’énergie ne serait-ce que pour se réinitialiser. Chaque ZPM que les scientifiques connectent se vide avant même que l’arme ne se lance. Après plusieurs tentatives, ils décident de mettre ces canons de côté, et se mettent à la recherche d’autres moyens de défense consommant moins d’énergie.

Pendant ce temps, les deux vaisseaux avaient pris leurs envols et s’apprêtaient à ouvrir une courte fenêtre d’hyperespace.
Sur la passerelle du vaisseau Ancien le Colonel Steven Marshal, responsable de cette mission. D’une quarantaine d’années, assez grand, plutôt musclé, cheveux court et gris et des yeux châtains clairs. Il était assis sur le fauteuil de commandement. Mais ces pensées étaient sur Terre. Ses deux filles et leur mère qu’il avait laissées sans aucune information sur sa mission au sein de l’Air Force. Il venait tout juste de divorcer quand il fût assigné au commandement du vaisseau Ancien « Aurora 6 » et à cette expédition. Soudain toute sa vie commence à défiler devant ses yeux. Il est alors pris par un frisson d’un instant et commence à transpirer. Quelque chose dans son esprit lui dit que cette mission n’était pas une bonne idée, une sorte de sixième sens qui lui dit qu’ils n’en reviendraient certainement pas. Mais la raison reprend le dessus sur l’instinct, il se rappelle alors des milliers de personnes sur la planète qui, sans le savoir, comptent sur lui et son équipe. Si la race dont a parlé le Docteur Jackson parvient à se libérer de sa prison, on ne sera plus à l’abri nul part dans l’univers.
Puis son capitaine en second le sortit de ses songes.

C.E.S. : Monsieur, nous venons de sortir de l’hyperespace, quels sont vos ordres ?
Marshal : Capitaine, cordonnées de l’objet ?
C.E.S. : elle vient de franchir la limite du système solaire. 40 degré sud-ouest de notre position à environ 621,37 miles Monsieur.
Marshal : bouclier au maximum, je ne veux pas avoir de surprises. Armez le canon principal et dites à l’autre vaisseau de faire de même et de se diriger vers la cible. Qu’ils attendent mes instructions.
C.E.S. : bien mon Colonel.

Les deux vaisseaux appliquent les consignes du Capitaine. A distance suffisante pour faire feu, ils se positionnent des deux côtés de la cible et commencent à tirer sur l’objet. Tous les canons étaient pointés sur la cible. Qu’ils soient petits ou grands, tous en commun, la force de frappe est impressionnante et effrayante pour ceux qui participent pour la première fois à ce genre de mission.
Pour la première fois peut être, ils peuvent se rendre compte de la puissance de feu que dispose la Terre. A travers les hublots, des milliers de tirs, des canons à plasma, ion, énergie et laser qui s’abattent sur cette cible qu’était la boule de feu. Mais aucun tir ne semble l’affecter. Au contraire, il semble qu’elle se nourrisse de cette puissance pour accroître sa vitesse.
Les deux vaisseaux cessent alors de tirer quand ils comprennent. Le Capitaine Marshal décide alors d’employer la manière forte et décide d’envoyer une série de drones. Une centaine de ces « mini bombes » sortent alors des tubes de lancement et se dirige vers la cible qui vient d’entrer dans un champs d’astéroïdes, ce qui ne l’empêchait pas de continuer d’accélérer tout en faisant exploser les astéroïdes présent sur son passage.
Alors que les premiers drones s’engagent dans le champs d’astéroïdes, les premiers commencent à exploser au contact de ces derniers et provoquant une réaction en chaîne, font exploser tout les drones avant qu’ils n’atteignent leur objectif.

Le Capitaine prépare déjà la seconde attaque quand soudain la boule de feu s’immobilise en plein milieu du champ d’astéroïdes. Elle commence à devenir rouge, d’un rouge très intense. L’objet se met alors à envoyer des éclairs qui détruisent tout ce qui l’entoure. De plus en plus puissant et dévastateurs, ces éclairs touchent même les deux vaisseaux à plusieurs reprises mais sans leur infliger de dégâts particuliers. Pour le moment les boucliers tiennent le coup. Puis la boule commence a grossir tout en gardant sa couleur jusqu’à atteindre la taille de notre Lune puis sans s’y attendre, noir total, comme si elle avait disparue. Mais elle était encore visible sur les radars des deux vaisseaux. D’un coup, la boule de feu explose avec l’équivalence de plus d’un millier de bombes nucléaires explosant en même temps, le souffle de l’explosion qui suit fait tomber la puissance des deux bouclier à 50% tout en leur infligent des dégâts mineurs.

A l’endroit de l’explosion une déchirure dans l’espace se forme comme un tourbillon faisant penser à un trou noir. Le « pont » entre les deux dimensions commence à se construire. Il grandi et prend de l’ampleur et de la puissance. Les deux vaisseaux se rendent alors compte que leur mission est un échec et le Capitaine prend la décision de rentrer et de faire son rapport. Mais le tourbillon les en empêche. Il les tient prisonniers.
Ils ont beau pousser les moteurs, l’attraction est trop forte. Ils commencent alors à être attiré vers le centre et tout les appareils de navigation, qu’ils soient Anciens ou Terriens explosent l’un après l’autre.
Soudain, la coque du vaisseau Terrien est percutée par un faisceau de lumière bleu sorti du centre du tourbillon. Les boucliers étant perdus, l’arme étant puissante, il ne faut pas longtemps pour qu’il perde la totalité de ces défenses. Il explosa en milliers de fragment emportant tout son équipage. Voyant cela, le vaisseau Ancien envoi un dernier message à Atlantis afin d’expliquer la situation, se doutant de ce qui allait suivre. Ce qui devait se produit et s’est au tour de « l’Aurora 6 » de subir le même sort.

A suivre…

coolsheen, ta fic est génial. L'histoire est super original en plus avec les ennemis aussi puissant que les créateurs.woaw.

Bye et au faite:à quand la suite

Voilà, j'ai lu cette intro de fiction...

Je ne vais pas y aller par quatre chemins... Je n'aime pas beaucoup, désolé :-s.

Il y a plusieurs incohérences...

- Hammond, étant militaire, je ne le vois pas en politique, alors encore moins en tant que président des USA...
- En 2012, même avec des connaissances astronomiques, même s'il étaient aussi bons que les anciens, je vois très très mal les terriens construires des ZPM. Donc qu'ils en aient, c'est suprenant, mais qu'en plus ils soient cinq fois plus puissant, ca c'est purement impossible, vu que les anciens en plusieurs millions d'années les ont utilisés tels quels, imaginer qu'un terrien puisse les rendre encore plus puissant est pure folie.
- Le Dedale, avec ZPM, parcourt les 3 millions d'années lumières séparant Pégase à la Voie Lactée en 4 jours. Donc, en un siècle, celui-ci parcourerait 27,375 milliards d'années lumières. En sachant que l'Univers fait 13 milliards d'années lumières en taille, ca c'est impossible...


Voilà les 3 plus grosses incohérences que j'ai relevées.

Je suis désolé de te le dire, mais ton récit n'est pas des meilleurs de ce côté là. Si tu le retravaillais, peut-être qu'alors mon opinion serait différente...


Bonne continuation quand même