L'Ombre du passé / The shadow of the past

Une nouvelle version, L'Origine de nos peurs remplace L'Ombre du passé. Elle sera prochainement publiée, sur le forum, dans le domaine Space opera planet opera, thématique espace et / ou E.T.

Les changements opérés sont assez importants.
Afin d'éviter la confusion entre les deux textes, mais aussi parce qu'il n'y aura pas de suite à L'Ombre du passé (contrairement à la nouvelle version), parce que le découpage de L'Origine de nos peurs est différent, et enfin parce que je me suis éloignée de l'univers initial pour en créer un qui m'est propre (d'où son déplacement vers un autre domaine), je préfère supprimer la version initiale.

Il vous faudra donc attendre un peu avant de lire la version quasi-définitive, et plus exactement le Tome 1 : Esmelia, sur ce forum, mais j'espère que vous y prendrez du plaisir.

A très bientôt,

PS : Je laisse volontairement mes réponses aux posts car elles peuvent contenir des infos intéressant d'autres auteurs, sur la manière dont on peut écrire, créer un texte, sur des références ou des remarques, ...

Bon, déjà, que je me retire ça de l'esprit :

Citation :

« D'accord, admit Carson Beckett. C'est... simplement qu'un wraith... dans un peignoir...

XDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDDD

Voilà, c'est fait.

Alors, ce passage, ici, retrouve cette exceptionalisme que j'ai appris à apprécier dans ton texte. Le sauvetage est une scène réussie, du type que j'ai essayé (avec moins de succès, je l'avoue volontiers) de faire dans EP. Une intimité distante qui en révèle pas mal sur les personnages, et qui est suivie d'une révélation plus directe et qui complète la structure du chapitre en donnant au lecteur quelque chose à se mettre sous la dent, là où la séquence précédente du passage de cette semaine était plus fugace et éthérée. Deux aspects complémentaires de la narration, donc : une exposition bien rédigée qui accompagne ce que l'on pourrait appeler un nuage d'émotions, intangible mais toujours présent, et qui crée une ambiance dans laquelle vont se placer les faits. C'est ce sentiment de complétion qui place l'envoi d'aujourd'hui au-dessus, à mon humble avis, de celui de la semaine dernière, où il manquait quelque chose.

La qualité, toujours, mais l'équilibre. Et il est à nouveau présent.

Beau boulot !

Voilà, j'ai rattrapé mon retard !

Alors, je ne suis pas aussi enthousiaste que le camarade Rufus, mais tu écris vraiment, vraiment très bien.

Quand à l'histoire, elle est extrêmement intéressante, bien qu'assez sombre, et pose de nombreuses questions... mmm... tu as pris des cours avec Rufus pour réussir à susciter autant de questions en aussi peu de chapitres ?

Enfin, beau, très beau boulot !

D'abord, merci à tous...

Ensuite,

Citation :

"... un wraith... dans un peignoir..."

Eh oui, Rufus, quelle image... Mais je rassure tout le monde, ce n'est pas un fantasme !! Comme l'a dit Vyslanté, le récit est assez sombre, alors j'essaie de trouver un ressort comique, humoristique, ... dès que je le peux, dès que la situation peut s'y prêter. J'ai dû en rater beaucoup, mais celui là... Je ne sais pas pourquoi, je ne pouvais pas le manquer...

Citation :

je ne suis pas aussi enthousiaste que le camarade Rufus

Ce qui me fait très peur, en fait, car j'espère que la fin du récit sera à la hauteur de ses attentes comme de celles des autres lecteurs. J'aimerais le croire, mais il a placé la barre très haute !!! Cela dit, c'est aussi bien parce que cela pousse à ne pas se relâcher. Je reste cependant consciente des défauts de ce premier texte de (science-)fiction. J'apprends au fur et à mesure...

Citation :

... tu as pris des cours avec Rufus...

En parcourant ses textes, et j'espère ne pas le vexer en écrivant cela, j'ai eu l'impression que nous avions de nombreux "points communs littéraires".

Citation :

En parcourant ses textes, et j'espère ne pas le vexer en écrivant cela, j'ai eu l'impression que nous avions de nombreux "points communs littéraires".

Loin de me vexer, j'y vois un compliment qui m'honore.

Une nouvelle version, L'Origine de nos peurs remplace L'Ombre du passé. Elle sera prochainement publiée, sur le forum, dans le domaine Space opera planet opera, thématique espace et / ou E.T.

Les changements opérés sont assez importants.
Afin d'éviter la confusion entre les deux textes, mais aussi parce qu'il n'y aura pas de suite à L'Ombre du passé (contrairement à la nouvelle version), parce que le découpage de L'Origine de nos peurs est différent, et enfin parce que je me suis éloignée de l'univers initial pour en créer un qui m'est propre (d'où son déplacement vers un autre domaine), je préfère supprimer la version initiale.

Il vous faudra donc attendre un peu avant de lire la version quasi-définitive, et plus exactement le Tome 1 : Esmelia, sur ce forum, mais j'espère que vous y prendrez du plaisir.

A très bientôt,

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Snifeuh ! Je ne sais pas si je dois être content ou triste en lisant ton récit. Je veux dire, j'essaie depuis quelques chapitres d'intégrer moi-même des souvenirs de batailles appartenant à une ère depuis longtemps révolue, et voilà ce sur quoi je tombe : un récit très bien mené, avec des descriptions bien posées et une bonne charge émotionnelle. Alors, bon, ça me rappelle que j'ai beaucoup à apprendre, bien sûr, mais, d'un autre côté, cela me donne un nouvel exemple à suivre (et, pour l'une des premières fois, un tel exemple francophone plutôt qu'anglophone ou traduit de l'anglais). Autant dire que ce chapitre va m'inspirer pour le Tome III d'EP, et, pour ça, je te remercie.

Et... OMFG, pour citer Vyslanté. C'est décidé, le passage où Todd voit l'autre individu va être enregistré dans mes documents et mes notes, parce qu'il est exactement ce que je veux pouvoir décrire pour une scène à venir. Je t'ai envoyé par MP les détails de ce que je pense sur le passage en question, mais, en tout cas, bravo !

Quoi qu'il en soit, voilà un passage mémorable. Je ne sais pas s'il sera aussi important pour les autres lecteurs, mais, pour moi, il est plus que marquant, avec la perle centrale sur une très bonne monture qui fait avancer le scénario, et surtout la relation entre les personnages.

Yahou ! Ba'âl revient ! Content d'assister au retour de ce vieux roublard !

Pour m'auto-citer, "je ne sais pas trop quoi dire"

Le niveau d'écriture est toujours aussi formidable (en même, comment aurait-il pu changer ?), et l'histoire est très... et bien, calme pour le coup. C'est plus un chapitre d'explications (et j'aime les chapitre d'explication) sur l'histoire de Todd.

Oh, et juste, Bâ'al en cardinal... XD !

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Bon, alors, avec un peu de retard, mon commentaire pour les dernières séquences :

Scène d'action dynamique, à la fois bien décrite et dérangeante. Très différente de celle avec Ba'al, où l'on passe du Kill Bill au combat de type forces spéciales et... Et bé, le scientifique semble savoir se servir d'autre chose que de sa calculatrice ^_^;
En tout cas, je dois avouer que l'apparition de ces... zombies... est plutôt surprenante et inattendue. Et le passage du groupe par les anneaux, leurs conditions d'arrivée, je sens comme une référence à SGU, mais je me doute qu'il n'y aura pas la tempête d'incohérences et de clichés de cette série-là, si ?

Excellente remarque, sur l'absence de poussière dans un vaisseau spatial. C'est le genre de détail que pas mal de monde aurait tendance à oublier (et moi le premier) !

XD : pas de chance, pour les goûts et les couleurs !

Une séquence d'exploration bien écrite, donc, qui réussit à garder cette ambiance oppressante, le lecteur découvrant l'environnement au même rythme que les personnages. Points de vue différents, manque d'information,

Citation :

─ Pour ce qui est d'Atlantis, personne n'en a jamais eu la preuve. Certains la situe dans l'Atlantique... fit Virgile d'une voix mesurée.
─ … ou dans la baie de San Francisco. »
Virgile haussa les épaules.
« Ça, je l'ignorais. »

Hé hé, et on préférerait l'ignorer, nous aussi. :-P

Yep, on a vraiment l'impression de lire ce que SGU aurait dû être. Tu nous offres un décor tout nouveau, une fois de plus, mais ça marche très bien, et la lecture est fluide et agréable. Un vaisseau géant servant d'arche face à ces ennemis, voilà donc un outil intéressant, si tant est qu'il puisse être utilisé. Et, je dois dire qu'il est toujours sympa de voir les relations "au quotidien" entre plusieurs univers parallèles, un aspect rarement développé dans les textes où ce concept est soulevé.

Citation :

Sur Boutam, la seule chance de survie d'un goa'uld qui s'y serait égaré par mégarde, c'était de garder profil bas. Ce qui n'était pas dans leurs habitudes. D'où la solution finalement adoptée par les Grands Maîtres : ne pas mettre les pieds sur cette foutue planète, et y balancer tous ceux dont ils voulaient se débarrasser définitivement, histoire d’entretenir la croyance locale.

Un peu de bon sens ne fait jamais de mal...

Pour la séquence d'aujourd'hui, une transition, si l'on peut dire. Ba'al est encore un peu développé, de façon élégante, mais sans réel évènement spectaculaire. Là, comme pour une autre mise à jour d'il y a quelques semaines, je ne vois pas énormément à dire, sinon que la qualité reste toujours présente. On avance un peu moins qu'à d'autres moments, mais le lecteur y trouve toujours de quoi se sustenter avec de l'excellente nourriture littéraire.

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Commentaire Ihriae :
Retour sur celui qui est probablement mon personnage préféré de ce texte, à savoir un Ba'al qui a vu du pays qui est un maître incontesté de l'art difficile de la survie dans ce multivers. Le voir s'attacher lentement à "ses" deux humains est aussi bien amusant que dérangeant.
Le concept de Goa'uld uniques au Multivers est intéressant (si j'ai bien compris ce que tu veux dire par là). Quoi qu'il en soit, le travail de background que tu nous offres est superbe, et j'en viens à regretter de ne pas avoir commencé l'écriture plus tard, parce que je pense que je me serais très probablement basé sur l'univers que tu as créé davantage que sur les incohérences en série du staff originel...
A nouveau, le personnage de Ba'al et l'histoire des Goa'uld est superbement décrite, infinimanet plus riche que ce que nous connaissons "officiellement", et c'est très agréable à lire. Je dois admettre que j'ai aussi une certaine affinité avec la relation très particulière qui unit ce duo intriguant, surtout pour la notion de "destin" qui semble avoir beaucoup de poids sur Ba'al, que l'on connaissait pourtant pour son pragmatisme...
Séquence très éclairante (pour les raisons évoquées dans le MP), et à la richesse indiscutable, aussi bien pour le background que pour les relations entre les personnages et le sentiment d'être sur un échiquier où les pièces sont douées d'une vie propre, agissent, tuent, se déplacent dans leurs zones d'influence, mais n'ont pas de véritable choix. Méta-humour sur le concept de personnages dans un roman ?

Citation :

Sur son vaisseau, elle était peut-être rebelle, frondeuse, voire railleuse, tout le diable et son train, comme disait Beckett, mais côté apparences publiques, elle assurait.

Et comment !

Tu fais véritablement des Goa'uld des adversaires intéressants, crédibles et aptes à porter une grande saga de SF, bien loin des caricatures que nous avons eu l'occasion de croiser et que certains d'entre nous ont tenté de rationaliser d'une façon ou d'une autre. Et l'ensemble de cette séquence me donne envie de te placer dans la même catégorie que des auteurs tels que Feyst ou Merle, par le travail de fond réalisé, la richesse des décors, la qualité du style... Chapeau. Il est très clair que je vais continuer à prendre "L'Ombre du Passé" comme exemple de ce que l'on peut faire avec une fan-fiction.

Argh, je sais que je donne l'impression de lancer des fleurs en permanence, mais si quelqu'un d'autre pouvait venir commenter et confirmer, ça serait bien !

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Je rattrape mon retard...

Je viens donc de finir l'interlude sur le SWAT, et whoo.


Bon, place au commentaire d'une constructivité... euh... à toute épreuve (hum, hum)

Donc, toujours aussi bien écrit, et l'intrigue atteint des sommets... sommitaux.

Enfin, bravo !

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Et voici un retour qui ouvre de façon très agréable cette semaine !

Tout d'abord, je dois dire que les passages décrivant le quotidien et les aspects les moins abordés de la vie à bord du Ha'Tak sont délectables. J'ai failli éclater de rire en m'imaginant les jaffas cacher discrètement leurs tablettes de chocolat ramenées par Carson. Image absurde, mais logique. Et la remarque quant à certains aliments à éviter dans un environnement fermé : XD. Toujours aussi logique, je dois l'admettre.

Tu as oublié une petite note ici :

Citation :

dévoreur du précieux oxygène (vérifier) dont les goa'ulds

Le feu va effectivement bouffer de l'oxygène, mais avec de grosses réserves d'énergie, on peut se débrouiller pour recycler l'atmosphère. Après, tant que tout l'éclairage n'est pas fait comme ça, il ne devrait pas y avoir trop de souci, mais la remarque me semble correcte.

Quoi qu'il en soit, on a vraiment l'impression d'assister à ce repas d'affaire entre les membres les plus haut placés d'une civilisation à la fois décadente et puissante, qui garde encore pas mal de tours dans son sac pour une simple question d'âge et d'expérience. Les descriptions sont suffisamment légères pour ne pas lasser, et réussissent bien à mettre le lecteur dans l'environnement.

Citation :

« Il peut le redevenir. D’autant qu’il n’est plus l’esclave de qui que ce soit. Et il pourrait bien botter le train de certain d’entre vous, si l’envie lui en prend… »

Ah, les arcanes subtiles de la diplomatie... :-)


La séquence est agréable, et même s'il n'y a pas d'évènement central, marquant pour le reste du scénario (du moins, à première apparence, et pas comme ceux beaucoup plus spectaculaires), c'est une bonne chose pour se remettre dans le bain et retrouver les personnages avant de continuer l'histoire.

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