Welcome all !!!
Je post donc ici, comme sur SGF, le prologue de ma future Fan-Série (j'espère que ça en sera une).
Le titre est provisoire car le scénario n'est pas encore totalement défini. J'ai pas mal d'idées, trop peut-être
Je n'arrive donc pas à me décider sur un choix de scénario final. Je préfère donc bien y réfléchir plutôt que de bâcler cette tâche très très importante dans la conception d'une histoire.
Voilà, j'attends donc vos réactions, qu'elles soient positives ou négatives du moment qu'elles sont constructives.
- Citation :
- Cette histoire reprend des personnages, planètes, vaisseaux, etc… de StarGate SG-1 et Atlantis (et autres) mais aussi y figure des personnages, planètes, vaisseaux, etc…purement inventés et/ou inspirés de sources extérieurs à l’univers de StarGate.
Au cours de cette FanFic des allusions seront éventuellement faîtes à des légendes et mythes.
The Chronicles of StarGate
Prologue :Quelque part sur une planète :Au milieu du désert, une petite file de silhouettes marchaient à pas rapides dans le sable sous une belle nuit étoilée.
Il y avait un homme tout devant qui menait la petite troupe, il tenait quelque chose dans sa main gauche sous une toge violacée et ornée de motifs en filagrammes d'or.
Derrière lui suivait huit hommes et femmes tirant ou plutôt escortant une grande cage - qui semblait flottée à un mètre au dessus du sol – le suivait.
La cage était recouverte d’un élégant drap noir fait d'un tissu fin et soyeux au toucher, sur lequel étaient tissés des symboles complexes et mystérieux.
Deux heures de marche intensive s’écoulèrent quand enfin la troupe s'arrêta.
Ils avaient traversés le désert sur des kilomètres, une immense étendu de sable s’étendant jusqu'à perte de vue parcourue par un vent sec et chaud qui vous irritait les yeux, craquelait les lèvres et rendait la bouche pâteuse.
Puis ils avaient franchis une entrée, du moins ce qui ressemblait à une entrée, en réalité celle-ci n’était rien d’autre que deux dunes de sable de taille respectable qui formait à leur base un étroit passage. La troupe était finalement arrivée devant une entrée creusée à même le roc.
L’homme regarda avec crainte ce tunnel qui s’enfouissait dans les ténèbres. Puis il se ressaisit.
Ils avaient une mission de la plus haute importance à accomplir.
Il inspira profondément et s’engouffra dans le tunnel suivit de ses compagnons qui escortaient toujours la cage, qui semblait connaître elle-même le chemin à suivre. Ils parcoururent près d'un demi kilomètre et débouchèrent sur une immense salle aux dimensions colossales qui devait faire plusieurs centaines de mètres de longueur, même plus !
Peut-être plus d'un kilomètre de long et de large. Elle était taillée dans la roche noire de la montagne, la voûte était tout simplement grandiose !
Elle devait s’élevée jusqu'à 200 mètres de hauteur et était soutenue par tout un réseau d’imposant piliers.
Il n’y avait apparemment rien dans la salle. L’homme la parcourue avec assurance comme s'il savait ou aller, ce qui était le cas bien évidemment.
Il traversa le hall de bout en bout pour finalement arrivé avec ses compagnons devant une grande porte à double battants en bois lisse et noirci par l'âge mais qui ne semblait pas être affecté par la moisissure.
Il sortit de sa toge, une clé de bronze et la mit dans la serrure, un léger déclic se fit entendre et l’homme tira, avec l'aide de trois de ses compagnons, les deux poignées.
Ils pénétrèrent dans une salle dérisoirement plus petite que la précédente : - c'était une chambre - mais plus décorée : il y avait des vases en ivoires, des coffres en chêne, incrustés de rubis, d’émeraudes et de gemmes de toutes les couleurs tous fermés gardant leur contenu invisible, des tableaux d’une grande beautés par-ci et par-là ainsi que des statuettes en bronze, en argent ou en or , des bijoux et un tas d'autres objets.
Mais aussi une immense étagère ou s’entassait d’innombrables parchemins et manuscrits.
Il y avait également un grand lit : parsemé de quelques coussins - sur lesquels étaient dessinés une tête de chacal - une table de travail - assortie d’un élégant fauteuil - se trouvait dans un coin, une bougie à moitié consumée et des manuscrits en champ de bataille se trouvaient sur celle-ci.
L’homme et ses camarades observèrent tout cela d’un œil surpris et inquiet. Cette pièce semblait avoir été occupée récemment ce qui n’aurait pas dû être le cas.
Malgré ce que leur dictait leur bon sens - c’est à dire rebrousser chemin - ils n’en firent rien et reprirent leur chemin, se tenant tout de même sur leur gardes.
Ils arrivèrent devant une nouvelle porte de même dimension que la précédente mais cette fois elle n’avait pas de serrure, la troupe la franchie et parcourue un nouveau tunnel éclairé par des torches accrochées aux murs qui projetaient des ombres menaçantes et irréels.
Ils arrivèrent en fin au bout du tunnel.
Il y avait là, une nouvelle porte : celle-ci était faîte en pierre d’un blanc éclatant tout comme les murs du tunnel remarquèrent t-ils.
L'homme poussa les deux battants de la porte et pénétra enfin dans la salle qui achevait leur périple.
C’était une pièce toute simple du moins en apparence, il n’y avait aucun signe de richesse ou autre.
Simplement elle était circulaire, le mur était du même blanc éclatant que le tunnel et la porte et au centre se trouvait une grande statue représentant une déesse: debout et majestueuse, elle était vêtue d’une grande robe et avait la tête recouverte d’un heaume de guerre.
Son regard était calme et empreint d’une telle bienveillance qu’elle semblait vivante, les sculpteurs et maîtres artisans c’étaient vraiment dépassés.
La déesse tenait dans sa main droite une coupe en or pur qu’elle tendait devant elle, comme ci elle invitait quelqu’un à boire et sa main gauche était levée en l’air au dessus de sa tête comme si elle brandissait quelque chose, mais il n’y avait rien.
L’homme fit signe à cinq de ses camarades d'amener la cage jusqu’au fond de la pièce qui était plongée dans l’obscurité la plus totale.
Pendant qu’ils se dirigeaient vers le fond de la pièce. L’homme et les trois compagnons qui étaient restés avec lui, s’approchèrent de la statue, la contemplèrent un instant et attendirent que le reste de leur camarades furent revenus.
Quand ils furent tous réunis, ils prononcèrent en cœur les paroles suivantes :
« Ô Déesse de Lumière, Ô Beauté Éternel, Ô Puissante Gardienne.
Nous vous l'apportons, comme nous en avions fais le serment à votre défunt époux.
Puissiez à jamais le garder à l'abri des Ténèbres ».
Puis l’homme sortit de sous sa toge l’objet qu’il avait sur lui depuis le début du voyage : un sceptre fait d'une matière rare et inconnue de ce monde, elle était très résistante - vous aviez beau passer une lame dessus le sceptre n'avait aucune marque d'entaille - et d’une grande beauté.
Faîte d'un blanc qui semblait irradier une lumière qui lui était propre, il n’y avait aucune inscription dessus, rien que des petites vaines bleuâtres que l’on pouvait distinguées le long du manche. Ce dernier se terminait par un petit dôme fait de la même matière, de couleur transparente mais bizarrement l’on ne pouvait distinguer ce qu’il y avait à l'intérieur.
L’homme contempla le sceptre un instant puis se mit sur la pointe des pieds - malgré son deux mètres onze - et le plaça avec précaution dans la main gauche de la statue - celle levée.
Le sceptre ci plaça sans aucune difficulté comme si la main avait été toute spécialement taillée pour l’accueillir.
Cela fait les compagnons reculèrent un peu et admirèrent une dernière fois la statue. Puis l’homme se retourna et s'engagea dans le tunnel suivit de ses frères et des ses sœurs qui avaient avec eux le drap, qui recouvrait la cage.
Quand ils furent tous sortis de la pièce l’homme fit signe à ses compagnons.
Ils se placèrent donc face à face avec la porte. L'homme pivota de moitié de façon à se retrouvé devant le mur de droite.
Il appuya sur une pierre située à hauteur d’épaule : ce qui eu pour effet de faire sortir la pierre - qui était creuse - du mur, il y avait maintenant devant lui une sorte de tiroir dans lequel était placé en son centre une opale.
Il pivota à nouveau de façon à être cette fois devant la porte.
Il regarda cette dernière comme s’il voyait à travers et dit :
« Tu peux sortir maintenant Re'ik. Et n'oublie pas de t'acquitter au mieux de la tâche qui ta était confiée.
Peut-être nous reverrons nous mon ami », prononça l'homme d'une voie amicale.
« Au revoir Re'ik » dirent-ils.
Un grognement ce fit entendre dans la pièce et l’homme appuya sur l’opale : un champ d’énergie bleu apparût devant la porte, on pouvait distinguer l’éclat bleuté qu’il projetait, puis l’éclat s’estompa au fur et à mesure pour finalement ne plus être.
L’homme poussa un profond soupir de lassitude et de fatigue, puis s’engagea dans le tunnel précédent ses compagnons. Ils parcoururent d’un pas léger et rapide le tunnel puis la petite pièce, la grande salle et enfin le tunnel d’entrée.
Au dehors, le ciel avait changé : les premières lueurs du jour apparaissaient teintant les nuages de couleurs dorées.
L’homme s’arrêta et enleva la capuche de sa toge, révélant ainsi son visage : il était jeune à peine âgé de vingt ans, mais déjà marqué par le stress, la colère et le chagrin.
Il avait des cheveux d’un noir d’encre coupé courts, des yeux verts et la peau blanche. Il regarda ses amis d’un regard qu’il voulait bienveillant et leur parla :
« Voilà notre mission est accomplie. Nous avons remplient notre office pour notre part. Je suis très fière d'être en votre compagnie en ces moments troublés.
Il marqua une pause puis enchaîna :
« Mais maintenant nous devons nous dépêchez de retourner à la citée pour participer à sa défense ».
Sur ces mots il se mit en marche mais l’un de ses compagnons - une femme - l’interpella d’une voix inquiète :
« Je pense parler au nom de tous ici en affirmant que c'est un grand honneur que d'être sous ton commandement », annonça la femme d'une voix à vous retourner le cœur.
C'était une femme d'une grande beauté. Enveloppée dans une toge blanchâtre. Elle avait de grand yeux bleus turquoise et de longs cheveux blonds descendants en cascade jusqu'à ses épaules.
Les traits de son visage étaient fins et élégants. Elle aurait fait chavirer le cœur de n'importe quel homme et attendrit le plus cruel des mercenaires.
Elle s'appelait Nuasa.
« Mais pense tu qu’ils arriveront à le trouver ? », demanda elle.
« C'est possible. Mais je ne puis donner une réponse honnête puisque je l'ignore. Il ne reste qu'à espérer que cela ne se produira.
Seul le temps nous donnera une réponse ».
« Oui, il ne reste qu'à espérer de toute notre force. Prions pour que ce jour n'arrive jamais car le jour ou il arrivera, un grand malheur se répandra de pars le monde », dit avec tristesse Nuasa.
« L'espoir est l'une des dernières choses qu'il nous reste. Allons-y, nous avons perdus assez de temps.
En route ! ».
Et la troupe reprit sa marche se dirigeant vers la citée et refaisant le même trajet qu'a l'aller mais en sens inverse cette fois-ci.
Avec le cœur un peu plus léger et un peu plus lourd à la fois.