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 SGWI, Stargate : World invasion

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massalia
Chrysalide Astéroïdale
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massalia


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MessageSujet: SGWI, Stargate : World invasion   SGWI, Stargate : World invasion EmptySam 21 Avr 2012 - 17:54

Alors ceci est la dernière fic en date que j'ai fait. Et la plus avancée parmis les deux en écriture.
Je la poste alors ici. Elle sera publiée ici et sur SGF. (tiens ce qui m'arrange ici c'est que je pourrais m'essayer à des oeuvres non stargate...enfin je suppose que ce sera obligatoirement des fanfic et pas des oeuvres perso je suppose...?)

Donc celle ci est un cross-over entre Stargate SG1/atlantis et le film battle los angeles 2011, world invasion.
J'espère qu'elle plaira.

Résumé :

Alors que la Terre vient de subir une attaque extra-terrestre sans précédent. On découvre que l'humanité avait les moyens de s'en prémunir. Et à présent engagée dans une guerre meurtrière ... de se défendre. Mais encore faut il savoir qui l'on combat pour savoir où frapper.





La fiction :




Stargate : World Invasion

11 août 2011:





CNN :
...Une averse météorite sans précédent tombant au large de Tokyo, toute la ville...
...Situé à l'est de la vallée, le conseil que nous vous donnons est de rester...



Acte1 : Ruée vers l'eau

Los angeles, Santa monica:

...Bon mercredi matin, Voici les condition matinales de surf à la station...

-Force un peu! Vas-y !se dit il à lui même.
Après avoir fait sa série de pompe, ce dernier commença les abdos et les tractions.
L'homme, à la courte chevelure blonde se mit au footing sur la plage du camp Pendleton, sous le soleil californien.
Il courrait depuis un moment et il ressentait déjà la fatigue. Sa vitesse de course avait déjà diminuée de beaucoup, son organisme peinait à suivre sa volonté.
C'est alors qu'une file de jeunes recrues le doubla.
-Bonjours sergent! Saluaient ils en le dépassant à une vitesse humiliante. C'est alors que le dernier en difficulté vis a vis de ses camarades le rattrapa.
-Monsieur!
Le sergent-chef s'arrêta essouflé!
-Bonjours les petits gars.

Plus tard près des voitures, un des jeunes soldats le salua avec malice. Une bouteille froide à la main. Le sergent Michael Nantz sortit un sachet de glaçon qu'il montra à son subordonné. Puis la posa sur sa cuisse.
Un de ses collègues gradés et âgé lui adressa la parole de manière bon enfant.
-Vous savez ce qu'on dit sergent! C'est ce qu'on sent qui fait qu'on se sent vieux.
-Oui c'est ce qui m'inquiète, je ne sens plus rien nulle part. Répondit il à son collègue afro-américain devant la plage californienne.

Plus tard dans la voiture, alors que la radio parlait de Chute de météorites le vieux soldat repensait à sa vie, sa carrière. Vieux, c'est comme ça qu'il se trouvait. Mike pensait vraiment se reconvertir dans l'instruction des recrues. Le terrain n'était plus pour lui. Et puis, il devait peut-être penser à une vie de famille, trouver une femme.

Chine, Hong-Kong : En ce 11 août 2011 un homme se promenait dans les rues de Hong-Kong.
Il avait comme de nombreux jeunes chinois, un faible pour le gel et s'était hérissé des pics sur la tête. Habillé à l'occidental, chemise à fleure et jean on aurait même pu le prendre pour un touriste expatrié. Avec sa compagne, le jeune chinois marchait main dans la main, au coeur de la cité revenue sous l'emprise de l'empire du milieu après un long bail Britannique. Le passage anglais s'était fait ressentir dans l'architecture. Hong-Kong fut l'une des premières villes chinoises à ressembler aux métropoles occidentales. Ensuite en vue de la démographie et de l'économie galopante, ce style s'est rapidement répandue dans le reste de la république populaire de Chine.

Lui, il n'avait rien à reprocher à l'histoire. Il était certes un soldat mais il était surtout en permission.
D'ailleurs hormis son corps athlétique, peu de gens le prendraient pour un soldat. Il avait l'habitude d'être confondu avec ces nouveaux riches.
-Yen Que se passe t'il?
-Mon téléphone c'est Zao, il me dit de regarder la télé. Il dit que la base nous rappelle...il parle de maintien de l'ordre.
-Quoi? Lui répondit sa fiancée. Mais, c'est encore les manifestations? Cela ne te concerne pas toi... Lui dit elle se rappelant que ce dernier faisait partie des forces d'opération spéciales chinoises.
-Non Zu yi! Enfin je ne sais pas, il est pas clair.
Yen et sa bien-aimée rebroussèrent chemin vers un magasin multimédia qu'ils avaient dépassés.
Les médias parlaient de chutes de météorites imminentes et demandaient l'évacuation des zones côtières.
Ils comprirent alors que cette mission était bien plus que du maintien de l'ordre.
-Chérie je te veux loin d'ici.

Cité d'Atlantis baie de San Francisco:

Le soir s'était déjà couché sur cette journée.
Woolsey se dirigea vers lui d'un air résigné.
-Vous en êtes sûr Rodney?!
-Oui! Ca fait plusieurs mois qu'on cherche en vain. La boite noire du Sun tzu n'émet plus. Atlantis elle même ne capte pas le moindre signal résiduel. Le dernier petit signe reçut date de quelques jours après sa défaite face à la super-ruche.
-Autrement dit...une éternité. Termina Woolsey en se tournant vers les colonels Carter, Caldwell et Ellis.
Sam s'approcha de lui et inclina la tête.
-Nous avons fouillés la zone aux alentour d'où il pourrait se trouver, avec nos croiseurs respectifs. La recherche s'est révélée infructueuse. Et autant vous dire que la zone est immense.
-Cela ne va pas plaire à la chine. Répondit Richard Woolsey, sèchement mais sans agressivité.
-En effet! Ajouta Teal'c qui se tenait aux coté de samantha.
Le chef civil d'Atlantis faisait les cents pas dans la salle de commandement, sous les yeux de ses interlocuteurs et de l'expédition.
Il regardait autour de lui, le général Landry chef militaire de la cité était tout aussi inquiet de voir un vaisseau d'une telle importance technologique, porté manquant. Les colonels eux, le fixaient l'air d'attendre une décision des deux commandants. Tandis que les scientifiques présent montraient de plus en plus de mal à garder leur calme.
Le général Landry prit alors la parole, devançant son collègue civil.
-Et que donnent vos «sources» chez les Jaffas ou les Luxiens Teal'c? Demanda t'il avec une pointe d'espoir dans la voix.
-Je crains de vous décevoir Général Landry. Aucun Jaffa infiltré n'a mentionné une quelconque activité liée à votre appareil chez l'alliance Luxienne. La nation Jaffa dans son ensemble n'était elle même jusque là, pas au courant de l'existence de cet appareil.
Zelenka jusque là absorbé par son travail fit brusquement irruption dans la conversation.
-Messieurs...madame, je crois que...nous aurions du le voir il y a un moment déjà mais...
-Radek! Railla Mac Kay exaspéré par plusieurs heures de discussions stériles.
-Je crois que...enfin ce n'est pas obligatoirement une attaque...bref, des astéroïdes se dirigent vers nous...par milliers!
-Des astéroïdes?! Firent les autres en cœur.
Pendant qu'ils observaient l'écran du détecteur de la cité.
-Enfin je veux dire...c'est ce que l'ont croyait au départ. Mais à mesure qu'ils approchent nos détecteurs signalent plusieurs anomalies.
Rodney, repoussa Zelenka et prit sa place sur la console.
-Mais c'est impossible! Même la Nasa à sûrement déjà détecté ça. S'affola Mac Kay.
Une voix résonna alors au loin, Sheppard approchait rapidement en tenant son pad levé.
-Je ne vous le fait pas dire! La version officielle est une chute de météores qui devrait avoir lieu au large des côtes. Allez dîtes moi qu'ils ont raison...
Son ami et équipier le fixa d'un air circonspect.
-Il faut alerter l'armée, la population! Il n'ont rien de simple cailloux ce sont des engins mécaniques.
Chacun se regardait stupéfait, ils semblaient tous se dire «bon sang». Immédiatement après Woolsey et Landry se ruèrent vers leur bureaux mettre les hautes sphères au parfum. Tandis que Carter et ses deux acolytes se virent téléportés sur leurs bâtiments en orbite. Le reste de la cité était en ébullition, personne ne comprenait la situation.

Rodney tournait en rond dans la salle sous le regard médusés de Zelenka.
-Je ne comprends pas, comment se fait il que la cité n'ai rien détecté? Non...une fenêtre d'hyperespace aurait été détecté des semaines à l'avance...
-J'ai une hypothèse pour ça...
-Radek, vous savez bien qu'on a pas le temps de... Puis Mac Kay réfléchit et se décida à changer d'avis. Oui une hypothèse?! Allez y! Repris il.
Ce dernier releva ses lunettes du bout du doigt, tel un tique puis se mit à parler.
-Il est probable que ces engins n'aient jamais ouvert de fenêtres d'hyperespace...
-Mais d'où vienne il alors? Tout ce chemin? C'est incensé. Et puis vous n'allez pas me faire croire qu'Atlantis ne peux pas détecter des milliers d'astéroides en approche directe!
-Mais elle l'a fait, une fois notre système solaire pénétré, puis elle a identifié leur vrai nature mais c'est relativement tard.
-Attendez toute cette route, même sans hyperespace. Vous vous rendez compte que c'est ridicule si c'est une tentative d'attaque...et oubliez vous que nous avons le plus fabuleux détecteur de deux galaxies connues? S'insurgea alors le canadien.
-Mais notre galaxie est différente de pégase, elle regorge d'appareil spatiaux en tout genre, inconnus de la cité, la terre elle même possède un nombre impressionnant d'aéronefs. Si ces engins ne suivaient pas une route direct vers la terre, la cité les a peut être délaissé pour suivre les multiples fenêtre d'hypernavigation.
-Vous voulez dire qu'ils ont bifurqués et arrivent par milliers juste pour nous saluer?! Bien sûr...il se mis la main sur le front! Radek vous plaisantez?!
Sheppard intervint alors pour les séparer.
-On verra après d'où ils viennent! Je veux juste savoir s'ils représentent une menace et comment réagir.
Rodney pris son air exaspéré avant de répondre.
-Figurez vous que c'est ce qu'on fait. Et puis...bon sang ils sont des milliers.
-Ben on dirai pas! Je vais...
Landry et Woolsey arrivèrent précipitamment dans leur salle.
-Sur le siège des anciens colonel! Nos croiseurs en orbite vont à leur rencontre. Le colonel Mitchell est au commande de l'odyssey. Le Major Lorne sera à la tête d'une escadrille de … Jumper. C'est l'essentiel des directives pour nous. Mais la réaction à avoir est encore floue, on ne sait même pas s'il faut être agressif, prévenir la population de leur vrai nature ni même où diriger en priorité les forces militaires conventionnelles. Leur dit alors le général Hank Landry non sans inquiétude.
Woolsey prit alors la suite du briefing.
-C'est pour cela que vous, Rodney, Zelenka et tous les membres de cette expédition êtes priés de travailler cette prochaine heure à répondre à ces questions. Oui vous avez une heure, mesdames, messieurs, vous êtes à présent nos yeux et nos oreilles. Le docteur Jackson viens d'arriver, il pourra peut être nous aider si il y a tentative de communication.

Teal'c avança vers les deux chefs terriens.
-Je souhaiterai avertir la nation Jaffas de votre situation et si danger il y a, vous apporter notre soutien.
-Bien Teal'c, c'est ce que le président préconise. Fit le général en posant la main sur son épaule.
-Mais la CIS elle préconise que vous insistiez sur le fait que la menace n'est pas encore clairement définie et que la Terre serait encore apte à repousser toute traîtrise, si il devait y avoir une bataille nécessitant votre soutien.
Le Jaffa s'approcha de lui, droit, le regard noir.
-J'en prend note Richard Woolsey. Mais dîtes bien au CIS que douter de mon peuple ne motivera pas les troupes Jaffas. Le membre emblématique de SG1 se retourna puis partit vers la salle d'embarquement.
Woolsey baissa la tête légèrement, prit son souffle avant de la relever rapidement. Il n'approuvait pas non plus le comportement du comité de surveillance mais c'était son rôle. Le civil se reprit rapidement puis donna ses ordres aux scientifiques.

Bombay, Inde:

Le capitaine Mrija Moutoussamy était une magnifique jeune femme de Pondicherry, aux courbes plutôt parfaites. Son origine se reconnaissait à son nom et son faciès. D'ailleurs ses yeux d'un bruns très clair attiraient souvent l'attention. Malgré le traditionalisme familial indien elle avait réussi à faire preuve de caractère. Pour changer un temps des reproches de la famille elle avait intégré la fameuse Indian air force. Et avait réussie à se faire muter dans la zone de bombay.
Dans ce milieu d'hommes, dans ce pays aux traditions dures envers les femmes elle s'était taillé sa place parmis les pilotes les plus chevronnés du sous continent.
A présent elle se sentait libre mais pour combien de temps?! Ses long cheveux d'un noir profond lâchés et en tenue de ville, elle marchait rapidement vers ses quartiers dans la base. Rappelée à l'improviste.
Quelques pas la séparaient de sa chambre mais quelqu'un l'interpella.
-Mrija, enfin! Dépêche toi.
Cette dernière reconnut son amie, ayant à peu près le même parcours à la différence qu'elle venait de la zone frontalière du Pakistan. Elle était accompagné d'un jeune homme en tenue de pilote. Lunettes de soleil aux yeux, adossé au mur.
-Nalni, toujours aussi à cheval sur le règlement. Raj, tu ne l'aide pas à changer toi?! Dit elle moqueuse à ses camarades et subordonnés. Tandis que la jeune femme s'exaspéra et que l'aviateur sourit.
Une voie retentit alors. Un aviateur première classe les saluaient.
-Capitaine Moutoussamy, Caporal Amerabad et Ashparwa. Le général Jessing recommande votre présence d'urgence pour le briefing...immédiatement.

Atlantis:
Rodney s'approcha de Zelenka. Avec un air que le tchèque n'avait jusque là jamais vu.
-Radek! Laissez, je vais m'occuper du détecteur et de la communication.
-Ah bon?! Vous n'êtes plus trop...occupés? C'est mon rôle ça non? Répondit ironiquement son confrère.
-Aaah...écoutez moi enfin. Je voudrais que vous fassiez quelque chose pour moi. C'est urgent.
-Ben voyons, dîtes toujours.
Rodney, secoua les bras en signe d'approbation et de gêne.
-Vous vous souvenez de nos test avec la mise en relation de l'avant poste en Antartique et la cité? En théorie, on peut le faire...les simulations sont concluantes. Je voudrais que vous vous y atteliez.
-Quoi? Mais Woolsey à dit que...
-Je sais ce qu'a dit monsieur Woolsey. Mais on a pas le temps d'attendre la CIS, ni même d'attendre de savoir si on est menacé ou pas.
-Mais, D'après les simulations cela lèvera l'occultation. Si on s'est trompé sur la menace cela aura des répercussions terribles.
Rodney lui montra alors l'extérieur par la vitre, du bout de son doigt.
-Vous voyez la bas, c'est chez nous, il y a plein de gens dehors. Ecoutez le temps que vous mettrez à joindre les systèmes. On aura largement le temps d'identifier la menace. Si on s'est trompé c'est encore possible de vous arrêter, si on a raison vous imaginez à quel point vous aurez été important? C'est pour çà que je vous confie ce qui doit être fait le plus lentement et que je prend le plus urgent. Fini Mac Kay souriant et non sans un trait d'humour malsain.
-Je ferai de mon mieux même si cela vous tue de me demander quelque chose sans me rabaisser. Lui répondit Zelenka en marmonnant ensuite en tchèque.


Washington DC:

Le général était assis ou plutôt affalé dans son fauteuil. Au téléphone depuis un moment.
Il jouait en même temps avec sa plaque, marquée de Général J.J O'neill.
-Oui monsieur le président. La plupart des pays du monde évacuent leurs côtes. D'ailleur les capteurs des vaisseaux le confirment. Si les appareils continuent dans cette direction ils devraient aller dans les eaux un peu partout sur le globe. Officiellement on risque des petits raz de marrée mais vous savez que ce n'est pas aussi simple. Je préconise d'évacuer comme eux les villes côtières avec l'aide d'e l'armée et de diriger une partie de nos forces vers l'océan...Attendez monsieur! Il y a du nouveau.

Espace proche de l'orbite lunaire, croiseur Odyssey :

-Ici Colonel Cameron Mitchell pour l'Odyssey. On a une dizaine d'objet de tête en approche rapide. Toute communication est un échec. Je répète, la communication est un échec. Les échos montrent clairement un comportement intelligent. Trajectoire d'approche sur nos appareils.
-Ici le général Landry, approchez vous un peu.
-Bien monsieur.
L'Odyssey avança dans la direction des quatre objets lui étant dédiés tandis que les autres croiseurs comprenaient que deux seraient axés sur chacun d'eux. Les appareils étaient cylindrique avec une proue discale. Mais ils ne devaient pas être plus gros qu'un Airbus.
Une accumulation d'énergie fut détecté à leur proue. Puis rapidement des lasers de haute intensité furent stoppés par les boucliers.
-Nous sommes pris pour cibles. Les boucliers tiennent le coup. Informa Cameron plutôt calme.
-Ouvrez le feu. Lui intima Landry.
-Envoyez tous ce que nous avons comme nucléaire vers les groupes en position derrière les éclaireur. Armez les armes asgardes et les rail-guns.
-Bien monsieur.

Les dizaines de missiles à tête nucléaire, enrichie au naquada, filèrent vers les groupes à presque une centaine de kilomètres du croiseur. Les premiers missiles devraient effleurer la trajectoire des appareils agresseurs.
L'appolo, le Dédale et le Hammond se séparèrent rapidement afin d'avoir une meilleur couverture sur les échos ennemis plutôt dispersés. Puis tirèrent à leur tour.
Mais ils virent à leur dépend que, l'initiative des inconnus était loin d'être réduite au minimum.
Chaque éclaireur tiraient sur les missiles une salve laser, certains réussirent même à faire exploser deux d'entre eux à seulement quelques kilomètres du Dédale et de l'Odyssey.
-Ici colonel Caldwell pour le Dédale. Bouclier touché. L'onde de choc l'a drainé jusqu'à 70%.
-Reçu Colonel! Situation équivalente, boucliers à 80%. Major Marks, je voudrai que les armes à plasma abattent les appareils de tête.
-Fais monsieur.

La manœuvre fut répétée par les autres. Bien que les artefact semblaient doté d'une mobilité importante, quelques tirs seulement purent être évités. Un seul les réduisirent les un après les autres au néant.
Il ne semblaient pourtant pas effrayés. Une vingtaine de vaisseau du même type approchèrent rapidement.
-Abattez les! Et faites exploser les têtes restantes.
Marks s'executa et annonça rapidement que les la série d'explosion nucléaire avait détruit près de deux cent appareils ennemis dont deux vaisseaux d'attaque.
Carter et ses collègues ayant attendus un peu plus annoncèrent des chiffres supérieurs jusqu'à deux fois.
-Général, ici Mitchell. Le bilan de la première passe donne plus d'un millier d'échos détruit. Mais les dégâts dans l'ensemble de la flotte ennemie sont minimes. Des milliers d'autres sont en approche.

Les trois bâtiment ennemis d'attaque restant furent détruit mais bien que peu réactifs, les astéroides mécaniques n'en devaient pas moins être annihilés.
Les croiseurs firent décoller les chasseurs, tirèrent au missile d'interception et avec tous leurs canons possibles. Mais le bilan était là, ils étaient trop nombreux.
-Monsieur nous ne pourrons jamais tous les avoir.
-Nous l'avions compris, continuez la bataille. Atlantis se charge de prendre la relève.
-Monsieur le CIS a ralentit le transfert des drones sur la cité. Il n'y aura jamais assez...
-Woolsey nous a contacté, il a surpris un certain Zelenka forçant les codes de sécurités reliant le siège d'Atlantis aux drones du poste avancé. Il a tout notre soutien. Mais que nous soyons clairs, cela ne suffira pas. Nous réduiront probablement d'un bon tiers leur forces mais la bataille aura lieu chez nous. Le président dirige les forces armées vers les côtes afin d'accélérer l'évacuation. On essaie de prévenir la population mais les badauds sont très nombreux.
-Bien monsieur. On en abattra le plus qu'on pourra.
Un météore passant au dessus du bâtiment terrien et ayant évité les tirs multiples, se jeta sur le bouclier. On indiqua l'équivalant de presque deux gigatonne sur le bouclier.
Marks s'affola alors.
-Colonel. Boucliers à 40%.

Durban, afrique du sud :

Un homme à la carrure imposante avançait avec son unité. Il était de l'infanterie mais à coté d'eux des Tanks s'enfonçaient dans les rues de Durban. Si il enlevait son casque on l'appellerai Barracuda, à cause de la coupe qu'il avait adopté. Mais lui il préférait largement celui de Shaka, grand roi conquérant zoulou.
Le sergent Jacob Mawuku était venu avec les forces d'évacuations de la côte est et de protection des scientifiques.
Il croisa alors le regard d'une connaissance. Le docteur Nihasah Jahi prenait sa voiture pour se diriger vers la mer. Curieuse de voir ce qu'il se passera. Elle était une beauté africaine comme beaucoup le disaient. Mais lui n'aimait pas sa manière de défriser ses cheveux, cependant il admettait qu'elle était une femme plutôt respectable.
-Mademoiselle! Je sais que c'est très important pour vous mais je me permet de vous dire que je vous préférerai ailleurs...
Le ciel s'illumina alors, des météores se dirigeaient vers l'océan indien.
Elle le fixa souriante en entrant dans la voiture.
-Je vous promet de faire attention. Faites le pour moi aussi.
-Bien mad...
Un Tank passa alors l'empêchant de finir la discussion. Il se décida à accélérer la marche de son unité. Direction le port.
Cependant un de ses soldats arriva avec la radio. La nouvelle qu'il reçut de l'Etat major était inquiétante. Des Chasseurs JAS 39 Gripen, un hélicoptère Westland-super-lynx ainsi que quelques AH 2 approchaient en soutien, on lui annonçaient qu'il allait peut être devoir défendre la ville.
Il rechercha la doctoresse du regard mais ne la trouva pas. Elle devait déjà être loin.

Atlantis, baie de San francisco :

Rodney pressait Zelenka de finir lui rappelant que des pseudo astéroides s'écrasaient près des côtes.
Il y avait en fait non pas un objet mais de nombreux appareils regroupés en une immense grappe dans chaque météores. Vu leur taille s'il ne causaient pas plus de dégats c'est que ces derniers ralentissaient avant d'arriver.
Une lumière plutôt intense traversa les vitraux. Rodney se précipita vers le balcon le plus proche. Il rejoint alors Teyla et Ronon qui assistaient médusés à l'explosion d'un bâtiment de guerre.
Un météore s'était écrasé sur une frégate de l'US Navy, censé réglementer la zone autour de la cité.

Les autres bateaux déclenchèrent rapidement leur verrouillage et leurs missiles partaient abattre des objets plus haut dans le ciel.
Cependant ils n'avaient pas prévu que le danger venait de l'eau. Des engins de presque quatre de mètre pour les plus haut surgissaient sur certains navires et causaient des dégâts irréversibles.
De temps à autres l'un d'eux s'effondrait tiraillé par les tirs de tourelles ou par des lancement de missiles ratés.

Les frégates restantes et toutes les autres classes capable de manœuvre anti-sous-marine Se lançèrent dans une traque radar. Mais le mal était déjà fait. De nombreux appareils ennemis surgissaient.

Les trois atlantes se précipitèrent vers l'intérieur de la cité.
-Mac Kay allez donc presser Zelenka, je vais dire à Sheppard de ne pas l'attendre et de passer à l'action pour protéger votre flotte. Ordonna Dex en bifurquant.
-Moi je vais prévenir monsieur Woolsey et le général Landry du besoin de faire décoller les jumpers. Ajouta Teyla.
-Bien et dîtes lui donc que vous devriez poster des hommes lourdement armés sur les abords de la cité. Il faut se ruer vers l'eau.

Zelenka arriva alors en courant! Hurlant que c'était bon. Sheppard qui n'attendait que ça se concentra quelque peu puis plusieurs dizaines de drones décollèrent de la cité. Certains vinrent heurter les machines ennemies près de la flotte tandis que les autres montaient en Athmosphère détruire les météores arrivant.
Les quelques minutes de répit virent la flotte se rapprocher de la cité désoccultée. Devant les yeux inquiet des Atlantes. Woolsey et Landry arrièrent alors sur leurs balcons respectifs avant que le militaire ne parles.
-Ne vous inquiétez pas, ils ont été mis au courant. Ils viennent juste se mettre en position de défense autour de nous. Leur blessés seront téléportés par nos croiseurs ici. Alors préparez vous, la bataille ne fait que commencer, il va falloir défendre la cité. Lorne préservez vos Jumpers pour la prochaine vague.
Woolsey parla à son tour.
-Il semblerai que certaines forces ennemies ont amerris plus près des côtes et ont tenté une invasion de la ville de San francisco mais pour l'instant la défense tient bon. Cependant les pertes civiles sont nombreuses, l'évacuation est encore en cours. Si nous échouons il faudra détruire la cité et se téléporter vers l'intérieur des terres. Nous n'auront pas de quoi alimenter le bouclier avant que l'Etat major reprenne ses esprit alors courage.

Pendant qu'ils discutaient les autres drones de l'Antartique montaient vers la haute athmosphère et détruisaient des masses colossales d'ennemis. Mais ce ne fut comme prévu pas assez et presque une dizaine de milliers de grappes se dirigeaient encore vers les océans.
Cependant on observa une modification de trajectoire. Un bon cinquième avait détourné son chemin vers San Francisco tandis que les autres touchaient de nombreux endroits dans le monde. Près des côtes et des centres de population.

Cette fois ils semblaient impossible à stopper. Et rapidement les grappes revinrent heurter la baie de San francisco. Aux prises avec la marine et bientôt Atlantis.
Lorne et les autres pilotes aux jumper démangeaient déjà. Mais les ordres étaient d'attendre.
Plus loin les forces d'invasion débarquaient encore plus nombreuses sur la ville américaine.

Le Havre, France :

La nouvelle venait de tomber. Plusieurs villes de la côte normande étaient la cibles d'une attaque depuis que des météores avaient fais leur apparition, au dessus de la manche, de même de nombreux navires marchands n'ayant pas eu le temps de se dérouter envoyaient des signaux de détresse. Pire la Grande-Bretagne était aussi sous une attaque. Alors que la force maritime la plus proche était paralysée à Cherbourg on ne pouvait pas compter sur l'aide Britannique. Malgré les mises en gardes et les demandes d'évacuation de nombreux civils étaient encore sur place. Leur départ était toujours d'actualité malgré les pertes. Assis dans un des nombreux camions et blindés de transport, il le savait leur mission sera une fois l'évacuation terminée de tenir la ville du havre attendant les renforts terrestres et maritimes. Ils pouvaient compter sur les blindés déjà sur place et sur l'aviation.

Les transalls les avaient débarqués il y a peu non loin de la ville. Ils approchaient et voyaient déjà les fumées. A présent ils devaient aller au plus vite dans les zones proche de l'océan afin de contenir le débarquement ennemi. La ville était quasiment sans défense hormis quatre mirage 2000 arrivés récemment et de nombreux véhicules de particuliers fuyaient encore les zones envahies.
Le caporal Dimitri Dugard comme le reste son groupe d'une dizaine d'homme, commandé par le sergent Marc Mongin était équipé de la tenue de combat FELIN. A l'instar des soldats des trois autres sections toutes dans une compagnie commandes par le capitaine Chesnaut.
Ils ne pouvaient espérer pour l'instant du soutien que de deux escadrons de cavalerie, une patrouille de mirage 2000 et leur batterie de Caesar.

Ils arrivèrent rapidement dans la ville mais se rendirent comptent rapidement que l'ennemi avait déjà investi le centre ville et se déployait vers les zones encore épargnées.
Sa compagnie comprit qu'elle devait reprendre le cœur de la ville. Des rescapés leur faisaient état de massacres.
Les sections se séparèrent en divers groupes assistés par un ou plusieurs blindés selon les routes empruntées.
Le groupe de Dugard avait hérité d'un Leclerc et d'un VBCI dont ils se servaient pour la couverture.
On entendait au loin des explosions et on pouvaient observer la un équivalant de DCA ennemie essayer de détruire les mirages.
Pendant ce temps les météores arrivaient toujours en masse en dessinant de larges cercles de fumée dans le ciel.

-Dugard! Ecoutez, le but de toutes nos force sera de les repousser le plus vite possible vers la mer, ils n'ont que des forces terrestres. Mais en attendant les renforts notre compagnie n'est là que pour les contenir et faciliter l'évacuation civile. Interdiction de pénétrer dans les lignes. Vous ne quittez pas votre position! Ordonna le Sergent.
-Bien monsieur.
-Alors, je veux que vous preniez Chevalier et Aboukir sous votre commandement. On va laisser les blindés avancer dans la rue, on les couvrira dans le couvert des bâtiment. Les chasseurs signalent une importante formation à neuf heure après ce bâtiment! Je prendrai nos troupes pour les contenir depuis les fenêtres. Contournez la position, et demandez à Aboukir d'abattre leur dernière plateforme de combat mobile avec l'AT4. Finit le sergent Mongin.
-Aboukir, Chevalier avec moi!

Dugard avait conscience que la destruction de cette machine leur donnerai l'avantage sur l'infanterie adverse.
Il emprunta une ruelle avec son équipe tandis que les autres entraient dans le bâtiment. Le char et le VBCI approchaient de l'intersection mais si ils ne pouvaient pas identifier et détruire la plate forme ennemie les premiers, ils seraient la cible. Tout dépendait de Dugard.
Rapidement ce dernier déboucha sur la rue voisine. Notre soldat ordonna à ses hommes de stopper la course.
-Je le vois pas! Il n'y a que de l'infanterie. Contasta il.
-Caporal, derrière l'épicerie là bas. C'est une embuscade, ils servent d'appâts. Lui rétorque Aboukir.
Dugard Communiqua les informations au sergent qui proposa d'attirer le feu ennemi pendants qu'ils s'occuperaient de leur robot.
Chevalier leur fit signe que trois unités embusqués dans une ruelle, 200 mètres à 10 h risquaient de les faire repérer.
-Vous les avez sergent?
-Négatif caporal. Pouvez vous donner leur position?
-Oui monsieur je pense que ma caméra pourra transmettre leur position au char tout en assurant notre discrétion.

Aussitôt dit aussitôt fait, une violente explosion détruisit la facade cachée de l'épicerie. Et la caméra indiqua bien la destruction du groupe ennemi.
Juste après le chef de groupe, Mongin, engagea les troupes ennemies situées face à sa position.
-Réaction de la cible caporal?
Ce dernier se pencha de sorte à mettre sa caméra dans l'angle mais elle montra clairement que leur objectif n'avait pas mordu à l'hameçon. Ils devront comme prévu traverser la rue pour avoir une fenêtre de tir. Les blindés sortirent de leurs couvertures pour pilonner les positions de leur adversaire.

Les trois hommes avançaient cachés par les épaves de voitures civiles. Tandis que les envahisseurs tentaient de déloger leur collègues de leur couverture.
Les blindés avançaient sans craindre les armes légères ennemies.

-On y est presque... CONTACT. Hurla alors dimitri lorsque plusieurs unités sur un toit opposé les prirent pour cible. Ce dernier utilisa la caméra intégré de son FAMAS pour abattre un des huit opposant.
-Caporal, réaction de la machine ennemie. Je crois qu'elle nous a localisé.
-Bien utilisez votre lance grenade sur ce toit et on décampe de là.

A peine eurent t'ils le temps de s'executer et de dégager la position que la voiture explosa, les propulsant au sol.
-Aboukir, allez y, c'est maintenant...
il n'eut qua prononcer ces mots que la roquette fila vers la tête de l'appareil.
A terre. C'est ce qu'ils ont hurlés quand ils l'ont vu s'écrouler.
-Monsieur, leur infanterie se replie.
-Bien occupez leur positions, on les renforcera comme on peut. Leur escarmouche avait détruite de nombreuses façades.

Plus tard, les explosions redoublaient en fréquence mais cela faisait presque une vingtaine de minutes.
Ils observèrent leur ennemi, ces extra-terrestres étaient humanoïdes mais ne ressemblaient à rien de ce qu'ils imaginaient. Ces soldats venus de loin semblaient avoir leurs armes intégrés au corps. Nos humains essayaient de reconnaître des organes externes mais cela ne ressemblait rien de connu.

Atlantis, baie de San Francisco :

Evan Lorne avait décollé avec la majorité des jumpers. Seul quatre furent gardés en réserve.
Leurs drones avaient sauvés les navires à plusieurs reprises mais ils étaient à cours de munition à présent et l'ennemi était toujours en supériorité numérique.
Ils se résignèrent à rentrer en regardant une corvette se débattre avec deux structures ennemies.
Elle réussit à en détruire une avec ses tourelles mais la seconde lui tira une salve de missiles dans le réservoir de carburant.
-Bon sang. Ou sont les renforts? S'offusqua il.
-Quatre F-18 viennent de rejoindre notre position. Mais la majorité des appareils sont sur San Francisco. La ville est assailli de toute part. Les troupes au sol sont débordées et ne donnent plus signe de vie. Les seules informations que nous avons viennent de l'air force qui décrivent des groupes de soldats isolés en proie à l'annihilation. Les téléportations sont saturées. Il faudrait que vous les tiriez de là Major.
-Reçut général.

Les F-18 passèrent alors au dessus de leur formation tandis qu'ils continuaient vers la ville.

Sur Atlantis, Teyla observait horrifiée la scène se jouant devant elle. Des milliers de marins se faisait massacrer pour qu'elle et la cité aient plus de temps.
-Ils causent d'énormes pertes à ces saleté mais à peine on en détruit un que dix autres reviennent. S'énerva Ronon.
A leurs côtés une dizaine de marines partageaient le balcon. Dont un Rail gun, une mitrailleuse et deux AT4.
Woolsey vint observer la scène avec eux.
-La zone 51 vient de nous envoyer des générateur à naquada deuxième génération. On pourra alimenter le bouclier. Rodney essaie de faire au plus vite. Commença il en regardant Teyla.
Tout à coup une explosion retentit quelques étages plus bas. Une vingtaines d'engins de trois à cinq mètres de haut étaient sur les quais de la cité lentienne. L'infanterie ennemie arrivait par centaines.
-Teyla, rentrez dans la cité. Mettez toutes les personnes à l'abris.
-J'y vais tout de suite.

Une voix résonna alors au loin.
-Ronon c'est ça?
C'était Landry qui l'appelait avec un boîtier à la main.
-Qu'y a t'il?
-Vous êtes semble il un des meilleur guerrier ici?! La zone sud est en difficulté, les troupes ennemies y ont débarqués avec un nombre bien trop important de ces machines. Ceci est un boîtier laser. Prenez ces huit marines avec vous, il faudrait que vous puissiez les verrouiller. Cela guidera nos missiles sur eux. Détruisez en le plus possible.
-Vous pouvez comptez sur moi, pour ça. Répondit le satedan en ordonnant aux soldats de le suivre au pas de course.

La salle de la porte ressemblait à un immense hôpital avec des blessés au sol. Les infirmières ainsi que les docteurs Keller et Lam étaient débordées.
En effet il ne restait dehors que quatre navires valides.
Teyla était venue aider à les transporter vers les secteurs les plus solides d'Atlantis.

Rodney courait vers Woolsey affolé.
-Qui a t'il docteur Mac Kay?
-Nous détectons plusieurs dizaines d'Echos gigantesques au large.
-Pouvez vous les identifier?
-Non...mais ils semblent émettre énormément de signaux radio.


En orbite :
Quelques centaines de grappes continuaient à pénétrer l'athmosphère mais bientôt les croiseurs n'auront plus à les repousser.
Maintenant la bataille se jouait sur Terre. Mitchell écoutait impuissant les nouvelles. San Francisco et San Diego ne répondaient plus. On faisait état de violents combats et de lourdes pertes un peu partout dans le monde. L'attaque avait surprise mais rapidement des lignes de défense avaient été mises en place. Et elles tenaient, d'autant que les terriens avaient le contrôle du ciel.

Il avait été admis que l'eau était un objectif des agresseurs, car elle semblait être un élément en faveur de leur effort de guerre. C'est pourquoi il fallait faire comme eux, envoyer nos force vers elle pour les empêcher de prendre pied. Mais lui qui avait parfois écouté Carter parler d'Astrophysique, pensait comme elle que les suppositions des médias. Disant que c'était la ressource ayant attiré les convoitise étaient fausse. Il devait y avoir autre chose. Cameron l'admettait, elle leur était énormément profitable mais ce n'est pas, pour lui leur but principal.

-Mon commandant.
-Oui Major?
-On a un problème...


Chine, Hong Kong :

Il n'avait eut que le temps de passer un coup de fil à Zu yi pour s'assurer qu'elle était bien loin des prétendus météores. Cela l'avait rassuré car l'effroi qui s'empara de lui lorsque on lui dit que Hong Kong était attaquée aurait pu être pire. Yen était arrivé en retard lui et son commando auront donc pour mission de sécuriser une banque bravement défendue par la police et d'exfiltrer des membres du gouvernement s'y étant réfugiés avant que la ville ne soit divisée par une ligne de front.
Avant le bombardement massif.

Le bâtiment se trouvait derrière les lignes ennemies. Ils étaient escortés par des Shenyang J-11
Lui et sa section se trouvaient dans des hélicoptères de transport et avaient face à eux une vision d'horreur. Les grattes ciels étaient en feu. On observait des échanges de tirs dans les rues entre Tanks chinois, infanterie et les forces occupant Hong kong.
Au loin des Chengdu J-7 et J-10 écrasaient les positions ennemies. Ils détruisaient aussi toutes forces mécanisée approchant de la banque. Cependant cette dernière était toujours cernée par de l'infanterie équipée de matériel lourd. Ils perçaient lentement le cordon des blindés de la police.
Des tirs aliens tentaient de détruire les avions de la république populaire. Pendant que des policiers guettaient sur le toit de la bâtisse de trois étages.

-Bien on est au dessus, on va descendre en vol stationnaire à une dizaine de mètres du sol. Tenez vous prêts...allez.
Les hommes des forces spéciales glissaient le long des cordes.
Il ordonna au caporal Zao Lezhengian et neuf autres de descendre vers les étages inférieur prévenir les policiers non combattants et civils réfugiés de monter.
En effet les hélicos allaient devoir les évacuer pendant que les soldats attendraient leur retour afin d'être exfiltrés eux aussi.
Le caporal Dajie Chong Feng lui et neuf autres soldats devront rester sur le toit et couvrir Yen pendant qu'il allait soutenir le retrait des policiers de la rue.

Le lieutenant Tsang salua alors le chef de la police ayant protégé les VIP.
-Je suis honoré de votre bravoure vous et vos hommes avez beaucoup donné pour notre patrie. Nous sommes là maintenant. Faites monter tout le monde les hélicos vont se poser un à un. Le caporal Lezhengian vous aidera à porter les blessés.
-Merci. C'est moi qui suis honoré que vous nous sortiez de là.

A coté les hommes au bord du toit avaient ouvert le feu. Les dix neufs hommes restant se ruèrent avec Yen dans les escaliers. Certains avaient des lance roquettes au dos mais la plupart avaient juste leur QBZ-95, lance grenade.
Sur le toit les snipers mettaient au sol des unités ennemies embusquées ou pilotant d'après me visuel des chariots tirant des salves, comparables en terme de puissance à une roquette.

-Allez avancez. Shen prenez Yaw et Chau, déployez vous près du véhicule de police et aidez les à se replier vers la banque. Hurla alors le lieutenant natif de canton.
Il tira plusieurs rafales sur une créature face à lui avant que l'un de ses hommes ne détruisent la machine ennemie au lance grenade.
Il voyait les policiers remonter et dans le ciel les hélicos commençaient à s'en aller pour deux rotations encore.
-Bon sang il se relève celui là...la stupeur le pris voyant la créature se remettre debout même avec difficultée.
-C'est bon je l'ai eu mon lieutenant. Avec un chargeur ça devrais aller.
Une voiture explosa loin derrière eux, cible d'un tir énergétique. Deux Shenyang J-11 passèrent dans le ciel et rendit l'appareil à l'ennemi.
-Ca ne fait que commencer! Haha... S'amusa un soldat.

Bombay, Inde :

Mrija survolait Bombay dans son mirage 2000, elle escortait les Antonov transportant les troupes indiennes en renfort. Avec son escadrille dont faisaient partit Nalni et Raj.
Elle observait près de la côte des foyers d'incendies, plusieurs patrouilles de Mig-27 et de SPECAT Jaguar étaient aux prises avec les forces anti aériennes ennemies.
Mais les aéronefs jouaient leur rôle, ils retenaient sur la côte les troupes aliens. Pendant que l'armée de terre se dirigeait petit à petit vers eux.
-Vous avez vu ça les gars? On leur met la pâtée.

Mais la joie de Raj fut de courte durée. On avait détecté l'apparition d'un nombre important d'appareils et de gigantesque échos inconnus au large. Les premiers Mig-27 étaient déjà pris en chasse.
-Merde. Commandement ici Asmita leader. L'ennemi possède une force aérienne. Je répète force aérienne en présence, nous demandons des renforts adaptés. Rappelez les bombardiers.
-Reçu Asmita leader. Repoussez les, des renforts décollent pour vous aider.

-Ici Asmita leader à Parjee. C'est bon les gars on vous laisse là. On signale une forte activité près de la côte. Dit elle en s'adressant aux transporteurs.
-Ici Parjee. Reçu Asmita.

L'escadrille se dirigea alors vers l'océan. Tandis que les Antonov se dirigeaient vers le sol.
-Medabaar 3, je suis pris en chasse. La signature radar des ennemis est...
-Medabaar 3 ici Asmita leader répondez. Merde...

Le chasseur que l'inde avait commandé à la firme française Dassault se mit en formation avec trois autres aéronefs du même type. Tandis que ses amis faisaient de même dans les deux autres formations.
Le chasseur du lieutenant Raj Ashparwa, en tête de formation se lança au secours de Mig-27 poursuivi par des aéronef ressemblant tantôt à des disques épais tantôt à des part de camembert. Rapidement on comprit que les seconds se détachaient des premiers
-Ici Asmita 5. J'ai un visuel, j'engage l'ennemi.
-Je vous suis.


Sa formation le suivit et rapidement on vit le missile détruire la cible.
Mais une dizaine d'appareil supplémentaire venaient de se détacher.

Mrija Survola l'un des disques après lui avoir envoyé deux de ses missiles, en regardant en bas elle le vit s'effondrer quand ceux de ses subordonnés le touchèrent à leur tour.
-Wow, on est la chef.
Cependant une alerte résonna dans le cockpit.

Atlantis, baie de San Francisco:

Ronon avait déjà guidé les missiles au laser sur plusieurs cibles mais l'infanterie ennemie avançait toujours. Le site de lancement le plus proche avait été capturé. Et d'ailleurs ces explosions avaient endommagées une partie de la zone sud.
Soudain, quatre individus surgirent devant leur balcon, portés par des plates formes volantes.
-CONTACT. Un homme à terre. Hurla un des marines tandis que le groupe abattait l'ennemi au P90.
Ils avaient un homme à terre mais leur position tenait, cependant ils observaient au loin un étrange appareil abattant un Hornet. Ce dernier approchait la cité.
Dex voulut tester le laser sur lui et lorsque le missile détruisit la cible, il laissa apparaître un sourire de satisfaction.
Une multitudes d'appareils ennemis approchaient au loin.
-Merde on a plus de navires ici et maintenant c'est les Hornets qui dégustent...Merde ils nous prennent pour cible!
Ils s'étaient tous jetés à terre, lorsqu'ils virent que les tirs avaient été stoppés par le bouclier.
-La bataille est loin d'être finie. Il y en a qui ont réussi à entrer allez! Leur ordonna Ronon.

Dans le ciel les F-18 se retiraient pendant que l'escadrille de 302 arrivait.
-Ils devraient aider San Francisco plutôt...remarque un marines en faisant route avec les autres.

Woolsey faisait les cent pas. Si ce que Mitchell et Rodney disaient était vrai ils devaient impérativement détruire les structures au large des côtes. Les 302 auront du mal à passer.
Sheppard prenez Lorne avec vous et utilisez deux des jumpers, on pourra peut être en détruire quelques uns.
-Mon général?
-Je suis d'accords colonel, c'est impératif. Nos croiseurs ne peuvent pas entrer tout de suite en athmosphère. On multiplie les téléportations...
Une violente explosion se produisit alors dans la salle des Jumpers. Les engins ennemis sur les quais visaient la flèche centrale.


12 Août 2011 :

Live Los angeles CNN :
...Un ennemi non identifié à atteint nos côtes, dans une attaque...éclaire...il est impossible d'identifier ces ennemis mais une chose est sûre, le monde est en guerre...

...A 14h46 heure du pacifique, douze lieux différents à travers le monde ont été attaqué,au cours de ce qui semble être un assaut coordonné par un ennemi non identifié. Toutes les trouées ont été effectuées le long des côtes à travers ce qu'il semble être une campagne de domination éclaire.
Ceci est une invasion militaire dans les règles. Il y a de nombreuses victimes à New-York, Des lignes défensives sont mises en place à Boston et à 13 h 15 Zulu, nous avons perdus contact avec San francisco et San diego. Leur situation est inconnue, ce que nous savons c'est que nous sommes la dernière force offensive sur la côte ouest. Nous ne devons pas perdre Los Angeles.




A suivre : Acte 2 Nos foyers, nos familles et notre patrie.


Dernière édition par massalia le Mer 13 Jan 2016 - 8:18, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: SGWI, Stargate : World invasion   SGWI, Stargate : World invasion EmptyVen 27 Avr 2012 - 21:55

Salut, Je viens commenté la fic alors que dire, je précise que je n'ai pas vu le film donc comme ça je ne suis pas géné par lui.
elle est plaisante à lire, il y a pas mal d'action, le premier chapitre pose de bonne base pour avoir une fic très intéressante . Le style d'écriture est pas mal, la présentation est bien aérée, j'aime bien le rappel du lieu de l'action qui nous dit où se déroule la scène, comme ça c'est plus clair. surtout avec autant de perso et de lieux différents.

Faudra m'expliquer pourquoi les aliens attaquent la Terre et pas une autre planètes? Dans SG il y en a plein d'autres et quasi déserte, donc logiquement ces aliens nous en veulent personnellement on dirait bien? (l'humanité sur Terre), On aura la réponse dans le chap2?



Comme défaults, ben il y a toujours la même faute sur le mot atmosphère sans H et "le grand guerrier Ronon" ça fait cliché un peu^^. Autrement je trouve que tu vas un peu vite dans l'histoire, on passe en un chapitre seulement de la paix à une guerre mondiale, c'est rapide ! mais bon ça le fait bien pourtant, c'est étonnant.

Voilà vivement la suite. cool





Dernière édition par fangate1 le Dim 29 Avr 2012 - 19:54, édité 1 fois
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massalia
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MessageSujet: Re: SGWI, Stargate : World invasion   SGWI, Stargate : World invasion EmptySam 28 Avr 2012 - 13:01

Voici la suite. Merci du comm'
Et bien ne t'inquiète pas tu aura la réponse sur leur attaque. Les deux premiers actes concernaient surtout la mise en place de l'univers.
En fait l'attaque est fulgurante, c'est comme dans le film Wink .

Pour Ronon, je voulais lui donner un rôle dans l'histoire. Mais j'avoue que pour l'instant c'est dur.

( je poste en plusieurs messages alors.)


La fiction : Partie 1

12 août 2011 :


CNN:
-...on dénombre à présent des attaques dans plus de vingt pays différents autour du globe...
-...Shangai, Rio au Brésil, Aqba en jordanie sont les dernières à avoir été touchées...
-...de grandes structures au larges des côtes. Certaines d'entre elles ont disparues...
-...l'aviation ennemie est apparue un peu partout dans le monde. Forçant les militaires à se replier pour préserver le gros des hommes et du matériel...
-...Ils utilisent nos eaux comme combustibles...
-...Les quelques forces de défenses sont presque livrées à elles même. Les envahisseurs poussent leur avancée de la cote vers les faubourg...



Acte 2 : Nos foyers, nos familles et notre patrie :


Base de Cheyenne mountain :


Le général O'neill avançait avec une délégation dans le complexe du Norad.
Il était accompagné de plusieurs membres du gouvernement et de militaires.
Tous se dirigeaient vers la zone SGC mise en sommeil depuis l'apparition d'atlantis.

-Avez vous des nouvelles Général?
-Oui monsieur le président. il n'y a pas de troupes à Washington mais plusieurs appareils ennemis ont forcés les lignes de défenses et survolent la ville.
-On a une force offensive dans la zone?!
-Non monsieur le président. Toutes en repli le temps de trouver une solution. Dit Jack en passant sa carte dans le lecteur d'une porte.
-Rappelez en! Les gens...
-Une escadrille de F-18 se dirige vers la ville. Nous devons rejoindre le poste de commandement au plus vite.

San Francisco :

Un appareil se posa alors a proximité d'eux. Cachés dans le recoin sombre du rez de chaussé d'un immeuble en ruine, les quatre soldats et leur chef observaient le vaisseau inconnu.
-Caporal! Combien de grenades à hautes charges vous reste t'il?
-Deux mon lieutenant.
-Tenez vous prêts...
Leurs radio grésilla alors :
-Ici le Major Evan Lorne de l'air force. Je suis venu récupérer des marines. Je sais que vous êtes là...écoutez je vais sortir de l'appareil, ne faites rien de déplaisant.
Les quatre soldats se regardèrent entre eux surpris, juste avant que la porte du jumper ne s'ouvre.
Et ils virent bien un militaire en sortir. Tout a fait humain.
-Lieutenant Glenn Devrau. Alors L'air force a de nouveaux joujoux Major?
-Oui lieutenant. Allez embarquez, on est venu vous tirer de là.
Ils se dirigèrent tous vers l'entrée du sas.
-Vous savez pourquoi le PC ne répond pas Major?
-J'ai ma petite idée lieutenant...Une violente explosion les projeta en arrière.
Lorne se releva lentement pour voir que son jumper avait été détruit par un appareil extra-terrestre. Ce dernier rappelait un insecte ou l'avant d'un avion. Les nombreuses tuyères disposées sous ses flancs détruisaient les pare brise des épaves avec un souffle impressionnant.
Les soldats étaient resté immobiles le temps que ce dernier s'en aille.
-Merde...
-J'avais levé l'occultation pour que vous voyez l'appareil...
-La quoi? Ca veut dire que vous êtes coincés avec nous? Fit son interlocuteur avec inscouciance.
-Laissez lieutenant. Je vais voir si on peut avoir du secours.
Evan prit alors sa radio et contacta ses équipiers.
-A tout Jumper dans la zone. Ici le Major Lorne, mon jumper est HS. On se trouve à cinq cent mètre de l'hotel de ville. On aurait besoin de secours.
-Ici Jumper 7, la plupart des appareils ont déjà décollé il nous reste de la place mais on a des blessés.
-Ici Cadman j'ai de la place mais on est en difficulté. Vous pourriez nous rejoindre.
-Ou êtes vous lieutenant?
-Deux kilomètres au sud de votre position Major.


Le jeune Atlante fit signe aux soldats de l'infanterie de le suivre.
Ils partirent alors au pas de course vers leur point d'exfiltration.
-Major vos engins là ça viens de la zone 51 ou un truc comme ça?
-Pas vraiment lieutenant. Vous verrez quand on sortira de là.

Cela faisait un moment qu'ils couraient.
Le groupe avançait rapidement dans les rues jonchées de débris, d'épaves fumantes et d'innocents.
Les cinq américains voyaient dans le ciel quelques F-22 encore en train de se battre sur la zone. Mais il était clair que le nombre de chasseurs humain avait nettement diminué dans le ciel de San Francisco.
Quelqu'un les siffla alors.
Une silhouette s'agitait alors dans une fenêtre.
Lorne demanda aux hommes de se mettre en couverture le temps qu'il vérifie.
Un homme avec un fusil de chasse l'attendait.
Quand il marcha sur la plaque du magasin au sol, Evan compris que c'était une armurerie.
-Soldat. J'ai un pilote blessé ici. Il a une sale plaie à la jambe mais je pense que ça va.
-C'est bon on vous emmène.

Ils prirent les deux hommes avec eux. Leur petit groupe était déjà proche de la zone. Ils entendaient déjà plus distinctement les coup de feu.
Ils avaient entrevu le jumper de Cadman cette dernière le protégeait à couvert derrière un taxi. La scène était confuse. Ils l'observaient à travers un mur écroulé.
-Deux sur le toit du bâtiment de gauche. un groupe de sept autres sur l'autre toit ils font monter une machine.
-Il faut les en empêcher major, j'ai déjà vu ces trucs à l'action.
-Bien détruisez leur position et prenez deux de vos hommes. Vous là rejoindrez ensuite. Je prend le reste de vos soldats pour aller sur celui de leurs petits camarades. Vous restez ici avec le blessé monsieur. On vous fera signe. Allez on y va!
Ils se séparèrent des deux coté de la rue.
-Caporal vous vous sentez chaud au lance grenade?
-On verra bien mon lieutenant.
Le soldat tira alors en direction de la plate-forme ennemie. L'explosion détruisit toute l'unité sur le toit. Pendant que les autres surpris regardèrent dans leur direction.

Lorne et son groupe abattirent alors les aliens avant de se ruer vers la bâtisse.
De son coté Glenn Devrau fit de même.
-Major? C'est à vous que l'on doit la vie?
-Plutôt au caporal Duncan Lieutenant.

Lorsqu'ils arrivèrent en haut il eurent une vue sur la zone.
Il n'y avait plus rien autour d'eux. Ils firent donc signe au civil de ramener le blessé vers l'appareil.
-Major une vingtaine en approche par le nord à 9h, 800 mètres. Ils nous ont repérés.
-Ok on descend et on embarque.
-CONTACT. Cria un des soldat avec Lorne. quatre extraterrestres sur un balcon derrière eux les prenaient pour cibles. Le soldat d'Atlantis sentit alors une violente douleur au ventre avant de s'écrouler.
-Le major est touché. Hurla un des soldats en le traînant dans les escaliers tandis que son camarade arrivait à reculons en tirant sur leurs agresseurs.
-J'en ai eu un! Allez plus vite.
Lorsqu'ils arrivèrent en bas Cadman les aida à transporter son collègue.
Elle avait receuilli les survivants récupérés par le major ainsi que trois membres de la cavalerie blindé.
-Bon on est plutôt justes, là. J'y vais. Dit elle aux soldats avant de prendre contact avec la cité. Atlantis? Ici Cadman, je rentre avec Lorne on a récupéré dix hommes. Le major est blessé.
-Bien lieutenant. Dépêchez vous, il faudrait faire encore deux rotations avec tous nos jumpers pour sauver les soldats les plus isolés.


-Lieutenant? Vous avez parlé d'Atlantis? C'est quoi cette histoire.
Cette dernière regarda Devrau et lui sourit sans répondre avant de reprendre sa concentration. Ayant eu le gène injecté et non présent naturellement, la concentration lui était primordiale.


Le havre :

Le caporal Dugard et son groupe avaient pu avancer rapidement vers le port lorsque les renforts étaient arrivés. Mais après l'apparition d'aéronefs extra-terrestres la situation avait basculée.
Leurs adversaires avaient pu envoyer des vaisseaux sur la base de ravitaillement la plus proche. Forçant les français à se replier et être sur la défensive.
L'armée avait établie une ligne de défense à huit kilomètres, à l'est de la ville, avec unités anti-aérienne.
Mais ils étaient malmenés par ces créatures et leurs forces mécanisée.
Eux s'étaient réfugiés dans un bâtiment lorsque l'armée de terre avait été surprise. Chevalier était blessé, leur sergent avait été pris dans une embuscade en portant secours aux équipages des blindés.
-Hey Dugard. C'est toi le chef maintenant. On fait quoi? Lui demanda le second caporal du groupe.
-Je sais pas. On peut pas utiliser nos radios, ou d'autres conneries du genre...ils relèvent nos signaux. Ces chiens sont partout autour de nous.
-On va rester là...? Dit un soldat désespéré en remarquant qu'ils étaient huit dont un blessé, en zone occupée.
-Faut qu'on trouve un endroit de la ville plutôt isolé pour communiquer, consulter la carte et les mouvements de troupes. On pourra se frayer un chemin entre leurs lignes vers l'extérieur.
-Et comment on fait ça?
Dimitri approcha une fenêtre, jeta un coup d'oeil dans les alentours. Puis regard au loin perplexe.
Des centaines d'appareils survolaient la ville.
-On regarde le ciel. Faut monter sur le toit.
-En plein dans cette merde? Mais...Commença un soldat quand son chef le coupa.
Ce dernier les regarda depuis la rambarde avant de répondre.
-Je sais que c'est risqué. Mais il faut se sortir d'ici. Il y a une échelle dehors.
Aboukir et Marie-louise avec moi. J'aurais besoin que les autres nous couvrent.

Rapidement les trois hommes se retrouvèrent dans le feu de l'action.
En escaladant le caporal repensa à sa famille. Ils n'avaient jamais compris son choix d'intégrer l'armée.
A présent peut être seraient ils fier de lui. Mais encore devaient ils le revoir!
Il se promit de rentrer dans son île natale quand tout ceci sera fini. Si cela fini un jours.
-Caporal. Regardez! Là bas, il y a moins d'appareils.
Ils étaient allongés sur le toit et observaient la zone visée au zoom.
-Ca doit faire quoi ça? L'équivalent de 8 pâté de maisons?!
-Oui mais là bas. Rien qu'a 500 mètres on a un putain de groupe d'insectes ou je ne sais quoi.
Ils observèrent leurs ennemis, ces derniers devaient être toute une section avec des véhicules et plate-formes d'assaut. Ils possédaient même un soutien aérien et semble t'il un transport du même type.
Les Français se regardèrent alors.
-Ils embarquent pour attaquer la ligne de défense...ça va pas nous aider caporal!
-Espérons que nos gus là bas tiennent bon. Regardez le reste continue au sol ça va les ralentir.
-Faudrait pouvoir les contourner. Regardez Aboukir, on peut s'approcher d'eux, passer par cette autre rue juste là.
-Ouais, c'est risqué mais ouais.
-Allez on va en parler aux autres.

Le groupe se déplaçait alors vers leur destination. Des murs éventrés, des structures à moitié écroulés côtoyaient des immeubles parfaitement intactes.
Cependant la rue était remplie de fumée.
-Bon sang il reste des gars à nous dans la ville. Vous voyez?! Ils bombardent là bas. Leur dit le caporal Dugard en montrant des vaisseaux du doigt.
-Moi ce qui m'effraie encore plus, c'est qu'il en débarque encore...quel miracle qu'ils nous aient pas trouvé. Lui dit un des hommes.
L'un de ceux qui portaient chevalier sur civière prit la parole.
-Faut dire que lors de la bataille les mirages et les tigres leurs ont quand même donné du fil à retordre. Ils avaient mieux à faire.
-Hey on en a eu quand même une trentaine sans les blindés mec.
-Bah c'est...c'est quoi ça?
Ils avaient tous entendu du bruit et s'étaient accroupis collés à un mur.
Lorsque le caporal en chef reconnu leurs cris caractéristique ils leur ordonna de rentrer dans une maison.
Ils étaient dans le salon qui avait été épargné jusque là.
Une télé était en marche et leur donnait les actualités.

France 24 :
-...Des troupes auraient apparemment prit pied dans le sud est du pays et progressent vers les hauteurs. Marseille a été jusque là épargnée mais les experts estiment que s'ils prennent les Alpes cela n'aura plus d'importance. Nice est d'ores et déjà occupée, offrant ainsi une base arrière aux agresseurs.
Des chasseurs ont décollés de la base d'Orange pour soutenir Grenoble mais des troupes aéroportées ennemies sont aux portes de Briançon.
C'est pourquoi des appareils italiens et suisses sont mobilisés actuellement. Nos alliés installent des lignes fortifiées dans les montagnes pendant que nos militaires se replient pour la plupart.
Malgré la forte résistance à l'ouest, une dizaine d'appareils survolent Paris, obligeant l'armée de l'air à dépêcher des rafales venu de l'est...


-Vous avez vu ça?! Les aliens qui embarquaient, ils vont probablement sur Paris.
-Pourquoi faire? Le gros de leur force est retenue ici. Malgré le repli général on a de quoi leur faire la misère. Répondit Aboukir.
-Bon éteignez ça et surveillez les issues. Aboukir prend Marie-louise et Lebon, va à l'étage et jette un coup d'oeil.

Ce dernier s'adressa aux deux autres.
-Allez l'antillais et le picard, avec moi. Aboukir se posta à une fenêtre donnant sur leur rue, Lebon sur l'autre. Le dernier resta dans l'escalier pour faire des signes.
Une dizaine d'extraterrestre avançait dans la rue devant un engin lanceur de roquettes. Une autre dizaine suivait.
Certains regardaient par les fenêtres, certains tiraient sur les appareils ménagers en marche. Et fouillaient les bâtiments.
-Merde, merde. C'est pas bon ça...! Fit Dugard
-Faut se tirer de là caporal.
-La porte de derrière, allez vite, dites aux autres de descendre!

Toute l'équipe était dehors et courait au plus vite vers le prochain abris mais leur caporal eut une idée.
Il attendit que ses hommes soient arrivés sous la couverture d'une terrasse, presque deux cent mètre en avant puis regarda dans la pièce qu'il venait de quitter.
Quatre créatures mettaient le salon sens dessus dessous. Notre homme envoya une grenade dans la pièce, ainsi qu'une autre dans l'angle opposé de sa direction. Puis sans attendre se rua vers ses soldats.
-Entrez dans le café vite!

La grenade avait explosé près des aliens et attiré leurs collègues dans la pièce. Ces derniers fouillaient tous les bâtiment alentours et plusieurs d'entre eux tiraient dans les habitations.
Le groupe se remit en marche vers le prochain bâtiment important.
-Pourquoi avez vous fait ça?!
-Regardez leurs foutus appareils se dirigent vers l'action. On peut courir plus loin maintenant. Allez tous le long du mur! Ils vont nous chercher et faudra être loin.

Plusieurs dizaines de minutes après ils approchaient de leur objectif.
Il leur demanda de faire halte, montrant une croisée. Ils regardèrent prudemment de chaque côté puis reprirent la direction de leur cible.
-C'est assez solide, bonne vue et facile à défendre on dirait. Leur fit le caporal natif de la réunion.
-Merde les gars! Regardez là bas! Dit alors un des soldats presque horrifié.
Une dizaine de camions et autant de véhicules blindés étaient détruits et obstruaient la voie.
-Restez là et entrez. Aboukir et Lebon avec moi!
Ils avançaient en direction des épaves et se rendaient compte qu'ils reconnaissaient des soldats au sol. Ces derniers étaient mêlés a de rares civils à cet endroit de la ville mais avec plusieurs dizaines d'aliens au sol. Tandis que quelques uns étaient affalés au bord des fenêtres.
-Merde, ce sont les hommes du capitaine ça!
-Regardez s'il reste des survivants!
Mais le constat était là, c'était une triste découverte.

-Caporal j'ai réussi à joindre le commandement.
-Oui Marie-Louise?
-Il n'y a aucune infanterie alien sur Paris. Certains sont à l'arrière de la ligne la plus proche et les prennent en tenaille mais vous n'y croirez jamais! Connectez vous. La Belgique subit une attaque, leur aviation est en difficulté et des troupes débarquent par centaines dans plusieurs villes!
-Quoi?
-C'est que le début! Les aliens ayant débarqués à Hambourg ont divisé leurs forces. Certains continuent à avancer en Allemagne mais d'autres sont en direction du nord-est belge selon les américains basé à Ramstein.
-J'arrive!
-Putain, on est mal là! Ils ont l'air d'avoir un truc derrière la tête!
-Calmez vous et en marche! Tenez prenez des munitions au sol et dans les épaves! Il nous en faudra je crois.
-Va y Lebon, des caisses prend en une, j'en prend une. Là des lances roquettes!
-Qui portera tout ça?
-Je sais pas! On écoute le chef.

Ils étaient réunis dans la salle principale.
-Donc si on se dirige directement vers la ligne, on va tomber sur les agresseurs et on sera dans la même merde qu'eux!
-Comment se tirer de là?
-Je sais pas du tout! Je ne vois plus d'issues. C'est pareil partout. Leur fit il en frappant du pied dans une canette.
-On va laisser tomber?! Il y a bien un truc à faire?!...je sais pas! Contactons le PC pour avoir des ordres, un objectif. Lui fit son collègue avec insistance.
-Arrêtes! Ils se replient tous! Nous on est déjà dans la merde. Bientôt ce sera eux!

Son ami et équipier s'approcha de lui. Il le fixa dans les yeux sans craindre quoi que ce soit.
-Dimitri! Je ne t'ai jamais vu céder! Contactons les et donnons notre position. Ils pourront peut être renverser là donne et même nous donner un objectif.

Atlantis :

Rodney en était sûr à présent. Il avait identifié le rôle des structures gigantesques. Et il rappelait sans cesse aux commandants de la cité qu'il fallait agir.
-Oui vous n'allez pas assez vite! Ce sont des postes de commandement et de contrôle! Ils gèrent la force aérienne ennemie. Leur destruction est primordiale...
-Docteur calmez vous! Lui intima Woolsey en lui tendant la main.
-Nous avons déjà mis Northcom au courant. Ils suivaient une cible à LA mais elle a disparue. Ajouta Landry.
-Mais les détecteurs de la cité indiquent clairement où elles sont. Il faut faire intervenir nos croiseurs! Tant pis pour les téléportations. Une dizaines sont au large de la cité, d'autres ont été cachés sur la côte. Ce qu'il y a à LA ou ailleurs dans le monde, est presque deux fois inférieur en nombre à ceux d'ici et de Bombay! Pour l'Inde je ne sais pas mais ici c'est sûr qu'ils veulent capturer Atlantis.
-Occupez vous de surveiller leurs déplacement. Je vais parler aux commandants de croiseurs. Nous devons encore décider où envoyer les vaisseaux.
Mac kay fixa Landry avec exaspération qui reprit aussitôt en lui montrant une carte du monde.
-Ne faites pas cette tête docteur! Nous avons la confirmation qu'ils essayent de prendre les zones montagneuses d'Europe et de joindre leurs forces en Belgique.
Si cela arrive la France tombera et l'Europe peu après! Dans un autre temps ils essayent aussi de soumettre le moyen orient en joignant leurs forces en Inde à celles de médittéranée! Bloquant l'approvisionnement. L'Afrique du sud nous signale qu'un important point d'insertion ennemi s'est mis en place à Madagascar, elle servira de base arrière. Ce qu'ils essayent de faire c'est de nous empêcher de mettre en place une contre offensive efficace ou une guerre sur le long terme, nous étant favorable. Envoyer nos croiseurs quelque part c'est ne pas les envoyer ailleurs! Alors oui nous avons besoin de réfléchir où les placer! Et ne vous inquiétez pas Atlantis tiendra!
Rodney sidéré par le discours du général se tut et se remit au travail.

Sheppard de son coté avait fini de percer la coque du jumper obstruant la porte du hangar. Il passa dans le sas et força la porte de celle ci. Il eut alors vue sur le la gigantesque salle. Les quatre aéronefs présents avaient subi les aléas de l'explosion.
-C'est pas joli tout ça! Il y a de gros dégâts. Teyla! Là bas il reste un appareil intacte.
-John! Vous n'y pensez pas?! Il y a beaucoup trop de vaisseaux dehors! Attendons vos croiseurs.
Ce dernier la regarda plutôt d'accords.
-Je voulais juste voir si on avait encore du matériel Teyla. Bon je vais aider les marines à repousser les assaillants, essayez de rester près de Woolsey.

Zelenka était devant son ordinateur, surveillant les mouvements ennemis et les communiquant aux renseignements et l'état-major.
La porte se mit alors en activation. Chevrons après chevrons.
-Activation non programmé de la porte des étoiles! C'est Chulak! Annoncèrent Walter et Amélia.
Landry arriva alors.
-Bien, baissez le bouclier.

Les F-302 avaient épuisé leurs missiles et se battaient au canon. L'un d'eux survolait le bouclier d'Atlantis poursuivi par deux drones ennemi. Il s'est en effet avéré que la plupart des appareils n'avaient pas de pilotes.
L'un d'eux s'écrasa sur le dit bouclier, pendant qu'un second 302, surgit de nulle part détruisait le dernier. Des bombardiers extraterrestres, digne d'une représentation moderne des soucoupes, pilonnaient le bouclier Atlante.
Sans pour autant le faire broncher.
Lorsqu'ils captèrent des messages radios qu'ils n'arrivaient pas à localiser, nombre d'entre eux furent désorientés.
-Ici Cadman! Nous rentrons avec l'escadrille de jumper. Si j'ai bien compris le hangars est inutilisable?
-Oui lieutenant. Pouvez vous vous rendre prêt des stations Kéroniques?! Nos marines ont sécurisé une zone qu'ils essaient de tenir face aux quelques troupes ayant pu accoster.
-Roger.

A l'intérieur, les trois soldats situés à l'avant avec elle étaient ébahis. L'un d'eux laissa même échapper son M4.
-Et c'était dans la baie ça lieutenant?

Ronon avait détruit plusieurs appareils de combat et tenait à présent le poste le plus isolé de la zone sud.
Cette dernière menait vers une station Kéronique défendue par le groupe du lieutenant Diniesk.
-Il reste une cinquantaine d'ennemis en face et un de leurs robots... monsieur.
-Passez moi çà. Dit Ronon en prenant l'AT4 des mains du marine.
Il cibla l'engin qui devait être à environ un centaine de mètres puis tira la roquette qui alla détruire l'objectif et blesser une dizaine de soldats adverse.
-Vous voyez ils ne passeront pas! On ne bouge pas de là ils croient nous tenir!
Vous et Hemley allez sécuriser nos arrières!

Brattac et Teal'c arrivèrent alors dans la salle de contrôle où se trouvaient Landry et Woolsey.
-Teal'c vous tombez bien, la situation s'est aggravée ici. Lui dit alors Hank un soupcon de fatigue dans la voix.
Le Jaffa de SG1 qui regardait les points rouges sur la carte et qui entendait les communications radios tendues de soldats en avait déjà prit conscience.
Brattac lui était plutôt captivé par le PAD d'un garde qui regardait les actualités.
Les images montraient des affrontements aériens au dessus de Los angeles et l'évacuation de la base d'opération avancée de Santa monica. Ces images dataient de quelques heures. A présent le reporter disait que Los Angeles toute entière était menacée et qu'il avait été comme beaucoup de civils évacué encore plus loin.
-Le conseil a convoqué une réunion extraordinaire. Ils devraient envoyer quatre Ha'taks depuis Chulak et Delmak dans quelques jours.
-Mais ces derniers arriveront dans plusieurs jours alors? Ce sera peut être trop tard. Lui affirma Woolsey perplexe.
Brattac s'avança alors vers eux.
-Oui nous ne pouvons pas faire mieux dans un délai aussi court.
-Mais d'après ce que je vois vous n'en aurez peut être pas besoin! Fit Teal'c en désignant la carte mondiale. Puis il reprit la parole, j'ai pris la peine d'étudier l'histoire de vos peuple, vos religions mais aussi votre géopolitique grâce au docteur Jackson. Quand les ha'taks arriveront le cours de la guerre aura basculé soit en la faveur de vos ennemis soit en la vôtre! Ajouta il sans aucune émotions dans la voix.
-Oui tout se joue maintenant. Confirma Landry avant de se rendre dans son bureau.
Brattac observa un moment de frustration, son influence sur le conseil n'aura pas permis d'accélérer le secours des Tau'ris.
-Il y aurait il un moyen pour nous de vous aider dans un délai plus court? Demanda il à Richard Woolsey.
Ce dernier semblait sceptique mais se refusa à l'avouer.

En orbite :

Les F-302 avaient rejoint les Hangars des BC-304. Mitchell avait été contacté par le président en personne.
Ce dernier se trouvait dans la base de Cheyenne Mountain avec le général O'neill.
Il avait eu pour ordre de stopper temporairement les téléportations d'hommes et de matériel.
-Vous en êtes sûr monsieur?
-Oui un de leur commandement et contrôle viens d'être détruit par un groupe de marines à Los Angeles. Le Sergent Michael Nantz en est le chef. Bien qu'il en reste quatre au large de la ville, nous avons lancé une contre offensive pour reprendre notre cité. Leurs troupes n'ont plus de support aérien.
Mais les structures situées entre quinze et deux kilomètres des côtes menacent cette supériorité. Nous craignons de devoir faire face à une seconde vague de vaisseaux.

-Donc vous voulez qu'on téléporte des bombes de plusieurs centaines de kilos sur ces saletés?
-Oui vous devez viser en priorité Los angeles afin d'observer l'efficacité d'une contre offensive. Les autres cibles seront celles de Bombay et de San Francisco. C'est là bas qu'il y a les plus fortes concentrations de ces engins. Le colonel Carter et le colonel Caldwell se chargeront de ces deux là.
-Bien monsieur. Fit il en se redressant sur le siège.

Il était assis et donnait ses ordres a Marks pour des téléportations sur les cibles.
-Lima Alpha 1 téléportation en cours, cible détruite! Annonça alors le major aux commandes de l'armement de l'odyssey. Puis il continua. Lima Alpha 2 en acquisition, téléportation en cours, cible détruite...
Cameron avait demandé à ce que le canal radio avec la base reste ouvert pour que leurs chefs soient comme lui à écouter Marks avec attention.
-Colonel les drones aux dessus des commandement et contrôle s'éloignent de nos cibles.
-Comment ça? Fit Mitchell en quittant son fauteuil et allant se poster derrière son subordonné.
-Nos prédators aux dessus de New York s'écrasent à cause d'une augmentation des émissions radios, les rendant incontrôlables. Lui répondit alors un autre gradé de l'US Air Force.
-Détruisez les deux autres! Ordonna le colonel.
-Lima Charlie 3 en acquisition, on a des problèmes pour cibler l'objectif...ça y est, téléportation en cours, cible endommagée! La précision est altérée par leurs signaux.
-Encore! Allez y! Endommagée... bon sang!
-Lima Charlie 3 acquise, téléportation en cours, cible détruite.
Son commandant le regarda souriant puis repris son air sérieux, attendant l'annonce de la destruction du suivant.
Mais il fut aussi déçu que le haut commandement.
-Monsieur, les signaux sont trop fort. Il est impossible de téléporter quoi que ce soit dans un rayon 8 kilomètres autour de la cible.

Dans le silence totale le leader de SG1 se rassit dans son fauteuil. Avec une déception aussi forte que le risque encouru par les milliers de marines partis libérer la ville de Californie.
Il décida de prendre des nouvelles de l'avancée de ses collègues.
-Mettez moi en relation avec les autres croiseurs! Ordonna alors Cameron à son équipage.
Ce dernier annonça que c'était fait quelques secondes après.
-Colonel Carter, colonel Caldwell! Nous avons détruits trois cibles sur quatre. Votre ratio?
Un message audio se fit entendre sur la passerelle.
-Carter! 4 cibles détruites dans la zone de Bombay. En somme les dégâts sont minimes. A vous.
-Reçu!
-Ici Caldwell! Nous avons un ratio de trois sur plusieurs dizaines à San Francisco. Pertes ennemies négligeables! A vous.
-Avez vous détruit les appareils proche de la côte en priorité?
-Affirmatif! Répondirent les deux autres.
Un troisième vint se glisser dans la conversation.
-Ici Ellis! J'ai téléporter du matériel et des hommes en soutien à Los Angeles!
J'espère que votre action leur a donné du répit pour s'y relancer. Apollo terminé.

-Je pense qu'on a ralenti la progression ennemie à Bombay et San Francisco. Pour Los Angeles la reconquête débute. Mitchell terminé! En attente de transmission.


Un silence pesait sur les esprits fatigués de nos héros quand un message leur parvint.
-Colonel Mitchell? Ici le général O'neill, je viens d'avoir une discussion avec le président. Nous envisageons de faire exploser une tête nucléaire de quelques kilotonnes dans l'océan, plusieurs kilomètres au loin de la cible.
Cela évitera de toucher la ville et détruirait notre objectif.

-Monsieur les radiations vont affecter les marines partis combattre!
Cameron le savait même si l'explosion ne tuerai personne ou ne détruirait rien sur la côte. Le nuage radioactif sera néfaste pour toute la zone.
-Attendez! Général ici le colonel Carter.
-Carter?! Allez dites moi que vous avez en tête, de quoi griller leur saleté autant que vous allez griller mes neurones!
-Hem...heu oui mon général. J'ai observé que nos 302 et nos chasseurs de quatrième ou cinquième génération encore en vol, ne souffraient pas ou peu des anomalies causées par les signaux.
-Ah! ... j'espère que ça va marcher alors parce que mon cerveau va bien!

-Que voulez vous faire colonel? lui demanda alors Cameron curieux d'écouter son plan.
-On téléporte un de nos 302 dans une base au centre du pays, on l'arme en missiles puis on l'envoie à la limite de téléportation à altitude élevé. Il n'aura plus qu'a engager la cible sans que leurs drones ne puissent réagir.
-Cela prendrai peu de temps général O'neill.
-On vous affecte à Nellis. Contact dans une dizaines de minutes. Fin de transmission.


Los angeles :

Mike Nantz et son unité avaient été déposés par des hélicos de transport dont les fameux Black Hawk. Et étaient escortés par des F-14 et de quelques F-18. Quelques hélicos de combat, surtout des Apaches, s'étaient glissés parmis eux.
Leur équipe n'avait donc pas eu droit aux Chinook ayant pu être sauvés avant la destruction du FOB de Santa Monica. Et devant arriver avec la seconde vague.

Ils avaient été parmis les premiers à être retournés à l'assaut alors qu'ils avaient déjà accompli l'extraordinaire. Leur motivation avait fortement impressionné le colonel.
D'autant que leur groupe avait connu des pertes importantes. Ils étaient censé évacuer les derniers civils derrière les lignes ennemies. Avant que l'aviation américaine ne rase Santa Monica pour enrayer l'invasion. Mais rien ne s'était passé comme prévu, ils avaient été pris dans une embuscade et lorsque ils voulurent évacuer leurs blessé. L'hélicoptère de secours avait été abattu par l'aviation alien.

Pour finir les bombes ne sont jamais tombées car l'aviation avait du se replier et abandonner Los Angeles et leur FOB (Forward opération base).
Le Lieutenant Martinez qui les commandaient s'était sacrifié sur la bretelle de l'autoroute pour leur permettre de fuir au sol.
Cependant après avoir atteint un second point d'extraction pour être évacués, le sergent Elena Santos qu'ils avaient rencontrés au début de leur arrivée confirma les doutes de Nantz.
Ils avaient survolés un commandement et contrôle ennemi caché. Elle leur en avait parlé en leur disant que sa mission était de le suivre pour Northcom.
Leur décision fut de laisser l'hélico évacuer les civils et de partir en reconnaissance.
Permettant ainsi à l'artillérie de détruire le dispositif.
Mais cela leur coûta un équipier.

Cependant l'équipe était maintenant plus soudée que jamais autour de Nantz. Même Santos la nouvelle et le caporal Jason Lockett qui avait un grief contre lui.
Les marines étant repartis à l'assaut avec lui étaient donc les deux premièrement cités, le caporal Kevin Harris, le doc de l'équipe Jibril Adukwu, le caporal Steven Mottola, le caporal Lee Imlay. On leur avait ajouté deux marines sans unités. Le première classe Jim Chayton alias le sioux et le soldat William Stallger.

L'ennemi s'était emparé de la côte allant de Malibu à San clemente et avaient pénétré dans les terres jusqu'à hauteur de Passadena.
Mais la ligne de front avait du être réduit au niveau du centre ville par la destruction de leurs commandement et contrôle. Le front joignait donc Santa Monica à Laguna beach, en passant par la ville.
Laissant en avant juste quelques poches destinées à ralentir les terriens, le temps qu'ils s'organisent.
Le gros des troupes de la première vague aura pour mission d'attaquer ces poches en avant afin de leurrer l'ennemi.
D'autres groupes que ce soit des « platoon » ou « Squad » dont celui de Nantz iront contourner leurs positions pour capturer des points stratégiques sur leurs flancs et à l'arrière. Bloquant ainsi tout repli si ils pouvaient renforcer la zone et permettre l'attérissage de renfort pour avoir un effet tenaille.

Mike regarda chacun de ses soldats, puis se mit à parler mains posées sur son M16.
-Allez les petits on retourne à Santa Monica! Notre groupe et celui du sergent chef Laraby seront chargés de sécuriser l'aéroport municipal afin de permettre l'arrivée de matériel. Pendant ce temps deux autres équipes prendront l'aéroport international et une autre la marina. Ceci fait on aura trente minutes pour joindre nos forces et tenir la zone.
Lorsque le matériel arrivera on pourra fonctionner en tandem avec les gars partis prendre Long Beach dont le camps Pendleton.
Mais pour cela il va falloir tenir! Car on est derrière les lignes de ces bâtard. Mais ils ont affaire aux marines! Se replier?
-NON! Crièrent les autres en coeur.

Imlay s'approcha alors de Nantz une question sur le bout des lèvres.
-Donc on prend aussi Venice alors?
-Oui caporal. Il y a un soucis? Voyant que quelque chose troublait son caporal.
-Cela fait voilà quelques années que j'y ai vécu. j'av...j'ai quelques amis là bas. Avoua alors le jeune Lee.
-Pensez à votre mission marines! On pensera après à nous. Répondit Mike sans réel intonation. Se voulant ni rassurant ni dur.
-A vos ordre monsieur! Répondit le jeune homme presque au garde à vous.

Leur groupe avançait rapidement vers la cible. Ils devaient être à moins de 500 mètres. Lorsque Nantz leur ordonna de stopper net.
Le ciel était clair, aucun objet ne le survolait si ce n'était les lointains hélicos qui repartaient. D'ailleurs l'ennemi avait vu et les attendait.
De leurs coté ils voyaient le groupe de Laraby s'éloigner pour contourner et entrer par une autre issue.
Motolla et Lockett observèrent la portion qu'ils devaient prendre d'assaut.
-Deux engins lanceurs de roquettes. Une à 11H l'autre à 13 Soutenus chacune par un groupe de sept aliens.
Ces derniers étaient à couvert derrière de nombreux éléments du décor. Tel des véhicules abandonnées, des murs effondrés, des gravats et parfois même des épaves de leurs drones.

-Imlay prenez Lockett, Adukwu et les deux nouveaux! Vous allez avancer le long des murs et essayer de neutraliser leur infanterie. Si vous êtes assez prêts, allumez leur machine au lance roquette ou au lance grenade.
Mottola, Santos et Harris avec moi ça me fait un tireur d'AT4 sur trois. Avec Harris. Allez marines!
La petite troupe allait vers son destin, personnifié par une garnison d'extraterrestres dans un aéroport municipal.
Imlay menait les soldats lui étant confiés vers l'ennemi. Ils allaient tenter une attaque de face. Mike lui avait fais en sorte d'emprunter une rue voisine afin d'aller furtivement attaquer le flanc adverse.

Le caporal Lee avançait, le ventre noué, l'ennemi savait qu'ils étaient là. Et en se déplaçant ils avaient perdus le visuel. Ce dernier espérait que leurs proie ne devienne pas leur chasseur. D'ailleurs tous craignaient l'embuscade. Arrivé à une centaine de mètres il ordonna de stopper.
Plus aucun mouvement afin de ne pas se faire repérer.
-Lockett! Tu vois quelque chose?
Ce dernier ajusta son viseur et observa l'entrée, ou plutôt la brèche dans le mur.
-Presque tous là! Deux manquent à l'appel.
-Merde! Entrez dans le bâtiment. Cherchez à toutes les fenêtres! Allez!
Ordonna il avant que les autres ne le suivent.

Chacun se posta à une fenêtre, tandis que le caporal commandant gardait l'oeil sur le gros des troupes venues d'un autre monde.
-Hey! Caporal! Une cible sur le toit à 10H. Observa Stallger.
-Un autre surveille l'entrée de leur bâtiment. A couvert derrière une putain de chevrolet. Ajouta alors Lockett avec un soupcon d'humour dans la voix.
Imlay sourit alors au premier avant de prendre la parole.
-Stallger prenez ma place! Hey, Lockett! C'est pas toi qui disait que t'était un taré de lanceur au baseball? Commença alors le jeune soldat.
-Ouais pourquoi?
-Tu pense que d'ici tu peux lui balancer une grenade? Je m'occupe de l'autre connard sur le toit avec mon lanceur.
-Ca marche!


Chacun se mis en position pendant qu'Adukwu rejoignait Stallger pour soutenir ce dernier en cas de réaction ennemie, de l'autre coté.
Jason se mit alors au milieu de la fenêtre puis lança sa grenade sous la voiture ennemie. Son action avait permis au second alien sur le toit d'observer le mouvement de sa silhouette. Peu après plusieurs tirs vinrent éclater sur les rebords de la dite fenêtre forçant l'américain à s'assoir.
Imlay passa dans l'angle de la porte et tira un coup vers le toit. L'explosion se produisit à peine avant celle de la grenade à main et les débarrassa de leur cible principale.
Peu après Jibril Adukwu et William Stallger revinrent dans leur direction en ordonnant de se jeter à terre.
A peine fait qu'une série de petites roquettes vinrent détruire un partie du mur.
Tous étaient sonnés mais chacun se tortillait pour se remettre en selle.
-Ca va?! Tout le monde va bien? Leur demanda Imlay en ajustant son casque.
Tous étaient recouverts de poussière. La pièce elle même offrait peu de visibilité avec le nuage soulevé.
Ils entendirent alors un râle, cela venait de derrière eux, Clayton était allongé dans les débris d'une table Basse.
-Adukwu! Clayton est touché! Hurla Imlay en courant vers le mur détruit.
-Je vais voir ce que c'est! Répondit Adukwu avant de l'examiner et de reprendre. C'est bon sa vie n'est pas en danger! Mais il peut pas continuer la mission, il a une jambe cassée et une plaie au bras... Imlay!
-On dégage, y a du mouvement là bas, je sais pas d'où sortent les autres mais ils sont une vingtaine. Faut pas rester là.
-Caporal! A cinquante mètres en arrière! Il y a un Humvee en état dans la rue!
-Non seulement en dernier recours, on doit attendre le sergent! Lockett, prends ce putain de lance roquette et viens dehors! Qu'on détruise leurs jouets. Les autres répartissez vous! Fit alors Imlay en courant dans la rue avec l'antichar
-Et Clayton?! Fit remarquer Jibril qui le soutenait par l'épaule.
-Emmène le dans la pièce derrière et reviens ici.

Les deux tireurs à la roquette s'activèrent et virent leurs projectiles toucher les deux cibles. Occasionnant des dommages collatéraux aux assaillants.
-Bon ben c'est parti pour la fusillade mon pote! Sortit alors Lockett en levant son M16 au niveau de l'épaule.

De son coté Mike avançait prudemment vers la position ennemie.
Il observa que leur effectif avait fortement diminué et qu'il manquait les deux engins. jusqu'à ce que sa radio crépita.
-Sergent ici le caporal Imlay! On est pris à parti...ils sont en supériorité numérique!
Santos approcha alors et lui signala que leurs cibles immédiate se repliaient vers la tour de contrôle. Lieu et poche de résistance ou le second groupe d'intervention était en difficulté.
-Ok! Santos prenez Harris avec vous et allez aider Imlay! Mottola avec moi, il faut qu'on envoie une roquette dans cette tour! Harris donnez l'AT4 à Mottola!
Chacun partit alors de son côté au pas de course. Le caporal Mottola se mit en position de tir à la roquette.
Pendant que Nantz observait la zone avec son viseur.
-Une dizaine au sol! Aux prises avec le groupe de Laraby. Le gros des troupes ennemies se trouve bien dans la tour. C'est plutôt bien ça! Remarque Michael, un genoux à terre, la tête braquée au viseur.
Il prit alors sa radio et contacta Laraby.
-Sergent Chef Laraby, ici le sergent chef Nantz! Je vois que vous avez réussi à entrer! On vous débarrasse de quelques unes de ces saletés et on arrive avec un petit contretemps! Si cela ne vous dérange pas. Lui annonça alors Mike faisant d'humour
-Roger sergent! On va essayer de vous en laisser! Répondit Christopher Laraby avec autant de répartie que son interlocuteur.
Nantz ordonna alors à Mottola de détruire la tour de contrôle.
Ce dernier tira alors une roquette qui alla bien se loger au centre de la pièce. L'explosion détruisant ce qu'il restait de vitres.
Peu après un nuage de poussière s'éleva de la dite tour mais il fut loin de rivaliser avec les panaches de fumées noirs montant des carcasses d'avions.
Le sergent se retourna alors aider Imlay.

De son côté le caporal avait du replier son équipe vers le humvee. Il était monté sur la mitrailleuse de ce dernier.
Stallger n'avait eu aucune chance mais ils avaient pu mettre clayton à l'abris dans une bâtisse.
Il couvrait l'arrivée de Nantz en attirant leur attention avec sa mitrailleuse.
Santos elle était bloquée avec Harris derrière un muret.
-Lockett! Il est pour toi celui là!
-fallait bien que je m'en fasse un!

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Dernière édition par massalia le Sam 28 Avr 2012 - 13:56, édité 1 fois
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SGWI, Stargate : World invasion Empty
MessageSujet: Re: SGWI, Stargate : World invasion   SGWI, Stargate : World invasion EmptySam 28 Avr 2012 - 13:11

(Partie 2)

Atlantis :

Rodney travaillait nerveusement. Il avait beau savoir que le bouclier tiendrai, voir tous ces appareils opérationnels autour de la cité...cela ne le rassurait pas.
Landry revint alors d'un pas décidé et il se tenait droit face aux membres de la salle de contrôle.
-L'Etat major vient de décider! Qu'on enverrai nos croiseurs en premier lieu au dessus de Bombay, San Francisco et en Europe du sud. Ils apporteront un soutien au forces conventionnelles! Leur second objectif sera L'inde puis la jordanie et des missions de soutien diverses.
Il va y avoir de la casse. Cependant on a semble t'il un commandement ennemi à San francisco!
Nous aurions besoin de concentrer nos efforts sur une mission de renseignement. Sheppard, Mac Kay, Teyla! Prenez Cadman et choisissez quelques marines! On compte sur vous.

De son côté Brattac avait décidé pour montrer son soutien de rester aux côté des Tau'ris.
Il ne les avais jamais vu aussi malmenés dans une guerre. Il comprenait que la mission de Sheppard servirait à une vengeance qui se voudra terrible.

Ronon courait vers le téléporteur sans le quitter du regard. Il n'avait même pas pris la peine de ranger son arme. La zone et la plupart de la cité étant sous contrôle, il pouvait se porter volontaire pour d'autre missions.
Et sans le petit appel radio de Sheppard il serait encore là à mater les quelques aliens restant et déjà effrayés.

Hong Kong :

Yen Avançait avec Zao, trois autres soldats et trois policiers dans les rues de Hong Kong.
L'aviation avait reculé peu après l'évacuation des civils à cause d'une attaque massive d'aéronefs aliens. Les laissant eux et la police à la merci de leurs ennemis.
Ils voulurent fuir mais furent pris dans diverses embuscades.
Le seul hélicoptère qu'on leur avait bien donné fut détruit avant d'arriver.
Le groupe avait eu l'ordre de se rendre dans le dernier point d'extraction de la ville s'ils voulaient se faire évacuer.
Les chinois abandonnaient Hong-Kong et ceux voulant fuir n'avaient qu'une issue. Située sur la partie la plus occidentale de la cité.
Mais devaient s'y rendre par leur propres moyens.

Le groupe était près d'une station essence. Ils avançaient furtivement le long d'un restaurant. Soudain une violente détonation les força à stopper et regarder autour d'eux. Mais il ne semblait y avoir aucune menace.
La radio crépita alors et ils eurent un contact avec l'état major.
-Lieutenant Tsang?
-Ici le lieutenant Tsang.
-D'après votre dernier rapport, votre position se trouverait proche de deux sections fraîchement débarquée.
-Vous débarquez encore des troupes? Je croyais qu'on se repliait.
-Ecoutez! On a des informations concernant une structure de commandement ennemie. A Trois kilomètres au sud de votre position. Nos troupes sont ralenties par leurs embuscades et bientôt l'aviation ennemie sera sur eux. On a besoin de vous pour nous aider sur ce coup.
-Comment pourrions nous vous aider?
-Quelques rues avant votre cible un important point d'extraction a été pris par l'ennemi. Il doit y avoir assez de matériel et d'explosif pour que votre petite équipe puisse détruire l'ennemi...ou nous aider à le détruire. Vous devez vous y rendre et aller directement sur la cible tant que nos section les occupe.
-Reçu on fera notre possible! Allez vous en route.

Au loin dans la rue on apercevait la silhouette d'un Tank tirant vers le sud.
-C'est sûrement eux! Il faudra pas nous faire remarquer le temps qu'ils attirent le feu ennemi!
Ils reprirent la route de cachette à cachette, en écoutant leurs compatriotes se battre au loin.
-Chef! Si on se fait chopper en prenant des armes?
-Il faudra faire en sorte que non. Je crois qu'on a du lourd là!

La petite troupe approchait du point d'extraction. Mais déjà ils aperçurent une patrouille de quatre aliens dans la rue. Largement à leur portée.
-Pas de vague, on les laisse passer!
Ils observaient l'adversaire en restant à couvert dans une pièce à moitié détruite.
Chacun à une fenêtre ou entrée faisait des signes pour confirmer le passage des extra-terrestres. Ils observaient aussi sur les toits que personne ne soit caché.
Et peu après les huit chinois reprirent leur route au pas de course.

Ils arrivèrent après un moment de course éprouvant aux portes de leur premier objectif. Le point d'extraction était un parking, recouvert d'épaves de voitures et d'hélicoptères. Il y avait même un chasseur encastré dans un immeuble de la rue adjacente.
-Deux cibles sur le toit à 12H, quatre autres patrouillent dans les rues. Et j'observe un embusqué dans le dépôt de munitions. Remarqua Zao.
-Bien Zao prenez les policiers et allez sur le toit. Débarrassez nous des deux gardes, le plus discrètement possible. Les autres avec moi.
Chacun obéis aux ordres et en quelques minutes, le toit fut nettoyé pour laisser l'équipe de Zao prendre place.
Yen lui était aux prises avec l'infanterie dans la rue. Trois aliens étaient à terre mais celui embusqué couvrait son camarade en mitraillant les soldats chinois.
Tsang laissa alors ses hommes combattre de front et alla contourner le dépôt de munitions.
Il était hors de question d'utiliser des explosifs, il ajusta la visée sur le torse de l'alien et vida son chargeur.
Le lieutenant se rua sur ce dernier et sortit son couteau.
Ses hommes arrivèrent peu après, ayant écartés toutes menace.
-Bien, il y a des chargeurs. Des lances roquettes et des explosifs en tout genre.
Zao je voudrai que tu prenne des systèmes de guidage, j'en prendrai aussi. Allez on se magne.
Chacun faisait ses courses, comme ils le disaient. Puis ils reprirent rapidement la route.
Pendant le voyage, ils observaient autour d'eux les dégâts dans les rues de la ville. L'aviation ennemie n'avait pas lésiné sur les moyens.

Ils aperçurent alors une étrange antenne s'élevant du sol.
-Vous pensez que c'est ça? Demanda un policier.
-On est aux coordonnées! Bon on semble être arrivé sans se faire repérer. Messieurs de la police, on aura besoin d'une couverture. Mes hommes iront poser des explosifs sur cette antenne.
Ils exécutèrent le plan en se déployant dans la zone. Cessant tout mouvement quand un drône les survola.
Une fois les explosifs placés chacun se replia mais Zao sembla remarquer quelque chose.
-Caporal! Dépêchez vous...commença le Lieutenant.
-Attendez, je crois que...
-Zao, ils faut faire péter ce truc! Repris son ami et supérieur
-Je crois que c'est beaucoup plus gros qu'une antenne! C'est dans les égouts! Il va falloir poser des charges supplémentaires.
-Quoi?
-J'y vais s'il le faut!
-On y va tous! ... Sauf la police. On aura besoin d'un soutien.

Ils soulevèrent alors une plaque d'égout. Le groupe de soldat glissa le long d'une échelle.
L'endroit était plutôt sombre. Aucun bruit ne venait rompre l'atmosphère sinistre s'étant imposé sur le lieu.
le groupe avançait à l'aveuglette. Forçant chacun à s'équiper de lunettes infrarouge.
Au bout de quelques mètres, nos hommes aperçurent une petite bifurcation sur leur droite. Zao eut l'ordre de continuer tout droit pendant que Yen prenait deux soldats et allait dans le nouveau passage.
Chacun devait s'enfoncer de quelques dizaines de mètres puis revenir sur leurs pas si ils ne se rencontraient pas au bout.

Après quelques minutes, le lieutenant Tsang aperçut un groupe de quatre extra-terrestre. Ces derniers semblaient superviser une huitaine plus loin qui installaient d'étranges cônes dans l'eau.
Cela semblait être pour eux un moyen de tirer l'énergie de l'eau.
Le commandement et contrôle devait avoir fait un voyage ayant consommé pas mal de ses ressources énergétique. Même si la destruction de ces sortes de pilonnes était probablement peu efficace, peut être pourra il au moins endommager la structure affaiblie.

De son côté Zao arrivait près d'une entrée gardée par deux ennemis.
Ils ne possédaient pas de silencieux sur leurs armes. Il ne vit que la force pour entrer mais cela ameuterai les autres et la pose des charges explosives en sera rendue plus difficile.
Cependant il entendit une série d'explosions qui retentit au loin, requérent l'attention adverse. Laissant ainsi la porte libre. Ils pensaient le passage empruntable quand trois aliens les surprirent au corps à corps.

Yen avait lancé plusieurs grenades dans la zone des pilonnes.
La surprise passée, la huitaine d'aliens restant se mit comme elle put a couvert, en attendant des renforts.
Les soldats chinois durent se résoudre à tirer au lance grenade pour gagner du temps.
Une fois la percée effectuée Yen ordonna à ses soldats de se rendre vers les parois de la structure. Lui il les couvrait en éliminant toute menace.
A peine eurent ils le temps de poser quelques charges sur la cible que des renforts arrivèrent.
-On se repli! Allez, on se repli vers la surface! Hurla t'il à ses deux hommes. Puis il contacta Zao.

Ce dernier avait abattu, comme son collègue un alien a bout portant avec tout un chargeur et s'était dirigé vers l'intérieur. Son soldat était resté aux prises avec le dernier extra-terrestre. Il n'avait pas eu le temps de recharger et se battait au couteau, en le plantant dans le torse de l'ennemi. Pendant le laps de temps ou l'adversaire fut sonné il dégaina son arme de poing et tira encore tout un chargeur.
Le caporal se dirigeait dans d'étroit couloirs quand il eut face à lui, dans une pièce plutôt spacieuse, un de ces monstres s'occupant de divers instruments.
Ces derniers ressemblait aux supercalculateurs, d'un autre âge. Et l'ennemi semblait les commander toutes avec une petite tablette qu'il tenait dans ce qui lui servait de mains. Du moins une étrange tentacule articulée tenait la tablette et une autre l'utilisait.
L'homme des forces spéciales lui envoya une trentaine de balles puis courut récupérer l'artefact. Avant de partir il voulut poser encore des explosifs mais il n'en avait plus.
Le sol commença alors à trembler. Il se mit alors en direction de l'extérieur.
-Zao! Où est tu? Je crois qu'ils vont essayer de déplacer ce truc. Il faut qu'on remonte et qu'on le fasse péter. S'il faut on l'achèvera avec des roquettes.
-Attends! J'ai trouvé la salle de commandes, je vais chercher les explosifs avec Chau!
-Caporal! C'est un ordre! Repris Yen avec un ton plus officiel.
L'immense structure métallique se soulevait lentement faisant s'éffondrer le plafond.
-On se retrouve dehors...lieutenant! Finit Zao Lezenghian dans sa radio. Il arriva peu après à toute allure vers la sortie.
-Chau! Attrapez ça! Lui hurla il en envoyant la tablette. Puis il réclama le sac d'explosif.
-Caporal! On a pas le temps!
-Envoyez moi tout ça! Et tirez vous de là! On se retrouve là haut.
Le commando lui envoya alors le sac puis courut vers la trappe d'égout.
Il remonta l'escalier le plus vite possible alors que tout tremblait autour. Les vibrations lui causaient de grosse douleurs aux bras. Mais il parvint à monter.
-Chau ou est le caporal!
-Dedans mon lieutenant! Ou derrière moi! Je sais pas...il m'a donné ça. Lui répondit l'intéressé en tendant la tablette.
-Ils faut qu'il sorte j'ai besoin de faire péter ce truc!
Peu après ils virent la monstrueuse machine de guerre s'élever.
Ils se rendirent compte, quand la petite entrée fut a leur hauteur que le caporal était au sol, rampant vers la sortie.
Tirant en position allongée sur deux aliens le retenant.
Un de ses ennemis s'écroula. Tsang courait vers l'action!
Arrivé en face de la porte il tira à son tour sur le second alien.
Puis sauta les cinquante centimètres le séparant de son ami!
Il le souleva et le tira vers la l'extérieur, les deux jeunes cantonnais atterrirent en catastrophe sur le sol pendant que d'autres ennemis arrivaient. Certains de la structure, d'autres des égouts.
A peine purent ils se mettre à l'abris derrière une voiture que Chau activa le détonateur.
Plusieurs explosions sur les parois externes décharnèrent leur cible, avant qu'une violente explosion dedans ne se fraye un chemin vers l'extérieur.
Au vu de la surprise générale, le lieutenant se releva et traîna son coéquipier jusqu'à la position des policiers.
Chau arriva en courant vers lui un étrange artefact à la main.
Il observaient sur l'écran des vues aériennes de champs de bataille. Les troupes humaines se faisaient écraser. Chaque vues étaient dans un cadre relié par un trait vers un dernier représentant plutôt une carte. Lorsque le soldat tira un des cadres videos vers une autre zone de la ville, il vit que le drône se déplaçait.
Mais quelques secondes après tout les écrans vidéos s'éteignirent et ce au moment même ou le commandement et contrôle s'éffondrait en laissant divers morceaux se détacher.
-On l'a eu! S'exclama alors Zao.
-Oui on l'a eu caporal. Les autres?
-Ils fuient mon lieutenant! Répondit un autre soldat aux aguets.
Chau arriva et expliqua ce qu'il avait découvert. Et tous prirent contact avec l'état major. A la nouvelle on leur annonça qu'ils venait de libérer le ciel de la ville. Et fait s'écraser des milliers de drones. Une première contre-offensive aérienne ira tenter de détruire les autres commandement ennemis, maintenant que leur nombre de vaisseaux avait été réduit. Ensuite la contre offensive terrestre aura lieu. Eux, ils allaient être évacuer. Il fallait juste rejoindre les deux sections qu'ils avaient sauver.

Le groupe mit le blessé sur une civière et partit rencontrer leurs compatriotes.
Yen avançait lentement a l'avant. Il se retourna jeta un oeil sur son ami. Celui semblait se sentir bien. En dépit de sa blessure Zao était un gars solide.
Leur enfance dans les rues de Canton le lui rappela, ils n'étaient pas sages.
Son père y tient un restaurant et il se souvient de la fois ou son ami s'était amusé avec un couteau. Se blessant à la cuisse. Ce fut la plus grande peur de sa vie. Heureusement que madame Shi-tsang avait appelé les secours.
Lui avait été sévèrement puni. Zao est une forte tête mais c'est son ami. En dépit de leurs mésaventures il l'appréciait. D'autant que c'est avec l'une de ses bétises qu'il rencontrait Zu yi voilà trois ans.

Bref du haut de ses 28ans il était toujours le même gamin fasciné par un pote plus populaire.
Cependant, malgré toutes ses inquiétudes Yen se sentait mieux. Il sentait qu'il allait rentrer chez lui bientôt. Manger un plat de Shop-suey! Que la situation allait s'améliorer. Son mental lui disait qu'il pouvait se tromper mais l'effervescence de cette victoire le rendait euphorique.
Notre homme, laissa de coté cette courte évasion pour reprendre sa concentration.
Une embuscade était encore possible.

Cheyenne Mountain :

Le complexe du norad était en ébullition, au vue des actualités l'état major y avait établi son QG temporaire.
Depuis le retour d'Atlantis voilà des mois, le SGC était inopérant pour tout ce qui concernait les missions interplanétaire. Mais les recherches sur la porte y continuaient autant que dans la zone 51. Cherchant à rendre les deux portes opérantes.
D'ailleurs cette situation avait provoqué un refroidissement des relations avec la Russie réclamant son retour.
Cependant les états-unis remettaient toujours sur la table la possibilité du retour d'Atlantis dans pégase. Et ajoutant que le SGC restait une importante base terrestre secondaire dans le programme stargate.
Les membres du gouvernement, aussi présents, suivaient avec attention l'évolution des évènements.

Le président venait de se rafraîchir et arrivait en salle de crise.
-Monsieur le président nous avons la confirmation de nos forces sur la zone. les quelques appareils ennemis ayant pu survoler Washington ont procédé à une attaque cible sur la maison blanche et le pentagone!
-Que dites vous général?
-Nos appareils sur la zone ont pu repousser l'attaque mais nous pensons que leurs cibles étaient clairement définies. Seul le capitol est intacte.
-Seigneur! Fit le président Howard Elliot Cumming en se mettant la tête entre les mains.

Un autre technicien prit alors la parole en enlevant son casque et en se détournant de son écran.
-On a du nouveau en Chine. Ils ont repris le ciel de Hong-Kong! Une contre offensive aérienne est menée pour détruire les autres commandement ennemis.
-Au moins une bonne nouvelle! Soupira Cumming pendant que le général O'neill se rendait au poste en contact avec les croiseurs orbitant la planète.
-Ce n'est pas tout monsieur le président! Ils affirment avoir découvert quelque chose sur les aéronefs extra-terrestres!
-Bien tâchez de garder le contact avec eux, sergent. Et préparez une entrevue! D'autres nouvelles importantes?
-Les français pensent avoir repérés un commandement et contrôle dans une de leur ville côtière normande. Ils préparent une opération de destruction...mais la situation en Belgique et dans le sud est du pays risquent de mettre cette opération a mal.
-Faites le point avec nos croiseurs, on verra dans combien de temps on peut leur venir en aide. Autre chose?
-Les forces ennemies font des ravages a Madagascar et l'Afrique du Sud ne les contient que grâce à l'aide voisine. Nos avions ont déjà décollé de la base de Diego garcia pour leur venir en aide. Les Français ont mobilisés deux transall sur leur ile...de...la Réunion. Une fois le ciel dégagé ils promettent de parachuter des hommes pour aider Madagascar.

Un second militaire fit savoir que les troupes avançaient à Los Angeles mais que San Francisco et San diego étaient toujours injoignables. Les seules nouvelles de la ville mythique de la ruée vers l'or venait d'Atlantis. Les croiseurs avaient détruit des plates formes ennemies mais c'était bien peu.
Une masse énorme de drones tentaient de faire céder le bouclier Atlante tandis que les autres patrouillaient le ciel de la côte. Ils avaient identifiés la cité lentienne comme un objectif prioritaire.


Le major Davis arriva alors en courant l'air affolé.
-Monsieur le président on a un imprévu!
-Comment?
-L'ennemi a regroupé ses forces sur la Virgine et la Floride afin de bloquer nos contre offensives. Mais nous avons été leurrés. Un détachement de leurs forces aéroportées se dirigent ici. Enfin ... deux si on ajoute celui venant de floride.
-Bon sang! Sommes nous prêts à les acceuillir?
-Une escadre de F-22 a décollé et nos batteries de SAM sont aux aguets mais ils vont sûrement pouvoir débarquer de l'infanterie.
-De quel ordre?
-Je ne sais pas vraiment monsieur...tout dépend de l'efficacité de nos...
-Combien en aurons nous à affronter et de combien d'hommes disposons nous Major? Ordonna alors le chef de l'état agacé par la situation.
-Probablement deux ou trois centaines d'envahisseurs. Et avec la baisse de nos effectifs, on sera deux fois moins nombreux qu'eux!
-Pensez vous que l'on peut téléporter des troupes supplémentaire?
-Je vais voir le général O'neill. Si la situation s'aggrave on devra vous évacuer. Mais je doute que de l'infanterie puisse entrer ici de l'extérieur.

Bombay :

Mrija survolait la périphérie de Bombay avec son mirage 2000.
L'escadrille d'origine que le capitaine commandait avait été en grande partie détruite.
On lui avait assigné quatre autres appareil similaires ainsi que l'assistance d'une dizaine de SU-30.
Tous ralentissaient l'avançée ennemie du mieux qu'ils pouvaient, le temps que le gros des forces se repliait. Mais cette mission était semble t'il un leurre. Les renseignements en collaboration avec l'amérique avaient identifié trois cibles en ville et plus d'une dizaine au large.
Ils n'attendaient que le retour des MIG-27 et 21 pour pouvoir accomplir leurs mission.
Le groupe aérien devait attaquer en priorité les cibles au sol puis ceux au large.
Mrija n'avait qu'une envie! D'en découdre! Elle voulait se venger des aliens. Pour ses amis et pour elle même qui avait survécu de justesse.
Elle se sentait encore troublée par les évènements mais faisait tout pour garder son calme.

-Asmita Leader ici commandement. Vous pouvez engager l'ennemi. Attention aux appareils aériens, vous allez devoir passer entre les lignes. Mais que ce soit clair! Votre objectif se trouve au sol. Terminé
-Reçu commandement! Terminé. Leader à formation, derrière moi!

Les mirages et les Sukhoï modifièrent leur trajectoire. Cap vers la côte.
De son cockpit Moutoussamy voyait les innombrables foyers d'incendie dans la ville.
Et encore plus effrayant leur petite quinzaine d'appareils semblaient peu face aux centaines survolant cette zone.
-Bien! Ici Asmita Leader, on aurait besoin que l'escadrille de Mig nous ouvre la voie.
-Ici Ilahi Leader on s'en occupe. On compte sur vous pour passer!



Le mirage suivi par ses quatre répliques passa à vive allure entre deux bombardiers ennemis. Les immenses soucoupes, espacées de quelques kilomètres n'eurent pas le temps de réagir que plusieurs missiles air-air vinrent détruire chacune des structures les composants.
Seul un petit drone pu se détacher et se dirigea vers eux.
Il envoya une série de roquettes vers le leader qui prit de l'altitude afin de les éviter. Cependant lors de leurs explosion les shrapnells allairent endommager l'aile d'un SU-30.
Ce dernier se vengea en détruisant l'ennemi lors d'une passe canon.
Mais leur joie fut de courte durée, une dizaine de drones venus de bombardiers voisins se dirigeaient vers eux.
Chacun fit pivoter son chasseur pour prendre ces engins de front.

Les mirages 2000 eux avaient du contourner la position de trois aéronefs qui se déroutèrent juste pour eux.
-Asmita 2, 3 et 4 débarrassez nous en au canon! La cible est juste devant, je passe la première. Asmita 5 Si la cible a survécu vous l'achevez!

Le chasseur de tête réussit a détruire sa cible du premier coup et en survola une seconde.
Mais son camarade n'eut pas cette chance et son appareil fut touché par une roquette. C'est à peine si le dernier pilote put en éviter les débris.
Notre premier avion s'éleva alors poursuivi par un appareil ne voulant pas le lâcher pendant que l'autre s'enquit du second vaisseau et le détruisit rapidement.
Il s'éleva à son tour, nez vers le ciel tandis que son compère piquait vers le sol.
Une fois, son allié croisé sur le sens de la hauteur, il tira une salve sur le poursuivant, ceci après l'avoir verrouillé depuis longtemps.

Mrija survolait alors la zone désignée. Sans attendre, elle lâcha sur l'objectif une bombe guidée avec charge de 250 kilos.
Son collègue remarquant un mouvement de la structure largua à son tour le même type de bombe.
Causant une violente explosion secondaire, preuve de la destruction de leur cible.

-A toute l'escadrille, on a plus le temps. Les autres se déplacent, ils tentent de les mettre à l'abris. Tirez à distance et prions pour qu'aucun de nos missiles ne soient intercepté. Asmita 3 et 4 prenez l'objectif le plus proche. Asmita 5 envoyez un AS-30L sur notre cible.
-Reçu leader.


Peu après quatre missiles partirent dans des directions opposées.
Et à chaque fois une sur deux furent bloqués par un drone.
Mais les autres ayant touché les bâtiments avec une précision frappante les mirent hors d'état de nuire en un coup de boutoir.
On observa peu après la chute des aéronefs ennemis partout dans la ville.

-Asmita, ici ilahi leader. Joli travail! On vous aide à le terminer?!
-C'est pas de refus...
-Asmita, Ilahi! Ici le commandement envoyez vos bombes tout de suite vers le large. Des milliers de drones convergent vers elles pour les protéger. C'est le moment ou jamais!


Plus d'une dizaines de missiles air sol et de bombes guidées furent lancées.
Elles se dirigeaient vers le large avec une vitesse importante mais les premières furent interceptées. Comme l'on s'en doutait à peine la moitié toucha une cible.
Une seconde phase de tir, avec seulement des missiles fut entreprise. C'était la dernière. Ils avaient eu plusieurs objectifs mais la huitaine restante commandaient encore divers aéronefs en approche rapide.

-Bon on rentre à la base. On va nous relayer! Allez on ne s'attarde pas ici.


Notre jeune native de Pondicherry était encore troublée par la perte de Nalni et Raj et elle ne voulait pas revivre ça. Elle tenait le coup en combattant mais cette peur était là, elle le pouvait le nier. La tristesse aussi mais aucun de ces sentiments ne devaient corrompre son jugement.
Elle avait permis la reprise en main de la situation. Elle avait rééquilibrée la balance.
Tout comme, bien qu'elle l'ignore, le lieutenant Tsang et le sergent Nantz.
Mais la menace était encore là, les aliens avaient subis de lourds revers mais étaient loin d'être inoffensifs.

Cité d'Atlantis :

Zelenka s'affairait à faire le diagnostique des systèmes lorsque Harriman et Banks annoncèrent une activation extérieur de la porte.
Woolsey s'approcha rapidement d'eux, la sueur due au stress inondant la moindre parcelle de son uniforme.
-Pouvez vous identifier leur origine?
-Non monsieur! Les coordonnées nous sont inconnues. Nous avons activé le bouclier.
Lorsque la porte s'activa enfin on put voir le dit bouclier stopper le jet de matière instable.
Puis rapidement l'horizon des évènements redevint aussi calme et paisible qu'un lac.

-On détecte de multiples signaux radio. Je crois qu'ils essaient de communiquer avec quelqu'un.
-Avec nous? Vous pouvez transcrire Amélia?
-Désolé monsieur Woolsey! Je ne pense pas que ce soit pour nous. La fréquence...
Peu après, un court et léger bruit sourd se fit entendre, tout comme le flash fugace apparut sur le champs de force.
-Quelque chose a heurté le bouclier...aucune molécule organique...
Un second choc autrement plus agressif visuellement et plus lumineux envahit leur sens.
Amélia se leva rapidement.
-Ils viennent de lancer une attaque! Le bouclier de la porte tient bon mais s'ils recommencent à plusieurs reprises il faudra prévoir de quoi alimenter la cité plus longtemps.
Walter regarda la technicienne plutôt surpris avant de lui adresser la parole.
-C'est vraiment une aubaine que cette attaque ait eu lieu ici! D'après les données l'iris du SGC aurait déjà fondu avec l'énergie reçue.
-Vraiment?! Commença Banks avant de fixer son interlocuteur.
Ils se regardèrent quelques minutes, chacun voyaient dans les yeux de l'autre que tous les deux pensaient à la même chose!
-L'attaque sur Cheyenne Mountain! Bien sûr! Ils croient attaquer le SGC. Commença Walter avant que la jeune femme ne termine.
-Ce sont sûrement une sorte de commando censé ouvrir le site aux autres. Je relève leurs coordonnées!
-Je vais prévenir le général Landry. Il faut révéler aux occupant de la base le plan de l'ennemi.

Du coté de la porte, un second impact plus faible avait résonné dans la salle d'embarquement. Puis la porte s'est tut. L'ennemi avait lancé un deuxième signal radio et avait désactivé la porte.

Durban, Afrique du sud :

Jacob, tout comme les forces sur la zone, avait été surpris par l'aviation ennemie.
Il avait été évacué vers une base arrière mais malgré l'aide des quelques Mig-21 des pays voisins, le flot d'aéronefs adverse semblait impossible à stopper.
Malgré tout on lui avait confié une mission particulière.
La doctoresse qu'il avait essayé de dissuader d'aller observer les ovnis avait donné sa position. Elle était accompagnée d'un pilote s'étant éjecté.
Leur binôme semblait détenir des informations importantes sur des P-C ennemis.
Comme sa localisation et surtout comment y voler des informations.
A la hauteur de ce que voulaient faire les états-unis. C'était avant tout une mission de renseignement et sabotage. Mais ils devront aussi évacuer les deux personnes demandant l'aide de l'armée.

Le sergent avançait depuis quelques heures à pied, les hélicos l'avaient déposés lui et son groupe dans les zones encore épargnées par les drones ennemis.
De là ils avaient, sous couvert d'une contre offensive aérienne facilement repoussée, avancé plutôt tranquillement. Sans jamais attirer l'attention.
Ils étaient à quelques pâtés de maison de la position du docteur Jahi.
Mawuku repensait à son père retraité. Autrefois lors de l'apartheid, son père avait été proche de la frontière. Certes à l'époque il n'était pas dans l'armée mais il avait presque été témoin de la guerre frontalière avec l'Angola. L'une des plus grande guerre de leur pays. La bataille de Cuito Cuanavales, les Angolais soutenus par un contingent cubain avaient subis de lourdes pertes humaines et matérielles faces aux forces de l'UNITA. Soutenues par son pays. Ils avaient perdus peu d'hommes et d'appareils mais étaient incapable de capturer le moindre territoire.
Quand il y pense, maintenant c'est lui qui se bat dans une guerre encore plus importante et avec une mission prioritaire. Mais quelqu'un le coupa dans ses réveries.
-Sergent! Vous pensez vraiment que les Yankees ont butés un de ces trucs?
-Je l'espère caporal! Notre survie dépend d'eux pas vrai?!
-Heu! Mais là on pourra se la péter avec la découverte du doc mon sergent!
Jacob sourit alors.
-Oui Habayo! Mais bon...vous savez! Ils vont sûrement découvrir avant nous un de leur command and control et le fouiller. C'est les américains!
L'équipe se mit à rire légèrement sans trop d'éclat. La petite troupe de huit soldat dont trois porteurs d'explosifs et d'armement lourd avançait sous le couvert des bâtiments.
Ils étaient devant un magasin multimédia, les soldats virent dans la vitrine des images provenant de postes de télévisions. Elles montraient des chaines différentes.

CNN :
On observait un paysage montagneux! Des images aériennes montraient le déploiement de pièces d'artillérie. Ainsi que des colonnes de véhicules anti-aériens munis de radars qui avançaient le long de routes de montagnes.
Plus loin on observait à peine un petit baraquement avec trois drapeaux y flottant. Après un zoom ils affichaient les couleurs italiennes, française et suisses. Situé en hauteur, la base donnait sur un panorama montrant un impressionnant dénivelé en contrebas. Une ville ou un village au loin était légèrement visible.
Des soldats débarquaient par dizaines de camions et allaient dans les constructions tandis que d'autres posaient des mortiers où travaillaient sur de l'anti-aérien.
A bonne distance des chasseurs et des hélicoptères par dizaines volaient en formation serrée.
L'image s'éloigne de la zone et se reporte sur les montagnes où on observe quelques toits plus haut et plus loin.

-Sur ces images qu'ont bien voulus nous donner des reporter militaires, on voit bien que le trio France, Italie, Suisse préparent les Alpes pour une prochaine bataille. Visant à empêcher la progression ennemie vers le Nord et vers l'Est. Menaçant le reste de la France et ses voisins. Les Alpes seront « le Bastion de l'Europe, une place forte imprenable où l'adversaire dilapidera ses forces pendant qu'ailleurs nous le rejetons à la mer. » affirme le Général Di Palermo. Pourquoi? Car ces montagnes se révèlent aussi importantes pour eux que nous d'après lui et de nombreux experts!
Le Colonel Elker de l'armée suisse promet que l'aviation helvétique en collaboration avec l'Italie permettra aux forces Française de souffler un peu, pour repousser ce formidable assaut sur leur territoire.
« Nous n'oublierons pas les geste de nos amis et alliés dans cette situation de crise! Pour préserver notre sécurité et notre souveraineté nous seront près à tout. » Disait le président Français, monsieur Fabrice Heutain.
Faisant référence aux combats ayants lieux à Briançon. Dont nous sont parvenus quelques images amateurs.


Une vidéo de faible qualité, prise d'un portable probablement, montrait une dizaine de militaires, en contrebas de ce qui semblait être un rebord de fenêtre, courir en pleine rue FAMAS à la main.
Ils étaient suivis d'un Caesar, une pièce d'artillérie. Il devait y en avoir d'autres dans la zone. Mais le caméraman amateur ne pouvait pas les filmer.
L'unité se déploya dans divers recoins tandis que d'autres arrivaient. Le canon du Caesar tira un coup vers le sud de la ville. Vers l'extérieur.
Puis un bruit assourdissant ne tarda pas à indiquer le passage d'un escadron de chasseurs. Ces derniers étaient probablement des mirages ou des rafales. En en jugeant par leur voilure.
Le canon tira un deuxième coup puis le cameraman s'éloigna de la fenêtre.
Il descendait les escaliers rapidement quand on vit un soldat l'attraper.
-Qu'est-ce que tu fais là ptit con! Bon sang tu pouvais pas te casser?! Sergent! Donnez ce crétin à Basso et dîtes lui de le tirer de là. Fais chier!

L'image montra alors une reporter américaine. Derrière elle des gens embarquaient dans leurs voitures pendant que des policiers et gendarmes patrouillaient les rues nombreux.

-Après vous avoir montré les zones de combat l'on revient à Grenoble. Ici les habitants ont peur et commencent...

SABC :
-Durban est d'ores et déjà occupée. Alors que nos forces armées sont tenues en échec sur notre propre sol, l'envahisseur a prit pied à madagascar.
Dans la ville de Tananarive. Il semble impossible de les repousser actuellement sans une aide extérieur. Les généraux estiment que s'ils s'enracinent sur l'île, notre ennemi pourrait devenir un adversaire difficile à déloger...


Mais après quelques minutes passées à regarder défiler les images nos soldats reprirent la route.
jusqu'à ce que le sergent Mawuku fit signe d'arrêter et de pénétrer le magasin.
-Patrouille ennemie! Habayo allez voir si il y a une autre issue!
-Bien sergent!
Le groupe attendait les doigts crispés sur leur gâchette! Les aliens fouillaient les buildings et les commerces en passant.
-Une issue par ici sergent!
-Allez tout le monde derrière nous! Ordonna Jacob en faisant signe d'autorité.
Leur équipe déboucha dans une ruelle, cette dernière pouvait à peine laisser passer un homme dans la largeur.
Au bout de celle ci on pouvait observer un véhicule quelconque. Les huit militaires avançaient avec prudence. Ils entendaient déjà les bruits de matériel brisé dans la pièce qu'ils avaient laissés. Leur groupe était silencieux et sous pression.
Certains regardaient aux fenêtres les surplombant de deux étages. Tandis que Jacob ouvrait la marche.
Lorsqu'il aperçut la silhouette d'un humanoïde il ordonna de ne plus bouger.
Ce dernier était à une porte sur leur droite, quelques mètres devant eux.
L'homme leur faisait signe de venir, il semblait porter un uniforme de pilote.
Ses libérateurs approchèrent alors rapidement, baissant un peu leur vigilance.
L'un d'eux, cogna le pied dans une canette. Le chef s'arrêta et observa un moment de silence. Il n'y avait rien mais il lui fit signe de faire attention. Ils repartirent en courant vers le pilote.
Quatre ombres passèrent rapidement derrière le véhicule dans la rue en face. Mais elles ne traversèrent pas. C'est alors que deux autres firent leur apparition vers l'avant de la ruelle, sur la gauche.
C'était bien des extraterrestres qui engagèrent le combat.
Mawuku se baissa alors tout en tirant une rafale a droite d'où aurait pu se trouver le coeur d'une créature. Si toutefois elle en avait.
Cette dernière s'effondra, tout comme le soldat derrière lui, ayant prit le tir ennemi à sa place. Le pilote utilisa son arme de poing pour essayer de toucher l'autre depuis sa position.
La seconde se mit à couvert, tandis que celles cachées derrières la voiture se levèrent et tiraient vers eux. Les tirs manquant en précision touchaient le rebord des murs.
-Embuscade! On avance, allez on le rejoint! Faut pas rester là! Hurla alors le sergent en se remettant en course.
Leurs ennemis cessèrent le tir pendant qu'encore deux créatures traversaient pour cette fois se placer sur la droite à l'avant.
Cette courte accalmie permit aux humains de faire entrer le blessé et aux autres de fermer la marche. Ils pénétrèrent tous dans la pièce pendant qu'un groupe de trois autres aliens débarquaient par la première porte d'où ils étaient arrivés. Tentant de les prendre à revers.
-Laissez leur un cadeau première classe!
-Grenade!
Cette dernière ne mit pas beaucoup de temps à exploser et débarrasser l'arrière de ces trois énergumènes.
Le pilote sourit alors en montrant un détonateur!
-Je dirai même deux! Dit il en appuyant sur le dispositif. Peu après une explosion, apparemment violente se fit entendre. Puis un nuage de poussière envahit la ruelle.
Jacob qui avait aperçu une fenêtre donnant sur la rue principale plus loin s'y était rendu. Et il comprit que la voiture était piégée. De nombreux extra-terrestres étaient à terre.
L'un d'eux rampait encore vers un abris.
Le sergent natif du nord ouest du pays guetta rapidement sa cible et en deux courtes rafales le mit définitivement à terre.
Mais d'autres sortaient des bâtiments alentours.
-Merde ils vont nous tomber dessus! comment va Wilson? Fit le caporal Deng Habayo.
-Il a une méchante blessure à l'abdomen. On devra le porter et évacuer au plus vite. Répondit un autre.

-Tant pis pour la discrétion! On a plus le temps. Il faut partir tout de suite avant que l'on ne nous arrête ou que leur quartier général soit impénétrable! Il y a une pharmacie non loin de la structure. On pourra déposer votre soldat et se donner rendez-vous là bas...comment vous dites? Un point d'extraction? Résonna une voix dans le fond de la pièce.
-Docteur Jahi!
-Sergent!
Habayo s'approcha alors d'eux.
-Parce que la leur commandement est prenable?! Demanda il avec surprise.
-Une trentaine de gardes. Le reste est parti repousser notre contre offensive ou nettoyer les rues alentours. Ils ne s'attendent pas à ce que nous puissions être ici! Vu l'inefficacité de nos attaques...Commença alors le pilote.
-Et maintenant c'est une course contre la montre? C'est cela caporal? Reprit Jacob en fixant son insigne!
-Semée d'embûches sergent!
-Alors pas de temps à perdre on y va. Guidez nous! Et prenez ça! Lui fit Jacob en envoyant l'arme du soldat blessé.

Le groupe continua alors plusieurs minutes dans des rues jonchées de débris et bordées de constructions en ruines.
Jacob entendit alors des bruits semblants provenir des toits. Peu après un soldat s'écroula suivit par plusieurs rafales de tirs s'écrasant dans les rues ou sur les voitures.
Chacun se mit à couvert pour essayer de compter et localiser leurs assaillants.
-Quatre sur le toit à dix heures! Hurla le Sergent.
Habayo se retourna vers lui alors qu'ils étaient cachés derrière la même épave.
-J'en compte deux à la quatrième fenêtre à trois heures. Le première classe Nveni a un visuel sur quatre autres créatures à six heures Sergent!
-Bien caporal Habayo, occupez vous des deux aux fenêtres. Loadhbeck prenez Maturure et allez aider Nveni. Ordonna alors Mawuku en tirant vers la cible qu'il avait identifié. Il en toucha une qui virevoleta avant de venir tomber du toit.
Chacun s'executa mais le docteur Jahi ainsi que le pilote étaient coincés seuls près d'une épave de tank devant. Et deux unités ennemies approchaient d'eux.
Le pilote se leva et tira une salve dans l'abdomen d'un adversaire, alors qu'il commençait à se relever une seconde visant son arme la fit exploser. Blessant le second Alien. Jacob venait de leur sauver la vie, ils n'avaient plus qu'a achever la monstruosité qui leur faisait face.
-Habayo, lance grenade allez! Dégagez cette fenêtre! Faut pas qu'on reste là.

Atlantis :

Sheppard avait embarqué avec la majorité de son équipe, il y avait adjoint le lieutenant Cadman et les marines Warrington et Peterson.
Le petit intercepteur lentien décolla alors avant de s'occulter, il s'éleva dans un Hangar mis en pagaille par une attaque ennemie. Son vaisseau ira en direction de San francisco.

Dans la salle de contrôle l'agitation avait laissé place à l'angoisse.
-En êtes vous sûr Walter? Demanda Landry.
-Oui monsieur! Un second message radio de forte intensité viens de quitter la cité.
Woolsey s'approcha alors en fixant le général.
-C'est peut être pour ça que les groupes aéroportés en direction du SGC rebroussent chemin.
-Vous pensez que l'ennemi présent ici aurait pu détecter l'activation de la porte? Lui répondit le général plutôt sceptique.
Amélia Banks se leva alors et prit la parole .
-C'est tout à fait possible mon général mais il est plus probable qu'ils aient capté la provenance du message radio sortit de la porte et...
Chuck l'interrompit et affichait un air effaré. Transpirant derrière son écran.
-Une trentaine d'unités ennemies ont contournées le barrage de marines et se dirigent ici! Nous n'avons qu'une dizaine de gardes pour les stopper.
-Il fallait s'en douter! Ils ont comprit le rôle de la cité! S'énerva Hank avant de donner l'ordre de piéger les escaliers menant vers la salle d'embarquement, d'évacuer les civils sur place, de sceller les portes et téléporteurs.

Ronon choisit alors ce moment pour arriver. Il était certes un peu essoufflé mais semblait d'attaque.
-Je recherche le groupe de Sheppard!
Le général se retourna surpris par sa présence.
-Dex? Ne devriez vous pas être en train de repousser l'ennemi?
-Général! Leur nombre diminue partout dans la cité. Et la plupart de leurs groupes sont en repli. Je souhaiterai participer à la mission de Sheppard.
-Le colonel viens à l'instant de partir. Mais nous avons un plus gros problème.
Une trentaine d'ennemis ont déjoué la vigilance de nos hommes, sur le terrain et ici. On les a ralentis mais ils montent par les escaliers et en détruisant les portes fermées. J'aurai besoin que vous organisiez notre défense. En finesse!

Le Satedan prenant son rôle au sérieux s'executa et alla s'armer d'explosifs et de munitions pour le P-90. Son pistolet s'étant montré, certes utile mais insuffisant dans une bataille rangée de grande envergure.
Ceci fait il descendit accompagné de deux marines par les escaliers.
Posant des charges le long des cinq étages.

-Monsieur! J'ai posé la dernière claymore.
-Bien on attend! Et on en abat le plus avant de remonter progressivement.
La radio des trois hommes grésilla alors.

-Ici Chuck! Une dizaine d'individus se dirigent vers vous par la porte à droite. Le reste arrivent en continuant dans les escaliers.
-Reçu on les attends! Je l'ai ai sur le détecteur portable
.

Quelques minutes plus tard une série de quatre explosions se fit entendre.
Trois assaillants dans les escaliers furent projetés vers la base de la tour, plusieurs étages en bas.
Le long du petit couloir deux aliens étaient au sol mais rapidement les huit autres s'engouffrèrent dans le couloir.
Le premier marines tira plusieurs courte salves au P-90, touchant trois individus.
L'autre soldat prit sa place et en toucha deux avant de recevoir un tir en pleine tête.
Ronon tirait dans les escaliers, mettant plus de quatre créatures à terre. Mais ces dernières commençaient à réagir en le visant.
-On sors de là allez soldat!
-Les prochaines claymores sont au troisième. Ce sont les dernières. On est plus que deux. On ne pourra pas les retenir au quatrième!
-Lâchez des grenades dans ce couloir et on s'en va.

L'explosif nettoya facilement la zone mais au moins 23 montaient encore les escaliers.
Arrivés au quatrième les deux hommes tirèrent encore quelques courtes rafales réduisant l'ennemi à 18 mais le soldat reçut une balle en plein ventre.
Obligeant Ronon à le porter vers le second étage proche de la salle d'embarquement.
Là d'autres marines vinrent les soutenir et évacuer le blessé.
Les minutes ne se firent pas attendre, quatre claymores débarrassèrent la cité de quelques envahisseurs. Une dizaine d'individus se dressaient devant eux.
Les premiers tirs s'échangèrent, blessant un autre homme et déblayant la zone de la moitié des extra-terrestres.
Mais ces derniers s'approchaient. Ronon se retrouva pris derrière eux. Il ne prit pas le temps de recharger et tira au pistolet. Touchant une cible, peu après il sentit un violent coup dans l'épaule. Projeté contre le mur il mit du temps à se relever mais finit par viser l'agresseur avec son arme.
Ce dernier lui frappa le bras et fit tomber le pistolet à quelques mètres.
Notre coureur enchaîna quelques coups à ce qu'il avait repéré comme le visage de son adversaire. Mais hormis le repousser un peu et l'étourdir quelque secondes l'effet n'y était pas. Seul les trois lames qu'il lui planta eurent raison de son acharnement.
La salle était à présent claire, deux autres soldats avaient été touchés portant le nombre de militaires valides dans la zone à cinq.
Dex ramassa son pistolet et acheva la chimère qui lui faisait face.

C'est à ce moment qu'une explosion suivit de nombreux cris, plus haut, les surprirent.
-Quatre individus ont détruit la baie vitrée! Ils sont arrivés sur des....
-Chuck?

Ronon ne prit pas la peine de donner des ordres qu'il se rua sans les étages plus haut. Suivi de près par les hommes qui l'accompagnaient.
Losqu'ils arrivèrent dans la salle de contrôle deux aliens tenaient en joue les scientifiques sur place tandis que deux autres tiraient vers notre guerrier.
Plusieurs tirs s'étaient écrasés dans l'angle de la porte mais il ne pouvaient répliquer sans mettre en danger les autres.
Cependant Dex eut une idée.
Il visait l'une des créatures menaçant les techniciens avec le P-90.
Un autre militaire faisait de même et ceux qui restaient se préparaient à se lancer à l'assaut.
Le satedan tira la moitié du chargeur sur sa cible, avant que celle ci ne s'écroule la seconde fut la victime de l'autre soldat. Mais pour cette action il avait du se retrouver à découvert. Il vit rapidement les autres prêts à le mettre hors d'état de nuire. A peine eut il le temps de changer sa ligne de mire qu'une charge ennemie le frôla. Ce ne fut que grâce à l'intervention du reste de l'équipe qu'il survit.
Brattac qui observait depuis le bureau de Landry en fut très surpris et semblait enthousiaste. Teal'c lui sourit alors
-C'est l'homme dont je vous ai parlé.
-Celui que tu devais encadrer pour la Tau'ri? Décidément ils savent recruter les guerriers.
-En effet!

Le havre :

Le caporal Dugard était assis dans la large pièce au milieu de ses hommes.
Personne ne savait réellement quoi faire et ils tentaient de passer le temps en suivant les nouvelles.
Ce fut un message de l'état major lui même qui les tira de leur torpeur.
Ce dernier était adressé à toutes les unités et désignaient la localisation connue de structures de commandement ennemis dans tout le pays.
Donnant un ordre de destruction à toutes les unités dans le périmètre de ces engins. Ceci permettrai de mettre hors service tous les appareils sans pilotes ennemis. Soit 90% de leurs aéronefs.
Ils observaient depuis leurs équipement une opération en direct au dessus de Nice. C'était la caméra d'un rafale et les messages radio du pilote.

-On est à quelques kilomètres de notre objectif. De multiples échos survolent la zone. Les tirs de cette distance peuvent être intercepté.
-Bien faites avancer votre formation. Les autres appareils doivent impérativement protéger celui qui détruira la cible.
-Reçu mais les échos?
-Laissez ça à vos ailiers. Ils ne doivent en aucun cas vous empêcher d'accomplir cette mission. Votre groupe doit impérativement nous débarrasser de cette antenne pour permettre l'arrivée de renforts italiens.
-Reçu.

-Vous avez entendu, les concierges?
-Ne vous inquiétez pas les concierges comme vous dîtes sont doués pour nettoyer.
-Vous êtes payés pour!
-Vous êtes payé pour quoi vous?
-j'ai plusieurs bip. Une dizaine de bandits nous a repéré.
-On shoot et on achève! Allez jouer au scoot.


-Chefs d'escadrilles vous pensez qu'on s'amuse ?!
-Désolé PC.

-Nous on y va, Sarbacane tu sais ce que t'a à faire?
-Oui chef! J'ai vu un joli nuage là haut. A tout à l'heure!
-Bounty?!
-Je vous suis.

-Leader groupe alpha! Ici leader Delta. On a shooté, attention à vous.
-Vous savez viser non?
-On ne sait jamais, je suis qu'un concierge!
-La ferme...bon reçu! Tiens ça viens de passer en dessous...visuel...Ouah! Huit! joli tir à distance! Vous venez maintenant?
-Bien sûr!
-Faites attention! une vingtaine se rapproche.
-Le ciel est sale aujourd'hui!

-Bounty on ralenti et on prend de l'altitude! Faut laisser Delta nous dépasser.
-Déjà fait chef!

-Alors?!
-Du calme, Sarbacane on approche. Il est juste là!
-Ici Bounty. Je verrouille...merde...missiles ennemi, c'est passé près!
-Deux bips j'en étais sur! On engage.
-Quoi? Mais...
-Du calme bounty! Au canon. Sarbacane, va y on compte sur toi.
-Je pique comme une abeille!
-J'ai eu le miens...bounty vire à gauche! Je suis dessus.
-J'arrive pas à me dégager.
-Vire à gauche!
-Il me suit encore.
-Je l'ai eu...toi aussi, joli coup sarbacane, en piqué, discret et dévastateur. J'ai failli rater le feu d'artifice à cause de ces bandits.
-Vous me connaissez, je suis sorti de nulle part...merde ça décolle! C'est quoi ce truc...
-On l'achève...huit échos en approche rapide par trois heures. Fais chier.

Dimitri se releva subitement. Il fixa les autres. Tous savaient à présent. Le groupe du capitaine avait été décimé en tentant d'atteindre le commandement ennemi.
Ils étaient proche de leur objectif lorsque l'aviation adverse leur est tombé dessus.
-P-C, ici le caporal Dugard. On fait parti de la compagnie du capitaine Chesnaut...
-Faisiez parti, caporal! Il ne reste que vous et une section évacué vers la ligne de défense.
-B..bien reçu...Marmonna maladroitement notre jeune soldat. Il avait déjà connu le feu en Afghanistan. Mais n'avais jamais été témoin de telles scènes de désolation urbaine. Ni de pertes aussi énormes dans un temps aussi limité. Perdu, troublé il ne sut quelques instants quoi penser. A son île, pour l'instant épargnée? A ses collègues? A tous ces innocents ou même cette guerre? Mais il laissa de coté ses pensées qui portaient atteinte à son jugement. Jetant un oeil sur son équipe désarçonnée il reprenait ses esprits.
-Caporal?! Répondez!
-Je...désolé...je suis là. On se trouve derrière les lignes adverses. On voulait se faire évacuer du havre...
-Caporal cette option n'est...
-Je sais. Désolé de vous couper. Nous voulions partir mais on a ... trouvé une partie des hommes du capitaine...il n'est pas avec. On avait pensé que la plupart de la compagnie était sauve!
-Désolé caporal, seul une section est sauve.

-...Je, oui... On peut accomplir leur mission. On est sur la zone de l'objectif et j'aurais besoin de savoir comment détruire cette chose.
-Bien! Alors suivez nos directives.

Quelques dizaines de minutes après, tous les soldats se retrouvaient dehors en s'équipant. A l'exeption de chevalier blessé et d'un dénommé Morreau.
Quatre d'entre eux avaient pris des lances roquettes. Un d'eux portait un sac d'explosifs tandis que Dugard prenait les munitions en tout genre dans son propre sac. Et chacun équipa son FAMAS d'un boitier laser. Ce sera leur arme principale, pour guider des obus. Et en cas d'échec ils feraient avec les moyens de bord.
-En route! On est chargé alors on évite tout combat avant la zone critique.
-Ouais caporal! Répondirent les autres avec un sérieux et une détermination qui l'effraya un peu.

Les rues étaient jonchées de débris, parfois biologiques. La cible était à deux kilomètre. Pas si loin en fait mais lorsque les rues sont quadrillées par des drones et des patrouilles c'est assez compliqué. Cependant leur groupe de 6 était plus difficile à repérer qu'une section.
Le caporal leva le poing. Puis fit signe de se coller au mur. Dans le ciel un appareil passa sans les voir. Puis ils reprirent la route.

La majeure partie du trajet fut un jeu de cache cache avec les aéronefs.
certes une patrouille ennemie avait été contourné, leur enlevant environ 10 minutes
Ils aperçurent l'épave d'un Leclerc à mi chemin et la co-axiale était encore utilisable. Rien d'utile.

Une seconde patrouille se fit entendre. Elle passa près d'eux mais ils étaient couchés dans un fossé.
Aboukir s'étant pris dans un morceau de ferraille soupira de douleur, un soupir un peu trop fort. Leurs adversaires s'arrêtèrent quelques minutes, commencèrent à fouiller les alentours, puis un cris vint de devant. C'était l'un deux, loin devant. Ils se dirigèrent alors vers lui en laissant la zone. Puis tous partirent dans une ruelle adjacente.

-Qu'est-ce qui leur prends?
-C'est une autre culture Aboukir. Répondit Marie-louise en souriant.
-Bon la voie est libre mais on va devoir traverser par cette rue.
-C'est assez découvert...cette rue...mon caporal.
-Elle mène directement vers notre objectif. Allons-y!

Ils partirent au pas de course et effectivement une quinzaine de minutes après nos français se retrouvèrent nez à une antenne. Elle se trouvait dans un vaste champs de ruines. Tous les bâtiments étaient à l'état de gravats dans les cinquante mètres autour. Mais il restait bien quelques murs et étages encore debout.
-Allez on se pose vite fait dans cette bâtisse la bas!
-Marie-louise prends avec toi Gontier et Mussard et dirigez vous vers ce mur.
-Chef! Y a personne...c'est étrange...non?
-On verra bien! C'est pour ça que je vous divise. Allez!

Chacun pointa son laser vers la structure émanant du sol. Puis Dugard prit sa radio.
-Ici Dugard, Cible acquise, on aurait rapidement besoin d'un tir d'artillérie dans à peu près une quinzaine de minutes.
-Reçu caporal. On s'en occupe. Vous n'aurez qu'a demander.
-Vous avez les coordonnées P-C?
-Affirmatif caporal. Si le ciblage laser échoue aussi on pourra toujours utiliser les caesar mais il faudra quitter la zone.
-Reçu.

-Aboukir, Lebon on y va. On cherche une entrée vers la base de cette chose et on pose nos charges. Puis on ressort.
-Entiers...Sourit Lebon.

Le groupe se dirigea vers l'antenne. Lebon posa une première charge à la base de celle ci. Puis le groupe scrutait les alentours.
Aboukir fit alors signe de venir. Il avait repéré une entrée. Cela ressemblait plus à un trou de souris qu'a une entrée mais ils s'y engouffrèrent.

Comme prévu ils se trouvèrent nez à nez avec une paroi métallique. Chacun se répartit les charges et partirent dans les directions opposées. Dugard fut le seul à rester en retrait.
Quelques minutes après ses hommes revinrent, ayant accomplis leur travail.

-Dugard...caporal. C'est vraiment étrange qu'on ai rencontré personne. Insista Aboukir. Leurs radios grésillèrent alors.
-Heu! Caporal...on a des coup de feu non loin d'ici...il se passe quelque chose...je sais pas mais faut se grouiller.

Mais cet appel radio déclencha la sortie de plusieurs aliens de la structure.
-Bon on oublie les charges, on se taille! Hurla dimitri avant de reprendre à la radio . P-C, les obus sont prêts?!
-Affirmatif caporal, mettez vous à l'abris.

Ils couraient vers l'extérieur à reculons abattant trois ennemis dans leur fuite.
Une fois dehors ils se ruèrent vers leur position initiale.
-Chef vaut mieux faire péter les charges tout de suite!
-Pas faux Lebon. Affirma le caporal avant qu'une série d'explosion retentit derrière eux. La charge sur l'antenne explosa à son tour, les projetant au sol. Cette dernière était assez endommagée. Mais malheureusement Lebon fut blessé par un éclat, forçant les autres à le traîner.
-P-C ici Dugard! On nous a repéré...l'artillérie...
-On tire!

La troupe du attendre plusieurs minutes avant de voir un obus venir s'écraser puis exploser sur l'antenne.
Cette dernière fut pulvérisée en quelques secondes.
Comme prévu ce ne fut pas suffisant et le sol commençait à trembler.
Et le second obus n'eut aucune difficulté à faire exploser le haut de la machine qui s'élevait hors du sol.
Une seconde explosion plus violente retentit alors puis la terre trembla violemment.
-Je crois qu'on l'a eu...qu'est-ce?!
Malgré la destruction de leur command et control, l'ennemi avait pu diriger un drone vers notre équipe. Mais ce dernier allait s'écraser sur eux.
Dugard se saisit du lance roquette et le détruisit avant cette échéance.

Le soulagement commençait à apparaître dans leur coeur.
Mais leur coup d'éclat ne passa pas inaperçu. Une section ennemie venant de l'arrière, probablement déployée en ville se dirigeait vers eux.
Ils venaient tout juste de se débarrasser d'un danger que le sort leur réservait autre chose. Au moins ils avaient accomplis leur mission et contribué à la possibilité d'une victoire à grande échelle. Maintenant ils se battaient pour eux. Pour leur survie.

-Morreau! Demandez une extraction! On ne pourra pas vous rejoindre, partez avec Chevalier. Nous fixons un second point d'extraction ici.
-Reçu mon caporal!
-Commandement! Ici le caporal Dugard, je pense que vous avez vus que nous sommes en difficulté!
-Nous redirigeons une partie de nos forces aériennes vers le sud et vers la Belgique. La situation en Allemagne inquiète aussi l'état major. Nous allons faire notre possible pour aller au plus vite. Je vous recontacte dans une vingtaine de minutes.
-...bien...

-Hey Dimitri! 20 minutes c'est beaucoup. On est encerclés de ces foutus...commença Marie-Louise.
-On va tenir! Cherchez les meilleurs endroits où poser les explosifs restants et on recule d'une trentaine de mètres.
-Mais on va se faire laminer...Ajouta Lebon, toussant au sol.
-C'est vrai ça!
-Ayez votre tête de guerriers, putain! C'est tout ce qui nous reste pour les prochaines vingt minutes. On viens de détruire des centaines d'avions et un poste de contrôle pour se faire avoir par quelques blaireaux?
-Une section de blaireaux mon caporal! Mais je vais pas me laisser avoir par ces connards! Ajouta Gontier en levant son arme d'épaule.
-Alors plus de temps à perdre. Posons ces explosifs...qu'est-ce?

Quatre individus se dirigeaient vers eux en courant, ils les reconnaissaient, le Capitaine Chesnaut et certains de ses gars.
Ils étaient encore là mais fuyaient devant le nombre d'assaillants. Cependant ce sera des hommes en plus.

Leur groupe venait peut être de sauver tout un pays. Mais à présent qu'ils se battaient uniquement pour leur survie le sort semblait les délaisser. Ne leur offrant qu'un maigre soutien. La bataille promet d'être rude.


San Francisco :

Le jumper s'était posé, occulté, près du commandement ennemi.
Autour de lui des gravats, épaves de voitures et d'aéronefs jonchaient le sol.
La ville était en ruine. Le ciel était à nouveau obstrué de vaisseaux ennemis.

-Bon on va sortir et se diriger vers ce truc au pas de course. Rodney, Teyla et Warrington vous venez avec moi. Cadman et Peterson vous gardez le jumper. Commença alors Sheppard en se mettant face à la porte du hangar.
-Oui monsieur! Ajouta Cadman.

Le groupe de Sheppard partit alors en direction de la base adverse.
Ils couraient rapidement avant de stopper net. Face à eux se trouvaient une trentaine d'ennemis. Notre groupe se dirigea alors vers une petite enseigne à moitié effondrée. Il restait une partie du plafond et surtout ils avaient une couverture grâce au mur.
Le jumper était une dizaine de mettre en arrière.

-Cadman! On aurait besoin d'une diversion à...je sais pas un ou deux kilomètres d'ici. Lança le colonel via la radio. Acte qui déclencha une réaction des aéronefs.
-Reçu! J'ai une petite idée.
-Faites vite alors! Fin de transmission. Silence radio jusqu'a notre retour.
-Roger!

Un drone tiré du jumper pénétra le sol avant de ressortir un kilomètre plus loin. Il s'éleva et détruisit un appareil alien. Peu de temps après une grande partie des gardes se déployèrent dans plusieurs directions. Pensant prendre au piège une force bien équipée.
Nos atlantes attendirent une dizaine de minutes avant de se relever. Et virent quatre gardes à la porte de l'engin.
-On continue. Je prend celui à douze heures.
Chacun désigna sa cible hormis Rodney qui n'eut d'ailleurs pas à tirer.
-Allez allez! On ne traine pas là.

L'équipe poussa alors son avance vers l'intérieur de la base adverse.
Ils ne rencontrèrent aucune résistance et purent rapidement entrer, les parois métalliques étaient recouvertes de suie, parsemée de câbles et étaient plutôt humides.
Ce n'était pas le gris sombre des lieux qui allaient les rassurer mais ils avançaient arme pointée vers l'avant.
Sheppard leva alors le poing puis fit signe de se coller aux parois. Dans le couloir en face une patrouille ennemie passait dans ce qui semblait être une salle de commandement.
Le groupe repris sa route, Teyla et Rodney en retrait tandis que le colonel et Warrington collés à chacune des parois du couloir avançaient discrètement.
Ils observèrent trois individus occupés autour de divers appareils. Des objets comparables aux tablettes en vogue sur le marché étaient fermement agrippés dans leurs tentacules.

Il ne fallut que peu de temps pour nos deux marines, de lancer une attaque surprenant les extra-terrestres. Ces derniers ne purent réagir et l'équipe américaine investit la pièce. Celle ci avait deux autres issues en plus de celles où ils étaient entrés.

Rodney tenta de comprendre les consoles ennemies. Afin de pouvoir voler des information.
Mais le temps allait leur manquer, postés chacun à une des issues ses équipiers entendaient l'arrivée d'ennemis. Ils allaient être encerclés, pris au piège dans une structure ennemie.

13 août 2011 :

Live Phoenix, CNN :

...Partout dans le monde des contre offensives ont été menées avec succès mais l'ennemi reste imprévisible et travaille encore à dominer...
...De nombreuses régions sont encore en difficultés...


…Nos récents succès le prouvent, ils ne sont pas invincibles. Nous avons subi plusieurs revers mais nos hommes se battent partout pour repousser cet envahisseur. Nous nous battons pour nos foyers, nos familles et notre patrie. Il n'est plus question de leur céder la moindre parcelle de terre. A 15 H 00 une contre-offensive globale a été menée, le succès est au rendez-vous mais la bataille est loin d'être terminée, elle sera dure. L'adversaire tente d'ores et déjà d'écraser notre résistance. En Inde, en Chine, en Europe et ici même. Nous jouons là notre survie...


A suivre : Acte 3 Course contre la montre
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MessageSujet: Re: SGWI, Stargate : World invasion   SGWI, Stargate : World invasion EmptyDim 29 Avr 2012 - 18:44

J'ai lu la suite et je suis un peu déçu parce que en fait c'est juste une bataille après l'autre(et c'est tout--) et un nombre de personnages trop important, ce qui fait qu'on a du mal à suivre, on a les français, les persos de SG, des indiens les chinois et je trouve que ça fait un peu trop de persos et de situations à suivre en même temps. Les scènes mériteraient d'être plus développés, peut-être suivre seulement les persos de SG et les français(et ainsi les présenter plus en détail pour que le lecteur puisse les aimer ou les détester..) et juste faire une aparté pour le reste du monde dans le genre infos en italique comme tu l'as fait un peu. c'est un peu le bordel je trouve.. Et puis il manque toujours le pourquoi de tout ça, l'ajout de quelques petites informations auraient été pertinente pour l'intrigue générale. Je trouve que tu vas bien trop vite, les scènes sont trop vite expédiées.
Voilà je critique mais bon je salue l'éffort d'écriture et je pense toujours que ce cross over pourra donner une bonne fic. cool
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massalia
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MessageSujet: Re: SGWI, Stargate : World invasion   SGWI, Stargate : World invasion EmptyDim 29 Avr 2012 - 20:53

J'accepte ta critique ne t'inquiète pas Wink . Du coup j'espère que les défauts ne feront pas fuir les lecteurs avant que je ne puisse lancer le reste de la fic qui est plus simple et plus facile à gérer.

Et bien là c'est vrai que l'histoire n'est qu'une suite de combat avec une multitude de personnages.
Mais tout ceci va se simplifier dès le prochain chapitre.
En ce qui concerne le prochain justement, c'est là aussi où on aura plus d'infos sur nos ennemis et où commencera à agir la vrai équipe parmis tous ceux présentés.
Bien sûr il y aura un ptit bout qui ressemblera encore à celui ci histoire de clarifier les choses ensuite ça passe rapidement à plus simple et précis.

En espérant ne pas spoiler quoi que ce soit :

Acte 1 = fait rencontrer l'univers du film et celui SG pour former ma propre oeuvre.
Acte 2 = Evolution des personnages présentés dans un contexte qui lui aussi commence à évoluer (passage d'attaque surprise à guerre ouverte)
Acte 3 = Evolution de l'histoire provoquant du coup l'émergence d'un groupe restrein de héros!
Acte 4 et 5 = Surprise

J'ai aussi vu que j'ai fait...bien plus grand!!!!! JE me disai aussi que 37 pages contre 10 (je croyais que c'était le fait d'écrire l'acte 2 sur mon portable qui changeait la taille de l'oeuvre maius en fait non) l'autre fois c'était bizarre.
JE vais essayer de retourner au format 10 pages pour le prochain ce sera plus précis.

Merci de tes remarques!
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MessageSujet: Re: SGWI, Stargate : World invasion   SGWI, Stargate : World invasion EmptyDim 29 Avr 2012 - 21:35

Pourquoi ne pas faire parler les "méchants"? celà permettrait d'expliquer certaines choses comme le but ultime de ces aliens et ce serait surement très intéressant..non? (edit : s'ils peuvent parler? je n'en sais rien , je n'ai pas vu le film)

Citation :
En espérant ne pas spoiler quoi que ce soit :

Acte 1 = fait rencontrer l'univers du film et celui SG pour former ma propre oeuvre.
Acte 2 = Evolution des personnages présentés dans un contexte qui lui aussi commence à évoluer (passage d'attaque surprise à guerre ouverte)
Acte 3 = Evolution de l'histoire provoquant du coup l'émergence d'un groupe restrein de héros!
Acte 4 et 5 = Surprise

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