Drabbles made in l'enfanteuse

Après avoir fait cette étrange expérience du drabble pour Atlantis, j'ai essayé d'en faire un pour SG1. voici donc mon second drabble:


A ceux qui vont mourir pour nous

Sous le sable et la poussière d'une terre où la guerre fut
Tout un univers en attente d'une vie passé à renaître
Au-delà de la pierre froide et de la chaleur du métal inconnu
Ronde et effrayante, la porte vient d'apparaître.
Gaza dévoile ses sombres mystères
Alléchant scientifiques et insouciants militaires
Transformant à jamais un avenir que nous imaginions radieux
En une farce diabolique où s'affrontent les dieux


Soumissions, esclavages et tortures
Germes des ennemis impurs
Où qu'ils aillent, ils devront les affronter
Nos pires résurgences du passé
Et franchir pour nous la Stargate!

Bien jolie prose que celle-ci.
Rectification, c'est de la poësie.
A cent mots tu te limites.
Vraiment, tu as du mérite,
Originale et surprenante enfanteuse.

Un peu de flood exceptionnellement:
Sylvouborobos: je t'adôooooooooooooore!

Un tout petit peu moins fan que Sylvouroboros, car si la performance est impressionnante, l'ensemble manque tout de même un peu de rythme et de régularité. Mais évidemment, je conçois que les contraintes rendaient l'exercice fort difficile.

Bravo tout de même donc, c'est un petit poème bien sympathique.

Tiens ça c'est marrant : autant la forme est plus poëtique que tes drabbles SGA, autant le fond est plus guerrier...

Ca me fait penser que je devrais revoir le film ^^

Mais je préfère la douceur de ta prose

Un petit nouveau pondu d'une traite dans la colère ! ^^ Ben voui, moi j'adore ce personnage qui avait un super potentiel et qui a été baclé, assassiné par les scénaristes:!
Résumé: une pensée issue de 621 "La prophétie".

JONAS

La douleur n’était rien comparée à leur suspicion. L’avaient-ils jamais considéré autrement qu’un étranger ? Carter voyait en lui un bon élément, peut-être même avec le temps, un ami. Teal’c ne se posait pas ce genre de questions. Il était lui, tout simplement. Quand à O’Neill… Quoiqu’il en soit, en ce moment, ils le regardaient comme un charlatan que la schizophrénie guettait. Pourtant il était juste le cobaye d’une expérience dont résultait un incroyable pouvoir. Un don mortel ! Devait-il se sacrifier pour eux ? La mort est-elle le seul moyen d’être aimé ?

Aaah oui, on sent en effet la colère dans ces mots, ou en tout cas la passion. Tu n'as pas choisis l'épisode le plus évident, mais ce que tu en tires est assez poignant. C'est vraiment un format extrêmement intéressant que le drabble... Il contraint à une concision qui offre moult possibilités.

Beau travail, l'enfanteuse.