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l'enfanteuse Gouverneur Planétaire à Mandibules
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| Sujet: L'adieu suite... Ven 10 Nov 2006 - 0:20 | |
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McKay ne parle pas. Son silence, si inhabituel n’en est que plus douloureux. Teyla ne dit rien non plus, mais se lève doucement, attrape sa combinaison sur la petite table de chevet puis disparaît derrière un paravent. Elisabeth se laisse aller sur le dossier de son siège. Elle se sent soulagée d’avoir partagé son fardeau avec ses amis mais paradoxalement, elle se sent comme vidée de tout espoir. Tant qu’elle n’avait pas verbalisé le diagnostique de Beckett, tout cela semblait si irréel, mais maintenant…
Teyla surgit de derrière le paravent. -« Bon, on y va ? » McKay la regarde étonné. -« On va où ? -Et bien on va voir le colonel Sheppard. »
Des échanges de regards… Teyla/Elisabeth McKay/Elisabeth Elisabeth/Teyla …juste des regards.
McKay suit les deux femmes qui marchent avec entrain. Il ne veut pas voir John, il ne veut pas être confronté à cette réalité qu’il fuit comme la peste depuis une semaine. Carson le croit fragile, noyé sous des tonnes de tics et de tocs en tout genre. La réalité est autre, enfin presque. Rodney était intimement persuadé qu’il s’était passé quelque chose de grave. D’ailleurs, l’état de Gaslin laissait peu d’espoir pour une guérison miraculeuse. Rodney a tout d’abord pensé à la mort de son ami, mais cela n’aurait pas pu leur être caché. Maintenant Rodney sait que la réalité est pire que tout ce que son esprit avait pu envisager. McKay se mord la lèvre inférieure. Il se sent coupable. Coupable d’avoir découvert les coordonnées galactiques de la planète et coupable de ne pas être intervenu. Tout à ses pensées, le scientifique ne remarque pas que les deux femmes se sont arrêtées. Il rentre de plein fouet dans Teyla. Celle-ci n’y prête aucune attention et passe la main devant le mécanisme d’ouverture de porte.
L’unité de soins intensifs est l’un des lieux les plus fermés d’Atlantis. Du moins pour le visiteur profane. McKay pénètre rapidement à la suite d’Elisabeth et de Teyla. Le docteur Beckett les accueille avec le sourire de convenance qu’affiche un médecin face à son malade. Elisabeth prend la première la parole. -« Docteur Beckett, Teyla et Rodney souhaiteraient rester un peu au chevet du colonel Sheppard. Est-ce possible ? -Je vous accompagne. » Carson prend un couloir qui part sur la droite puis s’arrête devant une petite cellule vitrée de moins de neuf mètres carré. Un lit, une table et un chariot de réanimation avec une batterie impressionnante d’instruments sont tout le mobilier de la pièce. Allongé sur le lit, ou plutôt sanglé sur le lit, le colonel Sheppard semble dormir. Il est vêtu d’un pyjama blanc qui tranche étrangement avec la noirceur des sangles. Chaque poignet, chaque cheville, mais aussi sa taille, ses genoux et son front sont maintenus ainsi. De sa bouche dépasse l’extrémité d’une canule maintenue par un morceau grossier de sparadrap.
Carson rompt le lourd silence de consternation. -« Nous venons d’interrompre les très hautes doses de psychotropes. On pourrait croire qu’il est dans un coma artificiel, mais en fait, il a même dépassé ce stade. Avant la mise sous traitement, il était tellement agité qu’il a blessé deux infirmiers. » Montrant les bandages à ses mains et les entailles sur son visage, Carson poursuit. -« Il était devenu dangereux pour les autres mais aussi pour lui-même. Sa folie avait pris des proportions vraiment très préoccupantes. A la frontière entre l’Homme et le Loup, il ne savait plus où se situer et ses rares moments de lucidité le faisaient énormément souffrir. L’utilisation des stupéfiants n’a pas été facile et a eu des répercussions inattendues. Si dans un premier temps, les drogues l’ont calmé, elles l’ont rapidement fait tomber dans cet état de catatonie. Ses fonctions cérébrales se sont complètement schintées pour finalement le plonger dans ce coma artificiel. Nous ignorons comment l’en extraire, si tant est que cela soit possible. Son état général s’est maintenu correctement mais depuis quelques jours il décline sans que l’on en connaisse l’origine. A ce rythme, ce sera bien un cadavre que le Deadale emportera vers la Terre. » Carson reprend son souffle et termine son explication. -« En d’autres termes, nous ne comprenons pas pourquoi le colonel est dans cet état végétatif et pourquoi son organisme se meurt à petit feu. Nous ne comprenons pas et nous ne savons pas quoi faire. » McKay et Teyla ont bu les paroles du docteur avec une attention presque religieuse.
Doucement Teyla ouvre la porte et avance vers Sheppard. Son teint est cadavérique. De grosses cernes grises sont creusées sous ses yeux clos. Sa peau marbrée est zébrée de fines rayures rosées, autant de griffures que le loup a infligé à l’homme. Teyla avance sa main pour le toucher mais Carson retient celle-ci. L’Athosienne regarde gentiment le docteur Beckett puis reprend le contrôle de sa main. Avec tendresse elle passe les doigts dans les cheveux de John puis lui caresse la joue. La peau est froide et Teyla sent un frisson glacial lui parcourir l’échine. Elle a envie de hurler comme un loup, elle a envie de se coucher près de lui, comme au sein de la meute.
Teyla respire profondément puis recule, des larmes pleins les yeux. McKay s’approche à son tour. Il tend la main mais la stoppe à quelques centimètres de Sheppard et se tourne vers Beckett. -« Pourquoi ? -On suppose que l’état de santé du loup n’a pas permit un transfert correct de la conscience du colonel. On pense que le processus de transfert n’est pas complètement automatique et qu’il nécessite une action de la part du loup et de l’homme. Sheppard et…Gaslin étaient si étroitement liés qu’ils n’ont peut être pas su comment se diviser, ou n’ont pas voulu se séparer. -Vous pensez vraiment une ânerie pareille ? -Ecoutez Rodney. Sheppard était en symbiose avec ce loup depuis trop longtemps, si on se réfère aux renseignements que vous nous avez donnés. Leurs consciences s’étaient fondues l’une dans l’autres et ils devaient leurs être impossible de faire la part entre celle de Sheppard et celle de Gaslin. Le transfert par la porte a donc été arbitraire et aucun des deux, ni Sheppard, ni Gaslin n’a récupéré son âme dans son intégralité. » McKay reste silencieux. Il semble réfléchir. Le docteur Beckett et le docteur Weir quitte la petite pièce en laissant Teyla et Rodney seuls avec leur ancien chef.
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Le colonel Caldwell peaufine les derniers préparatifs. Trouver des hommes surs, et surtout acceptant ce genre de mission n’a pas été simple. Caldwell savoure cet instant comme une petite vengeance envers Elisabeth Weir. Comment cette femme fait-elle pour le mettre tellement en rogne ? En même temps, il imagine que cette dernière ne restera pas sans réagir. Quels pourront être les répercussions d’une telle action ? Le colonel sourit en pensant au terme de mutinerie. Si on lui avait dit un jour que lui, le colonel Steven Caldwell, toujours si militaire, si carré, fomenterai un mini coup d’état sur Atlantis. Caldwell rit puis se tait et prend son verre. Le liquide ambré le réchauffe. Il pose son verre sur sa table. Une petite auréole se dessin sur le papier à entête du Deadale et à destination du SGC. -« Bon, va falloir que je refasse ce rapport…encore une fois ! »
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McKay pose son verre sur la table du réfectoire. Autour de lui, Teyla, Carson et Ronon sont silencieux. Zelenka est tout rouge et retiens difficilement son agacement. N’y tenant plus, il explose face à un Rodney plus virulent que jamais. -« Ce n’est pas ma faute bon sang, c’est Ronon qui m’avait dit de tirer ! -Hum, n’empêche que si j’avais été pleinement conscient, je suis certain que j’aurai pu faire quelque chose. -Docteur McKay, insinuez-vous que c’est de ma faute ? -Non. Et puis si ! Vous ne pouviez pas trouver une solution ? -Mais que vouliez-vous que je fasse. Je ne comprend même pas pourquoi ce loup que vous nommer Gaslin a eu une telle emprise sur Sheppard. Pourquoi vous et Teyla n’avez-vous pas autant réagit ? -Parce que Margelle, la louve de Teyla était soumise et peu combative. Par contre Myos était une vraie brute, de mèche avec Lupin qui plus est. -Et comment lui avez-vous résisté ? » La question vient de Carson et non de Zelenka. Ce dernier est soulagé que le débat ne le concerne plus. Déjà que tout le mess est suspendu à leurs mots. Zelenka déteste être au centre de l’attention du personnel d’Atlantis. De ce point de vue, lui et McKay sont vraiment à mille lieux l’un de l’autre. Aussi, quand Rodney est entré en aboyant dans la cafeteria puis l’a apostrophé, Zelenka aurai voulu disparaître. Oubliant Zelenka, McKay continue son explication. -« Myos avait beau être féroce, ce n’était rien comparé à Cadman. » Le docteur Beckett se met à rougir. McKay continue comme si de rien n’était. -« J’avais une assez bonne idée de ce à quoi m’attendre et je dois avouer que le fait de résister à Myos était particulièrement jubilatoire. » McKay marque un temps d’arrêt avant de reprendre sur un ton plus mélancolique. -« Le colonel a été blessé dès le début de notre mésaventure. Cela a fragilisé ses résistances. De plus, il était d’accord pour laisser sa place à Gaslin car c’était notre seule chance de salut. Il va mourir en héros…une fois de plus. » Cette dernière remarque fait tiquer McKay. -« C’est moi qui aurai du mourir en héro à sa place. C’est de ma faute tout cela. Qu’avais-je donc besoin d’étudier les données des anciens. Tous ça pour mieux comprendre les notions de dématérialisation. Tous ça pour mieux comprendre le fonctionnement du… » McKay se tait et se lève brusquement. Tout le mess est silencieux. Tous reconnaissent en cette attitude Rodnesque, la lueur de l’idée géniale, celle qui donne de l’espoir. McKay regarde ses amis puis fonce vers la sortie. Juste avant de disparaître, il se retourne et adresse un cri à l’attention de ses amis. -« Mais qu’est-ce que vous attendez ? Ne restez pas plantés là, venez ! »
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| | | l'enfanteuse Gouverneur Planétaire à Mandibules
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| Sujet: L'adieu suite... Ven 10 Nov 2006 - 0:20 | |
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La porte s’ouvre avec son fameux chuintement. Une ombre avance avec précaution. Ne voyant personne réagir, celle-ci fait un signe puis disparaît dans un couloir de droite. Aussitôt deux, trois puis quatre autres silhouettes se glissent dans l’unité de soins avant de se fondre à la suite de leur chef.
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McKay rentre dans le bureau du docteur Weir. Avant même que celle-ci ne réalise l’intrusion, Rodney est déjà adossé à son bureau et commence à parler. -« Docteur Weir, je crois que j’ai une idée. Arrêter moi si je me trompe mais... -Justement Rodney, je vous arrête ! Que se passe-t-il ? -J’ai eu une idée au sujet de Sheppard, enfin, du colonel. S’il y a une chance de le soigner, il faut la saisir. -Mais Carson ignore pourquoi sa santé décline comme cela. -Et bien moi, je crois savoir. Je suis prêt à parier sur mon disque dur (toujours lui) que Gaslin, le loup, va mal lui aussi. » Carson et Elisabeth échangent un regard étonné. C’est le docteur Beckett qui répond à la question de McKay. -« C’est exact. Nous l’avons opéré puis soigné du mieux que nous pouvions mais après un rétablissement de bonne augure, il a lui aussi commencé à dépérir. Vous pensez qu’ils sont encore liés l’un à l’autre. -Oui, c’est exactement ça ! J’ignore comment, mais je pense que d’une certaine façon leur conscience a été encodée par le bouclier filtrant lors du passage par la porte. Cela explique que les consciences regagnent le bon corps. Si ce résonnement est faux, comment expliquer que j’ai récupéré mon âme et non celle de Teyla ? Nous sommes pourtant passés par la porte en même temps. » Elisabeth qui s’était relevée à l’entrée du scientifique, se rassoit et s’enfonce dans son fauteuil. -« Oui, cela semble logique en effet. Et où cela nous mène-t-il Rodney. -Au fait que le codage de Sheppard et Gaslin n’a pas été réinitialisé correctement. Du coup leur corps bug si je puis dire. » Zelenka enchaîne à la suite de son collègue. -« Pour les sauver, il suffirai donc de les reprogrammer, comme un ordinateur. Mais c’est une idée fabuleuse docteur McKay ! -Oui, je l’avoue, je suis génialissime !» Elisabeth se relève de nouveau. Dans cette agitation, il est difficile de garder son calme et de rester inactif. Même Teyla et Ronon ne cessent de gigoter d’un pied à l’autre. -« Ok, Rodney, on a compris le principe, mais comment peut-on les reprogrammer ? Ce ne sont pas des machines ? -En fait, tout est arrivé parce que j’étudiais les données des anciens sur la dématérialisation. Je voulais comprendre le fonctionnement du dart pour éventuellement trouver une parade au faisceau des Wraiths. Je voulais aussi approfondir mes connaissances sur ce qui s’est passé entre Cadman et moi. » Carson tilt de suite. -« Et que c’est-il passé entre vous ? -Je parlais de notre cohabitation dans mon corps docteur Beckett ! -Ha, excusez-moi. Continuer je vous pris. -Bien. Gaslin et Sheppard fonctionnent finalement de la même façon. J’ignore encore comment ça marche mais je suis persuadé que le faisceau du dart saurait remettre dans le bon ordre les codes de Sheppard et ceux de Gaslin. » Elisabeth résume les propos de McKay. -« Donc, si je vous comprend bien, on capture Sheppard et le loup avec le faisceau du dart puis on les rematérialises et hop, le tour est joué ? -C’est exactement cela ! » Le docteur Weir se tourne vers Zelenka. -« Vous pensez que c’est jouable ? -Je pense que c’est une excellente idée. -Très bien. Docteur Beckett, ramenez Sheppard et le loup au labo de Zelenka. Teyla et Ronon vont vous y aider. McKay, vous et Radek allez préparer le dart. Je vous retrouve là-bas dans quinze minutes."
Tout le monde quitte le bureau d’Elisabeth pour accomplir la tâche qui lui a été dévolu. Elisabeth quand à elle, se laisse aller sur son bureau. La tête entre les bras, elle ferme un instant les yeux. Se pourrait-il que le plan de McKay marche réellement. Il est vrai que Sheppard a le don de se mettre dans des problèmes incroyables, mais aussi de s’en sortir in extremis. Peut-elle vraiment s’attacher à cet espoir. Un appel radio la sort de sa rêverie. -« Docteur Weir, ici Carson ! On a un problème. -Quoi Carson ? Que se passe-t-il ? -Sheppard a disparu. Sa cellule est vide et personne ne sait où il est passé. -Et le loup ? -Il est toujours là mais son état a brutalement décliné. Si Rodney a raison, cela n’est pas bon signe pour le colonel. -Bon, chercher partout dans l’USI. De mon côté je vais alerter tous les membres d’Atlantis pour qu’ils nous aident. » Elisabeth quitte précipitamment son bureau pour rejoindre la salle de contrôle. -« Mettez-moi en relation avec le Deadale et le colonel Caldwell. Je veux que tous les membres d’équipage disponibles viennent ici nous aider. -Le Deadale a quitter Atlantis il y a une heure docteur Weir. -Pourquoi ne pas m’avoir prévenue ? -Il est parti en dehors de son plan de vol prévu. Il semblerait qu’ils aient eu une urgence. »
Elisabeth comprend assez rapidement de quel type d’urgence il peut s’agir. -« Contactez les, je veux parler au colonel Caldwell IMMEDIATEMENT !!! -Bien docteur, je vous mets en relation. »
Elisabeth se tiens droite comme un piquet. Le silence qui précède la réponse du Deadale est mortel. -« Docteur Weir, je ne m’attendais pas à un appel de votre part, du moins pas si rapidement. Que me vaux le plaisir ? » Le ton est mielleux à souhait. -« Colonel Caldwell, pourquoi avoir quitter Atlantis si brusquement ? -Dois-je me justifier docteur Weir ? Je vous rappel que je ne dois des explications qu’à mes supérieurs, dont vous ne faites pas partie…désolé ! -Colonel, êtes-vous au courrant de la disparition de Sheppard ? -Et combien même, je ne vois pas en quoi cela vous concerne dorénavant. » Elisabeth est furieuse. Le ton entre elle et le militaire monte si rapidement que les membres de la salle de contrôle qui ne sont pas indispensable au bon fonctionnement, se sauvent les uns après les autres. Surtout ne pas prendre partie. D’un côté ils appréciaient vraiment le colonel Sheppard, d’un autre, ils sont soulagés de le savoir loin d’Atlantis. -« Cela me concerne dans la mesure où nous avons besoin de lui. -Et bien c’est trop tard ! Fin de communication, bonne nuit docteur Weir ! » Sur ces mots le commandant du Deadale coupe la communication radio. Elisabeth est hors d’elle. -« Reprenez contact tout de suite avec le vaisseau ! -C’est impossible docteur Weir. Le Deadale a coupé ses communications radio. » |
| | | Mara The Doctor's Companion
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| Sujet: Re: Autres Ven 10 Nov 2006 - 0:41 | |
| Oh my goooooooooood !!! Quel cliffhanger ! On reste littéralement accroché à la suite... Et ce qui arrive à John est vraiment horrible.. Juste deux remarques : Le fait que Caldwell soit un vrai sal****d, c'est l'une des choses auxquelles je ne crois pas tant dans SGA. A mes yeux, il peut avoir de très gros désaccords avec Weir, mais de là à faire ça.. Enfin ce n'est que mon avis. Rodney, ou tout du moins l'humour, est, je trouve, quelque peu exagéré. Bon, une fois de plus c'est mon interprétation personnelle, et c'est aussi peut être du au fait que je n'ai jamais vraiment aimé les moments comiques dans les scènes trop dramatiques, tragiques... Bon, sinon, ben comme j'ai dit, j'étais complètement accrochée au chapitre, et... La suite! La suite! _________________ Take my love, take my land. Take me where I cannot stand I don't care, I'm still free. You can't take the sky from me... |
| | | l'enfanteuse Gouverneur Planétaire à Mandibules
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| Sujet: Re: Autres Sam 11 Nov 2006 - 2:08 | |
| - mara a écrit:
Juste deux remarques : Le fait que Caldwell soit un vrai sal****d, c'est l'une des choses auxquelles je ne crois pas tant dans SGA. A mes yeux, il peut avoir de très gros désaccords avec Weir, mais de là à faire ça.. Enfin ce n'est que mon avis. Et bien je suis complettement de cet avis. J'adore Caldwell. Quoi, ça ne se voit pas? Sérieusement, j'aime beaucoup ce personnage. Je le vois comme quelqu'un de très droit et rigoureux. Par rapport à Weir, je l'imagine en compétition, jaloux et ... tu vas me detesté... Amoureux! Depuis le début je pense qu'un hydille (là, il est tard et je sors du taf, mais ça s'écrit pas comme ça...si? ) entre eux pourrait avoir lieu. Bon cela n'arrivera jamais, mais c'est comme ça que je vois les rélations de Caldwell et Elisabeth. Du moins, du côté du colonel. C'est pour cela que Weir le met tellement en rogne. Sinon, ce qu'il fait à Sheppard n'est pas si salaud. Ses hommes sont mal a l'aise face à Sheppard et lui le voit comme une quantité négligeable alors... Pour le colonel, Sheppard n'existe plus en tant qu'homme. il a la conviction qu'il n'est plus qu'un "légume" qui va en plus mourir franchement (enfin?!) durant le trajet vers la Terre. Bref, je le vois comme un militaire qui vois Sheppard comme un colis qu'il faut transporter et puis basta! Donc, mauvais avec Weir par vengeance (un peu quand même) et jalousie (même s'il ne l'avouera pas , même sous la torture) mais pas salaud du tout. Bon, c'est ma vision et il est tard, suis pas sur d'être clair. - Citation :
- je n'ai jamais vraiment aimé les moments comiques dans les scènes trop dramatiques, tragiques...:
Alors, là par contre je n'adherer pas à ton point de vue. même s'il est totalement acceptable. Tu es libre d'aimer ou non le comique dans le tragique. Le truc, c'est que vois-tu, dans l'urgence, dans les moments tragique et dramatique, l'humour se mélange tourjours au reste. Bon sauf si la personne n'a absolument pas d'humour. Ce qui n'est pas le cas de Rodney. Quand on est dans une situation d'urgence et de stress extrème (et là je m'y connais, crois moi!) l'humour (parfois très noir) est homniprésent. Il permet de liberer un peu de pression, comme une soupape de sécurité et de désarmorcer parfois certaine situation. dans SGA, Rodney est parfois (souvent ) ridicule par ces réactions, mais moi, je vois ça avec un autre regard... J'ai 34 ans et l'urgence vitale, la vie qui est entre tes mains ou la mort que tu dois accompagner, je les cotoie depuis mes 18ans, c'est dire. Donc je pense que McKay sait très bien ce qu'il fait et de jouer l'idiot lui permet de se decharger de son stress ou de son sentiment de culpabilité. J'aime beaucoup ce personnage, car ce sont aussi les default qui font qu'on les aime non? Bon, suis vraiment très fatiguée de ma journée et je sens que mes explications tournent en rond et prennent une tournure non adapté à ma fic. Suis quand même contente qu'elle te plaise malgrè tout et puis...ne soit pas trop pressée de voire les choses comme moi, c'est point nécéssaire. |
| | | Mara The Doctor's Companion
Nombre de messages : 1639 Age : 35 Localisation : Inside the Tardis
| Sujet: Re: Autres Sam 11 Nov 2006 - 11:54 | |
| Te détester parce que tu penses que Caldwell est amoureux de Liz? ............................................... Je suis limite à le penser aussi.... Plus sérieusement, ouais il est pas super sympa avec elle dans la série, mais je suis sûre qu'il la respecte beaucoup et qu'il la considère un peu comme une petite fille à protéger sur les bords... Je sais pas si je suis claire... Bon tant pis Ca me rappelle aussi cet extrait tordant d'une interview de Torri : - Citation :
- Journaliste : Do you think Weir is using Caldwell to make Sheppard jealous?
Torri : I think that Caldwell is using Weir to make Sheppard jealous Sinon, pour le côté humour... Hmmm, nous avons juste des points de vue très différents. Je vois parfaitement ce que tu veux dire, et je dirais même que je suis d'accord avec toi, l'humour permet de désarmer certaines situations. Je trouve juste que, dans certains moments, ça pourrait être évité, car je trouve ça légèrement déplacé. Tiens, sur le coup, ce n'est même plus à ta fic que je pense, mais à certains épisodes de SGA. (un exemple notamment en saison 3 dont je ne parlerai pas donc). Enfin ça, c'est ma sensibilité des choses, donc... A relativiser.. T'inquiète pas! T'as été très claire! J'espère l'avoir été autant à midi (heure de mon lever! ) _________________ Take my love, take my land. Take me where I cannot stand I don't care, I'm still free. You can't take the sky from me... |
| | | l'enfanteuse Gouverneur Planétaire à Mandibules
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| Sujet: Epilogue Mar 14 Nov 2006 - 21:58 | |
| Epilogue Elisabeth est désespérée. Pour la première fois depuis qu’elle est à la tête de l’expédition, elle ne sait que faire. Sans dire le moindre mot, elle quitte la salle de contrôle et se rend, ou plutôt s’enfuit, dans son bureau. Une fois la porte fermé, Elisabeth s’installe derrière son pupitre puis se laisse lourdement tomber sur son plan de travail. La tête blottie entre les bras, elle laisse échapper sa peine et sa frustration. Elle a envie de hurler et de tuer la première personne qui passera la tête dans l’encadrement de la porte. Au même moment, McKay pénètre dans son bureau. Elisabeth renifle un grand coup et ravale son sanglot. McKay sourit en pensant à ses propres reniflements intempestifs. -« Docteur Weir, est-ce que je peux rentrer ? »Le docteur Weir lui fait un signe de la main auquel Rodney répond en s’asseyant face à elle. -« J’ai contacté Hermiod et Novak sur le Deadale. »Elisabeth est sidérée. Elle fixe McKay et bafouille tout en essuyant ses larmes d’un revers de main. -« Mais comment est-ce possible ? -Lorsque j’ai travaillé avec Hermiod, nous avions mis au point un système de communication shuntant le post de commandement. L’idée était de pouvoir être mis au courrant d’une prise de contrôle du vaisseau par une puissance ennemie. Bref, j’ai envoyé un message à Hermiod lui expliquant la situation et le plan que nous avons mis au point pour tenter de sauver Sheppard et Gaslin… »Les yeux d’Elisabeth se mettent à briller. -« Et ? -Et Hermiod en a parler à Novak qui a pris la responsabilité d’aller voir le colonel Caldwell… -Et ? Rodney ! Cessez donc de ménager le suspens ! -Et Caldwell a admis avoir fait une erreur stratégique. -Alors, là, je n’en crois rien ! -Bon, disons que devant la possibilité de sauver Sheppard, il ne pouvait pas faire autrement que d’accepter son retour sur Atlantis. Hermiod pense que cela n’est pas plus risqué de téléporter Sheppard sur Atlantis que d’attendre le retour du Deadale. Il nous l’envoie donc directement au laboratoire de Zelenka dès qu’on leur en donne le feu vert. Le temps aussi pour eux de tout préparer avec discrétion. »Le docteur Weir se redresse brusquement, bousculant son bureau et McKay par la même occasion. -« Contrôle, mettez-moi en contact avec le Deadale. Je veux une communication sécurisée avec le colonel Caldwell. -Bien docteur Weir. »Deux, trois minutes s’écoulent dans un silence religieux. -«Docteur Weir, vous avez le colonel Caldwell. -Bien. » Elisabeth appuie sur un commutateur de sa tenue. -« Colonel Caldwell, j’espère que la communication est bonne car nous avons été interrompu brutalement lors de notre dernier échange. »Le colonel ne répond pas aussitôt. Il est étonné par l’entrée en matière d’Elisabeth. -« Je vous entend parfaitement bien docteur Weir. -Très bien. Je suis navrée d’avoir du passer par une tierce personne. Vous conviendrez néanmoins avec moi qu’il était nécessaire de vous faire parvenir ces dernières informations. - … -Je suis ravie que vous ayez pris la bonne décision et que vous assuriez le transport de mon « colis » dans les plus bref délais. - … -Colonel Caldwell ? -Heu, oui ? -Est-ce que nous nous sommes bien compris. -Parfaitement docteur Weir. Dites au docteur Zelenka que le colis lui sera expédié dans dix minutes. Je vous remercie docteur Weir de m’avoir tenu au fait des évènements sous de si bref délais. Mon rapport pour le SGC sera en ce sens. Bonne chance. -Merci colonel. Bonne route. Fin de communication. »Elisabeth se repose sur son dossier, un sourire béat aux lèvres. McKay la regarde étrangement. -« Je n’ai rien compris à votre échange docteur Weir. -C’est de la diplomatie docteur McKay. »Elisabeth souri de plus belle. -« Je pense que le colonel Caldwell n’est pas prêt de recommencer ce petit jeu. » Elle se tourne vers McKay, lui pose un baiser sonore sur la joue puis se précipite vers la sortie sans attendre de réponse du scientifique. A peine sortie de son bureau, Elisabeth fait marche arrière pour apostropher McKay qui n’a pas bougé d’un millimètre. -« Rodney, je pense qu’il serai sage qu’on y aille ! -Heu, oui…j’arrive docteur Weir… »Le scientifique se lève doucement et suit tout penaud le chef d’Atlantis. *** Sur le Deadale, le colonel quitte son fauteuil de commandant de bord. -« Je suis dans ma cabine, qu’on ne me dérange pas. »Une fois isolé dans ses quelques mètres carrés qui lui sont impartis, le colonel laisse éclater sa colère. Un coup de poing sur la table fait voler la vieille bouteille de scotch. Celle-ci tombe sans fracas sur une combinaison négligemment jetée au sol dans un accès de rage. Caldwell ramasse la bouteille et se remplie un verre. Le colonel vide son verre d’une rasade bruyante puis le repose avec brusquerie. Les glaçons s’entrechoquent en faisant jaillir quelques gouttes du précieux breuvage hors du verre. Steven Caldwell s’approche de son couchage puis s’affale d’un bloc sur son relax. Le regard perdu dans le vide il s’assoupit… -« Dieu que la colère lui va bien ! »…s’assoupit et sombre dans un étrange rêve. La brume enveloppe les amoureux. Caldwell se sent bien car sa bien-aimée est là près de lui. Pourtant il ne peut l’atteindre. Réminiscence d’un souvenir, d’un vieux film de son enfance. Ses magnifiques yeux verts le regardent avec tendresse. Elle le regarde dans la pénombre d’une grange abandonnée. Dans quelques instants le soleil va se lever et les séparer encore et encore. Ces grands yeux ne peuvent voire la lumière du jour. Le soleil se lève et elle devient faucon. Insaisissable rapace, libre comme l’air, maître de sa destinée et de ses choix. Elisabeth. Le soleil se fait orange puis rosé. Il se couche à l’horizon. Son amour redevient femme. Elle déambule dans la forêt. Silhouette fantomatique et terriblement attirante. Elle pénètre dans la noirceur des bois. Un cri, un loup. La femme lui caresse l’échine. Il est sa moitié, celui qu’elle chérit plus que tout autre chose. Les yeux tristes de l’animal regardent la femme tant aimée. La nuit elle est là, de chair et de sang, et lui est animal. Le jour, il est Homme et elle est oiseau. Cruel sortilège qui brise leur amour. La lune se couche et le soleil se lève. Un échange rapide, celui des deux astres, celui des deux amants. Elle redevient faucon et il redevient l’homme quelle aime avec tant d’ardeur. Caldwell grince des dents dans son sommeil. Le blond chevalier se fait brun ténébreux. Ce n’est pas Rutger Hauer mais John Sheppard ! Caldwell émerge de son sommeil. Il est en nage. Les mains crispées sur ses draps, il pousse un grognement. -« Sheppard ! »Le nom est difficilement formulé entre ses dents serrées de jalousie et de rancœur. -« Pourquoi toujours lui ? »Comme un zombi, le colonel Caldwell se lève et reprend son verre de scotch. Il le regarde fixement. Pourquoi Sheppard se met-il toujours en travers de sa route. Entre lui et Atlantis. Entre lui et Elisabeth. *** Elisabeth et McKay ont rejoint le laboratoire de Zelenka. Carson est déjà en train de s’occuper de Sheppard. Ronon et Teyla, quand à eux, ont pris en charge Gaslin. McKay s’approche des commandes de l’appareil Wraith. -« Nous allons bientôt savoir si nos hypothèses étaient exactes. »Un faisceau lumineux enveloppe les deux blessés qui disparaissent dans un halot légèrement bleuté. McKay et Zelenka ont le nez greffé sur les écrans de contrôle. -« Tout semble correct. »Zelenka semble radieux. Sa confiance n’est pas partagée par Rodney. -« N’allons pas trop vite. L’ordinateur indique bien deux signes de vie distincte, mais cela ne prouve pas que toutes les pièces du puzzle soient à la bonne place. »Elisabeth pose une main sur son épaule. Elle arbore un immense sourire de façade, loin des méandres de son fort intérieur. -« C’était votre idée, Rodney, et nous avons tous confiance en vous. A commencer par Sheppard. »McKay regarde Elisabeth avec surprise et reconnaissance. -« Bien, nous serons vite fixés. »Le scientifique enclenche la matérialisation. Aussitôt les deux corps réapparaissent, immobile, sans plus de réactions qu’avant leur dématérialisation. Carson s’approche d’eux et fait signe à une équipe médicale restée en retrait. -« Emmenez-les à l’infirmerie. »Il se tourne vers Rodney qui à l’air perdu. -« Il vous a fallut près d’une heure avant de vous réveiller la dernière fois. Laissez-lui un peu de temps. »*** Le docteur Beckett termine d’étudier les premiers résultats d’analyse. Toute l’équipe de Sheppard est au garde-à-vous devant son bureau. Même, et surtout, Elisabeth fait les cents pas autour du médecin. -« Arrêtez de tourner en rond comme cela, docteur Weir, vous me rendez nerveux. -Je suis navrée docteur Beckett, mais je suis moi aussi nerveuse. -Nous le sommes tous. Bon, les premières constatations sont assez rassurantes. Les analyses montrent que l’état de santé de nos deux amis c’est stabilisé. Ils ont même récupéré des fonctions rénales et hépatiques plus que satisfaisantes. Je pense qu’ils sont sur la voix de la guérison. -Reste à savoir qui est qui. En espérant qu’on n’ait pas mélangé davantage encore les données. »Lourd silence dans le bureau. -« Les données de quoi ? »La voix vient du bloc attenant au bureau de Carson. Tous s’y précipitent. Sheppard s’est redressé. Gaslin a arraché perfusions et tubulure en tout genre pour s’allonger auprès de son ami. Le colonel semble trouver la situation plus que normal et caresse le poil du loup comme si de rien n’était. -« Elisabeth, Carson ? Je suis un peu perdu, vous pourriez m’expliquer ce que je fais là ? »Elisabeth a envie de se jeter à son cou. Teyla et Ronon affichent un sourire plus que radieux. Beckett regarde ses écrans de contrôle avec une grande satisfaction et soupire comme une demoiselle éconduite. Quand à McKay… Rodney saute d’un pied à l’autre sous le regard amusé de Zelenka. -« Ca a marché ! Ca a marché ! »Sheppard susurre quelques mots à l’oreille de Gaslin. Celui-ci pousse un hurlement qui stoppe net l’exhibition de McKay. -« Calmez-vous McKay ! J’ignore comment vous vous y êtes pris, mais je vous remercie tous de m’avoir sorti de là ! »Teyla sort du groupe et se rapproche de Sheppard. -« C’est nous qui vous remercions. »Elle câline gentiment le loup qui semble particulièrement apprécier. -« Sans votre action contre Lupin, nous n’aurions jamais pu regagner la porte des étoiles. »Sheppard se rallonge confortablement sur son oreiller. -« Racontez-moi tout ça. Mes derniers… » Sheppard regarde Gaslin. Ce dernier vient se coller plus près de lui. -« …Nos derniers souvenirs, remontent justement à ce combat. Ils nous semblent qu’on l’a perdu, non ? »Elisabeth s’assoit de l’autre côté du lit du colonel. -« Je vais vous expliquer tout ce qui c’est passé, mais cela sera long. »Le docteur Beckett fait signe aux autres de s’en aller. -« Bon docteur Weir, on va vous laisser raconter au colonel ses tribulations, mais après il faudra les laisser se reposer. »La porte de l’infirmerie se ferme sur deux humains et un loup en pleine conversation. Etrange vision. Etrange quotidien de la cité Atlante. *** Le vortex s’ouvre. Sheppard est particulièrement triste. Bien que ne pouvant plus communiquer avec Gaslin, ces deux dernières semaines avaient été pour lui particulièrement réconfortante. Ils avaient partagés tant de choses, tant de souffrances, mais aussi tant d’espoir pour leur meute. Sheppard sourit. Depuis cette drôle d’expérience, il ne pouvait s’empêcher d’associer systématiquement son équipe à une meute. Sheppard rit franchement avec plaisir et sans retenue. Gaslin se joint à son rire. Etonnant, comme entre l’animal et l’Homme la symbiose est restée intacte. Le loup perçoit parfaitement les sentiments de l’Homme, comme l’Homme vit en parfaite empathie avec l’animal. Sheppard met un genou à terre. -« Elisabeth voudra étudier les textes anciens qui sont dans la grotte. Je reviendrais avec elle. »Sur la plateforme d’Atlantis, seul le loup et le militaire sont présent. Sheppard a absolument tenu à être seul lors du départ de Gaslin. Demande acceptée et comprise sans difficulté par Elisabeth. Sheppard enlace le loup. L’odeur qui se dégage de son cou est rassurante, presque paternelle. L’étreinte semble durée une éternité, puis Gaslin s’éloigne. Un hurlement, le dernier, puis il plonge dans la vague bleue et disparaît. Sheppard prend une grande inspiration puis s’éloigne vers ses quartiers. Sur un balcon, quelque part au-dessus de la plateforme, une main essuie quelques larmes. -« Voila c’est fini, la vie va reprendre son cours et John va encore se mettre dans le pétrin. »Un petit sourire sarcastique prend la place aux émotions brutes. Une étrange lueur éclaire deux ravissants yeux verts. FIN Ben voila mon petit délire terminé. Va falloir que je cherche quoi écrire maintenant (p't'être une fic sur Mckay pour faire plaisir à Nanne). Snif, que c'est dur de mettre le mot FIN! Pour le rêve de caldwell, je fais référence à un film avec Rutger Hauer (qu'il est beau!!! ), Michelle Pfeffer (qu'elle est belle ) et Matthiew Broderick (qu'il est jeune ^_^ ). Un superbe film de Richard Donner: Lady hawke @Mara: J'espère que tu as aimé le rêve de Steven. @Bibi et Marpire qui aiment le ship: Juste une ch'tite dose homéopathique. Cela vous plait aussi?
Dernière édition par le Mer 15 Nov 2006 - 10:19, édité 1 fois |
| | | Nanne Larve Toxique
Nombre de messages : 39 Age : 41
| Sujet: Re: Autres Mar 14 Nov 2006 - 23:14 | |
| Ahh c'était bien! J'ai trouvé ta façon de décrire les comportements des loups franchement bien. - Citation :
- Ben voila mon petit délire terminé. Va falloir que je cherche quoi écrire maintenant (p't'être une fic sur Mckay pour faire plaisir à Nanne).
oh ouais!!! |
| | | Mara The Doctor's Companion
Nombre de messages : 1639 Age : 35 Localisation : Inside the Tardis
| Sujet: Re: Autres Mer 15 Nov 2006 - 6:51 | |
| Très jolie fin Ca a peut être commencé en délire, mais ton histoire a eu une super évolution et j'aime bien la façon dont ça se finit... Le rêve de Steven? Ha-ha-ha. Vui, j'ai bien aimé, même si je croyais que tu n'aimais pas le ship Liz/John? J'espère que tu vas t'ateler à écrire une nouvelle fic dans peu de temps... Surtout que tes fics sont vraiment bien. Pour finir, un grand bravo ! _________________ Take my love, take my land. Take me where I cannot stand I don't care, I'm still free. You can't take the sky from me... |
| | | l'enfanteuse Gouverneur Planétaire à Mandibules
Nombre de messages : 1126 Age : 52 Localisation : sans commentaire
| Sujet: Re: Autres Mer 15 Nov 2006 - 10:13 | |
| - mara a écrit:
- je croyais que tu n'aimais pas le ship Liz/John?
Et bien quand je regarde la série, c'est vrai que j'y vois des petits trucs, mais c'est finalement à force de l'écrire que je finis par m'en persuader. Par contre, j'ai vraiment perçus des trucs par rapport à Caldwell...en sens unique of course! Quand au délire, j'en reviens pas moi-même. Je cherchais quoi écrire et j'ai eu l'idée de transformer les personnages en loup. Il a fallut que je trouve le comment et le pourquoi et finalement ça a évolué beaucoup plus que prévus. Mais finalement cela m'a permit des interventions non prévues aux programmes, comme celle de Steven et franchement...j'en suis ravie. Ravie aussi que cette fic vous ai fait plaisir. Je réflechis déjà à la suivante. |
| | | Titto Commandant Cyborg
Nombre de messages : 658 Age : 34 Localisation : Sous la tranquilité glaciale de l'Antarctique ...
| Sujet: Re: Autres Ven 17 Nov 2006 - 14:45 | |
| J'ai enfin pris le temps, enfin j'ai surtout eu le temps (ouais, j'ai un emploi du temps surchargé ) de lire une fic made in l'enfanteuse, et je suis pas déçu . Ce que tu qualifies de "délire" est pour une idée super intéréssante. En tout cas tu as vraiment su bien l'exploiter. Qui aurait penser à mettre des loups dans la galaxie de Pégase? Qui plus est se transformant en réceptacles pour âmes perdues . Je trouve que la description des échanges entre les loups et Teyla, Mckay et Sheppard étaient très bien écrites, tout comme les échanges entre les loups entre eux. Pour ce qui est de la relation entre Elizabeth et Caldwell, ça m'a fait rire (je pense que ce n'était pas l'effet voulu ). Je m'explique, voir ces deux là jouer au chat et à la souris est assez contre nature, même pour une civil et un militaire, et ne colle pas trop à la série (je sais, c'est une fic, mais bon). C'est peut-être le seul reproche que j'ai à faire à ta fic : j'accroche pas trop à l'idée que Caldwell aime Elizabeth . Ah, j'allais oublier, j'ai par contre trouvé très bien menée la petite dose de ship Liz/John, sans doute parce qu'il y en avait juste assez . En résumé, je serais là pour tes autres fics (je cours en lire une autre ) |
| | | l'enfanteuse Gouverneur Planétaire à Mandibules
Nombre de messages : 1126 Age : 52 Localisation : sans commentaire
| Sujet: Re: Autres Ven 17 Nov 2006 - 17:56 | |
| - Titto a écrit:
Pour ce qui est de la relation entre Elizabeth et Caldwell, ça m'a fait rire (je pense que ce n'était pas l'effet voulu ). Je m'explique, voir ces deux là jouer au chat et à la souris est assez contre nature, même pour une civil et un militaire, et ne colle pas trop à la série (je sais, c'est une fic, mais bon). C'est peut-être le seul reproche que j'ai à faire à ta fic : j'accroche pas trop à l'idée que Caldwell aime Elizabeth .
Merci beaucoup Titto ET si, si, rassures-toi, le but était aussi de rire. En tout cas, moi j'étais MDR en l'écrivant. Evidemment on a chacun notre propre regard sur les relations entre les personnes, surtous sur les ship. Quand à Caldwell, je t'avoue que je pensais être la seule à avoir (crue?) repéré un truc...mais non, a priori, Mara a un feeling aussi en ce sens...Peut être une histoire de filles finalement. Bon, et bien bonne lecture et contente que ce ch'tit délire (heu, ch'tit n'est finalement plus le bon terme) t'es apporté du plaisir à lire! |
| | | Skay-39 The Vortex Guy
Nombre de messages : 4190 Age : 35 Localisation : TARDIS 39th room (blit), on Moya third level, in orbit around Abydos (Kaliam galaxy)
| Sujet: Re: Autres Mer 4 Avr 2007 - 16:59 | |
| Ca y est, j'ai enfin finit cette fic ! J'aurais bientôt lu toutes les fics de l'enfanteuse. Ne pas faiblir... ^^ Bon, je dois dire que je n'ai pas des masses accroché ; je trouve que cette fic est un petit peu trop "vacillante" niveau cohérence, aussi bien sur le plan des détails techniques que scénaristiques, pour qu'un maniaque comme moi y trouve son compte. Néanmoins, j'ai quelques remarques élogieuses particulières à faire : - J'aime beaucoup la référence que tu as fais à l'incident "Cadman/Rodney, pour prédire la disparition de l'un ou l'autre des deux esprits. - Ta façon de décrire l'attitude de nos amis dans leurs corps de loup est très réussie, je trouve. - Tu massacres Sheppard, pour changer ; ça finit par devenir une marque de fabrique. - En tant qu'adepte de "La Citadelle des Ombres", je ne peux qu'apprécier la relation homme-loup que tu décris. Cependant, quelques détails me gênent : - Le "bouclier" qui équipe ta porte est-il une appellation symbolique, ou un véritable mur d'énergie séparant l'esprit du corps ? En tout cas, dans un cas comme dans l'autre, je pense qu'il n'aurait pas été inutile de mentionner par quel moyen l'ame se trouve transférée d'un corps à l'autre. - Je ne suis pas certain d'avoir saisi l'utilité de ce dispositif. Si j'ai bien compris, l'ame de l'ancien est sencée s'Elever plus facilement par ce procédé ? Soit il atteint l'Illumination, soit sa conscience et sa connaissance est absorbée par le loup ? - Le comportement de Caldwell ne me semble pas correspondre au personnage, pas du tout, même. Ce genre d'attitude ne lui ressemble pas, je trouve. En revanche, j'ai beaucoup apprécié le parallèle entre le Dédale et un faucon. Voila-voila. Maintenant : suivante ! _________________ ________________ « My name is Skay-39, an administrator… An enthusiasm wave hit and I got shot through a link... Now I'm lost in some distant part of the webniverse on a forum – a crazy forum – full of strange, geek life-forms… Help me… Listen, please. Is there anybody out there who can read me ? I'm being tyrannized by an insane fondator… doing everything I can… I'm just looking for a real life. » |
| | | l'enfanteuse Gouverneur Planétaire à Mandibules
Nombre de messages : 1126 Age : 52 Localisation : sans commentaire
| Sujet: Re: Autres Mer 4 Avr 2007 - 19:04 | |
| Je suis assez d'accord avec toi Skay. Cette fic était un petit délire qui est un peu parti en tous sens. Bon, je me sui bien marré à l'écrire mais pour moi si mes fics en tant que série/suite avait un commencement se serait avec Autres regards, que j'adore+++ Donc, disons que "autres" et "il y a" sont des petits extras. Bon, quand au comportement de caldwell, cela relève d'un truc perso je pense donc n'y prête pas attention plus que ça. Quand au bouclier, disons que c'est un teme à défaut de mieux et la technique utiliser est...comme dirais Zelenka dans huis-clos..."ben on ne sait pas tout des anciens!" LOL, pratique non? bon, allez, lis autres regards, je suis certaine que se sera ta préférée! :203: |
| | | Webkev Roi des Petits Gris
Nombre de messages : 2378 Age : 37 Localisation : ~ Surfant dans le subespace ~ Compagnon de la Confrérie
| Sujet: Re: Autres Ven 6 Avr 2007 - 11:04 | |
| Délire peut-êtren mais superbe quand même. J'ai beaucoup aimé :p |
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