Les mystères de l'Atlantide

Auteur des Chroniques d'Atlantis : Mike

Résumé :

Après les troublants évènements qui se sont passés dans le tome 1 : La place forte, nous sommes à l'aube d'une grande découverte. Les technologies récupérées vont permettre de découvrir l'existence sur terre de l'Atlantide, mais aussi de découvrir qu'il existe aussi peut être des anciens dans une autre galaxie.
Mais nous verrons que la découverte et l'exploration de l'Atlantide situé non loin du détroit de Gibraltar ne se fera pas sans mal. Pégase et la Terre vont unir leur force dans cette nouvelle aventure, ils devront faire face à de nouveaux dangers, et aussi faire face à leur nouveau chef sans compassion prénommé Gretchen...

PS : Ceux qui n'ont pas lu le tome 1 s'abstenir...


Chapitres déjà parus :

1 : Le Projet Atlantide
2 : Retours sur Terre
3 : Le Fléau
4 : L'envoyée du Diable
5 : Le dernier vole
6 : L'Antre des Alterans


Chapitres à venir :

7 : Le Traître "26.04.2008"
8 : A l'épreuve du feu "03.05.2008"

J'attend avec impatience...

Surtout que j'ai remarqué que on les aurait en avant-première....

En effet, le problème c'est que j'ai du mal à poster sur le fofo il me dit que mes réponses dépasse la longueur autorisé et ce même en coupant le chapitre en 2.
Y a t-il une solution pour ça, car sur fusion j'ai pas le problème ?

edit : du coup j'ai posté en plusieurs fois !

Chapitre 1 : Le Projet Atlantide

Le froid était tombé à une rapidité incroyable. L’Océan qui d’habitude était nerveux se transforma en un être calme, sans mouvement apparent. Il était devenu d’un blanc éclatant. La glace qui s’était formée au-dessus pouvait atteindre déjà trois mètres d’épaisseurs dans les zones les plus froides. C’était désormais l’hiver sur une partie de la planète Lantia. Cet hiver donnait sur la partie Nord de la planète qui était inclinée d’environ vingt degrés. Cette période de froid n’avait lieux que tous les cent trois ans selon la base de données, donc s’était une chance pour eux de découvrir un hiver atlante. La mer de glace était donc calme sans grande distraction intéressante à première vue. Soudain à quelques kilomètres du continent, là ou la glace était la moins épaisse, la mer se brisait. La glace commençait à se fendiller, un grondement croissant accompagnait l’ouverture de cette brèche soudaine. Rien ne pouvait expliquer un tel phénomène, rien ne laissait penser que la glace puisse s’animer d’un seul coup. Puis le grondement stoppa, et la brèche cessa de s’agrandir, plus aucun bruit n’était perceptible. Pendant cinq petites minutes pas un bruit ne vain briser le silence. C’est alors que sans garde, la glace explosa. Les débris les plus gros volèrent à près de vingt cinq mètres de haut, s’était vraiment impressionnant à voir. Puis tout retomba, des plus petits morceaux aux plus gros sans exception. Une large ouverture apparaissait désormais, on pouvait voir un espace remplit d’eau et vue l’espace de la planète qui était prise par la glace, ce petit endroit faisait désormais office de rareté dans cet hémisphère. Ce petit coin d’espace liquide apparut vraiment soudainement à la surface sans aucune raison apparente, mais c’est alors qu’une énorme bosse sortie et défila un moment avant de sombrer. Il s’agissait tout simplement d’une baleine qui devait absolument reprendre sa respiration et donc se frayer un chemin jusqu'à la surface.
Tout à coup elle lança un geyser très impressionnant qui monta à une quinzaine de mètres d’altitudes. Mais ce magnifique geyser créé par la baleine fut détruit si l’on peux dire par le passage d’un objet volant.
-Alors Ronon on n’a pas à réussi à éviter le joli geyser de la baleine dit Sheppard en se concentrant sur le pilotage de son jumper.
-Très amusant, mais regardez devant vous si vous voulez gagner cette course répondit-il en maniant habilement son jumper de telle sorte qu’il se plaça juste devant celui de Sheppard.
-Si tu crois que ta manœuvre va m’empêcher une seule seconde de te battre tu te mets le doigt dans le nez répondit Sheppard en faisant monter légèrement son jumper en altitude afin de tenter un passage par-dessus son adversaire.
Les deux hommes qui revenaient du continent étaient en train de faire une course. L’enjeu de celle-ci était le suivant, le premier qui arriverait, aurait le droit de prendre en premier ses vacances. Bien que ce pari ne soit pas hors du commun à première vue, pour eux il était important. Cela faisait maintenant un an qu’Atlantis était revenu de la voie Lactée, cela faisait un an qu’aucun d’eux n’avaient réellement eu de pause, voilà pourquoi l’enjeu en question n’était pas anodin.
-Ah ah ! que penses-tu de ça Ronon dit Sheppard en faisant une manœuvre assez complexe, mais qui lui permit de reprendre rapidement l’avantage sur son adversaire.
-Aaaaaaah ! Sheppard vous commencez à me fatiguer avec vos acrobaties stupides dit Ronon qui commençait à s’énerver, car il n’avait pas une aussi bonne maîtrise de la technologie ancienne, bien qu’il soit très doué tout de même.
-Oh ! regardez au loin, que vois-je ? mais ne serait ce donc pas Atlantis ! et qui est en tête ? mais c’est moi dit Sheppard qui riait à s’en décrocher le amygdales. Puis il ce concentra une toute dernière fois, faisant prendre davantage de vitesse à son jumper, distançant Ronon de plus belle.
-Sheppard, si jamais vous arrivez avant moi, je vous fait manger votre jumper par vos…
-Ronon ne vous énervez pas voyons ! mais sentez ce goût amer au fond de votre gorge. Et bien c’est le goût de votre future défaite dit-il en ricanant. A ce moment là Sheppard s’imagina en méchants de bandes dessinés qui ricanaient lorsqu’ils réussissaient leur coup se qui l’amusa.
Le jumper de Sheppard allait toujours plus vite et Ronon ne comprenait vraiment pas comment il s’y prenait et cela le mettait hors de lui. Puis au bout de quelques courtes mais intenses minutes, Sheppard arriva sur Atlantis. Son jumper à l’approche de l’infrastructure lantienne monta en trombe vers le sommet de la flèche centrale de la cité pour y rentrer le jumper. Ronon arriva deux minutes plus tard. Il sorti en trombe de son jumper et s’approcha de Sheppard qui reculait.
-Oh oh ! du calme Ronon j’ai gagné et vous avez perdu. Mais vous savez très bien que lorsque nous parions pendant nos entraînement au combat, vous avez tendance à… disons toujours gagner, alors pour une fois que c’est moi, laissez moi jubiler un peu…
-Aaaah ! fit Ronon avant de partir de la salle d’embarquement à toute vitesse.

Il était tout juste neuf heure du matin lorsque les deux hommes arrivèrent sur la cité, ils avaient passés la nuit dans un campement athosien sur le continent. Si bien que Sheppard fut ravi de rentrer se mettre au chaud et surtout prendre une bonne douche chaude. Il mit très peu de temps pour atteindre ses quartiers. Il enleva rapidement ses vêtements et entra sans réfléchir dans une petite pièce dont le design différait de toutes les autres pièces. Il s’agissait d’une sorte de douche atlante, elle avait plusieurs fonctions de nettoyage. L’une d’entre elle, était rapide puisqu’un rayon balayait la personne la nettoyant instantanément. Cette fonction était très utile dans le cas de douche rapide, mais cette fois ci Sheppard utilisa l’autre fonction c'est-à-dire qui utilisait de l’eau. Il resta près d’une demi heure allongé sur une sorte de table bleu. De l’eau sortait de toute par, cela lui faisait beaucoup de bien. De plus, il sentait ses jours de repos arrivés à grands pas. Cette année aura été chargé, l’attaque des Assurans qu’ils avaient malencontreusement découvert par le plus grand des hasards, une tentative presque réussite d’alliance avec des travellers et enfin la découverte d’un petit reste de bastions Wraiths qui s’amusaient à provoquer la panique sur plusieurs planètes bien que cela restait risible. Leur flotte étant détruite, leur domination était remise en cause sur Pégase, depuis que de nombreux peuples étaient au courant de la défaite des Wraiths, les différents peuples mobilisaient le plus de personnes possibles pour vaincre les derniers Wraiths. Malgré une journée qui s’annonçait plus froide qu’a l’accoutumée, rien ne pouvait mettre Sheppard de mauvaise humeur. Aujourd’hui était une journée spéciale, puisqu’il s’agissait du jour ou le dr. Weir revenait sur Atlantis reprendre son poste de leader, jusque là occupé par le colonel Samantha Carter. Cela faisait un an qu’elle n’était pas revenu, un an qu’elle n’avait pas revue tout le personnelle de la cité avec qui elle avait noué des liens spéciaux notamment avec le colonel Sheppard. C’est d’ailleurs la seule personne qu’elle avait revue à plusieurs reprises. Sheppard avait usé de son grade de colonel et de l’aide de Carter pour s’éclipser rapidement d’Atlantis pour aller au chevet de Weir. Elisabeth fut blessée lors de l’explosion de la place forte, Beckett lui-même ne savait pas alors si elle allait s’en sortir. Mais Weir était une femme extraordinaire qui avait lutté pour sa survie et qui avait réussi. Après des mois et des mois de réhabilitation physique principalement, elle était parée pour reprendre le poste de leader d’Atlantis. C’était par ailleurs une des raisons qui l’avait poussé à se battre contre la mort, elle voulait revenir dans cette galaxie continuer ce qu’elle avait commencé. Et après de long mois, elle réussi à convaincre les membres du SGCI de la reprendre. Après l’attaque des Oris qui avait détruit dans un premier temps le SGC puis dans un deuxième le SGCI, la Terre décida de reconstruire les gigantesques infrastructures localisées toujours sur l’île de Bouvette en Antarctique. Cette île est une concession norvégienne, qui est vraiment très isolée. Les pays qui offraient leur service et leur argent au programme voulaient un lieu neutre, et c’est pourquoi ils demandèrent à la Norvège de leur céder cette île en échange de nombreux avantages économiques notamment. La Norvège n’était pas intéressé par ce programme d’exploration interstellaire, contrairement à certain homologue européen comme la France et l’Allemagne qui suivaient ce programme de très près.

Sheppard était vraiment anxieux à l’idée de revoir Weir, notamment anxieux au fait qu’il pourrait la voir tous les jours désormais. Il était arrivé en avance dans la salle d’embarquement, il ne voulait louper en aucun cas son arrivée. Carter arriva à son tour en compagnie de Teyla. Elles étaient ravissantes aussi bien l’une que l’autre. Les deux femmes s’étaient très bien habillées pour cette occasion. Les vêtements militaires n’étaient pas à l’ordre du jour, Weir l’avait demandé, elle voulait une ambiance plus légère, ambiance qui serait terni par la présence militaire. Puis Mckay arriva à son tour en compagnie de Liz qui était sublime elle aussi. Les derniers mirent un peu plus de temps à arrivé se qui exaspéra Sheppard qui était vraiment nerveux. Ronon pointa enfin le bout de son nez, suivit de près par le dr. Beckett. Les deux hommes étaient très élégant, surtout Ronon que l’on avait vraiment pas l’habitude de voir habillé de la sorte. Sheppard avait commandé un costume pour lui, et il fallait reconnaître que Ronon le portait vraiment bien. Sheppard regardait autour de lui arriver de nombreuses autres personnes venues se joindre à cette petite surprise concoctée pour Weir. En effet il avait préparé tout un repas de bienvenue en son honneur, se qui obligea Carter à suspendre toute activités pendant plusieurs jours, mais elle savait désormais que la reprise des sorties interstellaires ne serait plus de son recourt. Soudain alors que tout le monde parlait entre eux, la porte des étoiles commença à s’activer.
-Activation de la porte dit Chuck. S’il vous plait éloigné vous d’elle, cela peut être dangereux, merci !
Des scientifiques s’étaient mit un peu trop près de la porte. Ils étaient pris dans des discussions qui prenaient toutes leur attention, si bien qu’ils n’avaient pas vraiment remarqué l’activation de la porte. Cette dernière s’ouvrit laissant toujours admiratif certaines personnes qui travaillant tout le temps dans des locaux de la cité ne la voyait jamais.
-Colonel Carter, il s’agit de la Midway station dit Chuck en regardant par-dessus son panneau de contrôle.
-Très bien, éteignez le bouclier je vous pris répondit-elle.
La Midway station était un moyen pratique pour traverser Pégase sans utiliser beaucoup d’énergie. Il est vrai que Mckay et Liz, étaient désormais capable de créer des eppz, la cité était équipée d’installations prévu à cet effet. C’est ainsi qu’ils procurèrent à la Terre trois eppz. La cité était de la même façon alimenté par des eppz et pouvait donc directement contacter la Terre, comme cette dernière aurait pu le faire maintenant qu’elle en possédait. Mais leur dernière mission contre les Assurans leur fit découvrir que ces derniers étaient capables de découvrir leur position si il utilisait une puissante source d’énergie, or un passage vers une autre galaxie nécessite une grande quantité d’énergie. C’est pour cette raison, que la Midway station fut de nouveau mis au centre des déplacements et contacts entre les deux galaxies.

Tout le monde avait le regard fixé sur la porte des étoiles, Weir allait bientôt apparaître. Sheppard se rongeait les ongles, il n’en pouvait plus d’attendre, mais Liz lui donna un petit coup de coude bien placé, c'est-à-dire dans une de ses côtes.
-Aie ! fit-il en se tournant vers elle.
-Désolé mais si je n’était pas intervenu, vous n’auriez sûrement plus eu de mains avant qu’elle arrive dit-elle se qui fit rire Sheppard qui reporta aussitôt son attention en direction de la porte.
Puis soudain Weir traversa la porte, sous les applaudissements des membres de la cité. Elle était vraiment surprise par cet accueil, elle pensait bien que la team de toujours serait là, mais en fait la quasi-totalité de la cité s’était déplacé pour l’accueillir.
-Ouh ! et bien quel accueil, je ne pensait vraiment pas que…
-Ne pensez pas Elisabeth, tout le monde vous adore ici, c’est donc normal que vous soyez accueilli en tant que telle dit Sheppard qui s’approcha et la serra dans ses bras. Tout le monde applaudit, on entendait même des sifflements, mais là Sheppard soupçonnait Ronon
-Je ne vais pas venir seule dit-elle, maintenant que les Oris ont été vaincu, je pense que vous serez content d’apprendre l’arrivée de Daniel Jackson qui ne devrait pas tarder. Et c’est à ce moment même qu’il traversa à son tour la porte des étoiles.
Il regarda autour de lui, il aperçu alors Carter qui se dirigeait alors vers lui. Tout le monde le saluèrent, mais oublièrent vite qu’il était arrivé car toute l’attention de l’assemblée était tournée vers Weir. Carter arriva à sa hauteur et le prit dans ses bras, Daniel n’en fut pas surpris surtout qu’il fit la même chose.
La soirée qui suivit l’arrivée de Daniel et Weir fut très festive, cela ne fit d’ailleurs de mal à personnes. Weir était ravi d’être revenu sur la cité, et l’accueil qui lui fut faite, la toucha plus qu’on ne pouvait le penser.

Il était environ quatre heures du matin, et la petite fête commençait à prendre fin. Tout le monde commençait à partir se coucher, en pensant que le réveil du lendemain serait difficile, bien que Weir leur accorda une journée supplémentaire de repos. Elle quitta la salle, mais ne se dirigea pas vers ses quartiers, elle entra dans un téléporteur appuya machinalement sur l’écran et arriva dans la tour centrale de la cité. La pièce était vide, ils avaient bloqué la porte des étoiles par sécurité et enclenché les systèmes de sécurités, tel que l’activation automatique du bouclier en cas de danger. Elle monta les escaliers et passa la porte située presque en face, elle permettait d’accéder au balcon. Lorsque cette dernière s’ouvrit les cheveux de Weir flottèrent dans les airs dû à une soudaine rafale. Elle avança et se rendit le long d’une rambarde et regardant au sol le sillon qu’elle faisait en traînant ses pieds sur la neige. Il neigeait au-dessus d’Atlantis, c’était magnifique à voir. Elle serra ses bras autour d’elle et grelotta légèrement, elle regrettait alors de ne pas avoir prit de manteau avant de venir. Puis elle sursauta lorsque la porte s’ouvrit soudainement derrière elle.
-John ! vous m’avez fait peur.
-Désolez Elisabeth je ne voulais pas vous effrayer répondit Sheppard en entrant. Il se baissa alors feintant de refaire son lacet, et composa au creux de ses mains une boule de neige qu’il envoya si vite que Weir ne comprit pas se qui lui arrivait.
-Aaah John vous me l’avez envoyé dans l’œil dit-elle dans un ton moins harmonieux.
Sheppard commença à s’approcher d’elle pour voir la bêtise qu’il venait de faire et donc pour la consoler. Mais Weir se retourna face à la mer et prit discrètement de la neige qui s’était accumulée sur la rambarde.
-Je suis vraiment désolez je ne voulais pas vo…
En une fraction de seconde, Sheppard se retrouva avec une quantité non négligeable de neige dans la bouche. Weir s’était retourné et avait dissimulée quelques instants derrière son dos la boule qu’elle avait faite. Sheppard toussait et recrachait les morceaux de glace qui lui gelait le palet. Il se pencha de nouveau et fit de nouveau une boule, mais cette fois ci Weir en fit autant, une bataille de neige débuta. Des dizaines de boules de neiges volèrent ce soir là accompagné de rires qui n’en finissaient pas. Puis Sheppard se rua sur Weir qui vacilla et tomba, mais en faisant en sorte d’entraîner Sheppard dans sa chute. Ils roulèrent tous deux quelques instants avant de se relever complètement mouillé par la neige. Ils étaient désormais face à face, Sheppard regardait Weir comme il ne l’avait jamais fait. Weir le regardait aussi, le dévisagea rapidement. Puis leur visage se rapprochèrent doucement, puis ils s’embrassèrent longuement sous la neige qui tombait de plus de plus. Puis au bout d’un moment Sheppard rompit le silence.
-Rentrons avant que nous attrapions froid.
-Très bien, mais avant je voulais te dire…
-Je sais Elisabeth ce que tu veux me dire, et laisse moi te dire que c’est aussi à moi d’en juger. D’accord je suis militaire, mais toi tu ne l’ai pas, alors nous ne risquons rien techniquement.
-Je sais bien, mais j’ai peur que tous les autres…
-Les autres, ils comprendront, j’ai attendu près d’un an qu’on se retrouve seul tous les deux.
-Tu as raison, je me fait trop de tracas pour rien dit-elle en souriant, puis ils s’embrasèrent de nouveau.

Cela faisait maintenant une semaine que Weir était arrivée, et elle avait déjà repris toutes les choses en main. Elle avait récupéré son bureau, Carter avait insisté, cette dernière avait donc déplacé le sien dans une autre des tours, elle voulait s’éloigner du centre de la cité. Pendant ces quelques jours, certain avait remarqué la nouvelle complicité qui était née entre Weir et Sheppard, mais cela n’en n’avait pas étonné beaucoup. Liz était la première à avoir découvert la relation entre les deux, elle les avait surpris dans un couloir en train de s’embrasser. Et comme le disait Mckay, dans ces cas là, la cité n’etait plus aussi grande qu’on pouvait le croire, car la rumeur en fit le tour en l’espace d’une journée seulement.

Quand à Daniel, il s’était très vite acclimaté à la cité car s’était la première fois qu’il y restait autant de temps, même si ça faisait qu’une semaine qu’il était là. Il passa les deux premiers jours à visiter la cité de fond en comble avec Chuck qui lui indiquait la signification des pièces, bien que pour certaine d’entre elles, il fut incapable de dire à quoi elles servaient. Puis le restant de la semaine, il se plongea dans tous les livres qu’il avait apporté avec lui. Par ailleurs il travaillait en étroite collaboration avec Mckay et Liz qui eux étaient en train d’analyser en profondeur les données récupérés de la cité naine.
Ronon et Teyla quant à eux étaient sur le continent pour aider les athosiens à s’abriter dans des immenses grottes que les anciens avaient réhabilités en bâtiments de fortunes. Néanmoins, il était possible de chauffer ces vieux bâtiments se qui était très agréable pour le peuple de Teyla. Toutefois ils ne pouvaient rester plus longtemps, Weir leur avaient ordonnées de revenir deux jours après leur départ. En effet il était prévu un briefing important sur lequel Mckay, Liz et Daniel auront beaucoup de choses à dire. Les deux premiers scientifiques travaillaient sur ces données depuis un an environ, les anciens n’étaient pas très loquasse, il fallait donc lire entre les lignes, se qui se révéla être une tache plus ardue que prévue.

-Bien le bonjour à tous dit Weir en regardant toute la team alors présente dans la salle de briefing. Je pense que tout le monde est arrivé… à non il manque le dr. Jackson dit-elle en apercevant soudainement son absence.
-Non je suis là dr. Weir dit-il alors qu’il rentrait dans la salle ses bras chargés de nombreux livres, dont certain étaient très poussiéreux et vu l’état, très vieux.
-Bien, maintenant que tout le monde est arrivé je pense qu’il serait bon de commencer dit Weir en se tournant vers Liz et Rodney.
Rodney regarda Liz et lui fit signe de commencer.
-Donc je commence dit-elle timidement ne sachant pas comment débuter. Souvenez vous Rodney et moi avons étudié pendant près d’un an les données récupérés sur la cité naine qui était située, à la base en Antarctique. La base de donnée fut très difficile à déchiffrer et pour être franche, nous sommes loin d’avoir terminé, mais en attendant nous avons tout de même découvert des choses intéressantes, enfin disons que le dr. Jackson a un peu accéléré les choses. Des choses nous paraissaient anodines alors qu’en fait cela ne l’était pas, mais nous verrons ça plus tard.
-Nous avons donc découvert qu’il existait dix cités sur Terre ajouta Mckay. Nous ne savons pas pourquoi Atlantis c’est retrouvée en Antarctique, mais il se trouve qu’elle ne se trouvait pas à cet endroit au départ.
-Oui les dix cités étaient regroupées en un même endroit et nous supposons que cet endroit est aujourd’hui appelé Atlantide.
-Vous voulez dire qu’Atlantis est en réalité l’Atlantide ? demanda Carter.
-Non non Sam, Atlantis à quitté la voie Lactée il y a un million d’année, temporellement cela ne colle pas dit Daniel.
-Liz et Moi pensons qu’Atlantis serait la cité mère et c’est pourquoi le nom serait resté ajouta Mckay, même si la cité a quitté pour x raison le groupe de cités.
-Qu’avez-vous trouvé d’autre ? demanda Weir.
-Et bien, à part de nombreux indices sur comment vivaient les anciens à cette époque nous n’avons pas vraiment fait de réelle grande découverte enfin presque dit Liz. Disons que plus on cherchaient Rodney et moi et plus on remarquaient des similitudes avec la légende de l’Atlantide, mais nous n’étions pas trop au point sur ce sujet avant l’arrivée de Daniel. Par ailleurs je pense qu’un petit rappel ne ferais de mal à personne dit-elle en le regardant.
-En effet, moi-même je ne connais pas trop le mythe, et puis Ronon et Teyla ne le connaisse pas dut tout alors dr. Jackson si vous le voulez bien…
-Oh bien sur Dr. Weir dit-il en se levant et en prenant quelques livres qu’il disposa devant chacun d’eux. Bien le nom de l’Atlantide est apparut assez tardivement dans les écrits, c'est-à-dire vers 355 av JC, grâce au très connu philosophe Platon. Bien sûr il existe plusieurs version de la légende mais la plus reconnu est celle écrite par Platon qui à écrit son œuvre sous forme d’entretien avec plusieurs personnes. Il y a donc Socrate qui est le maître de Platon, Timée un philosophe pythagorien, Critias un politicien et Hermocrate un ancien général Syracusien.
-Ouh ça me rappel le lycée dit Sheppard en souriant.
-Euh oui… bref je continue dit daniel qui fut surpris par cette remarque qui était sensé faire rire…
Après la création du monde, les dieux se partagèrent celui-ci et Poséidon, souverain de la mer, reçut l’Atlantide. De son union avec une mortelle, Cleito, il eut dix fils, et chacun hérita d’une partie de l’île. L’aîné, Atlas, devint le roi et reçut la meilleure et la plus grande des régions.
-Excusez moi de vous coupez dr. Jackson dit Liz, nous avons trouvé dans la base de donnée d’Atlantis des infos à ce sujet, Atlas fut le premier commandant de la cité, mais il était aussi le chef des Atlantes. En fait il était une sorte de président, c’est lui qui a décidé de partir de la galaxie ou était encore très récemment les Oris. Les Altérans n’ont donc pas construits leur cités ici mais dans leur galaxie de départ, ils se sont donc tous installés sur Terre à leur arrivée, voilà pour la petite info complémentaire.
-Merci à vous Liz dit Daniel, en effet les Altérans se sont installés sur Terre dès leur arrivés dans la voie Lactée. Et pendant plusieurs années ils se sont développés sur notre planète. Voilà ce qu’on trouve globalement dans les écrits sur les cités qui se seraient isolées sur une île. L’île était très riche et bénéficiait d’importantes ressources, tant agricoles que minières. Les sages qui la gouvernaient y faisaient régner le bonheur le plus parfait, distribuant méthodiquement le travail. Les rois atlantes, puissants et prospères, animés de visées expansionnistes, conquirent les rives de la Méditerranée, s’emparant notamment de la Libye et de l’Egypte et s’enfonçant en Europe jusqu’à la Tyrrhénie. Mais ils furent finalement repoussées et vaincus par les athéniens.

L’Atlantide décrite dans le Critias, se divise en districts. Les nombreux canaux qui la sillonnent convergent vers sa capitale, de forme circulaire. Au cœur de celle-ci se dresse la résidence royale, ancienne demeure du dieu de la Mer. C’est une citadelle de forme également arrondie et d’un diamètre d’environ cinq kilomètres. Des anneaux concentriques de terre et de mer, reliés entre eux par des tunnels et des ponts, composent cette acropole. Elle abrite les temples, les palais et les édifices publics ainsi que des champs de course. Le plus formidable des temples est celui dédié à Poséidon. Ses façades extérieures sont entièrement couvertes d’argent et ses toits sont plaqués d’or. A l’intérieur, les voûtes sont en ivoire ciselé incrusté d’or, d’argent et d’orichalque (métal assez mystérieux dont on peut supposer qu’il s’agit soit de cuivre, soit d’un alliage de cuivre et d’or). Le temple est orné de nombreuses statues tout en or. L’une surpasse toutes les autres, celle représentant Poséidon « se tenant debout sur un char attelé de six chevaux ailés, et d’une grandeur telle que…
-Dr. Jackson, merci pour cette description mais vous avez parlez de la Méditerranée, pensez vous que des restes de cette civilisation puissent êtres encore présente ? demanda Weir.
-Et bien les scientifiques ne sont pas tous d’accords et tout un tas de théories sont apparus depuis que Platon à évoquer l’Atlantide et l’apocalypse qui détruit la totalité de l’île il y a environ 11 600 ans répondit Daniel. Moi-même je pense que le lieux d’ancrage des alterans se situe dans la Méditerranée et plus particulièrement au niveau du détroit de Gibraltar.
-J’ai moi-même fait quelques petites recherches ajouta Carter. Comme vous le savez et d’après la théorie actuelle de la tectonique des plaques, le continent africain et européen sont destinée à se toucher. Or on a remarqué un ralentissement brutal du rapprochement des deux continents depuis quelques milliers d’années, nous l’avons découvert en analysant le terrain avec la technologie asguards. Se qui signifie que quelque chose d’une force incroyable bloque l’avancé des deux plaques et ce quasiment au niveau du détroit.
-Avez-vous scannez cette zone ? demanda Weir.
-Et bien j’ai demandé à ce qu’on scanne toute la Méditerranée, mais ils n’ont rien trouvé répondit Carter.
-Etait ce avec un vaisseau terrien ? demanda Mckay
-Oui terrien et Asguards s’empressa de répondre Carter.
-Et personne n’a eu l’idée de scanner le terrain avec un vaisseau ancien ? ajouta Mckay d’un air arrogant et surtout tête à claque. Et bien vu que l’Atlantide est si elle existe vraiment de création Atlante, il est possible que la technologie des anciens la découvre plus facilement non ?
-Et bien nous n’avions pas de vaisseaux à notre dispositions, ils étaient en guerre avec les Oris et désormais ils sont tous les trois dans cette galaxie répondit Carter.
-Bien, je pense qu’il sera donc indispensable d’essayer de scanner cette zone, avec un vaisseau ancien, et si on a de la chance on trouvera le lieu ou sont arrivé les Altérans il y a plus d’un million d’année dit Weir. Sinon avons-nous d’autres infos sur cette atlantide.
-Et bien d’après les données d’Atlantis commença Liz, Atlas le premier chef de la cité, a fait construire une plate forme géante capable d’accueillir les dix cités si j’ai bien compris, et ce dans un souci de meilleure gestion, par ailleurs on peut deviner qu’Atlantis puisse s’emboîter facilement de part son architecture. Cela veut dire aussi que la plate forme devait posséder ses propres fonctions, elle était autonome et ne devait donc pas avoir besoin des cités pour vivre. Ce qui veut dire que si ma théorie est bonne, la plate forme possèderait son bouclier et ses propres moyens de défenses. Si bien ; qu’étant menacer elle pouvait créer un bouclier et comme dans le cas présent stopper des plaques tectoniques, dans l’hypothèse ou la cité serait sous terre bien sur.
-Votre théorie ce défend dit Daniel qui tournait autour de la table. De plus si cette plateforme est autonome alors il est possible qu’elle renferme tout un tas d’infos sur les autres cités, et peut être pourrait-elle nous dire où sont elles partis, enfin pour les huit autres, puisque deux sont dans Pégase. Il est possible que les autres sois dans des galaxies différentes ou ais disparus.
-Vous voulez nous dire que les anciens ne sont pas tous venu dans Pégase et qu’ils y en auraient d’autres ailleurs ajouta Ronon.
-C’est bien ça répondit Daniel, et si nous trouvons l’Atlantide nous aurons sûrement des réponses à toutes les questions que nous nous sommes posées.
-Une petite question demanda Teyla, tout à l’heure vous avez très brièvement parlé d’une apocalypse dans laquelle l’Atlantide aurait disparut.
-Et bien déjà nous savons qu’Atlantis a quitté la voie Lactée il y a un million d’année donc elle n’était pas présente pendant ce cataclysme, les infos que nous avons trouvés et qui étaient intéressantes étaient dans la cité naine, mais ce n’était pas très détaillé car elle n’ont plus n’y était pas. Nous ne savons pas non plus combien il restait de cités à cette époque, en espérant trouvé l’Atlantide nous aurons sûrement des réponses. Donc peut importe pour le moment le nombres de cités qu’il y avaient. Les atlantes ou Altérans, semblait s’amuser avec les humains de l’époque…
-Pardon ! s’amuser ! s’exclama Weir.
-Oui apparemment, les alterans pour se divertir et tester l’ingéniosité des humains déclenchèrent une guerre contre la Grèce entière. Et devinez qui gagna cette guerre ? demanda Daniel
-Les atlantes ! répondit Sheppard, ils avaient une technologie beaucoup plus avancée qu’eux et aussi que nous.
-Et bien faux, ils ont perdu, c’est ce qui cloche, car en effet il n’aurait pas du perdre cette guerre qui je le rappel n’était qu’un jeu en quelques sortes.
-Comment cela se fait-il ? demanda Teyla
-Euh… je ne sais pas vraiment désolé répondit Daniel.
-J’ai trouvé quelques indices à ce sujet intervint Liz. Dans les données de la cité naine il est dit que l’Atlantide dû faire face un fléau. Cela veut dire que les alterans ont du faire face à un problème grave pendant qu’ils « s’amusaient » avec les grecs. Ca expliquerait pas mal de choses, mais il ne dise pas vraiment se qu’était ce fléau, hormis le fait qu’il venait des étoiles si ma traduction de l’ancien est bonne.
-Un fléau venu des étoiles ! s’exclama Weir.
-Je pense que les anciens veulent parler d’un fléau venu de l’espace ajouta Daniel.
-Ce qui veut dire que pour la première fois depuis leur arrivés dans la voie Lactée, les Altérans ont du faire face à un ennemis possédant une technologie assez développée pour traverser l’espace rajouta Liz.
-Euh… et vous voulez vraiment découvrir l’Atlantide ? demanda Mckay. Non mais si c’est pour découvrir aussi de nouveaux méchants tous vilains ce n’est pas la peine.
-Mckay s’il vous plait… à mon avis si ce fléau était encore là on en aurait sûrement entendu parlé non ? dit Weir en fronçant les sourcils.
-Le dr. Weir à raison, pas la peine de paniquer ajouta Daniel.
-Et bien je pense qu’il est temps d‘aller vérifié tout ça non ? dit Sheppard en se levant même qui j’aurai préféré avoir des vacances.
-En effet, on va envoyer le Titan vérifier dit Weir, et si jamais il trouve quelque chose nous irons par la midway station.
-Très bien répondit Sheppard.
Tout le monde se leva et sortit de la salle débriefing. Mckay quant lui se dirigea vers Weir.
-Vous savez je ne pense pas que ça sois pressant de découvrir l’Atlantide, il y actuellement à apprendre encore dans cette cité.
-Non Mckay vous irez là-bas si le vaisseau ancien la localise dit Weir en le regardant et en souriant.
-Quoi ! mais il y a tellement de boulot ici… vous savez et si il y avait des gros dragons là bas, non mais je sais pas, et pire encore…
-RODNEY ! cria Weir.
-Oui je me tais, motus et bouche cousus…
-Merci dit-elle en le regardant.
-Vous savez je pensais à quelque chose, si jamais il y avait un monstres tout hideux là-bas…
Tout à coup ils entendirent tous deux un appel venant de derrière.
-Dr. Weir dit Daniel en arrivant un peu essoufflé.
-Que voulez vous dr. Jackson ? demanda t-elle.
-Je pense repartir plus tôt sur Terre, j’ai deux ou trois trucs importants à faire et… surtout quelqu’un à surveiller disons…

Chapitre 2 : Retours sur Terre


Cela faisait plusieurs heures qu’elle marchait dans les magnifiques rues et artères de la ville de Paris. Bien que ses pieds la faisaient souffrir dans cette magnifique paire de chaussure Prada qu’elle venait de s’acheter, elle se disait qu’elle avait connu bien pire, et que de toute manière pour être belle il fallait bien souffrir. Vala arpentait la magnifique ville française depuis presque une semaine maintenant. Elle avait décidé de passer ces vacances sur cette planète, sur laquelle elle avait élu domicile désormais. Elle était néanmoins déçu que son Daniel ne puisse l’accompagner, mais comme elle le disait tant pis et tant mieux, comme ça « il ne m’empêchera pas de prendre sa carte de crédit ».
Vala passa devant une vitrine si clinquante, qu’elle dû s’arrêter et entrer. Elle avança dans les rayons regardant par-ci par-là les nombreuse robes qui s’offraient à elle. Elle en prit une et partit l’essayer. Elle se regarda un long moment dans le miroir, se tournant, se retournant pour s’admirer dans la glace. Puis au bout de vingt minutes elle décida que non, la robe la grossissait un peu trop à son goût. Elle sortit de la cabine et se dirigea vers l’endroit ou elle avait pris la robe, la remis rapidement et passa au rayon suivant Elle se mit alors à regarder des sous vêtements, en pris une bonne dizaine et partit les essayer. Soudain une responsable du magasin vint lui proposer son aide dans un quelconque choix.
-« Puis-je vous aider ? » demanda une ravissante employé.
Vala la regarda bizarrement ne comprenant pas se qu’elle venait de dire.
-Oh ! Excusez moi, je ne vous comprend pas je ne suis pas de cette planète ! euh non de ce… pays. Mince comment on dit déjà, à oui c’est bon, « je suis désoler mais moi pas parler bien votrrre langue » dit-elle en français.
-Voulez vous de l’aide dit l’employé qui cette fois-ci parlais anglais.
-Ah, euh non merci, je pense être capable de choisir moi-même, mais merci quand même répondit Vala en fermant brutalement les rideaux de la cabine. Vraiment, y pas moyen de rester tranquille un moment…
Après une bonne heure et demi d’essayage dans ce magasin, elle finit par en sortir, avec un nouveau sac à sa main, ce qui lui en faisait sept désormais. Elle marchait, il commençait à faire noir, la nuit tombait rapidement à cette époque de l’année, les fêtes de Noël approchaient à grand pas. Les décorations illuminaient désormais les vitrines, mais aussi les rues, Vala trouvait ça étrange mais tout à fait à son goût et sublime. La veille elle était montée sur le Tour Effel et avait trouvé ça étrange, elle n’avait jamais vu de ville aussi étendu, la conception des bâtiments ne ressemblaient en rien à ceux du pays qui possédait auparavant la porte des étoiles. En marchant dans la rue, elle repensait à tous ce qu’elle avait fait dans la semaine, elle marchait sans vraiment faire attention ou elle marchait, mais soudain quelque chose attira son attention. Quelque chose d’étrange, qui mit tous ses sens en éveil. Elle ne savait pas se que c’était, mais elle savait d’où cela provenait. Elle regarda autour d’elle, un coup sur ça gauche, puis sur sa droite. Elle traversa rapidement la rue, bouscula un passant, mais continua sans faire attention aux injures qu’il lui lançait. Elle continuait tout droit, ce qu’elle avait vu n’était plus très loin désormais, il fallait qu’elle sache, elle ne pouvait rester là à rien faire. Elle accéléra le mouvement et s’arrêta soudainement. Elle regardait, ne bougeait plus, elle était tétanisée, son corps était immobile, elle n’en croyait pas ses yeux. Elle se demandait comment cela était possible. Non, elle ne pouvait se résigner à croire, elle ne pouvait s’imaginer ça.
-Oh nom d’un Unas, mais… mais c’est le paradis ici se dit-elle en rentrant en trombe… dans la bijouterie.

La porte se referma automatiquement après son passage, mais elle n’y fit pas attention. Elle pénétra dans le hall d’un grand bâtiment et fut accueillit par un employé qu’elle trouvait vraiment charmant.
-Puis-je vous aider dit-il en anglais, il avait tout de suite deviné que Vala n’était pas française.
-Et bien à vrai dire oui, je chercherais, une bague, je vais bientôt me marier dit-elle en montrant sa main droite. Vous voyez ce doigt ! et bien je souhaiterais une bague avec une pierre tellement grosse qu’elle le masquerait.
-Et bien… je pense que l’on va pouvoir vous trouver ça dit l’employé qui jubilait déjà à l’idée de vendre un bijou fort cher pour cette touriste. Il l’emmena un peu plus loin, et la plaça devant toute une série de bague plus grosse les unes que les autres. Le sourire de Vala montait jusqu’au ciel.
Le vendeur lui tendit alors une somptueuse bague ornée de vingt huit petit diamants.
-Et bien tout compte fait, plusieurs petit pierres brillantes, c’est aussi bien qu’une gosse dit elle à haute voix. Je la prend dit-elle.
-Très bien, madame veut elle peut être voir une parure de boucles d’oreilles qui serraient assorti à la bague ?
-Madame veut bien répondit Vala qui n’avait pas comprit que c’était une marque de politesse que d’être nommé ainsi.
Le vendeur lui trouva dans la demi heure des boucles d’oreilles qu’elle décida de prendre également en plus de la bagues. Ils se dirigèrent tous deux e direction de la caisse. Le vendeur pianota sur l’écran tactile situé à sa droite, le pris s’afficha alors devant Vala.
-Vous payez par chèque ou carte demanda le vendeur.
-Par carte répondit-elle, en lui donnant.
Le vendeur inséra la carte, et donna l’ordre à Vala de composer son code. Mais à sa grande surprise le paiement ne fut pas accepté. Le vendeur ressorti la carte, puis l’inséra de nouveau. Vala exécuta de nouveau la manœuvre en retapant son code, mais toujours rien ne se passa.
-Je ne comprend pas ça marché toute la semaine lui dit-elle.
Soudain un raclement de gorge attira son attention. Le bruit venait de derrière, elle se retourna.
-Oh Chéri, mais que fait tu ici ? demanda t-elle surprise.
-Donne moi la carte dit-il sans aucun sourire.
Il s’approcha du comptoir, remercia le vendeur, puis se retourna vers Vala. Il lui prit alors le bras pour la faire sortir de magasin.
-S’il te plais, juste la bague alors, par pitié dit elle en le suppliant.
-Non, et vu le nombre de sac que tu as, je pense qu’il ne devrait pas rester grand-chose sur mon compte.
-Aaah ! Daniel qu’est ce que tu peux être radin quand tu t’y mets, et comment ce fait tu que tu sois là ?
-Oui et bien quand tu utiliseras ta propre carte tu commenceras à devenir radine, en attendant c’est mon argent.
-D’accord, désolé, mais je pensais qu’étend donné notre future mariage, il était tend de penser à la bague non ? dit-elle d’un air attendrissant.
-Vala on n’a toujours pas fixé de date, je pense que pour la bague on à le temps. Sinon je suis rentré plus tôt, j’ai prévenu le dr. Weir. Et puis pour être franc tu commençait sérieusement à me manquer dit-il en l’embrassant. Bien profitons de notre soirée, demain nous partirons, mais je t’expliquerais tout. En attendant nous sommes dans la plus belle ville du monde, alors autant en profiter non ?
-Oh ben oui alors, on va manger dans un bon petit restaurant, j’en ai vu un dur le boulevard des champs Elyzées dit-elle en souriant et en serrant Daniel dans ses bras. Au fait tu es arrivé comment ?
-Oh ! Je me suis téléporté, grâce à la nouvelle station construite avec à la technologie Asguard et Ancienne, c’est une vrai réussite je dois dire.
-Ok, bon ben on y va dans ce restaurant j’ai faim.
Daniel la regarda, elle était si joli, si attendrissante. Il savait qu’elle jouait un rôle, mais il ne pouvait rien lui refuser il l’aimait trop mais…
-Elle va finir par me ruiner pensa Daniel e marchant en direction du restaurant.


La pluie commençait à tomber. Il faisait froid et le vent était insupportable, les rafales étaient violentes. Elle venait de descendre de sa voiture. Elle prit aussitôt un parapluie qui lui sembla utile sur le moment. Puis après quelques secondes, elle se rendit ite compte, qu’il ne lui servirait a rien avec ce vent. Par chance elle avait pensé à emmener un grand manteau, long et de couleur noir. Elle barra alors sa voiture et prit la direction d’une grande grille à moitié rouillé. Elle posa ses deux mains dessus et poussa la grande porte qui se mit à grincer. Cette dernière ne s’ouvrit pas complètement, une pierre venait de la coincer, mais le passage était suffisamment grand pour s’engouffrer. Le mélange de l’eau associé au vent lui fouettait inlassablement le visage. Mais elle n’y faisait pas attention, son regard portait au loin, son regard portait sur une pierre tombale. Elle marchait lentement dans l’allée, elle ne semblait pas pressé d’y accéder et pourtant, cela fait presque un an que Samantha Carter n’y était pas retourné. Des feuilles volaient dans tous les sens, le chemin qu’elle empruntait en était complètement recouvert. Elle se fiait aux rangées de croix situé sur sa gauche et sa droite. Le cimetière était immense, à vue d’œil il paraissait interminable. Elle continuait tous droit, elle savait ou elle allait, mais elle n’accéléra pas le pas. Puis elle tourna à droite ou un autre chemin de feuilles mortes se dessinait. L’eau coulai sur son visage, de telle sorte que l’on aurait pas vraiment su si elle pleurait ou non, mais une chose était sur, c’est qu’elle paraissait vraiment triste et fatiguée. Elle avança encore quelques instants et manqua de glisser sur des feuilles. Elle s’approcha de la tombe, là ou résidait désormais le très célèbre général Jack O’Neill. Elle resta immobile pendait plusieurs minutes, elle regarda au ciel puis s’essuya les yeux. Cette fois-ci elle pleurait vraiment. Son regard se dirigea en direction de la tombe. Il y avait de nombreuses photos encadrées et disposées un peu partout. Néanmoins une ressortait plus que les autres. Cette photo la représentait en compagnie de Jack, il était en train de rire aux éclats. Elle s’en souvenait, elle avait été prise lors d’un voyage qu’ils avaient fait tous deux en Papouasie peut de temps avant la découverte de la place forte dans Pégase. Elle se souvenait des bons moments qu’ils avaient passées tous deux. Mais il fallait se rendre à l’évidence, ce n’était plus que du passée. Mais elle le savait bien, c’est un passé qu’elle n’oubliera jamais, un passé qui tout compte fait restera toujours présent.
Tant de missions passées ensemble, tant de dangers auxquels ils avaient survécu. Samantha regrettait certaines choses. Des choses qu’elle aurait aimé lui dire. Des choses qu’elle ressentait pour lui. Mais il était partit, il ne serait plus jamais à ces côtés, il ne serait plus jamais là à faire le pitre, à dénigrer ses théories incompréhensible. Pourtant elle avait toujours soupçonné, qu’il se dévalorisait, qu’il était plus intelligent qu’il n’y paraissait. Elle en était persuadée, sinon comment auraient-ils pu survivre à tant de périples sans son intelligence et son ingéniosité. C’est certain, elle mettra encore beaucoup de temps avant de faire son deuil.
Elle se baissa et posa sa main droite sur la pierre tombale. Elle pleurait, elle se laissait aller et cela lui faisait énormément de bien.
Puis elle sentit quelqu’un arriver. Elle n’en était pas sûr mais préféra se retourner. Avec le vent et la pluie elle avait du mal a voir qui arrivait, mais elle était néanmoins persuadée que c’état une femme. Au fur et à mesure que la silhouette avançait, les formes lui parurent plus familière, c’était une personne qu’elle connaissait. Elle se redressa pour étendre son champ de vision et après quelques instants de concentrations, elle reconnut Teyla.

-Teyla ? que faites vous ici demanda Carter surprise par la venue de Teyla. Mais d’un autre côté, elle était vraiment contente car c’est la seule personne qui la comprenait vraiment.
-Et bien pour être franche je m’inquiétait pour vous, je me suis donc permis de venir ici, on m’a dit que vous seriez ici. Teyla serra Sam dans ses bras, puis la libérant, elle se pencha vers la tombe et y déposa le magnifique bouquet de fleurs qu’elle accrocha solidement à l’aide d’une ficelle. Vous savez je ne le connaissait pas personnellement, mais d’après tout ce que j’ai pu entendre de lui, il semble qu’il est été un véritable héro pour votre planète. Il est certain Sam qu’il ne reviendra pas, mais sache qu’il restera pour toujours au fond de ton cœur, au même titre que ton père et de la même façon pour mon père qui restera pour toujours en moi. Ce n’est pas parce qu’il n’est pas physiquement près de toi qu’il n’est plus là.
-Je sais Teyla mais… c’est tellement difficile. Et puis je regrette, je… regrette de ne pas lui avoir dit tout ce qui me tenait à cœur.
-Ne regrette pas, surtout pas, car c’est ce qui va te ronger. Sois forte et si tu lui à pas tout dit, il n’est jamais trop tard. Mon peuple pense que même si une personne nous a quitté physiquement, son âme reste non loin de nous pour nous protéger et aussi pour nous écouter et nous réconforter.
-Merci en tout cas Teyla, je te dois vraiment beaucoup, je pense que sans toi, il y à longtemps que… Carter s’arrêta soudainement, elle ne voulait même pas penser à ce qu’elle aurait pu dire ou faire.
-Sinon j’ai appris par le général Landry que vous aviez démissionné. Pour quelles raisons voulez vous partir ? Vous savez fuir ne serre à rien dit Teyla en posant sa main sur l’épaule de Sam.
-Oui, j’ai décidé de prendre du recul sur tout ça, je quitte les Etats-Unis. Je pense m’installer en Europe. Cela fait plusieurs années que je m’emplois à défendre notre planète, mais je dois dire que j’ai atteint un niveau critique, je n’en peux vraiment plus.
-C’est votre décision Sam et je n’essaierais pas d’aller contre. Je comprend que tout cela doit peser lourdement sur des épaules. Il est vrai que vous en avez fait beaucoup pour votre planète et je suis fier de vous.
-Merci Teyla, on ma souvent dit que je suis indispensable pour ce programme de part mon intelligence, et j’avoue moi-même être douée. Mais je pense que la relève est assurée, regardez Liz Jean, c’est une scientifique hors du commun. Son rôle dans la guerre contre le Oris et les Wraiths fut capital, elle est tout aussi intelligente que moi. Je pense aussi que ma génération est dépassée, place à l’avenir, place au jeune. Aller venez chez moi au chaud et se réchauffer un peu. Les deux femmes marchèrent en direction de la sortie. Le vent n’avait en aucun cas faiblit. Arrivée à la grille, Teyla passa dans l’ouverture en première, puis Sam la suivit. Carter se retourna, regarda au loin en direction de la tombe. Elle attrapa de sa main droite la grille et tira d’un coup sec pour la débloquer. Elle se referma dans un grincement insupportable. A ce moment carter se mit à sourire…



Il semblerait que le temps maussade soit présent sur tout le continent américain. Quelque soit le lieu, la pluie était au rendez vous, l’automne s’était désormais bien installé. Aux Etats-Unis il n’est pas rare de trouver de véritables champs de maisons. Elles sont toutes identiques et formes de grandes étendus pavillonnaires. C’est dans une d’entre elle qu’habite Jeanie Miller, qui est la sœur de Rodney Mckay. Après l’accident qui eu lieu sur le champ de bataille, elle resta des journées entières à veiller sur son frère avec qui elle s’était rapprochée ces temps-ci après de longue année passée à s’ignorer.
-Maman ! pourquoi j’ai pas le droit d’aller dans le salon demanda la petite et charmante Madison.
-Parce que ! ma chérie, c’est un truc de grande personne, alors va jouer dans ta chambre ma puce. Et puis tout à l’heure ton oncle Meredith viendra dîner avec nous. Alors ouste petite crapule va t’amuser, papa va venir avec toi. Caleb appela t-elle, peux tu venir chercher Madison ?
-J’arrive, j’arrive dit-il en entrant dans le salon. Aller viens mon petit nounours dit-il en la prenant dans les bras et en la faisant tournoyer au-dessus de lui tel un avions. Elle aimait tellement ce jeux, ci bien qu’elle en oublia la raison de son départ du salon.
Jeanie s’approcha de la porte coulissante qui séparait le salon au couloir et le ferma soigneusement. Puis elle marcha jusqu'à sa fenêtre tout en jetant un coup d’œil à la pendule qui trônait au dessus d’un grand meuble. Elle écarta ses rideaux sur le coté afin de regarder dans la rue, puis le remis de façon à se qu’aucun coin ne sois visible de l’extérieur. Elle se retourna de nouveau, regarda la pendule. Il était presque vingt. Soudain une lumière provenant du centre de son salon l’aveugla légèrement. Cela ne dura que quelques secondes. Cette fois ci une autre personnes était dans le salon. Une personne très familière, une personne avec qui elle avait renoué depuis peu des liens solides, c’était son frère.
-Bonjour Jeanie dit Mckay en s’approchant d’elle et en la serrant dans ces bras.
-Salut Meredith, je suis content que tu sois venu… même de cette façon.
-Oh ! je suis désolé, je dois participer à une mission en Europe et du coup pour gagner du temps et être sur de venir j’ai dû…
-Y a pas de soucis, je suis contente que tu sois là. Enlève ton blouson, on va pas tarder à se mettre à table. Mais avant passe voir ta nièce, elle avait hâte de t voir. Je ne sais pas se que tu lui à fait, mais elle t’aime bien, même si elle ne ta pas vu beaucoup de fois.
-Très bien, je vais aller la voir dit-il en souriant.
-Aller viens je t’emmène dit-elle en souriant aussi et en prenant le bras de Rodney pour le tirer jusque dans la chambre de Madison.
Ce soir là le repas se passa sans encombre. Les rires étoffaient la soirée, la petite Madison était couchée depuis une bonne heure, il se faisait tard, mais personne ne semblait rattrapé par la fatigue hormis Caleb qui dû les remercier et partit se coucher.
-Si on allait dans le salon se regarder un film ? proposa Jeanie.
-C’est une bonne idée, je vais choisir un film et toi tu prépares le thé dit-il.
-très bien, je me dépêche, et évite de choisir un film d’horreur, j’aimerais pas qu’il arrive la même chose que lorsque tu es aller voir Alien et que tu as…
-S’il te plais ne me rappel pas ça…
-Oh désolé ajouta t-elle en riant.
Après quelques minutes, ils se retrouvèrent tous deux dans le salon à regarder un film des années quatre vingt dix avec tout un tas de dinosaures, qui courent, qui hurlent, qui font peur et qui mangent tout le monde.
-J’ai toujours dit que Spielberg aurait dû s’arrêter à E.T., c’est son meilleur film dit Rodney en regardant sa sœur.
-Tu crois que se serais possible de cloner les dinos un jour ?
-Je crois même qu c’est déjà possible, avec toutes les technologies que nous possédons actuellement, je suis sur que c’est possible.
-Dit moi Meredith cette mission, dont tu vas bientôt t’acquitter, en quoi consiste t-elle ? et ne me répond pas que c’est top secret, j’ai déjà signer une demi centaine de papier rien que pour toi et pour… ma curiosité.
Rodney fut surpris par l’intervention de sa sœur mais avais décider de lui dire de toute façon
-Et bien on pense avoir trouver l’Atlantide. On pense aussi qu’elle serait situé non loin du Détroit de Gibraltar et c’est pourquoi je vais en Europe.
-L’Atlantide ! dit-elle surprise. Mais la cité d’Atlantis n’est pas sensé être l’Atlantide ? demanda t-elle.
-Il semblerait que ça en soit qu’une petite partie. Mais nous n’avons pas trouvé d’infos à profusion. C’est pourquoi nous avons réquisitionné un vaisseau ancien qui doit être arrivé par ailleurs, pour scanner la zone.
-Tu crois qu je pourrais venir avec toi ? demanda t-elle.
Rodney n’en revint pas. La dernière fois il a fallu la convaincre pour qu’elle puisse l’accompagner sur Atlantis.
-Et bien je ne sais pas trop il va falloir que j’en informe le SGCI.
-Oh Meredith, la dernière fois, l’armée a presque failli m’arracher de ma maison pour les accompagner, alors je ne pense pas qu’ils refuseront dit-elle.
-Et pourquoi ce soudaine engouement pour l’action ?
-Et bien… ça ma tellement plu de venir sur Atlantis, les nouvelles technologies et tout. Du coup depuis que je suis revenu tout me parait fade et sans grand intérêts a part ma fille et mon mari.
-Alors soeurette, l’appel de la science se fait de nouveau sentir dit-en souriant et en la taquinant.
-Oh toi ! dit-elle en prenant le coussin le plus proche et en le balançant sur Rodney. Je me dit en effet que j’ai peut être eu tord d’arrêter. J’ai adoré travailler avec toi sur Atlantis, étudier des variables que toi tu ne comprenais pas alors que moi si. Vous y aller pour combien de temps ?
-Je ne sais pas quelques jours. Et puis on n’y va pas en avion dit-il en lui faisant un clin d’œil…
Puis Rodney serra sa sœur dans ses bras, en pensant à toutes ces années qu’ils avaient perdu. A toutes ces années ou ils auraient pu vivre en harmonie ave sa sœur, mais il était conscient qu’il n’était pas trop tard, il était conscient qu’il pouvait se rattraper...

Chapitre 3 : Le Fléau

Il y a environ 11 600 ans…

Comme tous les matins, Atlas le gouverneur de l’Atlantide était sur le point de se rendre au conseil, organisé par les principaux responsables et rassemblant aussi, les neuf autres gouverneurs des citées.
Il descendit après avoir longuement déjeuné avec sa femme et ses trois enfants qui partirent peu de temps après étudier, dans se qui serait appelé aujourd’hui une école, bien que cela soit au final très différent.
-Une nouvelle journée qui s’annonce bien calme dit Atlas en regardant avec tendresse sa femme.
-En effet, cela fait seulement trois ans que nous sommes revenu de Pégase et pourtant j’ai l’impression d’avoir toujours vécu ici sur Terre toute ma vie dit elle en réajustant la position d’un pot de fleur sur une table.
-Je ressens aussi cette impression, je pensais qu’elle disparaîtrait avec le temps, mais ce n’est pas le cas ajouta t-il en se rapprochant de sa femme et en l’embrassant.
Atlas se dirigea vers la sortie, et prit au passage un sac. Puis il passa sa main devant un cadran bleu à sa droite, là une porte massive s’ouvrit rapidement.
En marchant dans un couloir qui le mena vers un téléporteur, Atlas admira à travers la vitre le paysage qui s’offrait devant ses yeux. Cela faisait seulement trois petites années que la cité d’Atlantis avait récupéré sa place centrale sur l’Atlantide. Personne ne savait vraiment pourquoi la cité était revenue, Atlas avait lui-même ordonné ce retour, sans vraiment grande explication. La seule chose qu’il finit par dire, c’est qu’il avait un mauvais pressentiment. Mais dans une société qui reposait en grande partie sur les sciences, ces paroles furent très critiquées. Mais Atlas joua de son grade ultime an tant que gouverneur de l’Atlantide et Atlantis. Il fit jouer aussi son lien de parenté avec le tout premier gouverneur de l’Atlantide prénommé Atlas. Quoi qu’il en soit ce retour dans la voie Lactée ne se fit pas sans difficultés.

Il devait donc se rendre au conseil, pour établir un bilan annuel de l’Atlantide. Le fait est que la cité était actuellement en pseudo guerre avec les armées grecs. Les Alterans utilisaient le principe de la guerre pour tester de nouvelles armes. Mais l’arrivée d’Atlas avait changé la donne car il ne validait pas ces actions menés par le conseil. La cité d’Atlantis qui quitta l’Atlantide il y a des millions d’années, avait perdu pas mal de pouvoir, toutefois elle restait une légende étant donnée que ce fut la cité mère et surtout la première cité construite dans la voie lactée… Il arriva donc à contrer les actions du conseil en demandant le repli de l’armée Alteranne.
C’est un des nombreux sujets qui devais être abordés ce jour-ci.

Il continua son chemin, monta dans un téléporteur et quitta ainsi la cité pour se retrouver dans une tour géante à l’écart d’Atlantis. A peine était il sorti du téléporteur qu’un jeune conseiller l’aborda.
-Gouverneur Atlas, je vous rappel qu’après le conseil vous avez une réunion de plus haute importance dans l’alliance des quatre grandes races dit le jeune conseiller.
-Merci, mais je n’avais pas oublié répondit il en souriant et en continuant son chemin. Toutefois il fit signe au jeune conseiller de le suivre. Je pense que nous risquons avoir tous deux pas mal de travail. Les Furlings semblent assez mécontents des dernières relations que l’on a eu avec eux.
-Je croyais que les grands conseillers Asguards s’étaient mis d’accord avec eux ajouta le jeune conseiller.
-Et bien pas vraiment, tu sais il est dure de faire s’entendre nos quatre grandes civilisations dans cet univers, car chacune veut avoir son mot à dire. Les plus pacifistes sont les Nox et s’est avec eux que nous entretenons nos meilleurs relations. Mais je sens que le conseil qui va avoir lieu tout a l’heure risque d’être assez mouvementé.
-Comment ça demanda ? le jeune homme.
-Et bien il se trouve que les Goa’uld on un esprit de conquête plus qui nous inquiète quelque peu, et il va falloir que l’alliance tranche sur les différentes solutions à envisager. Mais tu vois les Nox vont pencher pour une méthode pacifique, tout comme les asguards. Les Furlings eux sont guerriers, ils préfèreront régler tout ça par la guerre.
-Et nous Alterans vers quel positionnement allons nous ? Il y a cinq ans lorsque Athos était gouverneur il aurait sans hésité déclaré une guerre au Goa’uld, mais vous, vous n’êtes pas de cette trempe de guerriers qu’a connu l’Atlantide, vous privilégié toujours la parole aux actes dit le jeune conseiller.
Atlas se tourna vers le jeune et le regarda fixement. Ils venaient tous deux de s’arrêter au milieu d’une place, ou une foule d’Alterans semblait vaquer à des occupations plus étrange que les autres. Cette place était un lieu de rassemblement pour y effectuer de nombreux achats, mais aussi pour ce détendre, grâce à des espaces de végétations luxuriantes.
Atlas donc se tourna vers le jeune homme qui s’appelait Dama.
-Et bien jeune conseiller, je vois que tu as un esprit d’analyse sans équivoque. Tu me plais bien dit il en souriant. Tu vois je ne pense pas que la guerre soit la bonne solution. Elles sont désastreuses pour tous les camps qui y participent. Et pourtant je suis conscient que parfois elles sont inévitable. Mais retiens une chose Dama, si une guerre n’est pas déclarée mais est sur le point de l’être alors il y a de l’espoir, c'est-à-dire qu’il n’est pas encore trop tard pour l’éviter. La diplomatie n’est pas chose facile dans cette galaxie qui regroupe des milliers de civilisations différentes, mais je part du principe qu’il faut apprendre à vivre avec elles en paix, c’est la clé Dama, c’est la clé…
-Jeune Dama prend bien note de ce que vient te dire Damas intervint un Nox qui émergea soudainement de derrière un arbre. Excusez moi pour ma curiosité, mais je dois reconnaître que votre arrivée Atlas dans cette galaxie m’a réconforté. J’espérais vraiment que les Alterans ne soient pas sans cœur, j’espérais qu’un chef Alteran est votre trempe pacifiste.
-Merci dit Atlas, mais vous savez je dois dire que les Nox m’ont beaucoup aidé.
-Ah bon ! s’exclama le Nox.
-Oui lors de mes études sur Atlantis et ce durant ma plus tendre enfance, c’est un sage Nox qui m’a formé et qui a fait de moi se que je suis aujourd’hui.
-Je pense pas qu’une personne puisse être formé ou modelé par une autre. Vous êtes comme ça par nature et non pas parce qu’un sage Nox vous à formé. La nature des personnes est bien plus forte, souvenez vous en cher Atlas.
Atlas se mit alors à sourire.
-Je crois qu’il me faut encore beaucoup apprendre sur se qui m’entoure ajouta –il

Soudain alors que la place était paisible, une puissante alarme retentit dans les rues de l’Atlantide. Des lumières se mirent à clignoter, les portes principales donnant vers l’extérieurs de la cité se fermèrent rapidement.
Les Alterans ne paniquaient pas, ils se regardaient, tout en tournant la tête dans tous les sens pour savoir se qui pouvait bien arriver.
Atlas se tourna vers Dama et lui fit signe de le suivre laissant le Nox rassurer certains enfants apeurés par le bruits intense de l’alarme. Ils marchèrent donc tous deux vers une des portes les plus près, mais avant même de l’avoir atteinte le bouclier de la cité Atlantide s’activa, recouvrant ainsi la cité et les dix cités qui étaient amarrées.
Dama s’arrêta devant la porte et leva les yeux vers le ciel et regarda le bouclier finir de s’activer.
-Gouverneur Atlas qu’est ce donc ces points rouges dans le ciel demanda Dama.
Atlas qui était entré sortit rapidement et leva la tête.
-Oh non ! Dama rentre immédiatement, nous allons sur Atlantis immédiatement dit Atlas perturbé.
-Mais dites moi qu’est ce que…
Dama n’eu pas le temps de finir sa phrase qu’un énorme bruit d’impact se fit entendre sur le bouclier, puis un deuxième et encore un autre. Le bouclier était désormais arrosé de centaines de tires venant du ciel. A ce moment là, les Alterans commencèrent à paniquer et à rentrer dans les différents bâtiments de la cité. Quant à Atlas et Dama ils se dirigèrent en courant vers le téléporteur le plus proche, qui les mena directement dans la cité d’Atlantis.

Atlas entra en trombe dans la salle de contrôle de la cité.
-Pourquoi le bouclier ne s’est pas activé de suite ? demanda t il.
-Le message d’alerte ne venait pas de la cité, mais des croiseurs en orbite dit un technicien qui s’affairait sur une console de contrôle.
-Que se passe t il et qui nous attaque ? demanda Dama
Un homme robuste fut soudainement téléporté sur la cité devant la porte des étoiles.
-Général Hipapheralkus, avez-vous des nouvelles demanda Atlas un peu perdu.
-Pas vraiment gouverneur Atlas. Des étranges vaisseaux viennent de nous attaquer par surprise. Nous les avons localisé qu’au dernier moment. La flotte vient de commencer le combat, mais je dois vous prévenir d’une chose, ils sont bien plus nombreux que nous.
-Très bien, qu’elles sont nos chances de gagner la bataille demanda Atlas en se tournant vers Hipapheralkus.
-Je ne pourrait vous répondre maintenant, le nombre est important certes mais pas toujours suffisant pour gagner.
-Il va donc nous falloir trouver une solution. En attendant notre puissant bouclier tiendra. Nous avons largement assez d’énergie pour résister c’est certain, maintenant, il va nous falloir activer les armes de l’Atlantide, cela nous laissera plus de temps pour réfléchir. Atlas se tourna vers la personne chargé de communication.
-Prévenez le conseil qu’il nous faut nous réunir immédiatement, et prévenez les Asguards, les Nox et les Furlings qu’ils doivent absolument quitter la cité et ce pour leur sécurité.
-Très bien monsieur dit elle et se tourna aussitôt vers la console pour y effectuer sa tache.

A l’extérieur la panique était totale, personne n’avait jamais osé attaquer l’Atlantide.
Atlas se retourna vers le général Hipapheralkus.
-Mais qui nous attaque ? demanda t-il
-Eh bien avant d’attaquer ils se sont présenté comme étant le fléau. Et il semblerait qu’ils nous recherchaient depuis bien longtemps. Il recherche quelque chose. Mais je n’est pas trop compris se qu’ils voulaient vu que notre traduction était approximative dit le général.
-Une traduction ! général si notre technologie à été capable de traduire cette race, c’est qu’elle doit être répertoriée dans la base de données non ? ajouta Atlas.
-En effet je n’y est pas pensé, désolé mais j’ai tellement eu a penser à notre défense…
-Ce n’est pas grave général, mais il faut absolument aller consulter la base de donnée et vite dit Atlas qui descendait déjà les marches de la salle de contrôle

Atlas se dépêcha donc à aller dans la salle des archives, qui était actuellement nommé salle holographique par l’équipe actuelle. Il entra dans la pièce, monta sur le socle. Il fut suivi par le général et Dama le jeune conseiller.
Soudain une explosa surpuissante fit vibrer la salle.
-Général le bouclier tiendra t-il ? demanda Atlas perplexe en se tournant vers lui.
-Oui cela ne fait aucun doute ne vous en faites pas répondit il.

Atlas se tourna donc et passa sa main sur la commande qui s’activa sans tarder. Un personnage holographique apparu et donna quelques indications de manipulations qu’Atlas finit par abréger rapidement en tapant sur la console. C’était une femme blonde qui avait à peu près la trentaine qui leur était donc apparu.
-Bien, avez-vous quelconque informations relatant de possibles contacts avec une race nommée Fléau demanda Atlas.
-« Désolé la base de donnée ne contient aucune information sur le peuple Fléau » répondit naturellement la femme.
Atlas fut très déçu par la réponse, il s’attendait vraiment à ce que cette race décidément très agressive sois connu de la base de donnée. Il réfléchit quelques secondes et posa de nouveau une question.
-Très bien, alors qui à rentré dans la base de donnée la traduction de la langue du fléau ?
-« L’origine de la personne qui mit se langage dans la base de donnée est inconnu » répondit la femme.
-Mais c’est quoi le problème, pourquoi il n’y a rien dans la base de donnée ? s’interrogea Atlas en se tournant vers les deux hommes présents à coté de lui.
-Gouverneur Atlas il est possible qu’un système de sécurité sois mis en place sur ce qui concerne ce fléau dit Dama.
-Ce serait étrange non ? dit Atlas.
-Pas tant que ça rajouta Hipapheralkus, en matière de dossiers militaires et de rapports, il y a souvent des protections, mais vu votre statut, la cité aurait du vous laisser y accéder et la je dois dire que je ne comprend pas.
Atlas se retourna vers l’hologramme et posa de nouveau une question.
-Je voudrais que vous me fassiez la liste de tous les rapports les plus sécurisés de la cité.

L’hologramme disparu alors pour faire place à une multitude de dossiers qui flottaient dans les aires. Soudain le Général reconnut sur un type de fichier, des inscriptions qui ressemblaient beaucoup à celles qu’il avait vu sur son vaisseau lors de la communication qu’il avait établit avec les ennemis.
-Gouverneur Atlas regardez ce dossier s’il vous plait dit Hipapheralkus.
Atlas pensa alors à ce dossier qui se démarqua alors des autres en se rapprochant. Par ailleurs c’était un des rares dossiers qui clignotait en rouge.
-« Accès au dossier refusé » dit la voix de le femme que l’on ne voyait plus.
-Comment ça accès refusé s’insurgea t-il. Mais qui à accès a ce dossier si ce n’est pas le gouverneur de l’Atlantide demanda Atlas.
-« Dossier accessible uniquement par le gouverneur Rias » répondit la voix.
Atlas se tourna aussitôt vers Hipapheralkus.
-Mais Rias fut le second gouverneur des Alterans après Atlas il y a des millions d’années dit Atlas.
-Le soucis c’est qu’il doit être mort aujourd’hui dit Dama.
Atlas et Hipapheralkus se regardèrent. Atlas descendit du socle et fit signe à Dama de le suivre avec le général.
Pendant le parcours, Atlas via une radio fit son rapport à la salle de contrôle ou des membres du grand conseil étaient arrivés depuis peu. L’explication d’Atlas les surpris quelque peu, car eux même ne connaissaient le Fléau.

Atlas fut rejoint par deux nouveaux conseillers cette fois ci plus âgés et qui voulaient venir pour aider Atlas.
-Ou va-t-on demanda Dama impatient.
-Tu va voir répondit Atlas en souriant. Il se rappelait ses jeunes années ou l’impatience était très présente chez lui, mais il changea…

Après quelques minutes de marches et après avoir utilisé un téléporteur, ils se retrouvèrent tous les cinq dans un immense laboratoire situé dans la plus grande aile d’Atlantis.
-Nous y voilà jeune conseiller, nous sommes ici dans la salle de stase comme tu peux le voir. Mais celle-ci est particulière, car regarde ici dit Atlas en montrant une étrange machine ou une personne pouvait rentré. Ici est stocké l’esprit de certaines personnes, et la plus vielle étant le gouverneur Rias. Je vais m’introduire dans son esprit et parlementer avec lui pour en tirer des informations et surtout le code d’accès.
-J’ai encore beaucoup de chose à apprendre de cette cité dit Dama. Le fonctionnement d’Atlantis est très différent de la cité Vahla-halis.
Atlas le regarda et sourira amusé par son ignorance sur la spécificité de cette cité.

Sans plus tardé et aidé par des scientifiques Atlantes, Atlas entra dans la machine. Une puissante lumière bleu l’enveloppa et le fit disparaître laissant l’appareil vide.
-Cela ne devrait pas être trop long rassura un scientifique qui était resté à coté d’eux.
Soudain un autre tremblement se fit ressentir. Hipapheralkus leva la tête, il n’était absolument pas rassuré, les impacts sur le bouclier étaient de plus en plus intense. C’est alors que ça radio s’activa.
-Général Hipapheralkus, venez dans la salle de contrôle immédiatement dit une voix qu’il ne connaissait pas.

Il mit alors que très peu de temps pour accéder à la salle qui était alors bondée.
-Que se passe t-il dit il d’une voix plutôt grave qui imposait le respect.
-Aller voir par vous-même sur la Balcon, il semblerait que la situation ne sois plus contrôlable dit une conseillère.
Hipapheralkus sorti sur le balcon et vit au loin deux cités avec leurs boucliers d’activés. Au début il pensa que les sous gouverneurs de ces cités les avaient activés par crainte que celui de l’Atlantide ne lâche. Mais il comprit que ce n’était pas le but poursuivit par les cités.
La conseillère sortit rejoindre le générale.
-J’ai essayé de les convaincre, mais ils étaient trop bornés et avaient trop peur dit elle.
-Comment ose t-il s’insurgea Hipapheralkus.

Au loin les deux cités frémirent quelques secondes, puis semblaient grandir toutes les deux. Leurs tours principales montaient plus haut dans le ciel et s’approchaient du bouclier. Elles étaient en train de quitter les lieux, laissant les huit autres cités derrière elle.
-Générale, le pouvoir centrale de l’Atlantide à vécu. Cela faisait déjà quelques années qu’ils s’effritait, bien que l’arrivée d’Atlas eu redonné un peu de force à ce pouvoir. Ce dernier est devenu tellement moribond, qu’il n’avait plus rien de rassurant. Cela m’étonnerais pas que d’autres sous gouverneurs décident de quitter l’Atlantide dit la conseillère qui regardait elle aussi s’envoler les cités.
Ces dernières ralentirent lors du contact avec le bouclier de l’Atlantide tellement bombardé qu’il n’y avait pas un seul centimètre carré qui échappait à cette impressionnante puissance de feu.
Les deux cités traversèrent alors le bouclier et furent à leur tour bombardées. Puis elles allumèrent leur puissants moteurs et finirent par disparaître rapidement dans l’espace. Elles durent éviter les vaisseaux ennemis avant de passer en hyperespace.

-Les cités ont elles laissés leur coordonnées de destination ? demanda Hipapheralkus en se tournant vers la conseillère.
-Malheureusement non répondit elle d’une petite voix qui montrait sa déception.
-Je vais retourner sur mon vaisseau et voir ce que l’on peut faire pour repousser au maximum ce fléau. Dites à Atlas de me prévenir lorsqu’il en saura plus sur ce Fléau dit Hipapheralkus en entrant dans la salle de contrôle.

L’Atlantide se mit alors à activer ses nombreuse armes. Des centaines de tirs de plasmas partirent en direction des vaisseaux. La cadence était impressionnant, mais dérisoire face aux milliers d’impacts que subissait le bouclier. On avait l’impression que le ciel avait changé de couleur, cela était beau et effrayant à la fois.
Les Alterans présents ce jour n’avaient jamais connu de guerre, de ce fait cette situation leur était inconnu et donc inconfortable, se qui expliquait que des cités étaient partis ou étaient sur le point de partir.
Des jumpers rentraient en trombe à l’intérieur de la cité en traversant facilement le bouclier.


Après vingt minutes qui parurent durées une éternité pour Dama, Atlas sortit de la machine.
Il regarda Dama puis les autres conseillers présents et resta silencieux comme ci la machine l’avait assommé.
-Gouverneur Atlas vous allez bien demanda le jeune conseiller en s’approchant.
-Oui oui finit par répondre le gouverneur. Suivez moi j’ai le code permettant d’accéder aux fichiers ajouta t-il. Puis il se dirigea en trombe vers la porte.
Dama su à cet instant que quelque chose n’allait pas. Il se doutait que le gouverneur avait appris quelque chose, c’est pourquoi à son tour il pressa le pas pour le rattraper.
-Gouverneur ! appela Dama en le rattrapant. Atlas s’arrêta et se tourna vers lui. Qu’avez-vous appris ?
-Jeune conseiller, j’ai appris que nous avions quasiment aucune chance vu notre nombre de vaincre le Fléau…
-Qu’allons nous faire demanda Dama horrifié par une réponse qu’il avait redouté.
-Je n’en sais rien, mais Rias m’a dit que je trouverais des réponses dans les archives susceptible de m’aider. Mais il ma bien fait comprendre que c’était peine perdu et que le seul moyen de s’en sortir était de fuir le Fléau.
-Et c’est votre plan ? partir ? demanda Dama
Atlas réfléchit un moment puis répondit.
-Pas dans l’immédiat jeune conseiller. Rappel toi ce que je t’ai dit, il y a toujours un moyen de pacifier une situation même si je conviens que dans ce cas se ne sera pas de tout repos. Allez venez jeune conseiller, allons voir se que cache les dossiers…
Une nouvelle secousse se fit ressentir dans le couloir. Les bombardements commençaient à prendre une ampleur incroyable, mais le bouclier tenait bon…

De nos jours…

-Voilà ce sont les seuls enregistrements que nous avons retrouvés sur Atlantis. Je vais les envoyer au Dr. Jackson pour avoir son avis la dessus dit l’homme qui était habillé d’une blouse blanche.
-Y a-t-il des d’autres personnes au courant de cet enregistrement ? demanda t-elle.
-Non ! Juste vous et moi comme prévu répondit il ! Mais l’analyse de cet enregistrement dépasse mes compétences. Le dr. Jackson est bien plus qualifié que moi, et puis il sera vraiment surpris de voir ça dit l’homme en jetant un coup d’œil sur la vidéo.
-Ah ! ça certainement pas dit elle en se levant et en sortant une arme. J’ai bien peur que cela ne reste entre nous termina t-elle en appuyant sur la gâchette…

Chapitre 4 : L’arrivée du Diable


Elle marchait depuis quelques minutes déjà dans les couloirs du Titan, fleuron de la flotte des anciens. Le vaisseau mère récupéré dans la place forte avait depuis, fait amplement ses preuves et était un atout considérable.

Elle venait d’atteindre un des téléporteurs du vaisseau. Sa main effleura la commande située à sa gauche, la porte s’ouvrit instantanément. Elle s’engouffra rapidement et regarda avec attention le cadran en face d’elle, ou se dessinait l’intégralité de la structure du bâtiment. Elle tapa avec une rapidité incroyable sur le point qui l’intéressait, la porte qui s’était entre temps refermée, se ré-ouvrit quasi instantanément. La téléportation était vraiment une technologie qu’il fallait exploiter selon elle.
Elle sortit rapidement de la pièce et se dirigea vers une porte plutôt massive ou des soldats filtraient les entrées. Cette porte n’était autre que l’accès à la passerelle de pilotage du Titan. Mais tout le monde n’y avait pas accès. Elle s’approcha toujours à même allure sans même se retourner lorsqu’un scientifique tomba à la renverse s’étant pris les pieds dans une caisse, certainement destiné à des fins scientifiques. Elle continua donc, marchant comme si rien ne pouvait l’arrêter, de plus elle portait des chaussures à talons se qui ne rendait pas sont arrivée discrète, mais elle ne semblait d’ailleurs par rechercher une quelconque discrétion. Elle s’approcha du premier soldat.
-Ouvrez moi s’il vous plait demanda t-elle.
-Veuillez me montrer votre laissez passer s’il vous plait demanda t-il instinctivement sans encore avoir regardez directement la personne.
-Je vous demande pardon ! rétorqua t-elle .
Le soldat surpris fixa la femme dans les yeux et fut comme pétrifié devant elle.
-Euh excusez moi madame, je vous en prit passez dit-il en ouvrant la porte.
Elle l’avait fusillé du regard comme personne, elle avait un charisme époustouflant.

Elle entra dans la salle du pilotage du Titan, ou bon nombre de techniciens et scientifiques s’affairaient autour d’une quantité impressionnante de panneaux de commandes en tout genre. Ronon Dex était assis sur le fauteuil de pilotage et non loin de là, le colonel Caldwell s’entretenait avec un major.
Elle s’avança vers Ronon, se plaça devant lui et se mit à le fixer froidement.

-Vous voulez quelque chose madame demanda t-il perturbé par l’attitude de cette inconnue.
-Ronon Dex c’est bien cela ?
-Ouais
-Je suis Gretchen Smith, la responsable de la mission qui aura lieu sur Terre, vous serez donc sous mon commandement jusqu’ à nouvel ordre. Le SGCI en a décidé ainsi et j’espère que vous vous contenterez de ces simples explications sur la situation actuelle…
-Gretchen ! appela Caldwell en la regardant d’un air de mépris.
-Elle se retourna alors rapidement pour faire face à son nouvel interlocuteur.
-Et Bien Steven, ça faisait longtemps. Oh ! une chose, la prochaine fois que vous tenterez de me couper la conversation, je n’hésiterais pas à vous casser le bras, est ce bien clair dit elle. Avant notre départ d’Atlantis il y a … vingt heures dit elle en regardant sa montre, tout le monde à été prévenu avec mon arrivée, que je prendrais toutes les choses en main au grand désarroi de cette chère dr. Weir, qui a tenté de m’évincer de la parti par ailleurs, mais sans succès.
-Je ne suis pas là pour vous contredire dans votre commandement,mais dans vos façon de procéder.
-Et bien il va falloir vous y habituer car vous aller m’avoir sur le dos un bon moment. Et maintenant je dois tout expliquer à Ronon qui n’étant pas présent sur Atlantis le temps du Briefing, n’a pas eu accès aux dernières nouvelles.
-Euh ! si , le colonel Caldwell ma tout expliqué répondit Ronon en la fixant dans les yeux.
Il se fixèrent quelques secondes. Personnes n’osa parler, personne n’osait perturber le regard froids qui s’était établis entre les deux personnages.
-Ronon Dex veuillez venir ici… et c’est un ordre dit calmement Gretchen.
Ronon se leva doucement sans jamais la quitter des yeux, descendit les quelques marches devant lui et s’arrêta devant Gretchen.
C’est alors que dans un mouvement rapide et impressionnant, Gretchen prit Ronon par le bras et le fit voler au dessus de ses épaules, sans qu’il n’est eu le temps de réagir. Ce dernier tomba sèchement sur le sol, sous le regard ébahis de tout le personnel du vaisseau. Gretchen n’avait cependant pas lâcher prise et tenait toujours le bras droit de Ronon.
-Je vous préviens, un seul regard de travers Ronon et je vous casse illico le bras dit-elle en exerçant une pression suffisante sur le bras de Ronon pour lui faire comprendre qu’elle n’hésiterais pas une seconde. Je vous préviens tous dit elle en relâchant son emprise sur Ronon et en se retournant. Que les choses soit bien clair, on m’a chargé d’une mission, et jevcompte bien la remplir, mais si jamais quelqu’un essaie de remettre en question mes pratiques je ne donnerais pas cher de sa peau est ce bien clair ?
Personne ne répondit, les regards suffirent, tout le monde avait compris.

-Bien je crois que nous sommes bientôt arrivée sur Terre si j’ai bien compris les dire de certain. J’aimerais être prévenu lorsque nous sortirons de l’hyperespace dit elle en se retournant vers Caldwell qui lui fit un petit signe de tête. Puis elle tourna le dos et se dirigea vers la porte. Gretchen qui venait de faire une entrée très remarqué sur la passerelle, parti aussi vite qu’elle était arrivée.

-Colonel Caldwell qui est cette femme ? demanda Ronon
-Et bien je la connais très peu, je l’ai croisé qu’a de rare occasion. Cette femme à fait partie de l’armée que pendant un an, sinon elle fait actuellement partie d’une organisation plutôt secrète qui fonctionne avec les gouvernements américains, français et allemands. Concernant leur but… et bien cela reste secret. Les deux hommes se rapprochèrent, comme ci ils voulaient que la conversation sois la plus discrète possible. Je sais aussi qu’elle fut longtemps prisonnière lors d’une mission qui a mal tournée, et qu’elle à subit des souffrances assez immenses, et je dois dire qu’après ça, les personnes changent…
-Vous l’avez connu avant ? demanda Ronon en fronçant les sourcils.
-Un peu, elle était… comment dire … plus joyeuse, moins agressive, moins…
-En tout cas cette femme, elle à du caractère dit il en souriant. Savez vous d’autres choses sur elle ?
-Oh ! bien sur, mais je ne peux pas vous en dire plus.
-Et pourquoi ça demanda Ronon surpris.
-Elle serait capable de vous tuer…
Ronon n’osa rien rajouter et resta perplexe sur la dernière phrase de Caldwell. Si bien qu’il repensa à tous ça pendant les quelques heures qui suivirent.

Le vaisseau mère ancien sorti de l’hyperespace après seulement vingt cinq heures de volent car boosté par trois eppz. C’est pour le moment le record absolu en terme de temps de parcourt entre Atlantis et la Terre. Le vaisseau mère de couleur claire virant vers le turquoise, était resplendissant car le soleil se reflétait dessus, il avait l’aspect du cristal tellement il brillait. Mais la beauté du bâtiment était empoisonnée, car il possédait latéralement deux gros puissants blasters lasers, mais il possédait aussi une quantité impressionnante de canons localisés un peu partout et aussi accompagné de quelques canons a ions comme ceux que possédaient les satellites de défenses lantiens.

Gretchen fut prévenu de leur arrivée, et décida d’organiser un briefing sur la mission à venir. Elle avait prévenu le SGCI de leur arrivée. Ce dernier contacta aussitôt tous les membres qui devaient participer à cette mission. Quant à Daniel, Vala, Rodney et sa sœur, il devaient tous être localisé dans un lieu caché à une heure précise, afin d’éviter d’être téléporter sous le regard des civils.
Il furent téléportés tous à la même heure devant la salle de briefing du vaisseau ancien.
-Et bien nous y voila dit Vala en regardant Daniel. Tient je ne vous connaît pas dit elle en regardant Jeanie.
-Non c’est vrai, moi c’est Jeanie la sœur de Meredith dit elle en faisant deux bises à Vala.
-Ah encore deux, c’est comme ça qu’ils font en Frrancee dit elle en tentant d’imiter l’accent des Français.
Jeanie se tourna vers Rodney en souriant légèrement face à la réplique curieuse de Vala.
Ils s’avancèrent devant un pupitre ancien, Daniel posa sa main dessus et composa quelque chose sur la console lantienne. Si bien qu’un hologramme en 3D apparu, le même devant lequel le dr. Weir s’était déjà retrouvé. L’hologramme représentait l’amphithéâtre circulaire ou devait se tenir le briefing. Les places bleutés représentaient les places non occupées, alors que les rouges inversement désignaient les places occupées. Vala s’avança vers l’hologramme et le regarda curieusement.
-Mon Daniel comment ça marche ce truc ?
-Et bien il suffit de toucher la place désirée pour y être téléporté répondit Mckay avant que Daniel est pu répondre.
-Ok dit elle en examinant de plus près la disposition des places, et puis finit par touché de son doigt une place situé vers le centre de la salle, là ou la plupart des personnes étaient déjà localisées.
Elle fut rapidement suivit par les trois autres individus, qui se téléportèrent juste à coté.

Gretchen était installée debout sur le pupitre central, se qui attira rapidement l’attention des quatre nouveaux arrivant.
-Qui est ce ? demanda Mckay en se penchant vers Daniel.
-Je n’en est pas la moindre idée répondit ce dernier. En effet eux aussi n’étaient pas présent lors du briefing sur Atlantis.
Gretchen visiblement dérangé par un brouhaha qui se généralisait racla bruyamment la gorge. Ainsi elle attira l’attention de la cinquantaine de personnes qui se trouvaient dans la salle.
-Bien ! pour ceux qui ne me connaissent pas je suis Gretchen, je suis celle qui à été mandaté par le SGCI pour mettre en œuvre cette mission dit elle sèchement. Elle était plutôt grande et paraissait un peu musclé, mais pas suffisamment pour la rendre masculine. Bien qu’elle paraissait dure elle avait quelque chose de doux chez elle, il s’agissait de ses yeux qu’elles avaient de très bleu et entouré de mascara noir, ce qui les faisait ressortir. Cette femme était habillée en tailleur noir accompagné d’une veste également noir, se qui la rendait sexy, classe, mais aussi autoritaire. Elle avait les cheveux plutôt long détachés et surtout très brun, à croire que cela reflétait la noirceur de ces actions passées.
En ce moment même nous scannons les alentours du détroit de Gibraltar dit elle. Apparemment il y aurait bien quelque chose, sûrement une grotte, mais il nous faut plus de temps pour en tirer des conclusions. Lorsque nous aurons trouvé une entrée, nous nous téléporterons à l’intérieur et …
-Excusez moi coupa Mckay, ne pensez vous pas que si installations anciennes il y a alors mécanismes de défenses il risque d’y avoir et si …
-Dr. Mckay, je suis consciente que vos compétences et votre contribution seront utile, mais pas indispensable, alors si vous pouviez vous taire et me laisser finir je vous promet ne pas vous faire de mal, mais dans le cas contraire…
-Dans le cas contraire, chose qui n’arrivera pas je l’espère vous aurez affaire à moi madame rétorqua Jeanie en la regardant fixement dans les yeux.
Gretchen fut surprise par cette affront inattendu. Elle descendit alors du pupitre et s’approcha de Jeanie. Elle se pencha vers elle de sort qu’elle seule puisse entendre ses propos à venir. Mme Miller ! chuchota Gretchen, vous avez une fille et un mari qui vous attendent chez vous n’est ce pas ! Et bien je vous conseil de la fermer et de ne pas me contredire devant tout le monde, car je vous prévient il ne me faudrait vraiment pas longtemps pour trouver votre famille et la faire disparaître dit elle calmement.
Jeanie n’osa pas bouger et fut choquée par ces propos, mais ne sachant que penser de ces menaces, ne tenta pas de répliquer et préféra acquiescer d’un léger signe de tête.
Gretchen remonta sur le monticule et expliqua alors les nombreuses procédures qu’ils allaient tous devoir respecter à la lettre. Cela dura au moins deux heures trente. A la fin, elle demanda au quatre compères d’aller dans la salle de pilotage pour qu’ils puissent prendre note des dernières nouvelles et trouvailles des recherches.

Rodney sortit rapidement avec sa sœur suivit par Daniel et Vala. Ils allaient donc tous dans la salle de pilotage, ou ils devaient en apprendre plus sur le scannage du détroits de Gibraltar. Pendant deux à trois minutes aucun d’entre eux ne parla, ils étaient tous pensifs et marchaient de ce fait têtes baissées. Puis Vala rompit le silence faisant sortir le groupe de sa torpeur générale.
-Et bien elle à pas l’air très aimable cette Gretchen, moi qui pensait qu’Adria était vraiment une garce, je dois dire que je ne pensait pas trouver pire.
-Je ne sais pas d’où elle vient celle-ci, mais vaut mieux faire ce qu’elle dit répondit daniel. Nous sommes là pour chercher l’Atlantide, donc focalisons nous dessus, ne faisons pas trop attention à cette femme.
-Moi qui trouvait Woolsey insupportable, je ne pensais vraiment pas tomber sur une si jolie femme et pourtant aussi méchante rajouta Mckay qui tenait sa sœur par l’épaule.
-Quand je pense qu’elle a menacé ma famille cette peste… dit Jeanie, qu’elle ne fasse pas un faux pas avec moi, elle en déjà trop dit.
-Jeanie je vous conseil de faire attention, à ce que j’ai entendu elle a plaqué Ronon au sol en seulement quelques secondes ajouta Daniel.
-Oh ! mais Daniel tu ne connais pas bien ma sœur, elle est ceinture noir de Tækwondo, je pense qu’elle sait se qu’elle fait.
-C’est quoi du Tækwondo ? demanda Vala qui fut piquée par la curiosité de ce mot.
-Et bien c’est une technique de combat assez dissuasive répondit Jeanie.
-Oh ! cool j’aimerais bien essayé dit Vala en se rapprochant de Jeanie.
-Oui ben tu verras ça plus tard dit Daniel en la tirant vers lui.

Après quelques minutes de marche et un passage dans un téléporteur, ils accédèrent tous les quatre à la salle de pilotage ou les attendaient des scientifiques, mais aussi Ronon et Caldwell.
-Salut à vous dit Ronon en se levant de son fauteuil qui fut aussitôt salué.
Caldwell s’avança vers eux et les salua également.
-Nous venons tout juste d’avoir des nouvelles d’Atlantis dit Caldwell qui tenait un PDA entre ses mains. Le dr. Weir me charge de vous dire que Sheppard ne viendra pas, il s’est blessé à la cheville durant une de ses missions.
-Oh ! c’est dommage ! et qui va le remplacer ? demanda Mckay
-C’est moi-même intervint Ronon, le colonel Caldwell s’occupera du Titan
-Et Teyla ? et le colonel Carter questionna de nouveau Mckay en regardant Caldwell.
-Et bien le colonel Carter ne sera pas de la partie, la mort du général O’Neill la vraiment atteinte, et Teyla à décidé de rester un moment avec elle. Donc aucune des deux ne viendra dans l’immédiat.

-Au fait qui est cette horrible femme qui se prétend être notre chef ? demanda Vala en se tournant vers Caldwell.
-Et bien cette femme… je vous conseil de faire attention avec elle, elle est aussi puissante et sadique qu’elle est jolie. Mais ses méthodes bien que peu orthodoxes semblent avoir eu des résultats impeccable, voila pourquoi le SGCI la nommé.
-Pourquoi Woolsey à fait nommer une femme comme ça pour nous diriger ? demanda Daniel
-Woolsey n’a pas eu le choix, il s’est catégoriquement opposé à ce qu’elle dirige l’opération, mais sans succès. C’est inquiétant car cela veut dire que ceux qui tirent les ficelles sont vraiment très puissant, mais à savoir qui sait ? ça c’est une bonne question. Pourquoi vouloir interférer avec le programme ? voila encore une bonne question. Je crois que nous sommes loin d’avoir encore tout vu finit par dire Caldwell.

Soudain des bruits de talons se firent entendre derrière eux. Gretchen avançait doucement et fixa méchamment Caldwell. Avait elle entendue la conversation ? ce fut la première chose que Caldwell se posa.
-Eh bien Steven, vous semblez avoir la langue bien pendu ! Mais j’aimerais savoir ou vous avez entendu toutes ces stupidités ? demanda t-elle.
-Cela ne vous regarde pas Gretchen ! rétorqua Caldwell. Je sais bien qu’une femme à souvent du mal à se faire accepter, mais la méchanceté ne vous aidera pas.
-Blablabla , n’essayez pas de détourner la conversation Steven. Je ne sais pas ou vous avez piochez tous les propos que vous avez pu raconter pour le moment, mais je ne peu pas vous laisser continuer dit elle en se rapprochant de Caldwell et en mettant sa main dans son dos pour saisir quelque chose derrière une de ses poches de pantalons.
Caldwell recula ne sachant pas comment réagir. Allait-elle sortir une arme ? Non ce n’était pas possible, il y avait beaucoup trop de monde !
Gretchen finit par sortir de sa poche un papier qu’elle tendit illico à Caldwell.
-Ceci est un ordre de mutation, vous partez de ce vaisseau immédiatement, vous vous rendrez au SGCI ou une autre mission vous sera donné.
Caldwell ouvrit le papier et eu confirmation de ce qu’elle venait de dire.
-Bon eh bien je vois que les vipères sont de sorties répondit il en baissant la tête. En espérant vous revoir bientôt fini t-il en se tournant vers Daniel, Mckay, Jeanie, Vala et Ronon.
-Croyez moi Steven, c’est pas pour tout de suite rajouta Gretchen en souriant.
Deux soldats invitèrent alors Caldwell à sortir de la salle de pilotage sous le regards désemparés de toutes l’assemblée.
C’est Daniel qui rompit le silence en premier.
-Madame !
-Appelez moi Gretchen si ça ne vous dérange pas.
-Euh ! non pas du tout. Pourquoi avoir éclipsé Caldwell de la mission ? osa demander Daniel.
Gretchen souriait toujours et s’avança de daniel. Vala se plaça alors instinctivement entre les deux, se qui ne la surpris pas du tout.
-Oh ! on veut défendre son cher et tendre ? Et bien pour vous répondre Dr. Jackson, je crois que cela ne vous regarde pas, Steven et moi avons quelque chose à mettre au point, mais je ne voulais pas le faire pendant cette mission. Maintenant j’aimerais que vous tous évitiez de poser des questions indiscrète et vous demanderais de vous focaliser uniquement sur vos recherches. Dans le cas contraire je pourrait vous éclipser du programme porte des étoiles en un claquement de doigt. Est-ce bien clair ?
Tout le groupe acquiesa sans grande conviction.
-Suivez moi, allons voir les résultats du scanner, cela pourrait vous intéresser dit Gretchen qui semblait moins agressive désormais.

Ils arrivèrent devant une console extraordinairement grande. Derrière flottait un hologramme, mais ils ne savaient pas se que ça représentaient. Des scientifiques étudiaient en temps réel, la forme qui se mouvait en l’air.
-Qu’es ce que c’est ? demanda Daniel en se tournant vers une jeune scientifique.
-Et bien il s’agit d’une super structure que nous avons scanné au large du détroit de Gibraltar. Nous ne l’avions pas détecté même avec les capteurs asguards, car elle semble protégée par un mécanisme de défenses.
-Pouvons nous y entre demanda Mckay qui pianotait déjà sur la console, si bien que l’hologramme bougeait aussi.
-Eh bien apparemment la structure possède des anneaux de transferts, donc oui nous pouvons y accéder. Nous sommes actuellement en train d’envoyer plusieurs MALP pour sécuriser le terrain et voir les propriétés de l’atmosphère.
-C’est bon signe ça, en espérant pouvoir y pénétrer facilement ajouta Daniel.
-Vous avez vu la forme de la structure fit remarquer Mckay, c’est une ellipse, cela ressemble à Atlantis lorsqu’elle active le bouclier, sauf qu’ici, la structure est dix fois plus grande, c’est certain, il va nous falloir pas mal de monde pour explorer ces infrastructures.
-Ne vous inquiétez pas Dr. Mckay, nous enverront pas moins de deux cents personnes si tout va bien rajouta Gretchen. En attendant continuez à étudier la structure avec les informations récupérées par le vaisseau et les MALPS dans un futur proche. Mais je pense que dans deux jours nous descendrons voir par nous même les lieux, donc plus on aura d’informations et mieux se sera.


Quelques heures plus tard au SGCI

-Colonel Caldwell je vous en pris ne refaites plus jamais ça. Cette femme et tout se qu’il existe derrière elle est démentiellement puissant cria Woolsey. Caldwell était assis dans un fauteuil et baissait les yeux. La compagnie dont elle fait partie ma déjà causé pas mal de dommage, et ce uniquement j’ai mis mon cœur à l’ouvrage à empêcher la mutation de Gretchen. Alors si vous continuer à balancer des accusations à tout va sur son compte, je ne donne pas cher de votre peau.
-Mr. Woolsey, je suis content que vous vous préoccupiez de ma santé, mais ce n’est pas la peine. Si j’ai émis des accusations orales, ce n’était pas anodin et irréfléchis.
-Je vous demande pardon s’exclama Woolsey en se rapprochant de Caldwell. Qu’essayez vous de me faire comprendre Steven ajouta t-il ?
-Je veux vous faire comprendre que… Caldwell se leva doucement et se rapprocha de Woolsey afin qu’aucune autres oreilles ne puissent entendre … qu’il n’existe pas une seule compagnie sur Terre Mr Woolsey acheva t-il en souriant.
-Vous… vous voulez me dire que vous faites partie d’une…
Caldwell sourit et hocha la tête en signe d’approbation.

Chapitre 5 : Le dernier vole

-Dr. Weir ! Appela Liz en la rattrapant dans un couloir d’Atlantis.
-Qu’avez-vous ? demanda Weir surprise.
-Nous venons de découvrir des anomalies dans les dossiers de la cité répondit Liz.
-Comment ça, je ne comprends pas Liz dit Weir en fronçant les sourcils.
-Je crois qu’une personne à récupérée des donnés secrètement dit Liz devant le regard inquiet de Weir.
-Pardon ! Pourtant les protocoles de sécurités sont strictes si une personne avait volé des informations on s’en serait rendus compte plus tôt dit Weir.
-Et bien apparemment la commission de contrôle ne l’a pas vu se qui au final… en est inquiétant dit Liz en fronçant les sourcils à son tour.
-Très bien je vais organiser un briefing d’ici une heure. Le croiseur ancien Sateda devrait revenir de la voie lactée d’ici quarante cinq minutes. On a reçu un message disant qu’il y avait eu des problèmes sur Terre.
-Très bien, je vais essayer de voir se qui a été volé dit Liz en quittant le Dr. Weir.

Le vaisseau Sateda un des trois vaisseaux anciens rescapés de l’incident de la place forte s’apprêtait à sortir d’hyperespace. Boosté à l’Eppz il n’avait mis que trente heures à venir faisant de lui le deuxième vaisseau à franchir les deux galaxies en un temps record.
Les vaisseaux anciens furent longuement étudiés, de ce fait leur utilisation s’en était améliorer. De plus depuis que les plans étaient aux mains des concepteurs des vaisseaux terriens on pouvait s’attendre à l’émergence de nouveaux vaisseaux croisés technologiquement entres la Terre, les Asguards et les anciens.

-Dr. Weir le Sateda est sorti d’hyperespace dit Chuck qui regardait sur les écrans de contrôle. Dois-je autoriser la téléportation sur Atlantis demanda t-il ?
-Oui répondit Weir qui était en train de regarder le soleil se coucher à travers les vitres d’Atlantis.
Chuck se retourna et se mit face à un panneau de contrôle sur lequel il pianota aisément et ce sans l’aide d’ordinateurs terriens. Il commençait à avoir une connaissance de la technologie ancienne plutôt bonne comparée à certain. Il pianota donc et désactiva les brouilleurs mis en place pour empêcher toute téléportation intempestive et surtout impromptus.
En attendant Elisabeth descendit les quelques marches qui lui restait en direction de la porte des étoiles. Une fois en bas elle s’arrêta et attendit la téléportation du commandant du Sateda qui avait changé au dernière nouvelle.
Soudain une lumière vive éclaira la salle d’embarquement de la cité. Et là à la grande surprise de Weir le colonel Caldwell apparu en compagnie de cinq soldats et deux scientifiques.
-Bonjour Dr. Weir dit il en hochant la tête.
-Colonel ! heureuse de vous revoir.
-Vous deux allez tout de suite vérifier ordonna Caldwell aux deux scientifiques qui étaient présents à coté de lui.
-Que se passe t-il Steven ? J’ai un briefing dans cinq minutes, des dossiers ont apparemment été volé ici dit Weir. Et que vont faire ces deux scientifiques ?
-Et bien le SGCI était très soupçonneux sur les affaires d’Atlantis et pensent qu’il y aurait des espions ici. Or si vous me dites que des dossiers ont peut être été volé alors c’est qu’ils avaient raisons. Bref Dr. Weir j’ai deux ou trois choses à vous raconter en privée s’il vous plait.
Elisabeth tourna la tête et dit à Chuck de prévenir tout le monde dans la salle de briefing qu’elle serait un peu en retard. Elle alla donc dans son bureau en compagnie de Caldwell qui prit place dans un fauteuil face à Weir qui s’était mise derrière son bureau.

-Très bien Caldwell que ce passe t-il ? Ne devriez vous pas faire partit de la mission Atlantide ? demanda Weir.
-Eh bien si, mais figurez vous que le nouveau chef de la mission Gretchen ma vite écarté, car j’en sais trop sur elle. Du coup pour parfaire à mieux son autorité sur toute l’équipe elle ma évincé.
-Cette Gretchen n’est pas commode dit Weir en souriant.
-En effet, mais elle est plus que ça Dr. Weir dit Caldwell d’un ton grave… Elle est dangereuse.
-Steven vous ne pensez pas que Mckay, Jeanie et les autres cours un danger tout de même. Le SGCI à validé la mutation de Gretchen ! Ils doivent avoir un œil sur elle non ?
-Je ne pense pas qu’ils soient en danger. Mais vous savez Dr. Weir le SGCI n’a pas validé véritablement la nomination de Gretchen… Disons qu’ils ont plutôt été contraints dit Caldwell en se levant et en commençant à tourner dans le bureau.
-Vous voulez dire qu’elle a réussi par elle-même à menacer le SGCI par exemple.
-Je le crains malheureusement. Elle fait partie d’une organisation plutôt secrète. Cette dernière est assez puissante pour corrompre le SGCI se qui est plutôt inquiétant quand on y pense puisqu’il gère aussi la mission Atlantis. De ce fait je voudrais vous mettre en garde contre eux.
-Très bien dit Weir en se levant de son fauteuil. Comment savez vous tout ça ? demanda t-elle.
-Oh ! Et bien disons que je connais pas mal de personnes travaillants dans les services secrets américains et je dois vous dire que eux aussi craignent cette organisation.
Weir s’avança vers Caldwell et leva la tête vers lui.
- Que fait-on maintenant ?
-Je vous demanderais de garder ça secret s’il vous plait. Mais le plus important maintenant est de savoir ce qu’ils on essayé de vous voler, car il ne fait presque aucun doute que se soient eux. Et sinon ça ne sert à rien de rechercher le coupable, car il n’y a aucune chance pour qu’on le retrouve. Ils sont très fort pour faire disparaitre les indices et les personnes finit par dire Caldwell se qui ne rassura pas Weir.

Tous deux sortirent du bureau en direction de la salle de briefing ou était installé Liz la jeune et charmante scientifique, Sheppard, Chuck et de nouveaux militaires. Weir entra suivit de Steven et prirent place à leur tour.
-Votre cheville va mieux Sheppard ? demanda Caldwell en souriant.
-Beaucoup mieux merci répondit il. Il se pourrait même que je puisse aller en mission sur Terre d’ici peu si ça continue.
-Très bien, je crois que ça ferais plaisir à McKay, il ne semble pas très rassuré avec Gretchen.
-Ah ! La Dark woman ! C’est vrai qu’elle n’est pas fine celle-ci dit Sheppard en regardant Weir.
-Ah ah très drôle dit Liz qui ne semblait pas trouver le jeu de mot à son gout.
-Bien écoutez il semble donc que des données est été volé sur la cité dit Weir. Quand à savoir qui ce ne sera pas notre première priorité.
-Ah ! Bon et pourquoi s’insurgea Sheppard. Si il y a des espions alors ils sont peut être encore là non ?
-Colonel Sheppard écoutez le Dr. Weir. Non ! Il n’y à aucun espions sur cette cité je peux vous l’assurer. Toutefois il va nous falloir découvrir au plus vite se qu’ils ont volé et ainsi voir se qu’ils recherchaient ajouta Caldwell.
-Très bien c’est d’ailleurs là ou je voulais en venir dit Liz en se levant. Tenez Dr. Weir mettez ça dans la console devant vous.
-Qu’es se que c’est ? demanda Weir intriguée
-Et bien il se trouve qu’ils n’ont apparemment pris qu’une partie de ces informations. Il s’agit de l’histoire d’Atlantis tous y est enregistré depuis sa construction. Mais les infos prises sont celles se situant vers le siège de l’Atlantide par ce mystérieux Fléau. Bref il semble que la personne qui s’est procurée discrètement ces données, a fait exprès d’en laisser une partie ici.
-De toute évidence, l’espion ne devait pas faire entièrement confiance à ses supérieurs dit Weir. Très bien que voulez nous vous faire voir Liz.
-Et bien le cristal que je vous ai donné renferme les dernières informations sur l’Atlantide. C'est-à-dire jusqu’au départ d’Atlantis vers Pégase répondit Liz.
Elisabeth fit tourner le cristal à plusieurs reprises dans ses mains et le disposa alors dans l’orifice prévu à cet effet devant elle. La table du briefing de forme triangulaire s’illumina alors, un hologramme très réaliste se forma au milieu, on reconnaissait alors très bien Atlantis, on voyait des gens courir, tout se déroulait comme un film, mais de façon plus réaliste…

Il y a environ 11 600 ans

Cela fait maintenant trois ans que l’Atlantide était assiégée par un ennemi extrêmement agressif et peu prompt à négocier quoi que se soit. Bien que la technologie Alteranne soit de toute évidence supérieur à ce fléau, le nombre ne jouait pas en faveur des Alterans. En effet après trois ans de batailles acharnées le constat est plutôt catastrophique. La flotte dirigée par le grand général Hipapheralkus à été décimée en seulement deux ans. Les batailles spatiales aux dessus de la Terre sont alors très impressionnantes. Les puissants croiseurs alterans ne font pas le poids devant une armées cinq fois plus grande. Par ailleurs tous les vaisseaux n’ont pas un eppz avec eux afin de booster la puissance de leurs boucliers et de leur armes. Si bien qu’a l’heure d’aujourd’hui seule une dizaine de vaisseaux boostés aux eppz résistent tant bien que mal…

-Général notre eppz arrive à son entropie maximum, nous ne tiendrons pas longtemps hurla Carlas le second du général d’Hipapheralkus.
Ce dernier qui était aux abords d’un panneau de contrôle, partit en trombe s’installer dans son fauteuil, qui s’illumina dés son contact avec lui.
-Très bien préparez vous à procéder à une manœuvre de descente hurla t-il alors que des étincelles commençaient à apparaître un peut partout. Il se concentra alors fortement et de la apparu devant lui un écran assez imposant qui flottait dans les airs.
De ses mains il était capable de bouger les images et autres cartes qui apparaissaient rapidement. Lorsque quelque chose ne l’intéressait pas, il faisait sortir l’image de l’écran. Hipapheralkus était alors en train d’évaluer le plus rapidement possible, les différents angles de descentes, les plus rapides mais aussi les plus sûr.
-Général ! il faut vraiment y aller cria Carlas en se dirigeant vers un panneau de commande, ou elle évalua rapidement à son tour l’état du bouclier et de la coque.
-Très bien ! on est partit répondit Hipapheralkus en faisant disparaître l’écran de sa vue et en se concentrant de nouveau.

Le gigantesque croiseur ancien pivota doucement avant d’entamer dans un premier tant un douce descente, afin de ne pas endommager davantage la coque qui devait résister jusqu'à leur atterrissage sur l’Atlantide. Il passa alors très près d’un autre croiseur encore engagé dans un rude combat avec trois vaisseaux ennemis.
-Général, nous avons quatre vaisseaux ennemis qui sont sur le point de nous intercepter fit savoir le second Carlas.
-Oui je viens de voir ça répondit le général.
-Je crois qu’il y a le vaisseau d’un de leur généraux principaux rajouta Carlas.
-J’avais remarqué répondit Hipapheralkus d’un petit sourire. Ce dernier avait l’intension de ne pas laisser une telle pourriture s’en sortir.

Le croiseur continua à descendre encore un peu, puis au grand désarroi de l’équipage, le général décida de l’immobiliser.
-Que faites vous demanda Carlas en pianotant de plus belle sur un panneau de contrôle.
-Si jamais nous descendons maintenant, il est certain qu’ils arriveront à nous avoir c’est certain désormais. Et puis l’Eppz va pas tarder à nous lâcher donc nous n’avons pas le choix répondit Hipapheralkus.

A partir de là, un des vaisseaux ennemis s’immobilisa à son tour laissant les trois autres partir à l’assaut du croiseur Alteran. Ce dernier effectua sans prévenir une manœuvre extraordinaire et rapide. Il pivota d’une façon singulière en se couchant sur le côté de façon à se que ça prise à l’air soit mineur, car le vaisseau n’était plus assez haut pour être en dehors de l’atmosphère.
Il se retrouva donc face à face avec les trois vaisseaux ennemis. Hipapheralkus activa alors le puissant blasteur latéral qui ornait tous les croiseurs Alterans. Un puissant faisceau violet en sortit et se dirigea tout droit vers le vaisseau Fléau le plus proche. Bien que d’une puissance sans égal, le rayon s’écrasa contre le bouclier ennemi qui malgré tout semblait avoir été affaiblit par ce tir. Si bien que le général décida de tirer de nouveau sur ce même vaisseau. Le coup partit alors que les deux autres vaisseaux arrivaient à sa hauteur et le bombardait de chaque coté. Le rayon violet traversa cette fois ci le bouclier ennemi et transperça de toute part le vaisseau qui finit au bout de quelques secondes par exploser.

-Général nous avons deux vaisseaux ennemis qui nous tirent dessus latéralement dit Carlas qui ajustait la puissance des boucliers sur les partis latérales.
-Carlas arrêtez tout de suite de transférer plus de puissances aux boucliers latéraux. Au contraire renforcez les aux deux extrémités avant et arrière et maintenant ordonna Hipapheralkus.
-J’espère que vous savez se que vous faites général ajouta Carlas qui était en train de faire se qu’il venait de lui ordonner.
-Oh ! que oui, mais je vous préviens, cela risque de secouer un peu ajouta t-il.
Le croiseur commença une étonnante manœuvre étant donné sa position. En effet alors qu’il se trouvait coincé entre les deux vaisseaux ennemis de taille identique, il commença à pivoter et ce de plus en plus vite. Carlas compris alors pourquoi il lui avait ordonné de transférer de la puissance aux boucliers avant et arrière.
Le croiseur était beaucoup trop long pour se retrouver en angle droit avec les deux autres vaisseaux, de façon à former la lettre H. Si bien qu’il percuta brutalement les deux vaisseaux quasiment en même temps. Les deux vaisseaux fléau résistèrent quelques instants, puis perdirent leur bouclier face à l’impact. Celui qui était situé en face du croiseur Alteran ne vit pas venir le coup, quand un rayon violet vain le percuter de plein fouet. Etant donné qu’aucun bouclier n’était présent pour le freiner, son entière puissance s’abattit sur la coque la transperçant entièrement.
Puis après la destruction de ce deuxième vaisseau, le croiseur revint se placer parallèle à l’autre vaisseau qui n’avait plus de bouclier. Cette fois ci Hipapheralkus déchargea une pluie de plasma sur la carlingue du vaisseau fléau, qui finit par exploser à son tour face à la férocité défensive du vaisseau Alteran. Tous les débris tombaient désormais en direction du sol. Le passage dans l’atmosphère, les rendaient incandescent, se qui donnait l’aspect d’une pluie de météorite.

-Général j’ai le regret de vous annoncer que nous venons à l’instant d’épuiser notre Eppz fit connaître Carlas.
-Bien, il nous reste plus qu’un vaisseau à avoir dit il.
-Je pense que nous avons le temps de descendre dit Carlas en se tournant vers Hipapheralkus.
-Je ne crois, pas, c’est ce qu’ils veulent nous faire croire, ils vont sûrement nous attaquer par derrière. Donc on leur fait face et on gagne, d’accord !
Soudain l’alarme du vaisseau s’activa
-Pas besoin d’attendre général, ils viennent à nous dit Carlas.

Le vaisseau du Fléau qui approchait était différent des autres, il paraissait plus massif et plus puissant de surcroît. Il s’apprêtait à prendre le croiseur Alteran sur son flan comme l’avait fait les deux autres vaisseaux. Mais il n’en eu pas le temps car Hipapheralkus activa sans attendre le blaster latéral, délivrant un tir très puissant qui s’abattit sur le vaisseau fléau qui ne broncha pas. Il décida alors de réitérer cet acte une deuxième fois, mais la encore toujours aucun effet était apparent.
-Général, leur bouclier faiblit, continuez à tirer dit Carlas.
Ainsi une nouvelle gerbe violette partit sur le vaisseau fléau qui crachait depuis peu une multitude de plasmas. Le croiseur Alteran voyait son boulier s’affaiblir rapidement. Des étincelles apparurent de plus belle, le vaisseau commençait à souffrir.
-Le blaster latéral est HS général
-J’ai vu dit Hipapheralkus mécontent.
Les deux vaisseaux étaient désormais parallèles. Lorsque soudain les boucliers du croiseur bien qu’activé laissa passer quelques tirs car plus assez puissant pour tous les contenir. Les dommages provoqués firent perdre de la puissance au moteurs principaux qui stabilisaient le vaisseau. Ce dernier commença alors à piquer dangereusement du nez, toujours suivi par le vaisseau Fléau qui s’acharnait dessus.
-Activez les propulseurs auxiliaires de double sécurités cria Hipapheralkus.
Une horde de scientifiques s’activèrent sur de nombreux postes du vaisseaux à trouver une solution pour stabiliser le vaisseau, qui par miracle s’immobilisa après des kilomètres de chutes libres. Se qui surpris le vaisseau Fléau qui s’immobilisa à son tour en dessous du croiseur Alteran.
Le vaisseau Fléau tira de nouveau vers le croiseur qui perdit alors la totalité de son bouclier.

Hipapheralkus se leva aussitôt en regardant autour de lui. Les panneaux de contrôle explosait, des personnes étaient projetés sur plusieurs mètres. La scène se déroulait au ralenti à ses yeux. Puis il prit conscience qu’ils n’arriveraient pas rentrer chez eux aujourd’hui. Mais pour Hipapheralkus une chose était sûr, c’est que le vaisseau amiral fléau ne rentrerait pas non plus.
Alors qu’il reprenait place sur son fauteuil le croiseur perdit de nouveau sa stabilité.
-Général nous avons un impact direct avec l’Atlantide dit Carlas.
-Tant mieux, ils auront une occasion pour renflouer tranquillement la cité sous l’eau répondit il.
La vitesse du croiseur augmentait, mais cela n’intéressait pas Hipapheralkus qui assis sur son fauteuil se concentra une dernière fois. Des centaines de drones sortirent alors du vaisseau en direction du vaisseau amiral Fléau qui amorçait déjà sa remonté. Les impacts furent alors sans surprises. Le vaisseau n’avait aucune chance face à l’assaut des drones qui ne laissèrent aucune partie intacte de la carlingue ennemis.

Au même moment sur l’Atlantide et plus précisément sur Atlantis.

-Gouverneur Atlas, nous avons un impact de grande envergure sur le bouclier dans vingt secondes dit haut et fort un des contrôleur aérien de la cité.
Atlas s’approcha et reconnu immédiatement sur le panneau de contrôle l’indentification du croiseur du général Hipapheralkus.
-Téléportez les tout de suite sur l’Atlantide cria t-il en se tournant vers des scientifiques.
-Impossible Gouverneur, il y a beaucoup trop d’interférences. Nous sommes désolé finit par dire le scientifique.
Atlas sortit alors sur le balcon et leva la tête en direction du ciel, ou il voyait clairement le vaisseau approcher.
Soudain une lumière et un son puissant se firent entendre au moment de l’impact. Le croiseur se désintégra littéralement sur le bouclier de l’Atlantide. Alors que la lumière faiblissait, une deuxième intonation fit sursauter tout le monde. En effet une grande partie du vaisseau amirale, vain s’écraser à son tour sur le puissant bouclier Alteran.

Atlas rentra alors en trombe dans la salle de contrôle.
-Ok ! c’est le bon moment. Déflecteur inférieur au maximum. Et faites moi exploser l’inertie de l’Atlantide, il nous faut sombrer au fond de l’océan maintenant dit il clairement.
C’est alors que tout le monde s’activa, sachant exactement se qu’ils avaient à faire. L’alarme de la cité se réactiva de plus belle, mais cette fois ci pour prévenir les occupants de l’Atlantide des actions en cours.
A ce moment là, il ne restait plus que deux cités sur l’Atlantide. Toutes les autres avaient décidées de quitter la Terre pour fuir au fléau. Atlas pensait pouvoir les résonner, mais il se rendit vite compte que c’était peine perdue et qu’il était temps de partir.

Ainsi ils augmentèrent de manière exponentielle l’inertie de l’Atlantide, car il était trop dangereux de la laisser à la surface et puis c’était une station fixe, contrairement aux dix citées. L’Atlantide était donc positionnée sur une petite île volcanique qui sous le poids de cette inertie éclata complètement. L’Atlantide se mit alors à sombrer dans une mer qui est bien connue aujourd’hui sous le nom de Méditerranée. La descente ne fut pas très longue, Atlas commençait déjà à préparer le décollage de la cité pour repartir vers Pégase.

-Gouverneur Atlas, nous avons scellé l’Atlantide. Après notre départ la bombe explosera comme prévu. Les débris devrait la recouvrir et la protéger, en la cachant aux yeux de l’ennemis.
-Très bien ne perdons pas de temps dit Atlas en regardant sa femme qui venait d’entrer dans la salle de contrôle.
Atlantis se mit alors à vibrer, puis commença à décoller lentement, légèrement devancé par la cité Vahla-halis. Une fois le bouclier de l’Atlantide traversé, l’explosion eu lieu comme prévu, recouvrant la majestueuse citée. De là, Atlantis prit de plus en plus de vitesse et passa l’atmosphère sans encombrement majeur.
-Gouverneur…
-Oui j’ai vu coupa Atlas qui voyait l’armée Fléau leur faire barrage. Puissance des moteurs au maximum, nous passerons d’une manière ou d’une autre dit il. Dite à Vahla-Halis de nous suivre, de façon à empreinter le même sillon que nous ajouta t-il.
-Très bien gouverneur répondit la jeune femme qui s’occupait de la communication.

La cité prit davantage de vitesse et se dirigeait droit vers un attroupement de vaisseaux fléau qui ne semblaient pas vouloir bouger. Atlas sortit de nouveau sur le balcon pour observer de ses propres yeux la scène.
La majestueuse et imposante cité Atlantis, solide comme un rock, explosa pas moins de onze vaisseaux pour se frayer un chemin à travers ce barrage qui semblait pourtant solide. La seconde cité, n’eue pas besoin de forcer son passage puisque suivi très intelligemment Atlantis.
Après quelques impacts de tirs dérisoires sur leurs boucliers, les deux cités partirent en hyperespace en direction de la Galaxie de Pégase.

De nos jours …

Et bien voilà l’enregistrement dit Liz en éteignant l’hologramme. La suite nous la connaissons tous en se qui concerne les deux cités. En effet Atlantis et bien nous y sommes donc… Et Vahla-Halis, nous l’avons trouvé sur la planète dirigé par un peuple primitif fonctionnement sur le principe de la monarchie…
-Ah ! oui je me souviens intervint Sheppard, c’est la fille qui a essayé de…
-Merci Sheppard ! coupa Weir qui se mit à le fixer méchamment.
-Je voulais savoir, que sont devenu les autres cités ? ou sont elles partis demanda Chuck.
-Oui très bonne question ajouta Weir.
-Et bien pour être franche, nous n’en savons rien. Je pense que des infos pourraient être stockées sur l’Atlantide. Mais là nous ne pouvons rien faire pour le moment.
-En effet c’est à l’ équipe sur place de découvrir ça dit Weir.
-Oh ! je crois que nous pouvons y aller par nous même dit Caldwell à la grande surprise de tout le monde.
-Pardon ! s’exclama Liz.
-Nous partons demain dit Caldwell Ne me demandez pas pourquoi, si ce n’est que je n’est pas confiance en cette Gretchen.
-Je suis d’accord avec Steven ajouta Weir. Nous allons aider Mckay, Jeanie, Vala et Daniel.
-Mais le SGCI à accepté ça ? demanda Liz
-Le SGCI ne contrôle plus rien jeune fille répondit Caldwell en se levant. Nous partirons avec le Sateda qui sera boosté à l’Eppz.
-Sheppard Vous pourrez suivre ? demanda Weir
-Bien sûr ma cheville va beaucoup mieux.
-Très bien répondit elle. Chuck vous venez avec nous, vous aller connaître les joies de l’exploration si ça vous dit proposa Weir.
-Et bien… euh… c’est d’accord répondit il avec une certaine anxiété.

Au bout de quelques minutes, ils sortirent tous de la salle de briefing. Caldwell attendit Weir et s’assura que personne n’était resté ou proche.
-Dr. Weir, je voudrais m’entretenir avec vous sur le vaisseau dit il
-Bien sûr, c’est pour quelle raison demanda t-elle surprise.
-Et bien j’ai quelque chose à vous proposer dit il en souriant et en regardant Weir qui fronça les sourcils…

Chapitre 6 : L’Antre des Alterans

-Qu’est ce qu’il fait lourd ici. Tu penses vraiment que je serais indispensable avec vous ? Marmonna Vala non loin de l’oreille de daniel.
-Vala ça fait que vingt petites minutes que l’on est arrivé, alors ne commence pas, et oui il est fort possible que j’ai besoin de toi. Enfin, non je ne le pense pas vraiment, mais bon je préfère te sentir à coté de moi… question de sécurité dit Daniel en lui souriant.
-Daniel, ne sort pas cette excuse, je sais que tu ne peux pas te passer de moi et tu n’arrives pas à l’avouer. Non mais franchement moi ça me fait rien, mais avoue que tu pourrais…
-Vala ! pourrais tu te taire, j’ai du mal à me concentrer là… ajouta Daniel

Cela faisait donc quelques minutes qu’ils s’étaient téléporter avec une trentaine de militaires dans une immense salle à l’aide des anneaux de transports. La pièce était située à une extrémité de l’infrastructure d’après les capteurs du Titan. Elle contenait par ailleurs de nombreux postes et panneaux de contrôle. Ces derniers ornaient la salle de toutes part, on pouvait presque si perdre.

-Je pense qu’il s’agit tout simplement d’une salle d’embarquement et de réception fit remarquer Jeanie en s’approchant d’une commande.
-Cela ne fait aucun doute rajouta Mckay qui revenait vers elle. Mais pour le moment personne n’a trouvé de quelconques passages pour sortir de la pièce ou entrer dans l’Atlantide.
-Oh ! On finira bien par trouver non ? Rajouta Jeanie en faisant des signes à Vala pour qu’elle vienne. Vala ces écritures ne vous rappel rien ? demanda t-elle, car ce n’est pas de l’ancien je crois.
-Pour être franche cela ne ressemble à rien de se que j’ai pu voir répondit elle en tournant la tête dans tous les sens pour voir si elle connaissait se dialecte.
-Et je dois dire que moi aussi cela ne me rappel rien du tout intervint Daniel qui s’était avancé vers eux.

Jeanie continua de scruter les panneaux de commande. Elle tenta de toucher plusieurs parties d’entre eux, mais rien n’y faisait, rien ne s’activait. Mais c’est alors qu’elle vit une cavité particulière. Sentant que cela pouvait influer sur le mécanisme des panneaux de contrôle, elle s’approcha, laissant son frère et Daniel parler entre eux. Elle fit le tour de cette cavité située en hauteur tenue par une tige fixée au mur. Elle n’osait pas le toucher, et pourtant quelque chose la poussa à le faire. Elle souleva alors le couvercle de protection transparent qui la recouvrait. Elle regarda autour d’elle, et puis finalement quand elle vit que personne n’avait le regard fixé sur elle, elle posa délicatement sa main dessus.
Les panneaux s’activèrent alors tous simultanément, surprenant tous les militaires et scientifiques présents dans la salle. Alors que des scientifiques cherchaient éperdument le moyen de réactiver les panneaux de contrôle, Jeanie y avait réussi malgré elle.
-Comment t’a fait ça ? demanda Mckay qui se plongea à toute vitesse sur les commandes. Si bien qu’en quelques secondes il réussi à réactiver tous les systèmes de la pièce, qui s’éclaira soudainement. Les lumières apparurent que très progressivement, les contours de l’infrastructure se dessinèrent alors plus nettement. Mais à leur grande surprise, bien que les murs étaient de conception Alterans, le plafond quant à lui n’était que roche, avec des lumières disséminées un peu aléatoirement.
-Sympa la déco dit Vala qui scrutait un magnifique hall donnant dans les tons bleues, rendant l’espace assez aquatique. Mais il faut avouer qu’ils auraient pu faire un effort pour fignoler le plafond ajouta t-elle en levant la tête.
-En effet rajouta Daniel en scrutant lui aussi l’espace.

Quant à Jeanie et Mckay, ils passèrent l’heure qui suivit à étudier de plus près la base de donnée. Toutefois ils ne furent pas surpris de ne trouver que très peu d’informations dans cette salle. Et puis le nouveau dialecte découvert, ne facilitait pas les choses, même si il ne le trouvait pas partout dans la base de donnée.
Pendant ce temps les militaires présents établissaient un périmètre de sécurité ou ils établirent aussi un poste de contrôle avancé, en relation direct avec le Titan en orbite autour de la Terre.
Daniel et Vala étaient quant à eux, à la recherche d’indice portant sur une éventuelle sortit ou entrée. Mais rien n’y faisait, ils ne trouvaient absolument rien, et pourtant ils étaient tous deux épaulés par des militaires et des scientifiques compétents.

-Venez là dit Jeanie haut et fort, pour que Daniel, Vala et son frère entendent. Regardez se que j’ai trouvé dit-elle, il n’y a pas que des anneaux de transports dans cette salle rajouta t-elle en tapant sur les touches du panneau de contrôle.
-Qu’a tu trouvés Jeanie demanda Mckay qui se plaça à coté d’elle.
Jeanie ne dit rien pendant quelques secondes, elle tapait sur les commandes à une vitesse assez incroyable. Elle activa donc une commande qui déclencha soudainement une alarme dans la salle. Tout le personnelle fut alors prit de panique se dirigea vers les murs de la salle. Et s’était au bout du compte la meilleur chose à faire, car une fois le centre de la salle libéré de toute vie humaine, une téléportation plutôt massive eu lieu.
-Oh regardez ! dit Vala, une porte des étoiles viens d’apparaître fit elle remarquer ironiquement. Pas besoin de faire tout un tapage ajouta t-elle en se tournant vers les militaires qui s’étaient précipités le long des parois.
-Vala ! dit Daniel en la regardant de travers.
-Ben quoi ? ajouta t-elle en s’approchant de la porte des étoiles. Euh… c’est moi ou la porte des étoiles est rouge ? demanda t-elle en se retournant. Non parce que c’est peut être un effet d’optique, enfin je sais pas. Et puis si ça se trouve c’est peut être un hologramme, ils aiment bien ça aussi ajouta t-elle en allant vérifier la texture de la porte.
Mckay regarda attentivement la porte et se tourna à son tour vers sa sœur.
-Jeanie tu peux voir pourquoi elle est comme ça demanda t-il. Je dois dire que c’est vraiment étrange, on n’a jamais vu nulle part quoique se soit d’identique, même dans la base de donnée d’Atlantis.
-Je suis déjà dessus dit-elle en pianotant à folle allure sur le panneau de commande.
Daniel s’approchât de la porte des étoiles pour l’observer de plus près et plus attentivement. Vala était toujours en train d’en faire le tour en la touchant.
-Elle est pas mal de cette couleur dit-elle, mais bon ça reste une porte des étoiles.
-Pas vraiment Vala, car déjà, c’est une porte numérique comme les portes de Pégase. Donc on peut penser qu’elle à été construite que très tardivement sur l’Atlantide. On sait déjà que ce type de porte fut élaboré sur Atlantis dans la galaxie de Pégase. Donc sa construction doit dater approximativement du retour d’Atlantis ici il y a 11 500 ans.
-Très… tardivement dit Vala en fronçant les sourcils.
-Oui et bien le temps est relatif Vala répondit Daniel.

Soudain les anneaux de transports furent activés amenant avec l’habituel faisceau de lumière plusieurs nouvelles personnes, dont la délicieuse et machiavélique Gretchen qui cette fois-ci avait vêtu d’habilles beaucoup plus sportif. Elle s’approcha alors d’un des chefs militaire de la mission en lui ordonnant quelque chose qui le mit très mal à l’aise apparemment puisqu’il se mit aussitôt à rougir. Puis son regard se tourna et se braqua sur Daniel vers qui elle décida de se diriger.
-Dr Jackson que regardez vous ? demanda t-elle en se dirigeant vers lui et de ce fait vers cette nouvelle porte des étoiles.
-Euh… et bien nous venons de découvrir cette porte des étoiles, qui est singulière par rapport à celles que nous connaissons. Regardez par vous-même.
-Dans qu’elle sens… est elle différente des autres ? demanda t-elle en scrutant l’anneau.
-Eh bien déjà elle est rouge dit Vala en souriant.
-Oh ! Que c’est subtile, mais je veux des réponses précises et intelligentes Vala Mal Doran répondit Gretchen en souriant également, se qui était plutôt rare chez la ravissante femme.
-Disons qu’appart la couleur et le fait qu’elle soit analogique, je ne pourrais pas vous renseigner davantage dit Daniel pour recadrer le dialogue. Par contre Mme Miller pourra sûrement mieux vous aider, elle fait des recherches la dessus.

Sans un mot, elle les quitta pour se diriger vers Jeanie qui trop occupée à analyser les informations de la base de donnée, ne l’avait pas vu arriver.
-Mme Miller avez-vous trouvé quelque chose sur cette étrange porte des étoiles ? demanda Gretchen.
Jeanie se retourna surprise par l’arrivée soudain de Gretchen.
-Oui… madame je crois avoir trouvé répondit elle un peu surprise par son arrivée soudaine derrière elle.
-Ah tu as trouvé Jeanie intervint Mckay.
-Dr. Mckay ! Avons-nous trouvé comment entrée dans l’Atlantide demanda sèchement Gretchen qui bloqua la vue de Mckay en se plaçant devant l’écran sur lequel Jeanie avait affiché des informations sur la porte.
-Euh… pas encore mais je voulais juste…
-Dr. Mckay arrêtez de déblatérer sans arrêt des paroles qui ne font qu’une chose… c’est de me donner mal à la tête. Allez donc trouver comment entrer dans l’Atlantide… et maintenant ! insista t-elle en s’avançant vers lui.
Sans un mot Rodney partit vers un autre poste de contrôle et se mit à pianoter sur le clavier ancien tout en écoutant attentivement d’une oreille se qui allait se dire.
Gretchen se retourna alors vers Jeanie qui n’osa même pas défendre son frère.
-Eh bien Mme Miller qu’alliez vous me dire sur cette porte ? demanda Gretchen.
-Si j’ai bien compris, cette porte est unique en son genre. C’est un concept novateur et précurseur dans le genre. Les anciens ont créer un tout nouveau concept de porte des étoiles.
Daniel vint se mêler alors à la conversation, bien que timidement.
-J’ai également trouvé des infos sur la porte en regardant sur un cartouche situé devant elle. Elle a été installée que très peu de temps avant le départ des dernières citées. Si j’ai bien traduit, la porte est spéciale puisqu’elle semble est transportable partout, mais je ne vois pas pourquoi finit il.
-Oh ! et bien, nos portes traditionnelles peuvent être envoyer dans une autre galaxie et communiquer avec d’autres portes. Seulement il faut sans arrêt la configurer, car elle ne connaît aucune constellation connut répondit Jeanie.
-Je ne comprends pas très bien dit Gretchen en fronçant les sourcils.
-Avez-vous lu le rapport concernant la mission ou SG-1 dû ouvrir de Pégase la super porte Ori ? demanda Jeanie.
-Oui ! j’ai tout lu, alors pas besoin de topo passez à l’essentiel.
-Et bien la porte utilisée de Pégase était une porte de la voie Lactée. Le colonel Carter à mis pas moins de trois semaines pour la configurer ajouta Jeanie.
-Et ? S’impatienta Gretchen.
-Et bien cette porte là, peu importe la galaxie ou elle se trouve, elle est capable de s’adapter automatiquement aux constellations. Elle serait donc pratique dans un vaisseau par exemple dit Jeanie en regardant Gretchen.
-Intéressant tout ça. Dr. Mckay je suppose que vous avez tout écouté alors venez ici appela Gretchen. Mckay avait effectivement tout écouté. Il s’approcha alors timidement, il avait un peu peur du nouveau chef. Je voudrais savoir continua Gretchen, si il ne serait pas plus judicieux de transférer cette porte sur le Titan ? Je sais que c’est peut être prématuré et rapidement réfléchi mais…
-Eh bien justement en écoutant c’est la première chose qui m’est venu à l’esprit, et je crois qu’en effet se serait possible et surtout plus utile dit il en souriant. Et pour ça je préconise de la mettre dans la salle sous le…
-Merci Dr. Mckay ! Bien que je serais heureuse de vous envoyer sur le Titan afin de ne plus vous entendre, mais aussi pour installer la porte, j’ai moi-même le regret de vous apprendre que vous resterez ici. Votre sœur s’occupera parfaitement de ça. SOLDAT ! appela t-elle. Puis se retournant vers Jeanie. Mme Miller ces messieurs vont vous expliquer comment repartir sur le Titan. Je vous demanderais de prévenir Ronon Dex de l’arrivée de cette porte sur le vaisseau.
-Très bien madame répondit elle prise de court par cette décision soudaine.
-Dr. Mckay, Dr. Jackson, au boulot ! ordonna Gretchen qui se dirigeait vers les anneaux de transports.

Cinq heures plus tard…

Gretchen avait pris place dans le Titan, en monopolisant de grands appartements, qui avaient dû être ceux du commandant de bord. Elle était allongée sur le lit, plongée dans ses pensées, à tout se qu’elle avait fait. Pourtant elle arrivait à chaque fois, à se convaincre que tout se qu’elle avait fait était inéluctable et cruciale, et dans son propre intérêt, pour sa propre survie.
Gretchen était une femme tourmentée, malgré les apparences. L’image qu’elle renvoyait ne reflétait pas vraiment son « elle intérieur », mais pourtant elle se persuadait du contraire. C’est pour cette raison, qu’elle était méchante et autoritaire avec les autres. Mais avait t-elle vraiment le choix, après tout c’est elle la nouvelle leader maintenant. C’est elle qui contrôle la nouvelle organisation du projet porte des étoiles.
Elle savait la chance qu’elle avait, car un bon nombre d’hommes puissants s’étaient cassés les dents sur la prise de contrôle d’un tel projet. Et pourtant elle y était parvenue, mais elle était consciente qu’elle n’en était pas l’unique responsable…

Elle se leva alors doucement du lit, posa ses mains sur le bord, puis baissant sa tête, elle mit ensuite ses mains autours de celle-ci. Cela dura dix bonnes minutes, ou Gretchen ne bougea pas d’un centimètre, comme si elle s’efforçait de rechercher, une once d’humanité en elle. Puis soudain, sûr d’elle, elle se releva et alla jusqu'à une sorte d’armoire, qu’elle ouvrit soigneusement afin d’y sortir une valise noir. Elle l’ouvrit rapidement et en sortit un téléphone satellite noir. C’était en effet le seul moyen de communiquer de ce vaisseau discrètement vers l’extérieur. Elle prit le téléphone et composa une longue liste de numéro. Il fallut qu’elle patiente quelques secondes avant d’avoir une tonalité.
Puis quelqu’un décrocha
-« Gretchen ? C’est vous ? » demanda une voix masculine.
-C’est bien moi ! répondit elle.
-« Tout se passe comme prévu ? »
-Oui tout se passe comme on l’avait décidé, toutefois je voudrais vous prévenir que Steven Caldwell, ne baissera pas les bras aussi facilement je…
-« Gretchen ! Laissez nous nous occuper de lui, faites votre boulot, c’est tout se qu’on vous demanda est ce bien clair ? » Ajouta la voix.
-Oui ça l’est répondit elle consterné par le fait qu’il lui est coupée la parole.
-« Oh Gretchen ! il y a quelque chose que vous allez faire pour nous ! C’est très important alors écoutez bien… »
-Très bien… je vous écoute…



Quelques minutes plus tard dans le hall de réception Altéran…

Cela faisait plusieurs heures que Mckay et Daniel recherchaient le moyen de pénétrer dans la cité. Pendant des heures, ils s’appliquèrent à déchiffrer, décoder et essayer des multitudes de lignes de codes, afin de percer les secrets qui entourent cette entrée. Puis enfin une solution leur apparut, lorsque par hasard Vala s’appuya sur un monticule en se plaignant d’un mal de pied atroce.
Ils furent surpris car ils s’attendaient plus ou moins à voir, ou trouver un moyen de téléportation qui les aurait mené dans une autre salle. Mais lorsque Vala s’appuya, les contours d’une gigantesque porte se dessinèrent. Désormais qu’ils l’avaient trouvé, toute l’équipe s’attelait à découvrir le moyen de casser le code d’ouverture.
Pendant ce temps le contingent militaire occupait le terrain, et cherchait par ci par là le moyen de s’occuper un peu, en trifouillant notamment les consoles Alterannes. Mais à défaut de faire semblant de travailler ou d’être occuper, leur chef militaire, le colonel Wilson haussa le ton, et leur donna des tâches, pas spécialement reluisantes à faire.
Ce dernier partit alors en direction de Mckay et de Daniel, toujours en train de s’acharner sur un panneau de commande.
-Messieurs ! Est-ce que vos recherches avancent ? demanda t-il.
-Oui oui ! répondit rapidement Mckay qui ne prit même pas le temps de se retourner.
-Disons que se serait dans votre intérêt, vous ne voudriez pas devenir enseignant dans une université je suppose ? ajouta Wilson qui semblait avoir une haute idée de lui-même.
-Je vous demande pardon ? s’exclama Rodney. Vous savez, vos menaces de militaires ne me font pas peur, je commence à avoir l’habitude vous savez. Alors se n’est pas un homme comme vous qui… Rodney n’eut pas le temps de finir que le colonel Wilson le prit par le col. Daniel situé à côté intervint.
-Messieurs je vous en prit arrêtez dit il en s’approchant du colonel, qui le rejeta aussitôt en arrière de sa main gauche. Daniel trébucha alors sur un sac, si bien qu’il se retrouva par terre. Wilson se mit à fixer Rodney dans les yeux, se qui était effrayant.
-Dr. Mckay, il va falloir vous bouger un peu plus. Avec cette femme derrière notre dos, il va falloir être vigilant. Donc je vais vous dire une chose. Vous avez tout intérêt à suivre mes ordres, car dans le cas contraire vous…
Wilson n’eu pas le temps de finir sa phrase. Il ressentit alors une violente douleur au niveau de son dos. Puis une main saisi son bras avec force, si bien qu’il dû lâcher prise relâchant ainsi Mckay afin de se libérer de toutes contraintes pour faire face à son adversaire. Il se retourna rapidement, mais pas assez. Il eu juste le temps de reconnaître cette femme dont il parlait. Gretchen prit donc le bras du colonel Wilson et le fit passer par-dessus son épaule. Lors de sa retombé un bruit sourd raisonna dans la salle faisant taire tout le monde.
Le colonel Wilson était à terre dos au sol, mais Gretchen exécuta une nouvelle prise qui le mit ventre au sol. Elle tenait toujours un de ses bras, qui de part sa mauvaise posture faisait incroyablement souffrir le colonel.
-Et bien colonel, cela vous arrive souvent de maltraiter gratuitement des scientifiques.
-Il ne travaillait pas suffisa… aaah ! Beugla t-il sous la douleur lorsque Gretchen tordit davantage son bras.
-Il y a une chose que vous n’avez pas compris monsieur muscle, c’est que vous soyez colonel ou autres, le chef ici c’est moi. Si ils ne travaillaient pas assez vite, c’était à moi de leur dire, pas à vous, est ce bien claire.
-Mme Smith, je ne crois pas m’être fait comprendre commença Wilson, mais il n’eu malheureusement pour lui pas eu le temps de finir. Il venait de défier une fois de trop l’autorité de Gretchen qui dans un dernier effort tordit d’un coup sec son bras qui se brisa sous la pression. Un hurlement retentit soudainement, la douleur fut insupportable, mais Gretchen pensait ne pas avoir eu le choix.
En effet elle trouvait louche. Faisait-il partit d’une organisation secrète comme elle ? Elle y croyait fortement, et c’est pourquoi elle ne préféra pas prendre de risque. En lui cassant le bras, elle se débarrassait de lui et peut être aussi d’un espion.

-Soldat ! Appela t-elle. Veuillez amener le colonel Wilson à l’infirmerie sur le vaisseau et renvoyez le vite sur Terre ordonna Gretchen. Puis une fois que deux soldats vinrent chercher Wilson, elle se retourna vers Daniel et Mckay qui s’étaient remit au travail. Alors ou en êtes vous demanda t-elle.
-On y est presque madame répondit Mckay, j’ai plus qu’a cracker ce dernier mot de passe, j’en est pour deux minutes maximum ajouta t-il en tapant à folle allure sur le clavier Alteran. Puis soudain du coté de la porte des bruits assez important se firent entendre, comme si on déverrouillait la porte de l’autre côté.

Gretchen s’avança vers la porte suivit de Daniel, Mckay ainsi que Vala qui était resté un peu à l’écart de Gretchen. L’imposante porte sembla bouger in tantinet, un peu de poussière tomba et le hall se mit à vibrer. Gretchen tourna rapidement la tête vers Rodney.
-Est-ce normal que se soit aussi long demanda t-elle.
-Et bien je n’en sais absolument rien, pourtant la porte est en train de s’ouvrir. En même temps j’ai casser plusieurs codes d’ouvertures, donc était-ce un code pour une verrou ?
-En effet cela expliquerait le lapse de temps ajouta Gretchen. Puis soudain la porte bougea légèrement de quelques centimètres, moins d’un en tout cas. C’est alors qu’un jet d’eau en sortit, arrosant plusieurs soldats situés tout près. Gretchen regarda attentivement la porte et vit que le jet d’eau ne dépassait pas les un mètre cinquante de haut environ, mais la pression restait importante, montrant que derrière la porte il y stagnait une grande quantité d’eau.
-Oh merde dit-elle tout fort en se tournant vers tout le monde. Accrochez vous à se que vous pouvez hurla t-elle.
La porte massive s’ouvrit alors instantanément, laissant des centaines de litres d’eau salées de déverser dans la pièce, emportant tout le monde, les plaquants contre les parois avec une violence assez inouïe et spectaculaire. Certes la hauteur d’eau n’était pas excessive, mais la pression quant à elle était phénoménale. L’eau ne mit que quelques secondes pour pénétrer, et s’installer dans le hall en éjectant tous les occupants sans exception. Puis le silence revenu, plus un bruit n’était perceptible, un silence de mort régnait et par endroit à l’eau se mêlait des plaques rouges, c’était du sang…


Puis après quelques minutes de silence, tout le monde commença à se relever. Certain soldats étaient couvert de sang s’étant ouvert la tête ou les bras contre les consoles. Gretchen se releva aussitôt et aida Vala qui était juste à coté.
- Eh bien je ne pensais pas que cette porte s’ouvrirait comme ça dit Gretchen en réajustant sa couette. Désormais je crois bien que nous touchons au but, l’Atlantide s’ouvre à nous.
-J’en n’en suis pas encore certain ajouta Mckay qui venait de les rejoindre. Le fait est, que nous venons de nous prendre des milliers de litres d’eau en pleine face.
-Perspicace Mckay dit Gretchen.
-Le fait est Gretchen intervint Daniel en la regardant méchamment, que les capteurs du Titan nous ont bien montré que le bouclier de la cité était toujours levé. Or comment pourrait il y avoir de l’eau ici dans ce cas là ?
-Vous voulez dire que nous ne sommes pas encore dans l’Atlantide, mais que cette porte pourrait nous y mener ? demanda Gretchen.
-En effet répondit Daniel, mais maintenant je me demande bien se que nous allons trouver ?
-Et bien il n’y a pas cinquante façons de le savoir dit Gretchen en se raclant la Gorge. S’il vous plait je voudrais votre attention dit elle en avançant difficilement à cause de l’eau vers le centre de la salle. Je voudrais que tout le monde soit près dans cinq minutes, nous partons illico par cette porte.
Vous là bas dit elle en montrant un soldat du doigt. Prévenez le Titan que nous entrons dans cette saleté ambulante.
Quant à vous trois et moi-même nous allons entrer les premiers si cela ne vous pose aucun problème.
-Et bien vous savez la dernière fois que je suis entré dans des grottes anciennes… tenta d’expliquer Vala
-Très bien je vois que vous êtes d’accord coupa Gretchen. Alors on est partit ajouta t-elle. Dr. Mckay, je vous en pris passé devant dit Gretchen en le laissant passer devant elle.
C’est ainsi qu’ils entrèrent dans l’antre des Altérans, suivie par une vingtaine de militaires…

Chapitre 7 : Le Traître

Il y a huit ans…

Il faisait sombre ce soir là. La lune qui pourtant aurait dû éclairer le terrain, était cachée par de très épais nuage, qui semblaient sans fin, et qui étaient responsable d’une pluie battante impressionnante. Mais ces trombes d’eau n’étaient pas surprenantes sur cette partie du globe. Si près de l’équateur, le climat n’offrait actuellement aucun répit. Les éclairs traversaient le ciel, tel un phare en pleine nuit. Le peu de lumière produite était alors la bienvenue.
Ici les lampes n’étaient pas les bienvenues, il fallait rester les plus discret possibles, sans ça, les rebelles les auraient déjà repéré. Ils avançaient discrètement dans une grande forêt au beau milieu de la Colombie. Les soldats piétinaient dans une boue qui leur arrivait désormais jusqu’au genoux. Les conditions étaient épouvantables pour réussir une telle mission, mais ils n’avaient pas le choix.
Les soldats avançaient lentement évitant tout faux pas qui aurait pu les faire détecter. Le chef du groupe était devant, il venait à l’instant d’ordonner l’arrêt des troupes, il venait d’entendre des bruits suspects. Il s’avança donc, en faisant attention à chacun de ses pas, de ne pas éveiller l’attention de l’ennemis. Puis s’arrêtant net de nouveau, il fit signe à ses troupes de continuer leur avancé dans une jungle monstrueusement épaisse et ou par conséquent il était difficile d’avancer sans aucun bruits. Puis après de longues minutes de marches, de la lumière apparue, puis enfin de grands bâtiments se dessinèrent. Le chef ordonna alors à ses hommes de se déployer avec tout l’attirail qu’il portait afin de mener un assaut direct contre ces gigantesques infrastructures.
Le chef de l’équipe n’était autre que Gretchen Smith, une des meilleurs dans son domaine, diront nous. Ce corps militairement armée, ne faisait pas parti de l’armée, mais d’une organisation secrète économiquement très puissante. Leur but ce soir… même Gretchen n’en savait pas plus que nous. La seule chose dont elle savait, c’est qu’il fallait coûte que coûte libérer un homme de plus haute importance pour le COS, l’organisation dont elle faisait parti.

Après avoir parlementer longuement avec son second, elle définit une stratégie d’attaque. Elle se devait d’être rapide et dans un premier temps discrète. Il était en effet indispensable que l’homme soit récupéré vivant, c’était du moins les ordres formels qu’elles avait reçu.
-Nous sommes près Gretchen, nous pouvons commencer l’assaut, dit Marks, son second.
-Très bien, dit elle en prenant une de ses radios avec elle. Elle ordonna alors par l’intermédiaire de cette dernière de débuter le sauvetage de l’homme enfermé à l’intérieur.
L’équipe s’approcha alors des grillages qui entouraient les infrastructures. D’autres pendant ce temps, utilisaient une étrange technologie pour brouiller tous les systèmes de surveillances extérieurs.
Pour le moment l’opération se déroulait sans accroche, Gretchen trouvait ça parfait.

Puis soudain des bruits d’avions se firent entendrent. Cette fois ci c’était sûr, ils se rapprochaient selon Gretchen. Ils passèrent au-dessus des bâtiments ou une puissante alarme se mit à retentir. Gretchen leva alors les yeux et vit, en plus de gros avions de chasse de l’armée des USA des parachutistes, qui encore à quelques kilomètres d’altitudes, allaient bientôt arriver.
-Gretchen vous avez vu ça, cria Marks.
-Oui j’ai vu, dit Gretchen en se dirigeant vers un des trous dans le grillage qui venait d’être terminé à l’instant. Elle fut rejointe par plusieurs autres membres du groupe armé.
-C’est quoi se bordel ici, dit Marks qui voyait des dizaines de parachutistes arriver.
Gretchen se dirigea ver un des membres et prit l’arme qu’il tenait sur son dos.
-Vous voulez avoir se qui se passe ? Et bien nous ne sommes pas seule sur le coup, dit elle en levant le bazooka et en tirant sur la porte principale provoquant une puissante explosion. Maintenant dépêchons nous et tirez sur toutes les cibles, surtout sur les militaires qui arrivent, ajouta t-elle.

L’expédition se rua à travers la porte détruite. Mais au passage, ils durent traverser un no man’s land. Ils se mirent alors à tirer dans tous les sens pour se couvrir alors que les parachutistes venaient d’atterrir. Ils entrèrent dans le bâtiment et tuèrent au passage plusieurs gardes. Gretchen sortit alors de sa poche un objet plutôt étrange, ou clignotait plusieurs points.
-Il est ici, dit elle sèchement. Bouger votre cul, on ne va pas camper ici.
Ils arrivèrent alors à une porte blinder. C’était le seul accès visible, pour Gretchen, il était impossible de le contourner sans prendre plus de risque, mais aussi sans perdre de temps. Elle s’approcha donc de la porte et posa plusieurs blocs de C4 avant de partir se cacher. Elle activa alors le détonateur une fois que ses hommes furent assez éloignés.

Les membres et elle-même entrèrent alors dans la pièce, en achevant tous les hommes qui furent assommés par l’explosion qu’ils n’avaient pas prévu.
-C’est encore loin demanda Marks qui ne comprenait pas trop à quoi correspondait tous ces points, sur la babiole de Gretchen.
-Un peu, répondit Gretchen qui les fit alors tourner vers la gauche. Puis tout en avançant elle leva son arme prête à tirer. Mais Marks ne comprenait pas pourquoi, puisqu’il n’y avait personne en face. Puis soudain un homme sortit d’un couloir sans prévenir, Gretchen tira avant même que l’homme est eu le temps de réfléchir. Sans marquer un temps d’arrêt, elle continua son chemin en accélérant son allure.
Tout à coup des explosions se firent entendre, les murs se mirent à trembler.
-Il semblerait qu’ils aient emprunté une nouvelle entrée, dit Gretchen en levant la tête.
-Vous voulez parler des militaires ? demanda Marks.
-Non du Pape, répondit Gretchen en regardant méchamment son second, qu’elle trouvait parfois simplet.
Puis au bout de quelques longues minutes, ils atteignirent de nouveau une porte. Mais cette fois ci, il s’agissait d’un ascenseur.
-Ouvrez moi ces portes, ordonna Gretchen.
Les soldats s’exécutèrent alors sans bavasser une seconde.
-Très bien on va pouvoir y aller, dit elle en regardant à travers l’ouverture.
L’ascenseur était situé à l’étage en dessous. Le but étant de descendre le plus bas possible, puisque c’est dans les niveaux les plus bad que se situait l’otage.

Puis soudain une voix puissante s’éleva à quelques dizaines de mètres de leur position. Les portes de l’ascenseur se situaient au bout d’un couloir long d’une soixantaine de mètres. Au bout plusieurs hommes, plusieurs militaires étaient debout et fixaient le groupe de Gretchen au nombre de dix. Le reste de son équipe était resté dehors pour la réception de l’homme.
-Gretchen ! C’est bien vous ? Appela une voix derrière elle.
-En effet… Que me veut on ? demanda t-elle ironiquement puisqu’elle connaissait la réponse.
C’est alors qu’un homme muni d’un lance roquette apparue du côté des militaires.
-Eh bien Gretchen, il est à nous, que vous le vouliez ou non dit le militaire en s’avançant et en se dévoilant.
-Tient tient ! Mais qui vois-je ? Le Major Caldwell dit Gretchen en souriant. Je crois que j’aurais mieux fait de vous tuer la dernière fois que l’on s’est rencontré, ajouta t-elle.
-Gretchen ne soyez pas aussi mesquine, vous savez aussi bien que moi que vous n’auriez jamais réussi à vous en sortir si vous m’aviez tué, répondit Caldwell. Mais en attendant, j’ai bien peur que vous ne soyez pas dans une très bonne position.
-Voilà votre défaut Steven, vous êtes arrogant et trop sûr de vous. Ne sous estimez jamais une femme qui n’a rien à perdre.
Caldwell la fixa un moment et s’apprêtait à répliquer. Mais Gretchen sortit alors son arme et lui tira dessus. La balle traversa alors l’épaule de Caldwell qui fut éjecté en arrière. Le porteur dû lance roquette posa un genou à terre et tira dans la direction du groupe de Gretchen.
Cette dernière au moment même où elle tira sur Caldwell, se retournât en direction de la cage d’ascenseur. Elle sauta alors, retombant un étage plus bas sur le toit de l’ascenseur. Elle releva son arme et tira sur le plus gros câble, qui lâcha aussitôt son emprise sur l’ascenseur qui commença ça chute.
Au moment même ou le câble se brisa, une forte explosion eu lieu dans le couloir. Le feu s’engouffra dans la cage de l’ascenseur, mais Gretchen était déjà trop basse pour être atteinte. Toutefois elle reçu quelques débris de l’explosion qu’elle tenta d’éviter sans toujours grands succès. Parmi ces débris elle pouvait voir des mains et des jambes arrachées et qui appartenaient aux membres de son équipe. Le plus horrible fut lorsqu’une grosse moitié de la tête de son second tomba à ses pieds. Mais elle n’en fut pas toute retournée, car elle avait connu pire que ça…

Par chance, les freins de sécurités s’activèrent quasiment à la dernière seconde si l’on peut dire. L’ascenseur se trouvait au dernier étage inférieur. Elle ouvrit alors un passage pour rentrer à l’intérieur avant d’ouvrir presque à main nu les portes.
Elle se retrouva alors dans un nouveau couloir, ou elle avançait prestement. Son visage était couvert de sang, et elle ne comptait plus les écorchures sur ses jambes. Mais il fallait qu’elle réussisse cette mission.
Elle continua à accélérer le pas, elle savait que Caldwell ne tarderait pas. Soudain elle sortit son arme, prit le premier couloir à gauche puis le troisième à droite. Elle sortit de ses poches le détecteur et s’aperçu qu’elle s’était trompé de couloir. Elle fit alors demi-tour et entra dans une nouvelle pièce. Sauf que cette fois ci trois gardes pointaient une arme vers elle.
-Eh ! Merde ! J’ai vraiment pas le temps là, dit elle tout fort, alors que les gardes lui demandaient de lâcher son arme en espagnol. C’est d’ailleurs chose qu’elle fit au plus vite.
Puis profitant de l’inattention d’un des gardes, elle lui prit son arme tirant vers l’autre garde le plus proche. Quant au troisième, il se mit à tirer sur elle, mais elle prit le garde qu’elle avait désarmé pour se protéger des projectiles. Pour en finir avec son dernier adversaire, elle balança le garde mort qui lui avait servit de bouclier sur le garde restant qui surpris, trébucha et perdit son arme.
Gretchen s’approcha alors du grade doucement, et en se baissant pour reprendre son arme. Elle se dirigea vers le garde, le regarda dans les yeux et pointa son arme vers sa tête.
-S’il vous plait… moi avoir deux enfants, ne tuez pas moi, supplia maladroitement le garde colombien en regardant Gretchen.
-Oui, bien moi en avoir rien à foutre, dit elle en lui tirant froidement une balle dans la tête.

Elle s’approchât alors d’une nouvelle porte située dans cette même pièce. Pour la déverrouiller, elle dûe tourner à plusieurs reprises une sorte de roue, comme une porte étanche sur un bateau.
De l’autre coté, une pièce plutôt coquette se dessina, avec en son centre un homme attaché sur une chaise. Il était bâillonné et on lui avait caché la vue. Gretchen prit soin de refermer et de coincer la porte de l’intérieur. Puis elle s’approcha de l’homme.
-Enfin vous voilà ! Je vous passerais les détails croustillants du mal que l’on a eus à vous localiser et vous chercher. Je dois dire que j’ai une envie folle de vous laisser attacher ici, mais malheureusement pour moi, je dois vous sauver. Le chef semble vous porter grand intérêt et cela m’intrigue. Mais en attendant on va devoir trouver un moyen de s’échapper d’ici, ajouta t-elle en libérant le détenu de ses liens.
Une fois détaché, ce dernier enleva le bâillon de sa bouche et se découvrit les yeux en détachant le nœuds derrière sa tête.
-Et bien merci ! dit l’homme en insistant méchamment. Je suis désolé que tout ceci soit arrivé mais je…
-Quoi ! Vous êtes désolé ? dit Gretchen en se rapprochant et en serrant une de ses mains autour de son cou. Vous êtes désolé ? répéta t-elle. Dix de mes hommes sont morts pour vous aujourd’hui et vous n’êtes que désolé ? Vous n’été qu’une enflure ajouta t-elle en lâchant prise.
-Je vous rappellerais que le chef me veut vivant, donc Gretchen ne refaite plus ça répondit l’homme en lui balançant un coup de poing dans le ventre. Vous avez beau être une femme, vous restez toujours Gretchen… celle qui…
L’homme n’eut pas le temps de finir sa phrase que Gretchen lui rendit un coup de point, mais cette fois ci au visage.
-Whoua ! Tu as une sacrée droite Gretchen, ta pas changé, dit l’homme en se retournant vers elle.
-Je dois dire que tu es toujours aussi doux avec les femmes… John Sheppard.




-Eh bien tu me connais, toujours charmeur…
-Et tueur avant tout, coupa Gretchen. Maintenant que je t’ai retrouvé, il va falloir te faire sortir d’ici, et ça, ce n’est pas gagné.
Soudain une explosion ébranla l’infrastructure. Gretchen et John durent se tenir à quelque chose pour ne pas tomber. La surprise était totale, pendant quelques instants à bavasser, leur situation c’était complètement évaporé de leurs esprits.
-Alors Gretchen ! Une idée ? Car là j’ai l’impression qu’il y a tes petits copains qui arrivent.
-La ferme Sheppard, j’ai vraiment pas besoin de sarcasme. Si tu veux sauver ton petit cul aide moi un peu, dit elle sévèrement.
-Bien, ce n’est pas compliqué, là bas regardez ! Il y a une sortie, dit John en pointant son doigt vers une grille.
Gretchen s’empressa alors de l’enlever. Le passage était situé en bas de la pièce, derrière une table, et donc à peine visible.
-Je vois que tu as bien étudié la pièce John. Bon et bien on est parti, ajouta t-elle.
-Désolé je dois rester ici Gretchen.
-Quoi ! s’exclama t-elle en se retournant. Je te rappel que ma mission était de te délivrer. Alors ne me fait pas un sale coup maintenant.
-As-tu un téléphone sécurisé ? demanda Sheppard en la regardant.
-Bien sûr ! Mais tu crois vraiment que c’est le bon moment ?
-Et bien, je dois te dire que ta mission, n’était pas de me libérer, ça les militaires dehors vont s’en charger. En revanche, il me fallait absolument un téléphone sécurisé, et ce avant que l’armée américaine vienne me chercher, dit il en tapant sur le téléphone que Gretchen venait de lui passer. Puis il lui fit signe de se taire.
-« Sheppard c’est vous ? » demanda une voix au téléphone.
-Oui c’est bien moi, Gretchen ma donner son portable. Dois-je lancer le programme caucus ? demanda Sheppard.
-« Allez y Sheppard, désormais c’est le seul moyen pour infiltrer le programme porte des étoiles à son maximum »
-Très bien c’est comme si c’était fait, dit il en raccrochant. Puis il se retourna vers Gretchen. Part tout de suite avant qu’ils n’arrivent.
-Quoi ! Mais c’est quoi ce merdier ? demanda t-elle outré par ce changement de plan soudain.
-Je ne peux rien te dire, mais ça tu le sais. Prend ton téléphone et casse toi maintenant si tu veux vivre.
-Mais les militaires…
-Je vais m’occuper d’eux Gretchen, ne t’inquiète pas. Et puis je crois que le chef va tout t’expliquer quand tu seras rentré, il compte te faire entrer dans ce programme, car il va y avoir pas mal de boulot crois moi. Donc je m’occupe de Caldwell et de ces hommes et toi tu quittes le pays sur le champ. Allez oust !

Soudain la porte trembla. Les militaires de l’autre côté tentaient déjà de la défoncer.
Sheppard s’assis alors sur une chaise et demanda à Gretchen de l’attacher le plus solidement possible.
-Aller beauté, passe par cette ouverture, elle te conduira à l’air libre, dit Sheppard alors qu’elle finissait de l’attacher.
-Très bien ! Bon courage, et revient vite, car j’aimerais pas que ma mission se soit réalisé pour rien, dit elle en le regardant méchamment avant de partir en trombe par l’ouverture.

Au bout de quelques minutes, la porte céda permettant à une dizaine de militaires de rentrer. Caldwell entra également et ordonna à ses hommes de fouiller la pièce, à la recherche de Gretchen. Il était persuadé qu’elle avait survécu au tir de roquette étant donné qu’il y avait trois cadavres juste devant la pièce.
Caldwell s’approcha alors de Sheppard et le détacha rapidement.
-Capitaine Sheppard vous allez bien ? demanda t-il
-M’en parlez pas Major, j’ai bien crut que cette folle allait me tuer. Mais ne vous inquiétez pas, je suis presque sûr qu’ils sont tombés dans le panneau. Je vous expliquerais tout en détail lorsque nous serons sorti de là dit Sheppard…


De nos jours…

Le puissant croiseur Sateda filait à toute allure dans l’hyperespace. Par ailleurs il était boosté à l’eppz ce qui augmentait de façon exponentielle sa vitesse. Caldwell avait organisé se départ précipité car il sentait au fond de lui que quelque chose se tramait.
Cela faisait cinq heures que le vaisseau avait quitté discrètement la cité d’Atlantis. Personne sur Terre n’était au courant de cette manipulation étrange de la part de Caldwell. Weir était assez méfiante, car elle ne savait pas trop quoi en penser pour le moment. Elle devait d’ailleurs s’entretenir avec Caldwell.
-Dr. Weir je vous en prit entrez, dit Steven en se levant de sa chaise. Il s’était confortablement installé dans les quartiers du commandant. Weir s’exécuta et s’assis sur un fauteuil face à lui.
-Steven, je dois vous dire que j’ai tout de même contacté la Terre avant mon départ. Et à ma plus grande surprise, il s’est passé quelque chose de vraiment étrange.
-C'est-à-dire ? demanda Caldwell en fronçant les sourcils.
-Et bien lorsque j’ai dit à Woolsey que nous partions discrètement pour la Terre pour superviser si on peut dire les recherches sur l’Atlantide. Il m’a dit de rester très discrète et d’écouter se que vous aviez à me dire. Et chose encore plus étrange, Woolsey s’est directement proposé pour me suppléer sur la cité, alors même que je n’avais pas mentionné mon propre départ vers la Terre avec vous. Et je dois dire que vous Steven avec tout ce qui ce passe, vous m’inquiétez. Surtout que peu de temps avant votre téléportation sur le Sateda, vous m’avez fait comprendre, que vous aviez une proposition à me faire… donc je vous écoute Steven.
-Et bien je dois dire, que je ne suis pas surpris que vous soyez perdu dr. Weir, mais je ne pourrais vous dévoiler la suite qu’a certaines conditions dit Caldwell.
Weir croisa les jambes et fronça les sourcils, pour mieux écouter les futurs propos de Steven.
-Je ne vous explique pas de nouveau le rôle de Gretchen et le fait qu’elle fasse parti d’une société économique très puissante, ce ne sera pas le sujet. Le fait est dr. Weir que tout ce qui va être dit devra rester confidentiel, dit il en se levant de son bureau.
-Bien, allez y je vous écoute Steven, répondit Weir.
-Moi et une grande partie du SGIC, faisons parti aussi d’une grande société économique, mais cette fois ci très associée au Pentagone. Notre but est justement de contrer toute l’influence qu’on ces autres sociétés économiques, et ce dans le monde, et je dois dire que ce n’est pas de tout repos. Dans notre cas les choses se compliquent car Gretchen a réussi un grand coup en prenant le contrôle d’une partie du SGCI. Elle contrôle ainsi la mission Atlantide et par conséquent elle contrôlera aussi toutes les technologies qui seront découvertes. La seule chose sur laquelle elle n’a pas la main mise, c’est Atlantis, c’est pourquoi Woolsey s’est proclamé illico chef de l’expédition. Il fait aussi partit de notre société, c’est pourquoi il a prit le contrôle de la cité, un autre aurait très bien pu la prendre c’est certain, mais au risque que ce soit un ennemis.
-Wooh ! C’est quand même insensé votre truc… dit Weir qui n’était pas habitué à ce genre de complot. Mais alors que compté vous faire ? demanda t-elle.
-Et bien le fait est que cette fois ci, ils nous attaquent de front, et pour le moment il mène la barque. C’est pourquoi il nous faut contre attaquer, mais cette fois ci par surprise. Mais il nous faut de l’aide cette fois ci. Et c’est en ça que ma proposition va intervenir. Dr. Weir, nous aurions besoin de votre aide. Si vous êtes d’accord, dès notre arrivée nous serons téléporté au Pentagone pour vous briefer sur les démarches à suivre.
-Et dans le cas contraire ? demanda Weir
Caldwell ne répondit rien, il se contenta de lever les épaules. Weir compris alors qu’elle n’avait pas vraiment le choix, mais au fond d’elle, elle savait qu’elle devait le faire. Le programme porte des étoiles était en danger et surtout le monde l’était. En effet si la société se mettait à vendre les nouvelles technologies, des pays pourraient en profiter pour prendre l’avantage militairement sur d’autres. Il fallait donc agir au plus vite, et ça elle en était consciente.
-Quelle est votre réponse dr. Weir ? demanda Caldwell en se rasseyant dans son fauteuil.
-Très bien je suis partante, répondit elle froidement.
-Super, je suis content que quelqu’un d’aussi compétente que vous intègre notre société. Et puis sachez que vous n’êtes pas seules dr. Weir, il y aura beaucoup de monde derrière vous. Mais sachez aussi que vous aurez de grandes batailles à mener ! Et je pense que vous savez de qui je veux parler ? Mais là vous êtes la plus compétente pour l’affronter.
-Si j’ai bien compris vous parlez de Gretchen dit elle en fronçant les sourcils.
-C’est bien ça répondit Steven.
-Très bien, je n’aurais donc pas à retenir mes coups alors…