Le retour d'un faux dieu

Youplaaa!

Me revoilà avec une fic (comment? qui a dit que ça faisait longtemps?) et celle là elle est finie (quoi? qui a dit que je ne les finissait pas d'habitude ^^).

donc voila c'est une fic faite pour le concours 14 sur world of art. consignes : titre de la fic imposé (j'ai choisi "Le retour d'un faux dieu"), la fic ne peut pas dépasser 5 pages world écrite en arial 12. le reste est libre

enjoy




Le retour d’un faux dieu


La planète était complètement dévastée : les villes n’étaient plus que ruines et flammes, les cadavres jonchaient les rues. De l’ancien palais royal s’élevait une plainte. Celle-ci se transforma en rugissement lorsque l’homme qui gisait à terre, sous une pile de gravats, s’extirpa de sa position. Se relevant, il regarda le désastre autour de lui. D’abord hébété, son regard se transforma en rage. Ceux qui lui avait fait ça allait devoir payer d’une manière ou d’un autre ! C’est d’un pas décidé qu’il se mit en route vers le gigantesque anneau en métal qui se dressait sur la lointaine plaine de Kala’a.

La jeune servante ouvrit la porte et regarda si son maître montrait les signes d’un proche réveil. Le voyant remuer, elle se précipita en cuisine pour ordonner que l’on confectionne le déjeuner. Après cela, elle se faufila dans la penderie de la chambre de son maître et choisit les vêtements qu’il porterait aujourd’hui. Elle se décida pour une mini-jupe, un petit haut et le chapeau de plume que son maître affectionnait tant. L’entendant rugir, elle se hâta de lui apporter ses effets tandis que d’autre servantes entraient avec le repas.
Après son petit déjeuner, Lord Zipacna se dit qu’il irait bien faire un petit tour dans la forêt. Il aimait tant écouter les petits oiseaux chanter ! Sortant du palais, il enjoignit aux gardes de ne pas le suivre : Il n’avait pas besoin d’une escorte pour aller se promener. De toute manière, qui oserait s’attaquer à un dieu ? Au gré de ses envies, il suivit les sentiers de la forêt. Il arriva dans une petite clairière. S’abreuvant au ruisseau, il décida de faire un petit somme. Bercé par le bruit de la petite cascade et par le chant des oiseaux, il s’assoupit rapidement. Il fut réveillé par le bruit d’une lance jaffa qui s’armait. Ouvrant les yeux, il vit un paysan qui braquait sa lance sous son nez. Celui-ci n’avait, manifestement, pas des intentions bienveillantes envers le dieu. Relevant sa capuche et laissant ainsi apparaître son visage, le paysan avança son pouce vers la gâchette de la lance.
- Non ! Ce n’est pas possible ! Tu es mort ! Tu n’as pas pu survivre aux bombardements s’écria Zipacna, terrorisé.
- Et pourtant j’ai survécu, répondit le paysan avec une voix qui faisait froid dans le dos. Maintenant tu vas payer le prix de ce que tu m’as fait.
- Nooooooooooooooooooooooon
Le cri de Zipacna se perdit dans la forêt et dans le bruit que fit la lance en lui explosant le visage.

Seth était heureux. Depuis des semaines la mousson avait fait son apparition sur Jek’ba. Seth adorait la mousson. Après tout n’était-il pas le dieu du tonnerre, des tempêtes et du temps nuageux ? De plus, lorsque la mousson apparaissait, tous ses sujets devenaient encore plus gentils et plus prévenants. Tous pensaient qu’ils avaient contrarié leur maître et que celui-ci les punissait en leur faisant tomber des torrents d’eau sur la tête. Les loyaux sujets du dieu Seth se terraient chez eux en attendant que la colère de leur maître s’apaise.
Seth décida de descendre à la mine voir si les ouvriers produisaient les quotas de naquahda nécessaire à la construction de son nouveau vaisseau. Bien à l’abri dans son palanquin, il réfléchissait à ses petits problèmes d’intendance. Depuis la mystérieuse mort de Zipacna, il était devenu un des goa’ulds les plus forts. Bien sûr l’armée d’Apophis ou de Yu le dépassaient de loin mais la disparition de Zipacna avait été une aubaine.
Tout à ses pensées, il ne vit pas arriver les deux jaffas escortant un paysan miteux vers le palais. Il fut sortit de ses pensées par l’attaque surprise que les trois compères lancèrent. En moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire, ses cinq jaffas furent neutralisé et il fut placé sous la menace de deux lances. Rassuré par l’efficacité de son bouclier protecteur, Seth n’avait pas l’intention de se laisser faire. Du regard il chercha, en vain, des sujets qui pourraient l’aider. Malheureusement pour lui, ils étaient tous cloîtré chez eux à cause de la pluie. Le paysan s’approcha de lui jusqu'à en toucher son bouclier qui scintillait doucement. Mis ainsi nez à nez avec son agresseur, Seth le reconnu sans peine.
- Toi ! s’exclama-t-il. Je comprend maintenant comment Zipacna est mort. Que me veux-tu ?
- La même chose qu’à Zipacna et aux quatre autres. Ta mort !
Ne laissant pas le temps à Seth de répondre, le paysan sortit un long poignard de sa poche et tua Seth en le lui plongeant dans la gorge. Hé oui, le bouclier n’est pas efficace contre toutes les armes !

Les quatre vaisseaux s’approchaient du même point. Lorsqu’ils ne furent plus qu’à cent mille kilomètres les uns des autres, ils s’immobilisèrent. Des canaux de communication furent ouverts d’un vaisseau à l’autre. Le sommet pouvait commencer.

Dans son vaisseau, Camulus ne se sentait guère à l’aise. Ce sommet lui donnait un étrange sentiment. Il avait l’impression que ses derniers jours approchaient à grand pas. Pourtant il n’y avait pas de quoi être inquiet : six de ses plus fidèles gardes l’entouraient et il y en avait encore autant à l’extérieur de la salle de contrôle. Chassant ses sombres pensées, il se concentra sur ce que disait Cronos.
- …et les jaffas qui ont trouvé le corps de Seth n’on trouvé aucun indice qui permettrait de deviner de qui il s’agit, disait justement celui-ci.
- Je suis sûr que c’est un ashrak d’Heru’ur, dit rageusement Apophis. Il veut me tuer !
- Mais pourquoi s’attaquer à Zipacna et à Seth si c’est vous qui êtes visé ? demanda Osiris
- Je ne sais pas, mais je suis sûr que c’est moi qui est visé, asséna Apophis.
- Cela n’a aucun sens, lui répondit la déesse.
- Moi je dis que c’est un ennemi que Zipacna et Seth avaient en commun qui a crée leur perte, énonça calmement Camulus.
- Anubis ? demanda Cronos
- Ce n’est pas possible, lui répondit Osiris en levant les yeux au ciel. Zipacna servait Anubis mais pas Seth. Pourquoi tuer un de ses plus loyaux sujet ?
- C’est Thot, s’exclama Apophis. Il est tout le temps dans l’ombre à comploter contre nous. Il ne supporte pas d’être seulement un Goa’uld mineur. Il veut prendre plus d’ampleur.
- Tout ça ne sont que des fadaises ! s’exclama Camulus. Je suis sur que cet assassin s’en prendrait à tous les Goa’ulds, mineurs ou pas. Il veut devenir le dieu suprême de la galaxie.
- Ca aussi ce sont des fadaises mon très cher Camulus, lui répondit goguenard Cronos. Ce tueur est au service de quelqu’un, j’en suis persuadé.
- Et de qui alors ? demanda Apophis.
- Je l’ignore, avoua à regret Cronos. Mais j’ose espérer qu’il n’appartient pas à l’un d’entre nous !
- Il ne m’appartient pas, s’empressa de dire Osiris.
- Ni à moi, dit Apophis
- Camulus ? questionna Cronos

N’obtenant pas de réponse, chacun des dieux se tourna vers la partie de l’écran ou se trouvait Camulus en attendant une réponse. Un même sentiment de dégoût et d’horreur leur vint à la bouche. Camulus gisait sur son siège, un trou à la place du cœur. Autour de son trône, on pouvait voir les corps de six jaffas. Soudain, sortant de l’ombre, un paysan apparu à l’écran. Son visage, recouvert d’une large capuche, était méconnaissable. Il regarda chacun des faux dieux dans les yeux et leur montra le poignard taché de sang qu’il tenait en main. On aurait dit qu’il lançait un défi aux trois dieux. D’un seul coup la communication avec le vaisseau de Camulus se coupa et Cronos sentit son vaisseau se mettre à trembler.
- Monseigneur, nous sommes attaqués par le vaisseau de Camulus, lui annonça un jaffa.
- Levez les boucliers et ripostez ! ordonna immédiatement Cronos.
Immédiatement le vaisseau de Cronos lança toute sa puissance de feu sur le vaisseau de Camulus. Osiris et Apophis réagirent de la même manière. Lorsqu’il s’agit d’éliminer un ennemi commun, les Goa’ulds sont capables de se serrer les coudes. Le combat fut très bref. N’ayant aucune chance contre trois vaisseaux, le vaisseau de Camulus prit la fuite en partant en hyperespace. Mais à peine y faisait-il son entrée qu’il explosa. La coque n’avait pas résisté.

A la vue de l’explosion qui illumina l’espace environnant les trois survivants poussèrent tous un soupir de soulagement. Rapidement remis de leur émotion, ils décidèrent, d’un commun accord, de lancer des recherches pour trouver à qui cet ashrak appartenait. Son maître allait devoir payer la frayeur que son tueur avait fait aux trois dieux !

Bien des mois plus tard…

Voilà qu’arrivait son moment préféré de la journée. Ses milliers de sujets venait s’agenouiller à ses pieds et chanter ses louanges. Il adorait ça ! Toutes ces voix qui s’élevaient en même temps en lui chantait un doux murmure. Un délice pour les oreilles. Tout occupé à jouir de ses instants de gloire, Cronos ne vit pas l’ombre s’approcher de son trône. Il ne vit pas non plus le bras prolonger du poignard qui plongea dans sa nuque mais il le sentit. Avec des hoquets de souffrance, il se retourna pour voir son agresseur. Lorsqu’il vit le même paysan qu’au sommet avec le même couteau ensanglanté à la main il n’en cru pas ses yeux. Lorsqu’il vit quel était le visage se cachant sous la capuche, il cru rêver. Ce n’était pas possible ! Cet homme était mort des mois auparavant dans le bombardement intensif de sa planète. Basculant en arrière, Cronos tomba de son trône et se retrouva parmi la foule, tout à coup silencieuse, de ses sujets qui le regarda se vider de son sang. Un faux dieu de plus venait de mourir.

Se faufilant parmi la foule en liesse, le paysan savourait cet instant. Une étape de plus de sa vendetta avait eut lieu aujourd’hui. Il ne lui en restait plus que deux. Seulement deux étapes et sa vengeance serait totalement assouvie ! Mais ces deux dernières étapes allaient être plus coriace. Ses deux cibles étaient, en général, plus protégée que les quatre premières. Qu’a cela tienne ! Il irait jusqu’au bout. Pour l’honneur !

Avançant au milieu de leur garde respective, les deux Goau’lds jetait des regards suspicieux autour d’eux. Depuis la mort de Cronos ils étaient devenus encore plus paranoïaque qu’avant. Ils avaient tout les deux doublés leur garde personnelle. Ils s’étaient mis d’accord pour se rencontrer à nouveau, mais cette fois ci vraiment personne ne pouvait savoir ou ils allaient se rencontrer. Aucun mot sur cette rencontre n’avait été dit aux jaffas. Les jaffas d’Apophis avaient donc été très surpris de voir débarquer sur leur planète les jaffas d’Osiris. Jusqu'à présent, aucun conflit n’était à dénombrer.
Entrant dans la salle qu’Apophis avait réservé pour cette entrevue, les deux Goa’ulds se séparèrent de leur garde rapprochée respective. Personne ne pouvait être tenu informé de ce qui allait se passer dans cette pièce ! S’il n’y avait pas de jaffas pour écouter, le mystérieux tueur ne pouvait pas être informé des plans qui allait être dressé contre lui.

Le jaffa d’Osiris était nerveux. Il n’aimait pas se retrouver encerclé de jaffas. Et encore moins quand ceux-ci appartenaient à Apophis ! Cette réunion secrète ne lui disait rien de bon. Lançant un regard à la ronde, il vit qu’un paysan s’avançait, un plateau dans les bras. Des victuailles en tous genres était disposées dessus. Lorsque le paysan lui demanda si il pouvait entrer dans la pièce, il fut perplexe. Il avait reçu pour ordre de ne laisser entrer personne durant la réunion. Mais si son maître risquait de ressentir la faim parce que, lui simple jaffa, n’avait pas laissé entrer ce paysan, il risquait gros ! Jetant un regard aux autre jaffas, il vit que ceux d’Apophis rigolaient, comme si ceux-ci se doutaient du combat intérieur du pauvre jaffa. Voyant que personne ne lui venait en aide, il décida de laisser entrer le paysan. Mais avant de le laisser passer, il le fouilla. Il ne voulait pas qu’on lui reproche d’être négligent ! La fouille ne donna rien et le paysan entra dans la salle de réunion. Le jaffa ne pensa pas une seule seconde que le couteau, futur instrument du meurtre, était collé sous le plateau.

Apophis et Osiris furent légèrement irrités en voyant entrer le paysan mais lorsqu’ils virent le plateau chargé de bonne nourriture, ils ravalèrent leur rage. Continuant de deviser tout en se restaurant, ils ne virent pas que le paysan ne sortait pas et verrouillait la porte de la pièce. Ils ne réalisèrent la présence du paysan que lorsque celui-ci renversa le plateau de nourriture et se saisit du couteau qui se trouvait en dessous. En un éclair, les deux dieux réalisèrent que quelque chose allait mal tourner. Tous deux branchèrent leurs boucliers et appelèrent leurs jaffas. Sous le regard hilare du paysan, les jaffas essayèrent de forcer la porte. Se tournant vers les deux grands maîtres, le paysan décida d’en finir de suite.

- Qui es-tu ? hurla presque Apophis
- Comment oses-tu nous défier, nous, les dieux ? gronda Osiris
- Je suis celui dont vous avez essayer de vous débarrasser il y a plusieurs mois. Le ton du paysan était calme. On aurait dit qu’il demandait une tasse de thé.
- Tu es celui qui a tué Zipacna, Seth, Camulus et Cronos ? l’étonnement des deux grand maîtres augmentait au fur et à mesure de la conversation
- Mais le vaisseau a explosé ! s’écria Apophis. Personne ne peut résister à l’explosion d’un vaisseau mère. Même pas nous .
- Le vaisseau de Camulus n’a pas explosé, lui répondit tranquillement le paysan.
- Mais ?! Nous avons tous vu l’explosion lors de l’entrée en hyperespace.
- Il y a une nuance à faire, répondit le paysan. Le vaisseau n’a pas explosé. Ce qui a explosé ce sont tout les chasseurs du vaisseau. Lors de l’entrée en hyperespace, j’ai ordonné leur largage car je savait bien qu’il allait exploser et que donc vous croiriez tous à ma mort. Me croyant mort, vous alliez relâcher votre vigilance et donc me faciliter la tache. Là ou vous avez eu de la chance, c’est que l’atterrissage ne s’est pas très bien passé. Je fus blessé et dus attendre des mois avant de pouvoir continuer mon œuvre.

Sentant que leur fin approchait, les deux Goa’ulds essayèrent de supprimer leur agresseur. Apophis lança un de ses rayons mortels sur le paysan. A son grand étonnement, le rayon se heurta à un bouclier personnel. Osiris, elle, lui tira dessus avec son arme à laser qu’elle cachait dans sa main. Son action eut le même résultat que celle d’Apophis. Un instant cloué sur place d’étonnement, les deux dieux voulurent se précipiter vers la porte, toujours bloquée. Le paysan, lui, ne perdit pas son temps. Son couteau vola à travers la pièce et alla se ficher dans le dos d’Apophis. Osiris se recula dans un coin de la pièce en espérant se mettre hors d’atteinte pendant que le paysan avançait tranquillement vers Apophis. Arrivé à destination, le paysan attrapa le couteau et le tourna dans la plaie béante du dos d’Apophis. Après ça, il le retira de la plaie et le replanta directement à un autre endroit du dos d’Apophis. Recommençant son geste plusieurs fois, le paysan attendit qu’Apophis eut son dernier râle pour se diriger vers Osiris qui tremblait dans son coin.
La déesse n’en croyait pas ses yeux ! Comment pouvait-on s’acharner comme ça sur quelqu’un ? Voyant le paysan s’avancer vers elle, elle chercha un échappatoire mais n’en trouva aucun. Son corps ne cessait de trembler. Pour la première fois de sa vie, elle connut la peur. La peur de mourir ! Lorsque qu’elle vit le couteau quitter la main du paysan et qu’elle le sentit se ficher dans sa poitrine elle fut, soudainement, sereine. Peut importait maintenant qu’elle meure ou non. Son nom continuerait d’exister à travers les siècles. Qu’elle ne soit plus là pour guider ses jaffas l’attristait un peu mais elle savait que ceux-ci la porteraient toujours dans leur cœur. Une seule chose la chagrinait un peu : Elle ne voulait pas mourir sans connaître le nom de ce paysan qui avait tué six grands maîtres. Un exploit ! Comme s’il avait deviné ses pensées, le paysan releva sa capuche. Un hoquet de surprise s’empara d’Osiris. Ainsi c’était lui la cause de tout ça. Il n’était donc pas mort lors du bombardement de sa planète ! Elle sentit ses forces l’abandonner et elle glissa à terre. Avant de mourir, elle ne prononça qu’un seul mot. Un prénom :

- Ba’al.

Fin


des avis? des commentaires?
dites-moi tout

J'ai été un peu dérouté au départ. Tu nous cites et puis tu fais disparaitre des grands maitres que SG 1 à tué.

Sinon, le récit est très bien mené, pour moi. Juste un point ou deux me chipotent un peu. Le fait que les 3 goa'ulds se soient laissés leurrés aussi facilement lors de la destruction des planeurs de Camulus, je trouve ca un tit peu gros, surtout que leurs détecteurs sont très efficaces. Mais bon, soit . Et je me demande comment Ba'al a fait pour convertir l'équipage du vaisseau en quelques secondes...

Puis, je doute qu'un jaffa laisse entrer un serviteur inconnu aussi facilement, surtout vu les précautions prises. Les victuailles auraient pu être empoisonnées, et ne pas y regarder n'est pas très compétent de sa part.

Enfin, les goa'ulds lorsqu'ils se rencontrent choisissent un terrain neutre. Je doute qu'Apohis accepte un rendez-vous sur la planète mère d'Osiris, même si sa vie est en jeu.


Mais sinon, c'était très bon. Le récit est rapide, le rythme soutenu, mais c'est bien fait.

Citation :

Tu nous cites et puis tu fais disparaitre des grands maitres que SG 1 à tué.

"tu nous cites" ? j'ai pas comprit

on ne peut pas vraiment placer cette fic à un endroit bein précis de l'histoire de sg1 vu que certains grand maîtres sont mort depuis perpète. donc c'est indépendant et faut un peu mettre de coté ce qu'on sait des grands maîtres (ceux qui sont morts,...)

Citation :

Le fait que les 3 goa'ulds se soient laissés leurrés aussi facilement lors de la destruction des planeurs de Camulus, je trouve ca un tit peu gros, surtout que leurs détecteurs sont très efficaces.

le détecteur ne détecte que une grosse masse qui explose.non? comment les goa savent dire si oui ou non c'est le vaisseau qui a fait boum?

Citation :

Et je me demande comment Ba'al a fait pour convertir l'équipage du vaisseau en quelques secondes...

il n'est pas obligé de l'avoir convertit. du moment qu'il a le contrôle de la passerelle c'est bon.

Citation :

Puis, je doute qu'un jaffa laisse entrer un serviteur inconnu aussi facilement, surtout vu les précautions prises. Les victuailles auraient pu être empoisonnées, et ne pas y regarder n'est pas très compétent de sa part.

qui a dit que un jaffa c'était compétent? ^^
j'espérais avoir bien écrit le dilemme intérieur du jaffa mais j'avoue ne pas avoir pensé à la nourriture empoisonnés

B.Carter a écrit:

Citation :

Tu nous cites et puis tu fais disparaitre des grands maitres que SG 1 à tué.

"tu nous cites" ? j'ai pas comprit

Je voulais juste dire tu parles de ...

B.Carter a écrit:

Citation :

Le fait que les 3 goa'ulds se soient laissés leurrés aussi facilement lors de la destruction des planeurs de Camulus, je trouve ca un tit peu gros, surtout que leurs détecteurs sont très efficaces.

le détecteur ne détecte que une grosse masse qui explose.non? comment les goa savent dire si oui ou non c'est le vaisseau qui a fait boum?

Bin, j'ai revu l'épisode Exode, SG1 4x22. Dans ce zode, SG-1 largue les planeurs de la mort pour détourner l'attention de la flotte d'Apophis. Le jaffa s'occupant du pel'tak dit clairement qu'il détecte les chasseurs. De plus, les chasseurs, même tous ensemble n'ont pas la même masse ni envergure que le ha'tak. Enfin, les vaisseaux goa peuvent détecter d'autres vaisseaux en hyperespace aussi me semble-t-il. Fin voilà.

B.Carter a écrit:

Citation :

Puis, je doute qu'un jaffa laisse entrer un serviteur inconnu aussi facilement, surtout vu les précautions prises. Les victuailles auraient pu être empoisonnées, et ne pas y regarder n'est pas très compétent de sa part.

qui a dit que un jaffa c'était compétent? ^^
j'espérais avoir bien écrit le dilemme intérieur du jaffa mais j'avoue ne pas avoir pensé à la nourriture empoisonnés

Lol, ok. Mais le dilemme est bien décris

Citation :

Bin, j'ai revu l'épisode Exode, SG1 4x22. Dans ce zode, SG-1 largue les planeurs de la mort pour détourner l'attention de la flotte d'Apophis. Le jaffa s'occupant du pel'tak dit clairement qu'il détecte les chasseurs. De plus, les chasseurs, même tous ensemble n'ont pas la même masse ni envergure que le ha'tak. Enfin, les vaisseaux goa peuvent détecter d'autres vaisseaux en hyperespace aussi me semble-t-il. Fin voilà.

ha bien ca j'me souvenais pas ! si on sait ca ok que mon truc est faux.

Une petite fic sans grande coherence, mais le fait que les protagonistes soient des Goa'uld morts depuis belle lurette fait qu'on ne prend pas tout ca au serieux. C'est court, amusant, bien ecrit ; une petite fic sympathique, et selon moi faut pas chercher plus loin les incoherences ^^ (oui oui, c'est moi qui ai dis ca...)

Skay-39 a écrit:

et selon moi faut pas chercher plus loin les incoherences ^^ (oui oui, c'est moi qui ai dis ca...)

Skay est malade

Ramener le nous d'Espagne, le soleil lui a trop tappé sur la tête !

Un peu rapide à mon goût.
Tuer autant de Goa en si peu d lignes, ça les décrédibilise franchement. Je sais que tu étais limitée à 5 pages mais quand même...

Mais sinon c'est bien écrit et sympa. Et c'est tout ce qui compte ^^

plop!

je me suis décidée à ré-écrire cette fic. j'ai commencé et donc je vous soumet ce début modifié. les plus grande modifications sont les tournures de phrases et l'agencement des paragraphes. je vous demande donc d'être très critiques envers les tournures de phrases qui vous paraissent fausses ou incongrues et de mes les signaler comme ça je peut les changer

@ skay : ne te prive pas de me signaler toutes les incohérences que tu trouve

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La planète était complètement dévastée : les villes n’étaient plus que ruines et flammes, les cadavres jonchaient les rues. De l’ancien palais royal s’élevait une plainte. Celle-ci se transforma en rugissement lorsque l’homme qui gisait à terre, sous une pile de gravats, s’extirpa de sa position. Se relevant, il regarda le désastre autour de lui avec des yeux hébétés. Reprenant vite ses esprits, l’homme se mit dans une fureur folle. Ceux qui lui avait fait ça allait devoir payer d’une manière ou d’un autre ! C’est d’un pas décidé qu’il se mit en route vers le gigantesque anneau en métal qui se dressait sur la lointaine plaine de Kala’a.

La jeune servante ouvrit la porte et regarda si son maître montrait les signes d’un prochain réveil. Le voyant remuer, elle se précipita en cuisine pour ordonner que l’on confectionne le déjeuner. Après cela, elle se faufila dans la penderie de la chambre de son maître et choisit les vêtements qu’il porterait aujourd’hui. Elle se décida pour une mini-jupe, un petit haut et le chapeau de plume que son maître affectionnait tant. L’entendant rugir, elle se hâta de lui apporter ses effets tandis que d’autre servantes entraient avec le repas.
Après son petit déjeuner, Lord Zipacna se dit qu’il irait bien faire un petit tour dans la forêt. Il aimait tant écouter les petits oiseaux chanter ! Sortant du palais, il enjoignit aux gardes de ne pas le suivre : Il n’avait pas besoin d’une escorte pour aller se promener. De toute manière, qui oserait s’attaquer à un dieu ? Au gré de ses envies, il suivit les sentiers de la forêt. Il arriva dans une petite clairière. S’abreuvant au ruisseau, il décida de faire un petit somme. Bercé par le bruit de la petite cascade et par le chant des oiseaux, il s’assoupit rapidement. Il fut réveillé par le bruit d’une lance jaffa qui s’armait. Ouvrant les yeux, il vit un paysan qui braquait sa lance sous son nez. Celui-ci n’avait, manifestement, pas des intentions bienveillantes envers le dieu. Relevant sa capuche et laissant ainsi apparaître son visage, le paysan avança son pouce vers la gâchette de la lance.
- Non ! Ce n’est pas possible ! Tu es mort ! Tu n’as pas pu survivre aux bombardements, s’écria Zipacna, terrorisé.
- Et pourtant j’ai survécu, répondit le paysan avec une voix qui faisait froid dans le dos. Maintenant tu vas payer le prix de ce que tu m’as fait.
- Nooooooooooooooooooooooon
Le cri de Zipacna se perdit dans la forêt et dans le bruit que fit la lance en lui explosant le visage.

Seth était heureux. Depuis des semaines la mousson avait fait son apparition sur Jek’ba. Seth adorait la mousson. Après tout n’était-il pas le dieu du tonnerre, des tempêtes et du temps nuageux ? De plus, lorsque la mousson apparaissait, tous ses sujets devenaient encore plus gentils et plus prévenants. Tous pensaient qu’ils avaient contrarié leur maître et que celui-ci les punissait en leur faisant tomber des torrents d’eau sur la tête. Un des seul petit problème de la mousson était que les villageois, assez réticents à sortir sous la pluie, travaillaient moins. Il n’était pas rare que, durant la mousson, de nouvelles tombes fleurissent dans le cimetière du village. Seth faisait exécuter de nombreux villageois pour l’exemple afin de s’assurer que pluie ou pas, les paysans descendaient à la mine. Justement aujourd’hui, Seth décida de descendre à la mine voir si les ouvriers produisaient les quotas de naquahda nécessaire à la construction de son nouveau vaisseau.
Bien à l’abri dans son palanquin, il réfléchissait à ses petits problèmes d’intendance. Depuis la mystérieuse mort de Zipacna, il était devenu un des goa’ulds les plus forts. Bien sûr l’armée d’Apophis ou de Yu le dépassaient de loin mais la disparition de Zipacna avait été une aubaine.
Tout à ses pensées, il ne vit pas arriver les deux jaffas escortant un paysan miteux vers le palais. Il fut sortit de ses pensées par l’attaque surprise que les trois compères lancèrent. Les deux jaffas de l’escorte tirent sur ses jaffas, en abattant deux rapidement. Le reste de son escorte se mit en position défensive autour de son palanquin. Seth activa son champ de protection. Un combat de rue s’engagea : les jaffas du paysan s’étaient mit à couvert derrière un mur et mitraillaient ceux de Seth. Ceux-ci étaient défavorisés car ils se trouvaient en plein milieu de la rue et ne bénéficiaient d’aucune protection. Pas un des villageois ne sortit de chez lui pour prêter main forte aux gardes de leur maître. Peut être espéraient-ils une issue fatale au combat ? Les jaffas attaquants mirent rapidement hors de nuire ceux de Seth. Le faux dieu était lui bien caché dans son palanquin. Tellement bien caché qu’il ne vit pas le paysan s’approcher derrière lui. Lorsqu’il le vit, celui-ci était si près de lui qu’il pouvait toucher son champ de protection avec son nez. Mis ainsi nez à nez avec son agresseur, Seth le reconnu sans peine.
- Toi ! s’exclama-t-il. Je comprend maintenant comment Zipacna est mort. Que me veux-tu ?
- La même chose qu’à Zipacna et aux quatre autres. Ta mort !
Ne laissant pas le temps à Seth de répondre, le paysan sortit un long poignard de sa poche et le lui plongea dans la gorge.


Les quatre vaisseaux s’approchaient du même point. Lorsqu’ils ne furent plus qu’à cent mille kilomètres les uns des autres, ils s’immobilisèrent. Des canaux de communication furent ouverts d’un vaisseau à l’autre. Le sommet pouvait commencer.

Dans son vaisseau, Camulus ne se sentait guère à l’aise. Ce sommet lui donnait un étrange sentiment. Il avait l’impression que ses derniers jours approchaient à grand pas. Pourtant il n’y avait pas de quoi être inquiet : six de ses plus fidèles gardes l’entouraient et il y en avait encore autant à l’extérieur de la salle de contrôle. Chassant ses sombres pensées, il se concentra sur ce que disait Cronos.
- …et les jaffas qui ont trouvé le corps de Seth n’on trouvé aucun indice qui permettrait de deviner de qui il s’agit, disait justement celui-ci.
- Je suis sûr que c’est un ashrak d’Heru’ur, dit rageusement Apophis. Il veut me tuer !
- Mais pourquoi s’attaquer à Zipacna et à Seth si c’est vous qui êtes visé ? demanda Osiris d’un ton moqueur.
- Je ne sais pas, mais je suis sûr que c’est moi qui est visé, asséna Apophis.
- Cela n’a aucun sens, lui répondit la déesse.
- Moi je dis que c’est un ennemi que Zipacna et Seth avaient en commun qui a crée leur perte, énonça calmement Camulus.
- Anubis ? demanda Cronos
- Ce n’est pas possible, lui répondit Osiris en levant les yeux au ciel. Zipacna servait Anubis mais pas Seth. Pourquoi tuer un de ses plus loyaux sujet ?
- C’est Thot, s’exclama Apophis. Il est tout le temps dans l’ombre à comploter contre nous. Il ne supporte pas d’être seulement un Goa’uld mineur. Il veut prendre plus d’ampleur.
- Tout ça ne sont que des fadaises ! s’exclama Camulus. Je suis sur que cet assassin s’en prendrait à tous les Goa’ulds, mineurs ou pas. Il veut devenir le dieu suprême de la galaxie.
- Ça aussi ce sont des fadaises mon très cher Camulus, lui répondit goguenard Cronos. Ce tueur est au service de quelqu’un, j’en suis persuadé.
- Et de qui alors ? demanda Apophis.
- Je l’ignore, avoua à regret Cronos. Mais j’ose espérer qu’il n’appartient pas à l’un d’entre nous !
- Il ne m’appartient pas, s’empressa de dire Osiris.
- Ni à moi, dit Apophis
- Camulus ? questionna Cronos
N’obtenant pas de réponse, chacun des dieux se tourna vers la partie de l’écran ou se trouvait Camulus. Un même sentiment de dégoût leur vint à la bouche. Camulus gisait sur son siège, un trou à la place du cœur. Autour de son trône, on pouvait voir les corps de six jaffas. Soudain, sortant de l’ombre, un paysan apparu à l’écran. Son visage, recouvert d’une large capuche, était méconnaissable. Il regarda chacun des faux dieux dans les yeux et leur montra le poignard taché de sang qu’il tenait en main. On aurait dit qu’il lançait un défi aux trois dieux. D’un seul coup la communication avec le vaisseau de Camulus se coupa et Cronos sentit son vaisseau se mettre à trembler.
- Monseigneur, nous sommes attaqués par le vaisseau de Camulus, lui annonça un jaffa.
- Levez les boucliers et ripostez ! ordonna immédiatement Cronos.
Immédiatement le vaisseau de Cronos lança toute sa puissance de feu sur le vaisseau de Camulus. Osiris et Apophis réagirent de la même manière. Lorsqu’il s’agit d’éliminer un ennemi commun, les Goa’ulds sont capables de se serrer les coudes. Le combat fut très bref. N’ayant aucune chance contre trois vaisseaux, le vaisseau de Camulus prit la fuite en partant en hyperespace. Mais à peine y faisait-il son entrée qu’il explosa. La coque n’avait pas résisté.
A la vue de l’explosion qui illumina l’espace environnant, les trois survivants poussèrent tous un soupir de soulagement. Rapidement remis de leur émotion, ils décidèrent, d’un commun accord, de lancer des recherches pour trouver à qui cet ashrak appartenait. Son maître allait devoir payer la frayeur que son tueur avait fait aux trois dieux !


Bien des mois plus tard…

Voilà qu’arrivait son moment préféré de la journée. Ses milliers de sujets venait s’agenouiller à ses pieds et chanter ses louanges. Il adorait ça ! Toutes ces voix qui s’élevaient en même temps en lui chantait un doux murmure. Un délice pour les oreilles. Tout occupé à jouir de ses instants de gloire, Cronos ne vit pas l’ombre s’approcher de son trône. Il ne vit pas non plus le bras prolongé du poignard qui plongea dans sa nuque mais il le sentit. Avec des hoquets de souffrance, il se retourna pour voir son agresseur. Lorsqu’il vit le même paysan qu’au sommet avec le même couteau ensanglanté à la main il n’en cru pas ses yeux. Lorsqu’il vit quel était le visage se cachant sous la capuche, il cru rêver. Ce n’était pas possible ! Cet homme était mort des mois auparavant dans le bombardement intensif de sa planète. Basculant en arrière, Cronos tomba de son trône et se retrouva parmi la foule, tout à coup silencieuse, de ses sujets qui le regarda se vider de son sang. Un faux dieu de plus venait de mourir.
Se faufilant parmi la foule en liesse, le paysan savourait cet instant. Une étape de plus de sa vendetta avait eut lieu aujourd’hui. Il ne lui en restait plus que deux. Seulement deux étapes et sa vengeance serait totalement assouvie ! Mais ces deux dernières étapes allaient être plus coriace. Ses deux cibles étaient, en général, plus protégée que les quatre premières. Qu’a cela tienne ! Il irait jusqu’au bout. Pour l’honneur !

Hum, mon commentaire ne change pas. En fait, je ne vois pas grande différence avec la première version. Pas d'incohérence, si ce n'est bien sur de voir mourir des Goa'uld d'une manière différente de celle de la série. On peut également douter que des Goa'uld se baladent ainsi à découvert. Ceci mis à part...

Je trouve toujours ça aussi amusant, en particulier le délire de persécution d'Apophis et la tenue de Zipacna. ^^

Je dirais que préciser au début de la fic que ca se passe dans une réalité alternative aurait été une bonne idée.

Sinon, ca se lit facilement, et la paranoïa d'Apophis est assez drôle (dans le sens c'est marrant, je l'imagine fort bien, et pas dans le sens je me moque )

c'est ici que la fic se met à changer totalement! j'ai décidé de tuer apophis et osiris autrement
je vais essayer d'intégrer du suspense dans la fic (j'ai bien dit essayer).

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Avançant au milieu de leur garde respective, les deux Goau’lds jetait des regards suspicieux autour d’eux. Depuis la mort de Cronos ils étaient devenus encore plus paranoïaque qu’avant. Ils avaient tout les deux doublés leur garde personnelle. Ils s’étaient mis d’accord pour se rencontrer à nouveau, mais cette fois ci vraiment personne ne pouvait savoir ou ils allaient se rencontrer. Aucun mot sur cette rencontre n’avait été dit aux jaffas. Seul les deux pilotes des vaisseaux savaient ou ils se rendaient. Osiris et Apophis avaient décider de se rencontrer sur la discrète P2C – 256 dans les ruines de la ville principale. Les deux grands maîtres avaient chacun un garde personnelle ainsi qu’un bataillon de jaffas qui montaient la garde au alentour de la ville. Le seul bâtiment de la ville encore debout était ce qui servait de palais avant les bombardements. Entrant dans la seule pièce encore pourvue de porte et de mur solides, les deux goa’ulds se séparèrent de leur garde rapprochée. Personne ne pouvait être tenu informé de ce qui allait se passer dans cette pièce. S’il n’y avait pas de jaffas pour écouter, le mystérieux tueur ne saurait pas être informé des plans qui allaient être dressé contre lui.
Le jaffa d’Osiris était nerveux. Il n’aimait pas se retrouver encerclé de jaffas. Et encore moins quand ceux-ci appartenaient à Apophis ! Cette réunion secrète ne lui disait rien de bon. Il était de garde à l’entrée ouest de la ville. Il avait avec lui quatre de ses hommes et cinq jaffas d’Apophis se tenaient à leur côté. Lançant un regard à la ronde, il vit qu’un paysan s’avançait, un plateau dans les bras. Rapidement imité par les autres jaffas, il pointa sa lance vers le paysan et attendit qu’il arrive à leur hauteur. La jaffa fit signe au paysan de poser le plateau à ses pieds et de reculer de quelques pas. Une fois que le villageois eut obéit à ses injonctions, le jaffa s’approcha prudemment du plateau. Le tâtant du bout de sa lance, il finit par se baisser et soulever le drap qui recouvrait le plat. Il vit avec horreur que ce n’était pas une corbeille de fruit, comme il le pensait, mais une bombe ! Il n’eut pas le temps d’avertir les autres qu’elle lui explosait à la figure. Les jaffas ayant survécu à l’explosion furent rapidement zatés par le paysan qui avait activé un champ de protection juste avant l’explosion. Lorsque les autres jaffas arrivèrent sur les lieux de l’explosion, ils ne trouvèrent que des cadavres et un couteau ensanglanté planté par terre.

- C’est lui ! s’exclama Apophis horrifié.
- Bien sur que c’est lui, lui répondit Osiris avec son sourire insolent. Il a du apprendre, d’une manière ou d’une autre, notre petite réunion et il a décidé de s’inviter.
- Moi je m’en vais ! décréta Apophis, je ne reste pas une minute de plus ici. Pas question d’aller rejoindre Cronos et les autres !
- Partez donc poltron. Moi je vais en profiter pour le traquer.

Apophis n’eut pas le temps de répondre à Osiris qu’un de ses garde entrait en trombe.

- Mon seigneur !
- J’avais dit de pas nous déranger ! gronda Apophis
- Je m’excuse de cette interruption, dit le jaffa en s’agenouillant, mais le jaffa au commande de l’hatak vient de nous envoyer un message : il dit que certains cristaux du moteur sont manquants ainsi que ceux des anneaux de transports.
- Quoi ?!
- Des problèmes d’intendance ? demande narquoisement Osiris

Elle n’eut pas le temps de jubiler plus car un de ses jaffas entra et lui annonça la même chose. Elle fit mine de ne pas voir qu’Apophis se réjouissait de cette nouvelle et ordonna au jaffa de régler le problème. Elle laissa Apophis se débrouiller avec son jaffa et ordonna à son hatak d’envoyer un alkesh pour venir la récupérer. La nuit commençait à tomber et elle ne tenait pas particulièrement à rester sur la planète la nuit. Elle voulait bien traquer cet ashrak mais pas dans l’obscurité la plus complète ! Elle sortit du palais en ruine et se rendit à la piste d’atterrissage entourée de ses jaffas restant. Elle poussa un discret soupir de soulagement lorsqu’elle vit son alkesh approcher. La seconde d’après elle retient son souffle quand elle le vit exploser en plein ciel ! Instinctivement, elle brancha son champ de protection. Ses jaffas se mirent en position défensive, attendant une attaque qui ne vint pas. Elle recula, se mettant à l’abris dans le palais en ruine. Elle retourna dans la salle ou elle se trouvait plutôt. Après tout c’étais la seule qui la protègerai suffisamment.
Apophis n’osa pas risquer un de ses alkesh et se résigna aussi à passer la nuit sur la planète. Il partit s’enfermer dans la même salle qu’Osiris. Il ne voulait pas recevoir de l’eau sur sa royale tête ! Les nuages qui apparaissaient dans le ciel laissaient en effet prévoir que la nuit allait être assez pluvieuse.

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pourquoi quand je post sur le forum c'est toujours plus court que dans word?

B.Carter a écrit:

pourquoi quand je post sur le forum c'est toujours plus court que dans word?

Parce que ce forum à des lignes plus longue que les documents sous Word, dans la configuration classique du traitement de texte.

Toujours pas d'incohérences jusque là, sinon peut-être dans le fait que les Jaffa ne puissent trouver des cristaux de remplacement avec tout un croiseur Goa'uld à leur disposition. Et puis sinon, je crois qu'il reste la porte, non ?

dans un hatak y a pas que une série de cristaux pour le moteur? idem pour les anneaux?

sinon je doit préciser qu'il y a pas de porte sur cette planète (je crois bien que j'ai oubliée de le faire )
non non je ne veux pas les coincer sur la planète

B.Carter a écrit:

dans un hatak y a pas que une série de cristaux pour le moteur? idem pour les anneaux?

Un ha'tak contient environ une quinzaine de plate-forme de transfert. De plus, les cristaux en eux-même ne constituent pas l'ensemble des systèmes ; ils servent principalement au stockage des données et agissent comme des fusibles. Bref, s'il existe bien différents types de cristaux, il n'y en a pas de spécifiques à chaque système. Dans un cargo ou un al'kesh, je conçois que la perte des quelques cristaux puisse être dramatique, mais si Ba'al avait voulu neutraliser autant de systèmes, je pense qu'il serait repartit avec une trentaine de kilo de cristaux dans les bras. ^^
Pourquoi pas un virus informatique, par exemple ? Cela fournirait aux Goa'uld une raison d'attendre, jusqu'à ce qu'il ait été éradiqué.

Citation :

ils servent principalement au stockage des données et agissent comme des fusibles.

Un peu plus que cela quand même...toute la gestion electronique et informatique est basée dessus.

ketheriel a écrit:

Citation :

ils servent principalement au stockage des données et agissent comme des fusibles.

Un peu plus que cela quand même...toute la gestion electronique et informatique est basée dessus.

ne produisent-ils pas également une certaine part d'énergie?

Mat Vador a écrit:

ketheriel a écrit:

Citation :

ils servent principalement au stockage des données et agissent comme des fusibles.

Un peu plus que cela quand même...toute la gestion electronique et informatique est basée dessus.

ne produisent-ils pas également une certaine part d'énergie?

Il ne me semble pas. En fait, excepté les Oeils, je ne crois pas qu'un cristal dans Stargate ait jamais servit de source d'énergie. Même celui de Resse devait être rechargé.

Concernant la gestion informatique, c'est exact, en effet. J'avais simplifié. D'ailleurs, il y a probablement d'autres fonctions encore que nous ne connaissons pas.

@skay : j'ai retenue ton idée de virus (ça simplifie des trucs en plus donc çà m'arrange ^^ )

voici le texte (en italique les passage que j'ai modifiés) et un bout en plus


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Avançant au milieu de leur garde respective, les deux Goau’lds jetait des regards suspicieux autour d’eux. Depuis la mort de Cronos ils étaient devenus encore plus paranoïaque qu’avant. Ils avaient tout les deux doublés leur garde personnelle. Ils s’étaient mis d’accord pour se rencontrer à nouveau, mais cette fois ci vraiment personne ne pouvait savoir ou ils allaient se rencontrer. Aucun mot sur cette rencontre n’avait été dit aux jaffas. Seul les deux pilotes des vaisseaux savaient ou ils se rendaient. Osiris et Apophis avaient décider de se rencontrer sur la discrète P2C – 256 dans les ruines de la ville principale. De plus cette planète ne possédait pas de Porte des Étoiles et donc les deux faux dieux ne risquaient pas de se faire envahir par ce côté là. Les deux grands maîtres avaient chacun un garde personnelle ainsi qu’un bataillon de jaffas qui montaient la garde au alentour de la ville. Le seul bâtiment de la ville encore debout était ce qui servait de palais avant les bombardements. Entrant dans la seule pièce encore pourvue de porte et de mur solides, les deux goa’ulds se séparèrent de leur garde rapprochée. Personne ne pouvait être tenu informé de ce qui allait se passer dans cette pièce. S’il n’y avait pas de jaffas pour écouter, le mystérieux tueur ne saurait pas être informé des plans qui allaient être dressé contre lui.
Le jaffa d’Osiris était nerveux. Il n’aimait pas se retrouver encerclé de jaffas. Et encore moins quand ceux-ci appartenaient à Apophis ! Cette réunion secrète ne lui disait rien de bon. Il était de garde à l’entrée ouest de la ville. Il avait avec lui quatre de ses hommes et cinq jaffas d’Apophis se tenaient à leur côté. Lançant un regard à la ronde, il vit qu’un paysan s’avançait, un plateau dans les bras. Rapidement imité par les autres jaffas, il pointa sa lance vers le paysan et attendit qu’il arrive à leur hauteur. La jaffa fit signe au paysan de poser le plateau à ses pieds et de reculer de quelques pas. Une fois que le villageois eut obéit à ses injonctions, le jaffa s’approcha prudemment du plateau. Le tâtant du bout de sa lance, il finit par se baisser et soulever le drap qui recouvrait le plat. Il vit avec horreur que ce n’était pas une corbeille de fruit, comme il le pensait, mais une bombe ! Il n’eut pas le temps d’avertir les autres qu’elle lui explosait à la figure. Les jaffas ayant survécu à l’explosion furent rapidement zatés par le paysan qui avait activé un champ de protection juste avant l’explosion. Lorsque les autres jaffas arrivèrent sur les lieux de l’explosion, ils ne trouvèrent que des cadavres et un couteau ensanglanté planté par terre.

- C’est lui ! s’exclama Apophis horrifié.
- Bien sur que c’est lui, lui répondit Osiris avec son sourire insolent. Il a du apprendre, d’une manière ou d’une autre, notre petite réunion et il a décidé de s’inviter.
- Moi je m’en vais ! décréta Apophis, je ne reste pas une minute de plus ici. Pas question d’aller rejoindre Cronos et les autres !
- Partez donc poltron. Moi je vais en profiter pour le traquer.

Apophis n’eut pas le temps de répondre à Osiris qu’un de ses garde entrait en trombe.

- Mon seigneur !
- J’avais dit de pas nous déranger ! gronda Apophis
- Je m’excuse de cette interruption, dit le jaffa en s’agenouillant, mais le jaffa au commande de l’hatak vient de nous envoyer un message : il dit que qu’un virus s’est introduit dans les système du vaisseau. D’après lui, seul les communications et les systèmes de survie fonctionne.- Quoi ?!
- Des problèmes d’intendance ? demande narquoisement Osiris

Elle n’eut pas le temps de jubiler plus car un de ses jaffas entra et lui annonça la même chose. Elle fit mine de ne pas voir qu’Apophis se réjouissait de cette nouvelle et ordonna au jaffa de régler le problème. Elle laissa Apophis se débrouiller avec son jaffa et sortit pour marcher un peu. S’écartant un peu du palais et suivie de loin par son escorte, elle se mit à réfléchir. La nuit commençait à tomber et elle ne tenait pas particulièrement à rester sur la planète. Après de longues minutes de réflexion, elle reprit le chemin du palais. Un bruit de feuille la sortit de sa rêverie. Instinctivement, elle brancha son champ de protection et regarda dans la direction de ses jaffas. Ceux-ci n’avaient pas l’air d’avoir entendu quelque chose. Elle plissa les yeux et regarda sur le bord du chemin, d'où venait le bruit. Elle ne distingua rien et finit par se persuader qu’elle n’avait rien entendu. Elle retourna rapidement à l’intérieur du palais, dans la salle ou elle se trouvait plutôt. Après tout c'était la seule qui la protégerai suffisamment. Apophis du aussi se résigner à passer la nuit sur la planète. Il partit s’enfermer dans la même salle qu’Osiris. Il ne voulait pas recevoir de l’eau sur sa royale tête ! Les nuages qui apparaissaient dans le ciel laissaient en effet prévoir que la nuit allait être assez pluvieuse.
Dans son coin de salle, légèrement aménagé afin de passer une nuit un minimum confortable, Apophis n’arrivait pas à trouver le sommeil. Le peu d’heure de sommeil qui lui était nécessaire ne venait pas. Il était tracassé. Ce qui n’était apparemment pas le cas d’Osiris. Si il se penchait légèrement sur sa couche, il pouvait la voir dormir comme un bébé. Il essayait de dresser un plan de bataille dans sa tête mais son esprit revenait toujours à l’identité de cet ashrak. Et plus précisément à son maître. Il n’arrivait pas à savoir qui commanditait ces attentats et cela l’énervait au plus au point. Qui pouvait lui en vouloir au point de le tuer lui et les autres grands maîtres ? Il repensa à tout les goa’ulds mineurs qu’il avait exterminé mais il n’en voyait aucun qui aurait pu revenir d’entre les morts afin de le persécuter. Il était sur que c’était lui la cible finale de l’ashrak. Les autres avaient beau dire qu’il était paranoïaque mais il croyait dur comme fer à son idée. Il se retourna sur sa couche et essaya de trouver du sommeil.
Il fut réveillé en sursaut quelques heures plus tard par une explosion. Se levant précipitamment, il sortit de la pièce. Un de ses jaffa arriva en courant et lui annonça que deux de ses guerriers avaient périt dans un petite explosion. N’en croyant pas ses oreilles, Apophis regarda Osiris qui sortait calmement de ce qui leur servait de chambre. Elle n’avait pas l’air d’être tracassée et ne semblait aucunement touché par ce qui arrivait à son « confrère ». Rassemblant ses troupes, il constata qu’il ne lui restait plus que dix-huit jaffas sur les vingt qu’il avait emmené. Il leur ordonna de constituer des groupes et de patrouiller aux abords du palais. Tout ce qui leur paraissait suspect devait être automatiquement éradiqué. Apophis constata qu’Osiris ordonna à deux de ses jaffas de rester au palais et partit avec les autres dans la forêt. « Elle crois sûrement qu’elle va attraper l’ashrak, ricana intérieurement Apophis ».Il la regarda partir un sourire narquois sur les lèvres. Une fois qu’elle eut disparut de sa vue, son sourire s’effaça de sa bouche. Qu’allait bien pouvoir faire de sa journée ? Il n’avais pas de quoi s’amuser et il n’y avait pas moyen de manger ou de se doucher correctement ! Il intercepta deux de ses patrouilles. Il ordonna a l’une d’elle de chercher après la rivière plus proche et à l’autre de lui ramener de quoi se sustenter. En arrivant son jaffa au commande lui avait signalé la rivière et la faune abondante de la planète mais il ne savait plus trop le cours d’eau se trouvait parce qu’il n’écoutait pas. Il pensait plus à sa réunion avec Osiris qu’a la faune et la flore d’une planète du fin fond de l’univers. Maintenant, il se disait qu’il aurait mieux fait de l’écouter ! Deux heures plus tard, la patrouille de la rivière revient avec des brocs ébréchés remplit d’un liquide plus que douteux.

- C’est tout ce que vous me ramener ! tonna le faux dieu. Vous me ramener de l’eau croupie dans des récipients tout rouillés !
- Monseigneur c’est tout ce que nous avons trouvés.
- Trouvez mieux ou vous resterez ici lorsque je m’en irai !
- A vos ordres. Les deux jaffas repartirent au pas de course.
- Hé vous deux ! s’adressant à une autre patrouille, Apophis montra les brocs du bout du doigts. Videz moi ça loin d’ici et, si vous les croisez, dites aux autre de se dépêcher de me ramener de la nourriture.
- Oui monseigneur.