1x18 - A Bug's Life

Vraiment magistrale, toute la partie de l'épisode consacrée à ce canular jouissif. Tout ceci permet également une plus ample découverte des fascinants Pacificateurs. Ces espèces de machine de combat infernales redeviennent "humaines" dés qu'elles se mettent au repos.

Le traitement du virus est hyper original! à tel point que, moi qui habituellement, décroche automatiquement des trucs de virus, j'ai été agréablement surpris par celui-ci! Le voilà "un", (en opposition aux plus classiques fusions de milliards de micro-organismes en une seule intelligence) conscient, et pensant sur la même fréquence que nous, une communication pas trop prise de tête est donc possible. Le virus est d'ailleurs... un criminel en cavale

Dommage que l'officier déglingué qui tape dans l'oeil d'Aeryn disparaisse aussi vite et aussi connement... il avait du potentiel.

Spoiler:

Tout d'abord, merci à Mat d'avoir mis son dernier paragraphe en spoiler, ah oui, merci, vraiment :-D

Bon, sinon, très bon épisode, une fois de plus, avec la bonne dose de stress et d'interrogations dans les deux parties, découvrant quelques secrets peacekeeper et faisant face à un virus possédant un peu tout le monde, aboutissant à l'habituel "mexican stand-off" se résolvant par un gros boum (méthode radicale contre ce micro-organisme, j'en conviens).

Pour l'instant, si storyline il y a, je ne la découvre pas encore.

Rufus Shinra a écrit:

Pour l'instant, si storyline il y a, je ne la découvre pas encore.

En fait tu ne peux la remarquer que lors d'un second visionnage, en ayant la connaissance de toute la série

Spoiler:

Un épisode relativement classique mais pas mal mené. Le virus, je ne l'ai pas trouvé si original que cela, c'est le coup classique de l'entité passant d'un corps à l'autre en laissant son porteur précédent amnésique, histoire de compliquer les choses ; c'est Anubis dans Stargate SG-1, un 4400 dans les 4400, un spectre dans Supernatural. Mais bon, peu importe, ce n'est pas parce que la trame est canon qu'elle n'est pas intéressante.

Le gros plus de cet épisode, c'est bien entendu la présence des Pacificateurs, qui nous apparaissent moins comme des robots programmés pour effectuer une tache nettement déterminée. On constate qu'ils ont droit à une certaine mobilité, qu'ils nouent des liens comme les humains (j'en étais à me demander s'ils n'avaient pas des genres de reproducteurs, ou je ne sais quoi ^^), et que leur armée n'est pas aussi disciplinée qu'au aurait pu le croire. J'ai été surpris de voir les membres des forces spéciales mettre Aeryn et John en joue. Ils sont tous des militaires, non ? On aurait pu croire qu'un ordre de mission règlerait la question. Mais apparemment, les capitaines ont un certain instinct de possession en ce qui concerne leur vaisseau.
C'est également l'occasion d'en apprendre davantage sur le parcours d'Aeryn au sein des Pacificateurs.
A ce sujet, John en commandant Pacificateur, c'était excellent. ^^

Un autre détail qui montre bien qu'on est dans Farscape, c'est que rien n'est épargné aux personnages. John démolit le crâne de la jolie scientifique sous l'emprise du virus, Aeryn lui dit clairement ce qu'elle pense de ses idées ("Dommage que cet uniforme n'ait pas été à ma taille"), et D'Argo lui en veut manifestement. Ces évènements n'auront pas joué en sa faveur, à notre pauvre astronaute.

Chiana, toujours aussi belle dans cet épisode, toujours aussi subtilement aguicheuse, avec son air faussement fragile et son habilité retorse. Je sens que je vais mettre un moment avant de réussir à m'en lasser.
"Si tu continues à me surprendre comme ça, je vais finir par t'accrocher une clochette autour du cou."
"Épargne-moi tes fantasmes."


EDIT après revisionnage : Episode toujours très sympathique. J'avais un peu oublié le physique de l'alien dans son caisson chauffant (pied de ned au classique caisson cryogénique ? ^^), ce petit machin laid et gracile qu'on dirait qu'il lui manque plusieurs couches de muscles, graisse et peau.

Je me suis fais la réflexion, en revoyant la scène, que l'agressivité excessive de l'équipe du Maraudeur à son arrivée tenait sans doute au fait qu'il ne s'attendait pas à tomber sur des Peacekeepers à l'intérieur de ce Léviathan sans collier de contrôle. Quant à l'attitude de Crichton, sans doute est-elle justifiée par l'attitude cavalière du quatuor en mission spéciale.

J'adore l'idée qu'en raison de l'amnésie partielle induite par le virus, personne ne saura exactement à quel moment il a commencé à n'être plus lui-même, compte tenu du nombre de choses que les autres ont à lui reprocher. Zhaan a vaguement perçu quelque chose au moment du transfert (télépathie ? Ses soupçons m'ont semblé bien intuitifs...), mais rien de bien concret. S'il est à peu près évident (et encore ! Farscape...) que le virus était aux commandes au moment ou il l'a frappé, pour le reste rien n'est sûr. A quel moment n'était-ce plus lui qui arguait en faveur de son plan catastrophique, à quel moment ses décisions sont passées de stupides à retorses... Encore du ressentiment refoulé en perspective...

Interrogation sur la fin. Comment les protagonistes pouvaient-ils savoir, après l'empoignade finale, que le virus avait bien quitté le corps de Crichton ? Personne n'a testé son acidité. Il aurait tout aussi bien pu être toujours contaminé, et jouer les désorientés. Mais bien entendu, n'étant pas armé, il ne représentait de toute manière pas un danger immense. L'important était que le virus était susceptible d'avoir changé de corps, ce qui justifiait ce mexican stand-off. Peut-être se méfiait-on toujours de lui. Ce n'est cependant pas l'impression que cela donne - même Chiana ne réagit pas lorsqu'il s'approche d'elle -, alors je suppose que c'est un peu toujours se raccrocher au branches...

Citation :

Ces évènements n'auront pas joué en sa faveur, à notre pauvre astronaute.

Depuis quand des évènements jouent en faveur de Crichton (ou de qui que ce soit d'autre, en fait) ?

D'accord avec toi sur cette modification de notre point de vue sur les Peacekeeper, elle leur donne un nouvel aspect, autre que la vue "insider" avec Crais.
Aussi, si l'histoire est du déjà-vu, ça n'empêche pas que j'adore les "Mexican standoff" (quand tout le monde se braque et que le moindre truc déclencherait le carnage).

Quant à la petite Chiana, je vois qu'elle a fait une nouvelle victime.....tsssss. Enfin, en même temps, c'est avec ce genre de personnages qu'on donne envie à toute une génération de se lancer dans l'aventure spatiale. :-D

Épisode classique mais prenant et rythmé.

Un ratage cependant : le virus ne peut frapper 2 fois la même personne et le peacekeeper qui a infecté Chiana est dans les suspects, arf...

Surtout que si pour détourner l'attention de Larraq dont on pressent que ça va être lui et non pas un de nos héros : ben c'est raté...

Larraq quasi du moment où il fait des propositions à Aeryn je l'ai senti mal barré... dommage effectivement.

Aeryn qui a touché pendant quelques, brefs, moments, ce qu'aurait pu être sa vie sans l'arrivée de Crichton....

Sinon, la mise en scène était grandiose et j'espère comme dit D'Argo qu'il n'y aura pas de prochaine fois....

Chiana, superbe ajout, irrésistible, oui ^^

Nouvelles remarques après revisionnage. Cet épisode est une lente descente vers l'enfer. Les Moyans se retrouvent d'abord sous la surveillance de super commandos qui leur ordonnent de dévier leur route vers la gueule du loup, et s'ils ne le font pas, ils seront percés à jour et anéantis, bien entendu, tandis que Rygel se retrouve sous la menace d'une possession virale, et si il est bien clair que l'Hynérien représente dans ce cas une menace interstellaire, il est tout aussi sûr que l'attraper, sans qu'on sache comment le soigner, le condamnerait à finir pour de bon dans la caisse étanche des commandos, ce à quoi ils doivent participer. L'équipage est plus dans la dren que jamais, la situation devient un mikado inextricable où le moindre choix fait tout s'effondrer, et ironie du sort, c'est le virus qui drainera la situation à son propre détriment, en éliminant des PK avant de choisir leur chef comme hôte.

Mhm... quand on analyse la série sous la question de la causalité,

Spoiler:

Citation :

Le virus, je ne l'ai pas trouvé si original que cela, c'est le coup classique de l'entité passant d'un corps à l'autre en laissant son porteur précédent amnésique, histoire de compliquer les choses ; c'est Anubis dans Stargate SG-1, un 4400 dans les 4400, un spectre dans Supernatural.

Pas d'accord. Un virus qui possède une intelligence directe, et qui ne passe pas par l'habituelle intelligence collective des poussières vivantes, et dont le regard sur le monde, le système de valeurs, le langage... porte sur notre échelle macroscopique, des millions de fois plus gros que lui, alors qu'il a la taille pour être attaqué par des anticorps, je trouve ça complètement jeté. C'est comme si Skynet, en colonisant la galaxie avec ses robots téléguidés, devenait une personnalité unique à échelle galactique, pourvue d'un corps morcelé tout aussi immense.
Vu le pouvoir qu'on leur prête, je suppose que ces créatures doivent être très rares, du genre deux naissances tous les soixante ans, ou bien l'univers aurait succombé...

Citation :

leur armée n'est pas aussi disciplinée qu'au aurait pu le croire.

Mais seulement dans le cas des Forces Spéciales...

Cet épisode a autre chose d'important. Au premier visionnage de la série, je n'avais jamais bien remarqué quand apparaissait Winona ni d'où elle était sensée venir. En fait, je crois bien que cet épisode est la première apparition du fameux pistolet à décharges énergétiques, et Larraq en est le possesseur. Crichton l'a donc plus ou moins récupérée sur un cadavre, symboliquement.

Citation :

A ce sujet, John en commandant Pacificateur, c'était excellent. ^^

Oui, il a la tête étonnamment froide et il rentre dans la peau de ce commandant imaginaire en s'oubliant totalement. Le plan sur les bottes est même un peu flippant. Mais si ce travestissement est un préambule de la mutation de Crichton, ce costume-ci n'est pas assez débraillé pour lui.
Les uniformes PK font un peu URSS futuriste de Red Alert, je trouve...

Citation :

Aeryn lui dit clairement ce qu'elle pense de ses idées ("Dommage que cet uniforme n'ait pas été à ma taille")

Sa réaction à Larraq y est pour beaucoup, à mon avis. Crichton s'en est-il si mal tiré?

Citation :

Larraq quasi du moment où il fait des propositions à Aeryn je l'ai senti mal barré...

Idem

Hooo!!! Il était très très bien cet épisode !

J'ai vraiment beaucoup aimé la construction, et même si le scénario reste relativement classique, c'est très finement mené grâce à l'introduction des Black Ops PK qui sont bien différents des officiers de Crais...

Evidemment, guère surprise par le fait que toute l'équipe se fasse tuer dans l'épisode, même ce pauvre Larraq dont on se doutait que le virus était à l'intérieur de lui...

Bien sûr j'ai apprécié la vision de Crichton en tant que Captain, et toute cette petite mascarade bien avalée par les PK. Tous les membres de l'équipage étaient bien égaux à eux même et c'était assez cool de les voir se coordonner comme ça en équipe.

Allez maintenant c'est la fin de saison pour moi...

Commentaire mis à jour après revisionnage.

sunjin a écrit:

Un ratage cependant : le virus ne peut frapper 2 fois la même personne et le peacekeeper qui a infecté Chiana est dans les suspects, arf...

Surtout que si pour détourner l'attention de Larraq dont on pressent que ça va être lui et non pas un de nos héros : ben c'est raté...

Du tout, j'ai été attentif à ce détail, et en vérité personne ne soupçonne jamais la contamination de ce Peacekeeper. Chiana-virus prétend que Rygel l'a attaqué dès son entrée dans la salle, le choc justifiant sans doute son amnésie partielle, et une fois la Nébari redevenue elle-même sa mémoire défaillante ne lui permet pas de se rappeler cela. L'hynérien est le seul qui pourrait révéler la contamination de ce Sébacéen, et il est à ce moment là dans le caisson...

sunjin a écrit:

Aeryn qui a touché pendant quelques, brefs, moments, ce qu'aurait pu être sa vie sans l'arrivée de Crichton....

Indeed, on dirait qu'elle s'autorise à rêver, pendant quelques temps, à une vie qui n'est plus en option et qui du reste ne lui conviendrait sans doute plus...

Mat Vador a écrit:

Rygel se retrouve sous la menace d'une possession virale, et si il est bien clair que l'Hynérien représente dans ce cas une menace interstellaire, il est tout aussi sûr que l'attraper, sans qu'on sache comment le soigner, le condamnerait à finir pour de bon dans la caisse étanche des commandos, ce à quoi ils doivent participer.

En réalité, livrer Rygel aux Pacificateurs reviendrait non seulement à le tuer, mais également à leur offrir une arme redoutable. Le mouvement le plus raisonnable serait donc de l'éliminer avant d'atteindre la base Gammak... Un choix terrible. D'autant plus, bien sur, qu'aucun d'entre eux n'a intérêt à atteindre ladite base, où leur sort serait scellé.

Mat Vador a écrit:

L'équipage est plus dans la dren que jamais, la situation devient un mikado inextricable où le moindre choix fait tout s'effondrer, et ironie du sort, c'est le virus qui drainera la situation à son propre détriment, en éliminant des PK avant de choisir leur chef comme hôte.

Un mouvement en apparence maladroit... Il aurait pu sembler plus malin de rester tranquille en attendant d'arriver sur la base Gammak - en contaminant tous le monde entre temps. Je suppose qu'il craignait réellement l'anti-virus que pourrait mettre au point la scientifique...
Cela dit, je me pose une autre question : que prévoyaient au juste les Moyans rapport au commando Peacekeeper ?

Mat Vador a écrit:

Citation :

Le virus, je ne l'ai pas trouvé si original que cela, c'est le coup classique de l'entité passant d'un corps à l'autre en laissant son porteur précédent amnésique, histoire de compliquer les choses ; c'est Anubis dans Stargate SG-1, un 4400 dans les 4400, un spectre dans Supernatural.

Pas d'accord. Un virus qui possède une intelligence directe, et qui ne passe pas par l'habituelle intelligence collective des poussières vivantes, et dont le regard sur le monde, le système de valeurs, le langage... porte sur notre échelle macroscopique, des millions de fois plus gros que lui, alors qu'il a la taille pour être attaqué par des anticorps, je trouve ça complètement jeté. C'est comme si Skynet, en colonisant la galaxie avec ses robots téléguidés, devenait une personnalité unique à échelle galactique, pourvue d'un corps morcelé tout aussi immense.

Vu sous cet angle... Il est vrai que l'aspect anthropomorphique est assez nouveau. J'aurais tout de même apprécié un mode de contamination un peu moins bateau, développé autour de la nature du parasite. Ici, le fait qu'il s'agisse d'un virus est somme tout anecdotique, le scénario est en tous points similaire à ce qu'il aurait été avec l'une des entités que j'ai cité.

Mat Vador a écrit:

Vu le pouvoir qu'on leur prête, je suppose que ces créatures doivent être très rares, du genre deux naissances tous les soixante ans, ou bien l'univers aurait succombé...

A moins que ce ne soit la combinaison virus/immense empire interstellaire dominant et armé qui ne soit particulièrement dommageable...

Mat Vador a écrit:

Citation :

leur armée n'est pas aussi disciplinée qu'au aurait pu le croire.

Mais seulement dans le cas des Forces Spéciales...

Indeed.

Mat Vador a écrit:

Cet épisode a autre chose d'important. Au premier visionnage de la série, je n'avais jamais bien remarqué quand apparaissait Winona ni d'où elle était sensée venir. En fait, je crois bien que cet épisode est la première apparition du fameux pistolet à décharges énergétiques, et Larraq en est le possesseur. Crichton l'a donc plus ou moins récupérée sur un cadavre, symboliquement.

Spoiler:

Mat Vador a écrit:

Citation :

A ce sujet, John en commandant Pacificateur, c'était excellent. ^^

Oui, il a la tête étonnamment froide et il rentre dans la peau de ce commandant imaginaire en s'oubliant totalement. Le plan sur les bottes est même un peu flippant. Mais si ce travestissement est un préambule de la mutation de Crichton, ce costume-ci n'est pas assez débraillé pour lui.

John est bon pour la comédie, c'est certain, il le prouvera à maintes et maintes reprises. Ce regard froid, du reste, ne nous est pas totalement étranger : il avait le même lorsqu'il a plaqué Chiana au sol, dans Durka returns. J'adore l'idée qu'en raison de l'amnésie partielle induite par le virus, personne ne saura exactement à quel moment il a commencé à n'être plus lui-même, compte tenu du nombre de choses que les autres ont à lui reprocher. Zhaan a vaguement perçu quelque chose au moment du transfert (télépathie ? Ses soupçons m'ont semblé bien intuitifs...), mais rien de bien concret. S'il est à peu près évident (et encore ! Farscape...) que le virus était aux commandes au moment ou il l'a frappé, pour le reste rien n'est sûr. A quel moment n'était-ce plus lui qui arguait en faveur de son plan catastrophique, à quel moment ses décisions sont passées de stupides à retorses... Encore du ressentiment refoulé en perspective...

Mat Vador a écrit:

Citation :

Aeryn lui dit clairement ce qu'elle pense de ses idées ("Dommage que cet uniforme n'ait pas été à ma taille")

Sa réaction à Larraq y est pour beaucoup, à mon avis. Crichton s'en est-il si mal tiré?

En insistant ainsi pour maintenir son plan initial... Je trouve, oui. C'était inutilement téméraire. A ce stade de la série, aucun des Moyans ne cherche le conflit avec les Peacekeepers. Bien sur, il est utile de connaitre l'emplacement d'autres bases Gammak dans les Territoires Libres, mais cela demeurait un jeu bien risqué qui a faillit leur coûter la vie à tous. Même si évidemment, cela leur a permit d'éliminer une grande menace pour tous les ennemis des Peacekeepers...

Mara a écrit:

Evidemment, guère surprise par le fait que toute l'équipe se fasse tuer dans l'épisode, même ce pauvre Larraq dont on se doutait que le virus était à l'intérieur de lui...

Je suis donc le seul qui, non content de n'avoir rien vu arriver la première fois, ne se souvenait plus de ce qu'il en était pour le second visionnage ?
Franchement, la première fois, j'envisageais plutôt Larraq comme unique survivant, renvoyé seul dans son Maraudeur au terme de l'épisode...

Bon épisode qui m'a étrangement rappelé.... The Thing
Toute l'ambiance de paranoïa et le fameux test pour déterminer la chose le virus.

J'ai particulièrement été touché par Aeryn quand le PK lui propose de l'accompagner et elle comprend encore une fois que sa vie ne sera plus jamais la même. Les scénaristes s'acharnent vraiment sur elle pour lui montrer à quel point elle a fait "le mauvais choix" (ou pour nous faire comprendre à quel point à quel point les conséquences ne sont pas agréable pour une fugitive ? )
C'est un aspect de la série que j'apprécie, même si les histoires semblent totalement indépendante, les personnages n'oublient pas les évènements et ça leur revient à chaque fois en pleine face (mauvais effet boomerang)

Un épisode ou j'ai encore détesté Rygel et Chiana et qui montre qu'ils sont fait pour s'entendre, c'était juste inattendu

Pour les PK, je crois que je vais regretter la mort de Larraq. J'aurai bien voulu le revoir dans une rencontre futur avec Aeryn mais dans des camps opposés.

En tout cas, concernant le rôle endossé par Crichton, on sait pourquoi il était astronaute et aussi un génie dans son genre (sur sa planète) puisqu'il sait à peu près gérer des crises de cette envergure.

Génie, génie... Je dirais plutôt que c'est un maître de l'improvisation et qu'il réussit surtout à bluffer l'univers, genre le temps que les lois de la physique se rendent compte qu'elles se sont fait flouer, il est déjà loin (un peu comme les chats qui se baladent sur les murs recouverts de moquette).

C'était quand même de lui l'idée de surf sur la planète ?

Essentiellement de lui, même si son ami je ne sais plus quoi l'a tout de même aidé. Je suspecte d'ailleurs l'ami en question d'être à l'origine de la partie la plus théorique du projet ^^ Mais oui, Crichton est tout de même quelqu'un de très intelligent, même si c'est pas flagrant

pas flagrant du tout, je dois faire un effort pour m'en souvenir quand il prépare des plans de sauvetage