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Destroyer de classe Omega



La classe de Destroyer Omega est une combinaison de cuirassé et de porte-aéronefs, capable à la fois de délivrer une puissance de feu antinavire respectable, et de déployer des chasseurs en nombre conséquent, ce qui donne aux vaisseaux de la classe une envellope d'engagement conséquente. Avec leurs 1714 mètres de long et leur masse de 44,6 millions de tonnes, les destroyers de classe Omega forment la classe la plus polyvalente, et une des plus puissantes dans la marine spatiale de l’Alliance Terrienne actuellement. Les Omega class forment l’épine dorsale de l’Earthforce moderne, avec entre 900 et 1400 unités en service.

Conception :

Rocketdyne décida de développer le destroyer de classe Omega suite à la perte d'un juteux contrat de construction face à Karmatech, la firme ayant conçu le croiseur lourd de classe Hyperion. Le vaisseau fut imaginé au départ comme un remplaçant au dreadnougth de classe Nova.

La guerre stoppa les efforts de Rocketdyne, la contruction en masse des vaisseaux des classes en service étant privilégiée. Après la fin de la guerre Terre-Minbar, l’Earthforce abandonna les commandes de croiseurs lourds de classe Hyperion, et Rocketdyne remporta le contrat pour la construction en série de destroyers de classe Omega destinés à remplacer les Hyperions, totalement surclassés face aux vaisseaux Minbaris. La production en série des destroyers de classe Omega commença chez Rocketdyne au milieu de l'année 2248, avec le EAS Achilles.

Capacités

L'armement du vaisseau est articulé autour de canons énergétiques capables de tirer pour certains des impulsions de plasma aussi bien que des rayons à particules et à radiation X. C'est sur ce principe que fonctionnent à la fois les canons lourds et les canons de défense rapprochée. Ils sont complétés par une stock considérable de missiles à fusion. Ces systèmes d'armes sont disposés comme suit :

Deux canons lourds capables de tirer des rayons hybrides de particules/lasers à rayons-X et des décharges de plasma sont placés sur les flancs à l'avant du navire, tandis que quatre autres sont disposés sur le coté de chaque moteur, pour un total de six canons antinavires. Douze pods omnidirectionnels à impulsions de défense rapprochée sur les face supérieures et inférieures du navire assurent la défense de point contre les missiles et chasseurs, en plus de l'interception de certains tirs à énergie dirigée. 72 missiles à fusion situés dans des lanceurs verticaux latéraux viennent compléter cette dotation. Les huit à dix mètres de coque blindée viennent assurer l'ultime rempart du navire contre les attaques et le protègent du vide et des radiations de l'espace.

Le système de lancement des chasseurs utilisé sur un destroyer de classe Omega est très efficace, permettant de lancer l’ensemble de ses 36 Starfuries en moins de deux minutes, en conditions d’urgence. Un déploiement aussi rapide permet une réactivité maximale en conditions de combat et évite de mettre trop de stress sur les engins et les pilotes, étant donné que les délais de lancement leur permettent de rester à bord, plutôt que de former des patrouilles de combat permanentes.

Spécificités techniques :

Les destroyers de classe Omega sont propulsés par quatre moteurs utilisant du deutérium gélifié comme carburant. Grace à la puissance énergétique de ses quatre réacteurs à fusion, un destroyer de classe Omega a la capacité de créer son propre point de saut en hyperespace, utilisant quatre générateurs de vortex Lockheed-Mitchell Corp.

Contrairement à la plupart des vaisseaux de L’Earthforce, le Destroyer de classe Omega emploie un système de gravité simulée. Un tel système était indisponible à l’Alliance Terrienne vingt-cinq ans auparavant. Il produit un environnement à un G en faisant tourner la partie centrale du vaisseau dans le sens des aiguilles d’une montre à une vitesse suffisante pour que la force centrifuge soit équivalente à un poids d'environ 10N/m². La rotation est générée grâce à un moteur avancé à supraconducteur, similaire à ceux utilisés sur les trains à lévitation magnétique sur Terre. Cela permet d’éviter l’usure des pièces, étant donné qu’il n’y a quasiment aucun contact physique entre l’axe, l’avant, l’arrière et la section rotative. Ainsi, la section rotative des destroyers de classe Omega ne subit quasiment aucune détérioration due à la friction.

Organisation :

L'équipage standard des Omegas est de 850 personnes et 12 officiers de commandement. L’équipage comprend généralement 120 marines en supplément pour la sécurité externe et d'éventuelles inspections de vaisseaux. Les destroyers ont une capacité de 36 chasseurs/bombardiers d’attaque, quatre navettes et peuvent transporter 80 blindés et 18000 soldats.

Les destroyers sont séparés principalement en deux sections : La structure fixe et la section mobile.

La section d’habitation rotative, est là où le centre de contrôle et de commandement du vaisseau réside, avec la principale passerelle. Elle inclut également les systèmes de survie principaux, les quartiers de l’équipage et les calculateurs principaux du vaisseau.

L’avant, où est logé le hangar du vaisseau, est un environnement à gravité zéro où sont situées une partie des armes majeures, la principale antenne de senseurs et de communications, et c'est là que se fait l’entretien des chasseurs. L’arrière, principalement dédiée à l'ingénierie supporte les principaux moteurs à ions et moteurs de saut du vaisseau, ainsi que les réacteurs à fusion, les réservoirs de carburant principaux et secondaires et les armes arrières. Etant donné que ni l’avant ni l’arrière du vaisseau ne possèdent de gravité, les personnels de l’Alliance Terrienne ont des bottes magnétiques qui les empêchent de flotter dans les sections à gravité zéro de leurs navires.

Les armes sont réparties entre les parties fixes avant et arrière, la conception et l'agencement particuliers de la section centrale l'empêchant d'acceuillir un quelconque armement, dont la conduite de tir pourrait s'avérer extrêmement problématique à cause du mouvement de la section. Ainsi, malgré le fait qu'elle accueille la majorité du personnel, la partie centrale n'est pas équipée de systèmes de défense de point et doit compter sur ceux installés dans les autres sections du vaisseau.