Je prévient à l'avance que cette fic n'a jamais été terminée. Pourquoi? tout simplement car je n'ai moi même pas d'idée pour finir la fic. Quand je l'avais postée sur fusion Skay m'avais proposé des trucs mais j'avais pas trop accrochée.
Elle comporte deux chapitres. C'est aussi une fic que je n'ai pas retravaillée
Chapitre 1 : la rencontre
SG-1 moins Jack était réuni en salle de briefing. Hammond, pourtant habitué aux retards perpétuels de Jack, commençait à s’énerver. Au moment où il ordonna au sergent de garde d’aller chercher Jack, celui--ci entra dans la salle le sourire au lèvres.
- Bonjour à tous s’exclama-t-il. Carter, vous allez bien ?
- Colonel, si on vous dérange vous pouvez le dire, fit Hammond, légèrement énervé.
- Ben…maintenant que vous le dites… essaya Jack.
- Asseyez-vous, et tâchez de ne plus être en retard la prochaine fois.
- J’ai une bonne excuse cette fois--ci Général dit Jack, tout fier.
- Ha oui et laquelle Jack ? intervient Daniel.
- J’ai eut une panne de voiture, déclara Jack.
- Votre voiture est sur le parking depuis deux jours, fit Daniel en retenant son fou rire.
- Mon Général, je pense qu’il vaut mieux commencer le briefing, dit Sam, désireuse d’étouffer la chamaillerie qui commençait.
- Tout à fait, Major approuva Hammond. Messieurs !?
Les deux hommes se tournèrent vers Hammond, un air surprit sur le visage. Le général fit signe à Jack de s’asseoir et à Sam de débuter le briefing. Elle se leva donc et alluma l’écran de conférence. Jack ne prit même pas le peine de se concentrer pour essayer de comprendre ce que Sam racontait. Il avait une sainte horreur de ces briefings. Il comprit que celui-ci était terminé en voyant le général se lever.
- Alors Jack, content ? demanda Daniel.
- Hein, quoi ? dit Jack en émergeant.
- Vous n’avez rien écouté ? Daniel n’était même pas surprit.
- Ben… non. Pourquoi ? Jack tout ahuri se demandait ce que Daniel allait lui sortir, et pour éviter toute complication il préféra d’adresser à son major préféré : Alors Major, que va-t-on faire aujourd’hui ?
- Ne lui dites rien, Sam ! s’écria Daniel
Sam aurait bien voulut ne pas lui dire mais Jack prit son air de chien battu et lui fit des yeux suppliants. Elle n’arrivait pas à détourner son regard. Elle sentit qu’elle allait craquer. Elle regarda Daniel et vit que lui aussi avait prit son air de chien battu. Décidément, ces deux-là allaient la rendre folle, un de ces jours. Préférant rester neutre, elle ne donna qu’une demi-réponse :
- Vous n’allez pas vous ennuyer, mon Colonel, lui dit-elle avec un léger sourire au lèvres.
Jack tomba des nues et Daniel éclata de rire.
- Ne devrions-nous pas aller nous préparer ? intervint Teal’c
- Allez tous au vestiaire, bande de sales gamins, et Jack ajouta en regardant Sam: et de sale gamine.
Daniel et Sam sortirent de la salle de briefing en éclatant de rire. Teal’c quant à lui se dit que décidément il ne comprendrait jamais rien à l’humour terrien, surtout celui de Jack. Ils partirent tous se changer et pendant qu’ils étaient au vestiaire Jack lança un regard à Sam et vit qu’elle sortait sa tenue de plongée de son armoire.
- Major ? lança Jack
- Oui, mon Colonel ? Sam avait déjà le sourire aux lèvres, sentant venir la question.
- Pourquoi vous prenez votre tenue de plongée ? demanda Jack.
- Fallait écoutez au briefing ! s’écria Daniel faisant sursauter tout le monde.
- DANIEL, LA FERME ! Alors, Major ? Jack s’impatientait un peu.
- La planète où nous allons est composée à 95% d’eau, mon Colonel, lui répondit Sam.
- Ha ! Bon…bien… je vais aussi prendre ma tenue de plongée, dit Jack.
Tandis que les chevrons s’enclenchaient, SG-1 se rassembla au bas de la rampe d’embarquement. Hammond prit le micro:
- SG-1, tâchez d’être à l’heure pour une fois.
- C’est pas de ma faute, se défendit Jack, c’est toujours Daniel qui tombe.
La porte s’enclencha, noyant dans le bruit la réponse d’un Daniel légèrement furax. Il passa la porte suivit de Teal’c, de Sam et enfin de Jack. En débarquant sur P1B988, Jack n’en crut pas ses yeux. La porte se trouvait sur une île faite de sable fin, la mer était bleu-roi et deux soleils brillaient. Sur l’île il n’y avait que la porte et une cabane en pierre dont les murs étaient à moitié écroulés.
- Mais c’est mignon tout plein ici s’exclama Jack
- En effet, O’Neill.
- Teal’c je ne pense pas qu’une exploration de l’île s’impose.
- Pourquoi ?
- On voit d’un bout à l’autre.
- Le sable peut cacher des pièges, O’Neill. Mon rôle est de veiller à votre sécurité. J’en ferai donc le tour.
Et c’est sur ces paroles sages que Teal’c partit «explorer» l’île, tandis que Daniel et Sam étouffaient un rire. Jack, légèrement vexé, leur dit de se mettre au travail. Daniel entra dans la maison et Sam s’approcha de l’eau. Jack venait à peine de commencer à s’ennuyer que Daniel l’appela.
- Jack, venez m’aider ! cria Daniel.
- Allons bon, qu’est-ce qu’il a encore trouvé ? soupira Jack
Jack se dirigea vers la maison et entra. Il ne vit pas Daniel et ne vit pas non plus le trou, dans lequel il tomba.
- Ha Jack, dit Daniel en se retournant, venez voir.
Jack encore endolorit découvrit Daniel à ses côtés dans le trou qui n’en était pas un. C’était l’entrée d’une grotte. Jack vit Daniel debout devant des caisses en bois.
- C’est quoi ? demanda-t-il, curieux.
- Je sais pas mais c’est très lourd. J’aurai besoin d’aide pour les remonter.
Jack parvint à se hisser hors du trou et partit chercher une corde. Il se mit au bord du trou et lança la corde à Daniel, qui y accrocha un des coffres. Jack tira sur la corde mais ne parvint pas à soulever le coffre. Daniel essaya alors de le soulever mais se fut sans succès. Jack appela donc Teal’c. A trois ils réussirent à monter le coffre hors du trou. Daniel mit la corde autour du deuxième coffret. A la surprise des trois hommes, il décolla littéralement du sol. Teal’c et Jack, pris par leur élan, se retrouvèrent par terre. Les deux coffrets suivant se révélèrent être aussi lourds que le premier. Jack et Teal’c tirèrent les coffrets hors de la maison et les alignèrent sur la plage tandis que Daniel finissait d’examiner la grotte. Sam, ayant terminé ses analyses, rejoignit les deux hommes.
- C’est quoi mon Colonel ? demanda-t-elle.
- Daniel a trouvé ces trucs dans la maison, lui répondit Jack, d’ailleurs où est-il ? Toujours dans son trou je parie. Carter, venez avec moi parce qu’à tous les coups il va falloir l’aider.
Jack et Sam se rendirent donc à la maison. Au fur et à mesure qu’ils approchaient, ils entendirent des cris. Se lançant un regard inquiet, il parcoururent les derniers mètres en courant. En arrivant, ils virent Daniel qui essayait de sortir.
- Alors, Daniel, on prend racine? demanda Jack
- Très drôle Jack, si vous m’aidiez à sortir plutôt que vous de payer ma tête !
- Pourquoi criiez-vous? demanda Sam.
- Je criais pas, je vous appelais.
- Vous auriez pu utiliser la radio, lui reprocha Sam.
- Heu… Elle est dans mon sac, dis Daniel, gêné.
- J’ai bien envie de vous laisser dans votre trou, dit Jack.
- Non allez Jack, il faut que j’examine les coffres !
- Et pourquoi? demanda Jack sarcastique.
- JACK ! Vous m’exaspérez ! Sam, aidez-moi, supplia Daniel.
Sam s’accroupit et tendit son bras. Daniel, après un petit saut, lui attrapa la main. S’aidant de ses pieds pendant que Sam le tirait vers le haut, Daniel remonta doucement. Lorsqu’il le pu, il tendit son autre bras à Jack, qui l’attrapa.
- Merci, dit Daniel en s’époussetant les vêtements. Où avez-vous mit les coffres ?
- Sur la plage.
Daniel courut droit vers les coffres.
- Non mais regardez-le, dit Jack à Sam. On dirait un gamin qui a reçu un nouveau jouet !
Sam sourit. Ils rejoignirent le reste de l’équipe. Daniel s’acharnait sur la serrure d’un des coffres. Tous prirent un couteau et tentèrent de forcer les serrures. Sam y réussit la première; tous se regroupèrent autour d’elle lorsqu’elle l’ouvrit. Une odeur de renfermé leur monta aux narines. Le coffret contenait des vêtements. Daniel les sortit précautionneusement et les étala sur le sable. Après un petit quart d’heure, tous les coffres étaient ouverts. L’un contenait des tablettes de pierre, un autre des livres et le dernier des objets divers. Daniel, émerveillé, étala tout sur le sable.
- C’est magnifique, dit-il en tenant une robe à bout de bras. Les vêtements font penser à ceux que les gens portaient au Moyen-Âge.
- Daniel, vous pouvez m’expliquer pourquoi tous les vêtements sont noirs, demanda Jack.
- Heu... non.
- Bon, Daniel, pendant que vous faites joujou, Carter et moi allons faire un tour dans l’eau, dit Jack. L’eau est comment, Major ?
- Elle a une température de 20°C et elle contient 20% de naquada.
- Du naquada !?
- Oui mon Colonel.
- C’est dangereux ?
- Pas que sache, mon Colonel.
- Bon, on va se préparer alors. Major, on plonge dans dix minutes.
Daniel se concentrait sur la traduction des tablettes et des livres trouvés tandis que Jack et Sam allèrent se préparer. Sous la surface de l’eau ils découvrirent une chaîne de montagnes sous-marines qui s’étendait sur tout le pourtour de l’île. En s’approchant, ils virent que les montagnes recelaient une multitude de grottes. Cela allais du simple trou à la caverne gigantesque. Ils s’aventurèrent dans une ouverture de taille moyenne. A leur grand étonnement, ils virent de la lumière au-dessus d’eaux. Ils remontèrent sur une hauteur d’environ trois mètres et débouchèrent dans une grotte dont les parois étaient couvertes d’inscriptions.
- Venez, Carter, allons voir ça, dit Jack.
- On devrait amener Daniel ici, dit Sam en examinant les murs.
- On verra, dit Jack en faisant une grimace. Il n’avait pas envie que Daniel le fasse rester plus longtemps sur « Waterland ».
Sur l’île, Daniel avançait vite dans ses traductions. Tout d’un coup, il s’arrêta de lire et se précipita sur sa radio.
- Jack, Sam, répondez ! hurla-t-il.
- Un problème, Daniel Jackson? interrogea Teal’c.
- Les habitants de cette planète ont créé un monstre, un animal marin à qui ils ont injecté du naquada et d’autres substances dans le sang. Il serait très violent et les aurait fait fuir. Depuis, il vit seul dans l’eau.
Jack et Sam ressortirent de la caverne et se retrouvèrent nez-à-nez avec un animal. Son corps ressemblait à celui d’un dauphin. Se lançant un regard, ils entamèrent la remontée tout en surveillant la bestiole. Celle-ci les suivit et s’amusa à pousser Jack du bout du museau. Il se disait que la bête n’était pas bien méchante, et qu’elle voulait juste jouer. Il s’installa sur son dos sans qu’elle ne réagisse et fit signe à Sam de la rejoindre. Hésitant, elle finit tout de même par se placer derrière le colonel. L’animal se propulsa en avant, fonçant vers la surface.
-Jack ?… Sam ?… Répondez… Daniel commençait à s’inquiéter, pendant que Teal’c se contentait de surveiller la surface. Tout à coup, quelque chose jaillit de l’eau, provoquant des gerbes d’écume. Les deux hommes, qui se tenaient au bord, furent éclaboussés. Quand toute l’eau fut retombée, il virent Jack, Sam et une bestiole blanche à la surface de l’eau. Les deux humains en sortirent en souriant.
- Waw, quelle remontée s’écria Jack dès qu’il n’eût plus son embout respiratoire en bouche.
- Ça vous pouvez le dire, mon Colonel. On doit être remontés à 80km/h.
- Vous allez bien? demanda Daniel, inquiet.
- Ben oui. Pourquoi est-ce qu’on irait mal? demanda Jack.
- J’ai lu presque toutes les tablettes et on parlait d’une bête qui avait fait fuir tous les habitants de cette planète.
- Cette bestiole serait dangereuse, demanda Jack en pointant son doigt vers la mer et en s’écartant de quelques pas.
- Je crois.
- Vous croyez ?
- Oui.
- Vous en êtes sûr ?
- Non.
- Alors y’a pas de quoi s’inquiéter.
Soudain Teal’c arma sa lance et la pointa vers la bête. Tous se retournèrent et virent les yeux de la bête flamboyer.
- Wow ! s’écria Jack. Encore un qui a les ampoules à la place des yeux. Vous croyez qu’il est infecté ?
- Je ne pense pas, mon Colonel, répondit Sam. Ça doit être dû au naquada qu’il a sûrement dans le sang.
- Bon, qu’est-ce qu’on fait?emanda Jack.
- Je propose qu’on reste encore un peu, le temps que je traduise tout, se risqua Daniel.
- Ah non sûrement pas, râla Jack.
- Jack…
- J’ai dit non.
- Jack…
- Pendant que je traduis, vous pourriez… Jouer… avec cette bestiole, non ?
- … Bon d’accord. Vous en avez pour combien de temps ?
- Aucune idée. Mais il y a pas mal de livres…
- Combien ?
- Deux jours ?
- Teal’c, montez le camp. Carter, analysez-moi ce machin.
Deux jours plus tard : au soir
Sg-1 était réuni autour du feu et Daniel faisait un résumer de ce qu’il avait découvert en lisant les tablettes et les livres.
-Le peuple qui habitait cette planète, raconta-t-il, était un peuple très violent, pour eux la gentillesse, la douceur,… cela n’existait pas. Ils étaient assez avancés technologiquement, ils pratiquaient énormément d’expérience sur la faune et la flore afin de créer des monstres aussi violent qu’eux. Un jour, ils créèrent un animal qui ressemble au dauphin chez nous. Cet animal était très doux et blanc ; ce qui pour eux était inacceptable vu que la couleur dominante de leur société était le noir. Cet animal grandit et le jour ou ils voulurent s’en débarrasser, il se défendit et les fit fuir. Je ne sais pas si ils on passé la porte ou si ils on fuit vers l’autre continent. La bête vit seule depuis. C’était il y a 250 ans…C’est tout, le reste parle de leur culture.
-Donc, la gentille bestiole qui est dans l’eau a fait fuir tout un peuple ? demanda Jack.
-Il semblerait
-Cet autre continent Daniel il est loin ?
-J’ai trouvé une carte et je dirait une centaine de kilomètres.
-Bien. Demain on va demander à Hammond si on peut partir à la recherche de ce continent. On verra si ils sont toujours aussi cruel et si ils sont toujours technologiquement très avancé.