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 Une histoire...

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Paul Muad'Dib
Blob Verdâtre
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Paul Muad'Dib


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MessageSujet: Une histoire...   Une histoire... EmptyVen 22 Sep 2006 - 22:14

Welcome all !!! Heureux

Je post donc ici, comme sur SGF, le prologue de ma future Fan-Série (j'espère que ça en sera une).

Le titre est provisoire car le scénario n'est pas encore totalement défini. J'ai pas mal d'idées, trop peut-être scratch

Je n'arrive donc pas à me décider sur un choix de scénario final. Je préfère donc bien y réfléchir plutôt que de bâcler cette tâche très très importante dans la conception d'une histoire.

Voilà, j'attends donc vos réactions, qu'elles soient positives ou négatives du moment qu'elles sont constructives. Razz

Citation :
Cette histoire reprend des personnages, planètes, vaisseaux, etc… de StarGate SG-1 et Atlantis (et autres) mais aussi y figure des personnages, planètes, vaisseaux, etc…purement inventés et/ou inspirés de sources extérieurs à l’univers de StarGate.
Au cours de cette FanFic des allusions seront éventuellement faîtes à des légendes et mythes.

The Chronicles of StarGate


Prologue :

Quelque part sur une planète :

Au milieu du désert, une petite file de silhouettes marchaient à pas rapides dans le sable sous une belle nuit étoilée.
Il y avait un homme tout devant qui menait la petite troupe, il tenait quelque chose dans sa main gauche sous une toge violacée et ornée de motifs en filagrammes d'or.

Derrière lui suivait huit hommes et femmes tirant ou plutôt escortant une grande cage - qui semblait flottée à un mètre au dessus du sol – le suivait.
La cage était recouverte d’un élégant drap noir fait d'un tissu fin et soyeux au toucher, sur lequel étaient tissés des symboles complexes et mystérieux.

Deux heures de marche intensive s’écoulèrent quand enfin la troupe s'arrêta.

Ils avaient traversés le désert sur des kilomètres, une immense étendu de sable s’étendant jusqu'à perte de vue parcourue par un vent sec et chaud qui vous irritait les yeux, craquelait les lèvres et rendait la bouche pâteuse.

Puis ils avaient franchis une entrée, du moins ce qui ressemblait à une entrée, en réalité celle-ci n’était rien d’autre que deux dunes de sable de taille respectable qui formait à leur base un étroit passage. La troupe était finalement arrivée devant une entrée creusée à même le roc.

L’homme regarda avec crainte ce tunnel qui s’enfouissait dans les ténèbres. Puis il se ressaisit.
Ils avaient une mission de la plus haute importance à accomplir.
Il inspira profondément et s’engouffra dans le tunnel suivit de ses compagnons qui escortaient toujours la cage, qui semblait connaître elle-même le chemin à suivre. Ils parcoururent près d'un demi kilomètre et débouchèrent sur une immense salle aux dimensions colossales qui devait faire plusieurs centaines de mètres de longueur, même plus !

Peut-être plus d'un kilomètre de long et de large. Elle était taillée dans la roche noire de la montagne, la voûte était tout simplement grandiose !
Elle devait s’élevée jusqu'à 200 mètres de hauteur et était soutenue par tout un réseau d’imposant piliers.

Il n’y avait apparemment rien dans la salle. L’homme la parcourue avec assurance comme s'il savait ou aller, ce qui était le cas bien évidemment.
Il traversa le hall de bout en bout pour finalement arrivé avec ses compagnons devant une grande porte à double battants en bois lisse et noirci par l'âge mais qui ne semblait pas être affecté par la moisissure.

Il sortit de sa toge, une clé de bronze et la mit dans la serrure, un léger déclic se fit entendre et l’homme tira, avec l'aide de trois de ses compagnons, les deux poignées.

Ils pénétrèrent dans une salle dérisoirement plus petite que la précédente : - c'était une chambre - mais plus décorée : il y avait des vases en ivoires, des coffres en chêne, incrustés de rubis, d’émeraudes et de gemmes de toutes les couleurs tous fermés gardant leur contenu invisible, des tableaux d’une grande beautés par-ci et par-là ainsi que des statuettes en bronze, en argent ou en or , des bijoux et un tas d'autres objets.

Mais aussi une immense étagère ou s’entassait d’innombrables parchemins et manuscrits.
Il y avait également un grand lit : parsemé de quelques coussins - sur lesquels étaient dessinés une tête de chacal - une table de travail - assortie d’un élégant fauteuil - se trouvait dans un coin, une bougie à moitié consumée et des manuscrits en champ de bataille se trouvaient sur celle-ci.

L’homme et ses camarades observèrent tout cela d’un œil surpris et inquiet. Cette pièce semblait avoir été occupée récemment ce qui n’aurait pas dû être le cas.
Malgré ce que leur dictait leur bon sens - c’est à dire rebrousser chemin - ils n’en firent rien et reprirent leur chemin, se tenant tout de même sur leur gardes.
Ils arrivèrent devant une nouvelle porte de même dimension que la précédente mais cette fois elle n’avait pas de serrure, la troupe la franchie et parcourue un nouveau tunnel éclairé par des torches accrochées aux murs qui projetaient des ombres menaçantes et irréels.

Ils arrivèrent en fin au bout du tunnel.
Il y avait là, une nouvelle porte : celle-ci était faîte en pierre d’un blanc éclatant tout comme les murs du tunnel remarquèrent t-ils.
L'homme poussa les deux battants de la porte et pénétra enfin dans la salle qui achevait leur périple.
C’était une pièce toute simple du moins en apparence, il n’y avait aucun signe de richesse ou autre.

Simplement elle était circulaire, le mur était du même blanc éclatant que le tunnel et la porte et au centre se trouvait une grande statue représentant une déesse: debout et majestueuse, elle était vêtue d’une grande robe et avait la tête recouverte d’un heaume de guerre.
Son regard était calme et empreint d’une telle bienveillance qu’elle semblait vivante, les sculpteurs et maîtres artisans c’étaient vraiment dépassés.
La déesse tenait dans sa main droite une coupe en or pur qu’elle tendait devant elle, comme ci elle invitait quelqu’un à boire et sa main gauche était levée en l’air au dessus de sa tête comme si elle brandissait quelque chose, mais il n’y avait rien.

L’homme fit signe à cinq de ses camarades d'amener la cage jusqu’au fond de la pièce qui était plongée dans l’obscurité la plus totale.

Pendant qu’ils se dirigeaient vers le fond de la pièce. L’homme et les trois compagnons qui étaient restés avec lui, s’approchèrent de la statue, la contemplèrent un instant et attendirent que le reste de leur camarades furent revenus.

Quand ils furent tous réunis, ils prononcèrent en cœur les paroles suivantes :

« Ô Déesse de Lumière, Ô Beauté Éternel, Ô Puissante Gardienne.
Nous vous l'apportons, comme nous en avions fais le serment à votre défunt époux.
Puissiez à jamais le garder à l'abri des Ténèbres ».

Puis l’homme sortit de sous sa toge l’objet qu’il avait sur lui depuis le début du voyage : un sceptre fait d'une matière rare et inconnue de ce monde, elle était très résistante - vous aviez beau passer une lame dessus le sceptre n'avait aucune marque d'entaille - et d’une grande beauté.

Faîte d'un blanc qui semblait irradier une lumière qui lui était propre, il n’y avait aucune inscription dessus, rien que des petites vaines bleuâtres que l’on pouvait distinguées le long du manche. Ce dernier se terminait par un petit dôme fait de la même matière, de couleur transparente mais bizarrement l’on ne pouvait distinguer ce qu’il y avait à l'intérieur.
L’homme contempla le sceptre un instant puis se mit sur la pointe des pieds - malgré son deux mètres onze - et le plaça avec précaution dans la main gauche de la statue - celle levée.
Le sceptre ci plaça sans aucune difficulté comme si la main avait été toute spécialement taillée pour l’accueillir.

Cela fait les compagnons reculèrent un peu et admirèrent une dernière fois la statue. Puis l’homme se retourna et s'engagea dans le tunnel suivit de ses frères et des ses sœurs qui avaient avec eux le drap, qui recouvrait la cage.

Quand ils furent tous sortis de la pièce l’homme fit signe à ses compagnons.
Ils se placèrent donc face à face avec la porte. L'homme pivota de moitié de façon à se retrouvé devant le mur de droite.
Il appuya sur une pierre située à hauteur d’épaule : ce qui eu pour effet de faire sortir la pierre - qui était creuse - du mur, il y avait maintenant devant lui une sorte de tiroir dans lequel était placé en son centre une opale.
Il pivota à nouveau de façon à être cette fois devant la porte.

Il regarda cette dernière comme s’il voyait à travers et dit :

« Tu peux sortir maintenant Re'ik. Et n'oublie pas de t'acquitter au mieux de la tâche qui ta était confiée.
Peut-être nous reverrons nous mon ami », prononça l'homme d'une voie amicale.

« Au revoir Re'ik » dirent-ils.

Un grognement ce fit entendre dans la pièce et l’homme appuya sur l’opale : un champ d’énergie bleu apparût devant la porte, on pouvait distinguer l’éclat bleuté qu’il projetait, puis l’éclat s’estompa au fur et à mesure pour finalement ne plus être.

L’homme poussa un profond soupir de lassitude et de fatigue, puis s’engagea dans le tunnel précédent ses compagnons. Ils parcoururent d’un pas léger et rapide le tunnel puis la petite pièce, la grande salle et enfin le tunnel d’entrée.
Au dehors, le ciel avait changé : les premières lueurs du jour apparaissaient teintant les nuages de couleurs dorées.

L’homme s’arrêta et enleva la capuche de sa toge, révélant ainsi son visage : il était jeune à peine âgé de vingt ans, mais déjà marqué par le stress, la colère et le chagrin.
Il avait des cheveux d’un noir d’encre coupé courts, des yeux verts et la peau blanche. Il regarda ses amis d’un regard qu’il voulait bienveillant et leur parla :

« Voilà notre mission est accomplie. Nous avons remplient notre office pour notre part. Je suis très fière d'être en votre compagnie en ces moments troublés.

Il marqua une pause puis enchaîna :

« Mais maintenant nous devons nous dépêchez de retourner à la citée pour participer à sa défense ».

Sur ces mots il se mit en marche mais l’un de ses compagnons - une femme - l’interpella d’une voix inquiète :

« Je pense parler au nom de tous ici en affirmant que c'est un grand honneur que d'être sous ton commandement », annonça la femme d'une voix à vous retourner le cœur.

C'était une femme d'une grande beauté. Enveloppée dans une toge blanchâtre. Elle avait de grand yeux bleus turquoise et de longs cheveux blonds descendants en cascade jusqu'à ses épaules.
Les traits de son visage étaient fins et élégants. Elle aurait fait chavirer le cœur de n'importe quel homme et attendrit le plus cruel des mercenaires.

Elle s'appelait Nuasa.

« Mais pense tu qu’ils arriveront à le trouver ? », demanda elle.

« C'est possible. Mais je ne puis donner une réponse honnête puisque je l'ignore. Il ne reste qu'à espérer que cela ne se produira.
Seul le temps nous donnera une réponse ».

« Oui, il ne reste qu'à espérer de toute notre force. Prions pour que ce jour n'arrive jamais car le jour ou il arrivera, un grand malheur se répandra de pars le monde », dit avec tristesse Nuasa.

« L'espoir est l'une des dernières choses qu'il nous reste. Allons-y, nous avons perdus assez de temps.
En route ! ».

Et la troupe reprit sa marche se dirigeant vers la citée et refaisant le même trajet qu'a l'aller mais en sens inverse cette fois-ci.

Avec le cœur un peu plus léger et un peu plus lourd à la fois.


Dernière édition par le Mer 27 Sep 2006 - 14:48, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Une histoire...   Une histoire... EmptyMer 27 Sep 2006 - 14:47

Voilà, un petit up. Le titre officiel de ma Fan-Série à été choisit : The Chronicles of StarGate (si un modo pouvez remplacé le titre actuel : "Une histoire" par celui-ci, ça serait super Heureux )

Le scénario à sacrément avancer. Je ne prévois pas moins de dix épisodes, leurs titres sont déjà choisis même s'ils peuvent encore changés. Le premier chapitre n'est pas encore terminé mais je post quand même la première partie pour que vous ayez quelque chose à vous mettre sous la dent Razz

Je peux dire, maintenant que le scénario à bien avancer, que ce que je propose dans ma F-S est tout nouveau (enfin j'espère :unsure: ) et sera "complexe", "digne" de la série (enfin j'espère aussi...). De nombreuse nouveautés et surprises y figureront. J'ai notamment une idée de fin (qui j'espère n'apparaîtra pas avant longtemps Heureux ) totalement "folle" et "impensable" I love you

Je vous laisse donc lire la première partie de mon premier chapitre. J'espère que vous passerez un bon moment et n'oubliez pas de laissez vos appréciations qu'elles soient positives ou négatives.

Episode Premier : L'effondrement,

Chapitre I : Rébellions,

Tyz, Voie Lactée :

L'ombre commençait à étendre ses tentacules sur le monde, rafraîchissant l'air et donnant une teinte inquiétante au paysage. Elle accomplissait son ouvrage lentement et avec méticulosité, absorbant toute trace de lumière comme une vague engloutirait un navire. Elle continuait à s'étendre et la lumière à disparaître, les créatures de l'ombre commençaient à s'extirper de leur tanières emplissant le bois de petits cris qui vous laissez une sueur froide dans la nuque.
Quand enfin elle eût finit son ouvrage et que le monde semblait plongé dans une obscurité surnaturelle ce fût le moment :

Une horde de créatures bipèdes sortie du bois, elles se déplaçaient silencieusement n’émettant que quelques petits cris et grognements pour communiquer. Elles arrivèrent au pied d’une colline qu’elles gravirent rapidement, une fois arrivé au sommet elles se couchèrent au sol et observèrent :

Au loin s’étendait un petit village composé d’une trentaine de maisonnettes, d’une église et d’un cimetière ainsi qu’un marché. Malgré l’heure tardive de nombreuses personnes déambulaient encore dans les rues, flânant ou vacant à leurs occupations. Il ne devait pas y avoir plus de deux cents habitants…humains et plusieurs Unas enfermés dans des cages comme de vulgaires bêtes. Les Humains les traitaient avec mépris et cruauté. Ils les obligeaient à tirer de lourdes charrettes, à transporté du bois pour leur feux ou encore à se battre entre eux pour satisfaire leur soif de combat et leur perversité.

« Mais cela va changer ce soir », chuchota un Unas.

« Oui, ce soir les Humains ne seront plus comme les Goa’ulds l’ont étés avant eux : nos esclavagistes. Ce soir mes frères nous délivrerons nos semblables, nous ferons payer à ces Humains leur cruauté et nous répandront leur sang sur leurs demeures jusqu'à ce que la terre en soit imbibée ! Ce soir mes frères une nouvelle Ere commence, une Ere nouvelle pour le peuple Unas, celle de la Liberté ! hurla un grand mâle Unas.

Tous les Unas, surexcités par le discours enflammé de leur chef rugirent de colère et de haine. Et ils s’élancèrent.
Une centaine d’Unas dévalaient la colline courant avec détermination et force de cris vers les premières habitations. Ils étaient armés de bâtons et de lances mais la plupart n’avaient que les griffes et leurs crocs…ce qui était amplement suffisant. Les Humains avaient étés avertis de leur présence dès les premiers rugissements et s’étaient précipités chez eux soit pour s’y réfugier ou pour s’armer. Ainsi un petit bataillon d’une cinquantaine d’hommes – et quelques femmes – attendaient à l’entrée du village armés de lances, d’arcs et même d’épées pour certains.

Lorsqu’ils aperçurent les Unas, le chef du village lança un ordre et une volée de flèches siffla en direction de la première ligne Unas. Plusieurs Unas tombèrent, abattus mais leur nombre était presque insignifiant comparé au reste. Une deuxième volée siffla, puis une troisième de nombreux Unas furent abattus. Puis le corps à corps commença, les Unas étaient déchaînés par leur soif de vengeance et encore plus par la mort de leurs semblables alors que les hommes étaient – certes – courageux mais ils étaient effrayés par ces « monstres » qui hantait leurs nuits. Les coups de lances étaient presque sans effet sur les Unas, soit ils n’étaient pas porter avec assez de force soit ils n’atteignaient pas leurs cibles alors que les Unas tapaient, griffaient, mordaient sans relâche faisant toujours plus de victimes dans les rangs Humains. Enfin il n’y eût plus de doute possible, les Unas allaient sortirent victorieux de cet affrontement les Humains n’était plus qu’une poignée, effrayés et fatigués.

Puis, les Unas encerclèrent les derniers combattants Humains – ils n’étaient plus que cinq – et un Unas plus grand que les autres, celui qui avait attisé la soif de vengeance par son discours avant l’assaut s’avança et se planta là, devant les Humains il les regarda pendant ce qui sembla une éternité aux survivants Humains puis enfin il parla :

« La soumission de notre Peuple est terminée, plus jamais nous ne saurons vos esclaves, plus jamais vous ne nous traiterez comme des bêtes sauvages et sans intelligence car aujourd’hui nous vous avons vaincus et chaque village de cette planète subira le même sort que celui-ci »

Plusieurs secondes s’écoulèrent, pendant lesquelles les Humains regardaient terrifiés et surpris le chef Unas, il…il… :

« Mais…mais vous…vous parlez ?! » S’étonna un jeune Humain qui avait le visage recouvert de sang ainsi qu’une vilaine estafilade au bras droit.

« Evidemment que nous parlons et que nous vous comprenons. Néanmoins nous ne sommes pas tous aussi…civilisés mais cela ne sera tarder. Vous nous considérez comme du bétail…non comestible mais comme du bétail tout de même, comme de vulgaires bêtes mais la vérité est bien plus terrifiante : nous sommes des êtres doués d’intelligence. Cette planète puis la galaxie entière connaîtront la toute Puissance du peuple Unas, un peuple nouveau fort de savoir et de connaissance, assoiffé par les mystères de l’univers et par la vengeance envers les innombrables oppresseurs de nos semblables de part le monde. Chaque tribu Unas s’organisera et assaillira les Humains et autres monstres qui réduisent notre peuple à de simples primitifs soumis. Les Unas deviendront des êtres civilisés – comme vous les appelez – nous formerons un Empire fier et fort de savoir et de puissance. Nous ne connaîtront plus jamais l’oppression et l’esclavagisme. La Grande Rébellion Unas à commencé et ne se terminera que dans le sang de vos semblables » énonça l’Unas.

Surpris et encore plus effrayé par ce discours révélant tant d’intelligence venant de la part d’un…être qu’ils avaient toujours considéré comme des sous-êtres, des animaux, des monstres que ce mono ligne digne d’un grand orateur puisse venir d’une telle…chose était impensable pour les Humains.

« Tuer-les et allons libérez nos frères. Nous avons encore de nombreuse tâches à accomplirent » ordonna le chef.

Six lances s’enfoncèrent dans le cœur des malheureux.

Gijra, Voie Lactée :

Cela faisait maintenant deux jours entiers que le conseil délibérait. Il avait fallut le réunir en urgence car de sombres évènements s’annonçaient pour la planète mais aussi pour la Nation Jaffa toute entière. Il y avait d’un côté les Fanatiques et de l’autre les Pacifistes.
Les premiers étaient les plus virulents, les plus prompts à la guerre. Ils ne souhaitaient qu’une chose : exterminer définitivement la race Goa’uld mais aussi cette vermine Tok’ra et ne plus « dépendre » de ces Tau’ris de la Terre. Ils souhaitaient créer un Empire Jaffa comme celui des Goa’ulds, un empire qui régnerait sur la galaxie et n’aurait à craindre personne.
Les seconds étaient les plus sages, ils voulaient bien entendu eux aussi voir leur Peuple devenir une Nation à part entière et non une peuple soumit comme ce fît le cas pendant de trop nombreuses années sous l’effigie Goa’uld. Mais ils étaient plus calmes plus patients, ils étaient bien conscients que la naissance d’une Nation Jaffa serait longue et difficile voir impossible…du moins comme il la souhaitait : ils ne voulaient pas contrairement à leur frères fanatiques un empire militaire et…dictatorial mais une Nation libre et pacifiste. Ou les Jaffas seraient enfin reconnus comme un peuple et non comme une force de frappe obéissant à une autorité supérieure.

Mais de nombreuses tensions et dissocions régnaient au sein des Jaffas. Il était difficile de faire adhérer tous les Jaffas à ses idées et encore plus d’empêcher la corruption au sein même du conseil. Cela, Gala’k en était bien conscient. « Comment empêcher les Jaffas de se soumettre à leurs propres frères ? » se posa t-il la question. Là était bien le problème, les Jaffas avaient trouvés chez les Goa’ulds un ennemie commun, ceux qui les oppressés devaient être vaincus et brûlez. Ce qui avait été fait – ou presque – cet objectif avait réussit à faire une chose encore jamais réalisée : l’union de tous les Jaffas sous une seule bannière. Mais une fois l’empire Goa’uld vaincus, les Jaffas avaient soifs de conquêtes et d’honneurs regagnés.
Ainsi deux mouvements principaux c’étaient mis en place chez les Jaffas : les Fanatiques et les Pacifistes. Le conseil se réunissait souvent pour parlementer et essayer de faire entendre raison à la partie opposée. Mais il y a deux jours, le conseil avait dût être réunit subitement pour de graves motifs : un chef spirituel appartenant aux Fanatiques avait été assassiné. Ses semblables s’étaient empressés d’accuser les Pacifistes de trahison et d’acte de guerre. Le conseil avait dût être réunit de toute urgence afin d’éviter une guerre civile. Et depuis deux jours, de longues et fastidieuses discussions se déroulaient dans la salle du conseil :

« Vous n’êtes que des lâches, vous voulez que les Jaffas continus à n’être qu’un peuple soumit. Que nous restons tel que nous l’avons toujours étés : de la chair à canons Tau’ris !! » Éructa un Jaffa au visage rouge tomate, au crâne rasé et vêtue d’une toge grisâtre.

« Voyons, Garek calme je te prie. Nous sommes dans un conseil pas dans un exutoire. Mais tu à tort, nous ne voulons pour rien au monde voir les Jaffas restés esclaves de telle ou telle force. Nous voulons également voir les Jaffas devenirs une Nation indépendante et forte. Mais nos méthodes sont justes…différentes des vôtres plus directs et radicales. Et pas forcément meilleurs pour notre peuple » répondit un Jaffa fier et grand, enveloppé d’une toge blanche il avait des yeux noirs et une moustache virant au gris clair.

« Toi et tes paroles, rien que des paroles Gala’k. Il faut agir rapidement si nous voulons voir l’avenir de notre peuple sous de bons hospices et non parlement depuis si longtemps déjà. Vous ne faîtes que parler et philosopher alors que nous nous agissons » contre-attaqua Garek.

« De plus, l’un des nôtres à été assassiné alors que les frictions entre nos deux factions sont à leur summum. C’est presque un acte de guerre, une affreuse traîtrise. Vous avez tués l’un des nôtres pour nous empêcher d’arriver à nos fins et pour retarder l’inévitable : les Jaffas nous suivront nous ! Pas vous ! » Ajouta un jeune Jaffa encore inexpérimenté…mais siégeant tout de même au conseil.

« Du calme Blarek » lui intima Garek.

Le jeune Jaffa se renfrogna et baissa la tête sur ses mains.
Gala’k se leva ainsi que plusieurs des siens :

« Ainsi vous osez nous accusés de cet affreux meurtre ? Nous qui avons toujours prônés le Pacifisme. Nous qui n’avons jamais manifestés autant d’agressivité, de haine et autres émotions noires. Vous insinuez, nan vous déclarez que nous sommes les coupables de ce meurtre ? Que nous risquerions une guerre dévastatrice chez les Jaffas pour assouvir une petite vengeance personnel ? Est-ce ce que vous insinuez ? » Demanda calmement Gala’k.

Plusieurs minutes s’écoulèrent, insoutenables, la tension était à palpable dans l’air. Enfin une réponse se fit entendre :

« Nan, ce n’est pas ce que nous insinuons. Néanmoins, il faut comprendre que nos doutes er nos inquiétudes sont compréhensibles. L’un des nôtres est tué après qu’une bagarre est éclatée entre plusieurs Jaffas la veille » dit posément un Fanatique.

« Nous te l’accordons Tor’sla mais ce n’est pas une raison pour porter de telles accusations qui pourraient se révélées affreuses en conséquences pour nos frères. Néanmoins, vous avez raisons nous ne pouvez continuer à parler inlassablement. Nous devons trouver une solution qui plaira à tout le monde et ne risquera pas de nous détruire…plus tard » lui répondit un Pacifiste.

« Bien, au mois sur ça nous sommes d’accord Jislad. Mais qui de nous ou de vous arrivera à faire plier l’autre à ses convictions ? Je voie mal comment cela pourrait se produire. C’est pourquoi nous vous demandons une dernière fois de nous rejoindre…pour le bien de notre peuple » pria Gor’ak.

Plusieurs secondes passèrent ou chacun se regardait.

« Est-ce une menace ? Un avertissement ? » Demanda Gala’k. « Jamais nous ne nous plierons à votre volonté. Vous dîtes que vous voulez que les Jaffas deviennent une Nation libre et indépendante mais la vérité est tout autre : vous voulez simplement créer un Empire militaire et arbitraire ou vous régnerez comme les Goa’ulds l’ont fais. Notre peuple sera soumis par ses propres frères, la honte de notre peuple ne sera jamais aussi grande. Vous voulez tout simplement remplacés à votre façon le rôle qu’ont tenus les Goa’ulds pendant des milliers d’années : celui d’oppresseur » dit avec colère Gala’k.

« Ainsi vous ne voulez nous rejoindre ? Bien qu’il en soit ainsi » Répondit Garek.

Tous les Fanatiques se levèrent et s’en allèrent en file par la porte de la salle du conseil.
Les Pacifistes se regardèrent éberlués par cette réaction aussi inattendue qu’inacceptable. Mais il était trop tard le mal était fait.

La guerre civile ne pouvait plus être empêchée.
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MessageSujet: Re: Une histoire...   Une histoire... EmptyLun 16 Avr 2007 - 12:43

Une fic pour le moins surprenante, sur bien des points. Le début, notamment, qui n'est pas sans rappeller l'atmosphère de Dunes ; j'ai réellement hâte de savoir ce que prépare ce mystérieux groupe.

La partie sur les Unas me laisse perplexe. Certe, je sais que les unas sont capables de d'apprendre, et qu'il sont plus élvolués qu'on ne veut bien le croire ; mais tout de même, je ne les crois pas capable, à l'état naturel, de se lancer dans ce genre de discours. Il reste selon moi une espèce primitive, non seulement d'un point de vue technologique mais aussi évolutif. Je pense qu'il faudra bien attendre 10 000, 15 000 ans avant que l'espèce Unas n'acquiert un intellect comparable à celui des humains. Néanmoins, je ne suis pas un spécialiste sur le sujet, il se peut donc que mon estimation soit erronée. Je me demande s'il y à une raison particulière à l'intelligence du groupe dont tu parles.

La partie de l'histoire concernant les Jaffa est plus classique ; c'est encore les mêmes dissenssions au sein de la jeune nation, qui à bien du mal à se stabilier autour d'un régime politique. Cependant, comme l'a montré mat vador, ce genre d'intrigue peut devenir passionante. J'attends de voir.

Pour toutes ces raisons, j'espère que nous pouvons espérer lire bientôt la suite de cette histoire ; il serait dommage de s'arrêter en si bon chemin. farao
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